@Le421- Merci de venir nous aider à distribuer nos tracts, ne serait-ce que pour montrer que vous êtes un vrai Insoumis, plutôt que de vous faire plaisir à jouer avec le franglaid et nous soumettre ainsi, encore un peu plus, à la l’impérialisme d’une langue qui n’est pas la nôtre.
Bonsoir à tous, pour ceux que cela intéresserait, demain 14 février à 8 heures, à la Cité internationale universitaire de Paris (CIU), nous organisons une distribution de tracts pour dénoncer l’anglicisation et faire des propositions pour le français. Contact : Thierry au 06 66 46 77 07
@ricoxy - Pas mal le jeu de mot, à condition qu’on comprenne l’anglais, pardi. « Shame » ou « honte » en français.
@leypanou - Laura Flessel, ministre des Sports, aurait pu s’exprimer en anglais à Lima, car c’est ce qu’elle a fait à Lausanne en juillet dernier : https://youtu.be/xaVKMck7-no.
@périscope - C’est une bonne idée, mais pour rester dans la légalité, c’est-à-dire, pour ne pas risquer d’être condamné pour dégradation de biens d’autrui, le mieux, c’est de coller des autocollants de protestation. L’autocollant étant facilement enlevable, on ne pourra pas vous reprocher quoi que ce soit en matière de dégradation. Si vous voulez essayer, je peux vous envoyer gratuitement des autocollants (pour cela envoyer une adresse postale à l’adresse courriel : [email protected]).
@mursili - S’il le parle couramment, c’est qu’il s’est imbibé de cette langue, imbibé de la culture et des valeurs qu’elle porte, et je pense que ce n’est pas trop bon pour la France d’avoir un Président imbibé d’une autre culture que la nôtre. Il est tellement imbibé par l’anglosphère, qu’il a fait son stage de l’ENA au Nigeria, pays d’Afrique anglophone, tournant ainsi le dos à la Francophonie africaine. Quant aux interprètes, la question serait de savoir : doit-on se faire imposer une langue impérialiste ou doit-on avoir le courage d’imposer un interprète ?
@mursili - Il ne parle pas un peu anglais, mais il le parle couramment, car cela est obligatoire dans le milieu qu’il côtoie : French American foundation, Bilderberg, Davos, Soros, Rothschild, etc.
@Daniel Roux - À noter, tout de même, que l’Irlande a déclaré au niveau de l’UE, qu’elle avait le gaélique pour langue officielle (donc pas l’anglais). Même chose pour Malte qui a déclaré le maltais et non l’anglais. Avec le Brexit, il n’y aura donc plus aucun pays dans l’UE dont la langue officielle est l’anglais.
Tristesse, Macron, l’anglo-mondialisé, le fruit de l’oligarchie financière, celui qui parle anglais aux Allemands, qui crache sur la France en Algérie et qui pense que la Guyane est une île, risque d’être élu Président de la République française !
Et pendant ce temps, ils ont tué De Gaulle, qui, sous les traits d’Asselineau, était venu nous parler de la France Libre.
Au second tour, tout sauf Macron !
@bcallens
Merci, je prends note de vos remarques.
@bcallens
Soit, nous savons bien qu’en vertu de l’article 700 du code de procédure civile, le perdant du procès peut être appelé à dédommager la partie adverse de ses frais de procédure, mais ce que nous contestons c’est le fait que le juge, pour faire application de l’article 700, n’a pas tenu compte de la situation financière de l’Afrav, comme pourtant l’y invite à le faire, l’article 75 de la loi n°647 du 10 juillet 1991.
@bcallens Nous n’avons pas modifié nos statuts avant le procès de Metz, car avec les mêmes statuts et selon la même procédure, nous avons gagné un procès au Tribunal administratif de Nîmes en 2015.
@Descartes et rogal, Bonjour, un appel était possible, seulement, il fallait reprendre un avocat (1500 €) et payer un doit de plaidoirie (225 €). Et tout cela, pour peut-être espérer voir notre condamnation à payer les 1500 €, annulée au titre de l’article 75 de la loi n°647 du 10 juillet 1991. Car au mieux, le juge d’Appel aurait tenu compte de la situation financière de l’association et ainsi nous aurait exonérés des 1500 € à payer, mais nous ne pensons pas qu’il aurait renvoyé l’affaire sur le fond. Donc payer 1725 € pour récupérer 1500 €, ce n’est pas faire montre de bonne gestion des choses. Plus sage est de refaire une partie des statuts de l’Association pour qu’ils ne suscitent plus d’interprétations différentes selon les juges (pour le juge de Nîmes, nous pouvions ester en justice, pour le juge de Metz, non !) et réintroduire l’affaire au TGI de Metz, en septembre-octobre.
@popov -
Monsieur, votre raisonnement est du même type que celui que les Kollaborateurs avaient en 1940-45. À l’époque, ils disaient à quoi bon résister à l’envahisseur puisque les Allemands sont les plus forts. Ils sont plus disciplinés, leurs industries sont les plus performantes, leur technologie est la plus avancée, leur armée est supérieure à la nôtre et ils sont, qui plus est, un excellent rempart contre le bolchévisme !
Heureusement, il y a eu des Résistants qui, sous la direction du Général de Gaulle, pensaient tout autrement : être libres dans un pays libre qui ne soit ni Bolchévique, ni allemand ni américain !
Aujourd’hui avec l’anglais qui nous envahit, nous sommes dans une situation d’occupation également, et des personnes comme vous, disent à quoi bon résister à cette langue, puisque les Anglo-américains qui la portent, sont les plus forts. Ils ont le service d’espionnage le plus puissant du monde, leur technologie est la plus avancée, ils règnent sur la Toile, leur industrie du divertissement colonise toute la planète, leur armée est la plus puissante du monde, et leur langue, qui plus est, est un excellent rempart contre le mandarin, le russe, l’allemand, l’arabe… !
Heureusement, là encore, il y a des citoyens qui pensent tout autrement : être libres de ne pas parler l’anglais d’une manière obligatoire, être libres de ne pas parler l’anglais à l’international, et d’avoir le choix, notamment en cela, entre les 6 langues internationales officielles de l’ONU dont le français (anglais, arabe, espagnol, français, mandarin, russe), être libres de nous tourner vers de la Francophonie fraternelle et universelle plutôt qu’être condamnés à ne plus qu’espérer notre disparition dans l’anglosphère.
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