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Les commentaires de Frimas



  • Frimas Frimas 24 décembre 2021 11:57

    @wagos
    En espérant qu’il y avait du chlore. Le masque du coup, on s’en tape...



  • Frimas Frimas 24 décembre 2021 11:55

    @ddacoudre
    Qu’il ne faut pas désespérer ? Non en effet. Il suffit d’y croire n’est-ce-pas ?



  • Frimas Frimas 18 septembre 2021 15:18

    @Jeekes
    Je vous cite : « Rien à faire, une sorte de mais l’usine au masculin...  »
    Une sorte de mais l’usine au masculin. Voilà quelque chose qui mérite véritablement l’anonymat !



  • Frimas Frimas 18 septembre 2021 13:34

    @Albert123 C’est difficile de répondre aux cons, ils ont vite fini... pour finir par se faire agresser par rien du tout, alors que c’est leur propre vacuité qui nourrit ce ressentiment.



  • Frimas Frimas 17 septembre 2021 16:47

    @eddofr Merci pour le retour argumenté qui fait sens. Ce que je publie ici est une écriture brute, des idées si vous préférez. Il n’y a aucune mise en forme syntaxique. Le but de la publication d’articles de ce que vous avez lu, est d’obtenir des commentaires qui me permettront de me réviser et d’équilibrer le texte. Merci pour votre argumentaire en tout cas.



  • Frimas Frimas 17 septembre 2021 14:34

    @Séraphin Les 2 idées rejoignent en effet le même fond.



  • Frimas Frimas 17 septembre 2021 14:33

    @eddofr > Syndrome de Twitter : "en 140 signes, on est naturellement porté au simplisme et le simplisme porte à son tour vers la polémique voire l’invective.

    " Les Echos



  • Frimas Frimas 20 juillet 2021 18:55

    @Bendidon
    De mon côté, il n’y a eu aucune suppression quelconque. Libre à vous d’écrire ce qui vous semble pertinent !



  • Frimas Frimas 6 mai 2019 10:43

    @amiaplacidus
    Pas de texte !



  • Frimas Frimas 6 mai 2019 10:43

    @arthes
    Je préfère argumenter ma non-présence par la lecture enrichissante de vos propos. Ce qui permet, me semble-t-il, de mieux appréhender votre critique. J’ai apposé mes réflexions au-dessus et je pense qu’il est suffisant ne pas apposer d’avantage de paroles sur le sujet en question. Concernant le « personnage » derrière mes paragraphes, et bien disons que l’anonymat n’est pas du tout embêtant...



  • Frimas Frimas 26 avril 2019 11:27

    @ddacoudre
    Merci pour votre beau commentaire. Cela change effectivement de la niaiserie complète parfois bien indigeste du genre « c qua c mau »



  • Frimas Frimas 26 avril 2019 11:24

    @Laconique
    Ce sont des idées brutes. La forme sera prise en considération par après.



  • Frimas Frimas 26 avril 2019 11:19

    @Laconique
    En effet, Ellul était un visionnaire sur la question !



  • Frimas Frimas 26 avril 2019 11:18

    @Sparker
    Relisez et ne cessez surtout pas de questionnez d’avantage !



  • Frimas Frimas 18 avril 2019 11:07

    @bouffon(s) du roi
    Ce sont juste des idées sans aucune mise en forme d’où l’aspect peut être chaotique.



  • Frimas Frimas 15 mars 2019 09:54

    @rogal
    La suite sera d’autant plus rude et je peux vous assurer que tout ce que vous avez lu n’est qu’une suite d’idées sans aucune mise en forme quelconque, d’où la longueur des phrases et le manque de ponctuation. L’idée se perd après un point. Désordonné, comme le monde moderne... En effet, les algorithmes se perfectionneront et vous n’allez pas comprendre la réalité de demain une fois qu’ils seront véritablement capables de reproduire l’immense catalogue de la langue française où encore qu’ils vont rédiger les scénarios à caractère débile pour la masse atomisée devant leur téléviseur géant... Les réflexions se poursuivent...



  • Frimas Frimas 26 février 2019 14:35

    @symbiosis
    J’aurais peut-être l’occasion de vous plusser en m’envoyer un exemple identifiant à l’unicité votre talent et la pertinence de votre commentaire...



  • Frimas Frimas 7 novembre 2018 12:02

    L’expansion est tout ! J’ai pensé qu’on ne consomme plus ces vexantes marchandises qu’on nous offre sous lumière artificielle mais dorénavant c’est le centre commercial qui nous consomme. Son gigantisme est criard, son utilité douteuse au plus haut point et tout ceux qui sont enfermés là dedans comble l’abîme productiviste et ne sont qu’à blâmer, telle leur profonde insignifiance qu’à être là à se gorger de produits qui leur serviront peut être d’une raison d’existence dans ce monde où toute action se conjugue désormais et nécessairement à une certaine responsabilité.



  • Frimas Frimas 30 octobre 2018 12:04

    « C’est l’apparent paradoxe de ces trois milliards d’hommes vivant en-dessous des barèmes de la pauvreté absolue pendant que les autres avalent des vitamines pour suivre le rythme des innovations. » Baudouin de Bodinat

    Voulant se poser des questions sur sa propre condition proprement catégorique avec ses stratégies et ses statistiques, l’homme s’est éperdu dans son intégrale collectivité en se posant les mauvaises : Niant son immense échec face à cet aboutissement considérablement titanesque dans ses dimensions devenues incontrôlables où nulle thébaïde ne nous sauvera plus des bruits de la machine et l’immense pauvreté divisant la civilisation se comportant plaintive et les quelques aliénés technocrates réfugiés au fond de leur bunkers. Je pense que ni la croyance, ni le progrès, ni la technique ne nous sauvera de la bonhommie nous faisant vociférer sur le goût du café par un matin de novembre qui provoque justement l’agrandissement cette incommensurable éternité bâtie sur fond de pétrole et de béton garnis de magasins et leur parkings. Il n’y pas d’issue et quand il y a pas d’issue, la mort construit ses stratégies avec ou sans infini...



  • Frimas Frimas 22 août 2018 17:39

    @Macondo
    Si le moment adviendrait pour une éventuelle publication, je sais où vous trouver. Merci à vous. L’expansion est ce Tout nécrosé que nous sommes contraints d’accepter d’une sourde voix tout en lui refusant son utilité anthropologique car ceci n’a rien d’humain, c’est-à-dire plus admiré sous un libre-arbitre consciencieux de ce qui est sensible et non paternalisé par le sur-moi économique et son écrasant dispositif à faire perdre tout espoir de guérison mentale même au plus malchanceux. Je vois tout les jours s’effondrer les regards joyeux d’une vie à la campagne où les enfants font l’exemple de leur monumentalité future et leur capacité à pouvoir cultiver quelque poireau ou poivron. Aujourd’hui nous sommes contraints de leur individualiser leur sort par l’autorité marchande et de leur asperger par le regard chimique et j’y comprends plus rien. Le bien pire dans la chronologie qu’on continue à dessiner de vive main, c’est que les brèves aventures qu’on interprète sous les lumières des néons exhibant cette inoffensive physionomie du monde contemporain d’être seulement l’intelligence technique de l’être humain qui ne comprend plus rien de ses créations et qui commencent à devenir autonomes. Les cauchemars se poursuivent et le bureau appelle à la décence malgré le fait que la pointeuse à déjà proposé à la médiocrité de se pointer. Je vous le dis sincèrement, je me lasse immanquablement de ces tonnages de commentaires où l’on exhibe l’argumentaire « qu’il faut bien faire avec » et qu’il faut évidemment occuper les enfants non pas avec des paroles, d’une communauté ou ne fut-ce que du repos, non ! La tablette que ces maîtres névropathes élaborent derrière des portes scellées est appelée à l’achat, ouvragé quelque part là-bas où on se suicide par milliers. La domination de la civilisation aura atteint son paroxysme une fois que le dernier désordre sera archivé sur papier avec des tampons tel les porcs qu’on numérote au service de la traçabilité avant de goûter à leur inconséquence en se faisant abattre pour nourrir une population malade de ses promesses. Que nos vies ressentent la douleur elle-même remodelée. Comme j’ai mentionné plus haut, mon fil d’écriture est placé sur cet autel : Il n’y a pas d’issue.