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Les commentaires de TToon



  • TToon 3 février 2009 13:31

    Il le ne me semble pas qu’il ait été évoqué les différentes castes de dynasties.

    Car ma foi, mettre dans le même panier medecin, boulanger, politique et acteur/chanteur, c’est tout de même faire insulte en tout premier lieu au médecin et au boulanger.

    Pour le boulanger, la culture existante du pain chez tout à chacun amène directement au couperêt : le pain du fils de est mauvais. Par ailleurs on peut éventuellement évoquer la transmission d’un réel savoir faire. Le père étant un bon boulanger, il y a de fortes chances que le fils le soit également. 

    Pour le médecin, la république amène un peu de lettre de noblesse à la dynastie. Les concours sont encore là pour assoir une certaine "valeur" au fils de. Même si évidement, la reproduction sociale y est pour beaucoup.

    Pour les acteurs/chanteurs, là, cela se gate. On pourrait comparer au boulanger, y voir une certaine transmission de savoir faire.

    Oui mais voilà, contrairement au boulanger, la plupart des gens sont dépourvus de la culture artistique nécessaire à la reconnaissance d’un bon acteur ou d’un bon chanteur. Des acteurs milles fois meilleurs de la fille de Balasko, il y en a plein. Pas sûr que ces acteurs puissent jouir de la reconnaissance qui leur reviendrait de droit.

    Dans le spectable, la formation du public vient du monde du spectable lui-même. Voilà certainement ce qui distingue ces aristocrates sans noblesse, comme cela était si justement dit plus haut, des dynasties de nos bien-aimée artisants bouchers de pères en fils : notre propension à reconnaître par nous même du vide intersidéral de leur situation. 







  • TToon 4 novembre 2008 17:38

    hoooooula, excusez moi pour ces redites. Je ne sais pas ce qui c’est passé



  • TToon 4 novembre 2008 17:35

    êtes vous bien certain mon cher Peripate de ne déposséder personne ? Etes vous vien certain que ce possesseur de 4x4 ne vous dépossède de rien.

    Il vous dépossède d’abord d’une partie de la pureté de l’air par son émission excessive de C02 par rapport à la moyenne des émissions par exemple. 

    D’une manière générale, toute possession superflue vous dépossède au final d’une part de votre humanité car ce superflu, transformé en espèce sonnante et trébuchante, serait mieux dans le porte monnaie de moins nantis que vous, et dieux sait s’il en existe. 

    Quelques choses me turlupine chez vous. En tant que libertarien ne devriez vous pas avoir une part de Diogène de Sinope en vous et donc vouer au gémonie toute entrave à la liberté, et plus particulièrement celle qui vous oblige à consommer au delà du nécessaire. 




  • TToon 4 novembre 2008 17:31

    êtes vous bien certain mon cher Peripate de ne déposséder personne ? Etes vous vien certain que ce possesseur de 4x4 ne vous dépossède de rien.

    Il vous dépossède d’abord d’une partie de la pureté de l’air par son émission excessive de C02 par rapport à la moyenne des émissions par exemple. 

    D’une manière générale, toute possession superflue vous dépossède au final d’une part de votre humanité car ce superflu, transformé en espèce sonnante et trébuchante, serait mieux dans le porte monnaie de moins nanties que vous, et dieux sait s’il en existe. 

    Quelques choses me turlupine chez vous. En tant que libertarien ne devriez vous pas avoir une part de Diogène de Sinope en vous et donc vouez au gémonie toute entrave à la liberté, et plus particulièrement celle qui vous oblige à consommer au delà du nécessaire. 




  • TToon 4 novembre 2008 17:30

    êtes vous bien certain mon cher Peripate de ne déposséder personne ? Certes le possesseur du 4x4 ne vous dépossède de rien.

    Il vous dépossède d’abord d’une partie de la pureté de l’air par son émission excessive de C02 par rapport à la moyenne des émissions par exemple. 

    D’une manière générale, toute possession superflue vous dépossède au final d’une part de votre humanité car ce superflu, transformé en espèce sonnante et trébuchante, serait mieux dans le porte monnaie de moins nanties que vous, et dieux sait s’il en existe. 

    Quelques choses me turlupine chez vous. En tant que libertarien ne devriez vous pas avoir une part de Diogène de Sinope en vous et donc vouez au gémonie toute entrave à la liberté, et plus particulièrement celle qui vous oblige à consommer au delà du nécessaire. 




  • TToon 4 novembre 2008 17:02

    Honnêtement, même si nous ne sommes pas du même bord, je vous aime bien le Peripate. Très souvent un plaisir de vous lire.

    Bref votre commentaire amène sans doute à se questionner sur le sens de la "propriété des fruits de son corps" et nous rejoignons alors l’éternel débat sur la valeur des choses.

    Car posséder un téléphone portable dernier cris, les dernières chaussures à la mode ou encore la dernière montre, n’est certainement pas à mettre sur le compte de la propriété des fruits de son corps, mais l’appropriation par un déséquilibre économique et social des fruits des efforts d’autres corps, à savoir les corps de celles et ceux qui travaillent pour une bouchée de pain à l’autre bout de la terre pour la satisfaction immédiate de notre envie de posséder.

    L’avoir se définit ici donc plutôt comme un axiome matérialiste, axiome matérialiste comme unique référent moral, comme unique définition social de l’être.

    Nous ne parlons donc certainement pas du même "avoir" ou bien il convient ici de définir plusieurs catégories sur la base desquelles il sera possible de discerter.



  • TToon 28 octobre 2008 14:07

    Excellent commentaire qui pointe fort justement la lacune des libertariens, je vous cite :

    "Sémantiquement, le libéralisme est plus proche de la franchise (franc de = ne pas payer, ne pas partager, être indépendant) que de la liberté."

    J’ajouterais pour ma part que je ne sens pas le peuple français ancré dans l’idéologie communiste. 

    Je dirais plutôt que sa conscience des inégalités et sa grande défiance des puissances économiques et politiques le conduit à aspirer à une politique violente de lutte contre les inégalités. 

    De bout en bout de son histoire, le peuple français a du faire couler son sang pour obtenir le bout de pain destiné à lui remplir le ventre. Ce peuple a bien conscience que jamais les "grands" de ce monde n’ont dénié adopter la plus minimale des humanités lorsqu’ils avaient les coudées franches pour le faire (nobles, grands industriels du XVIII-XIX).

    Plus que tout autre, le peuple français pense que son humanité, à savoir son droit à être heureux car libéré de la faim qui lui taraude le ventre, le froid qui lui gêle les doigts et l’obscurentisme qui endore sa conscience, ne peut qu’être arraché violemment des mains des puissants dont l’inclinaison naturelle est à la deshumanisation des faibles.

    En cela, le peuple français trouve écho dans le marxisme qui prône la lutte des classes et la violence comme seul outil à la disposition des miséreux pour obtenir un peu de gras.

    Et force est de constater que le libertarianisme va à l’encontre de ce que le peuple français ressent au plus profond de ces entrailles.

    Laissez libre court à la "franchise", et vous donnerez un blanc seing aux puissants pour recommencer une nouvelle feodalité.

    Dans tous les cas, je ne lance pas la pierre au Peripate. Il me fait penser à un bon gros bisnounours au pays de Candy. Pour lui, laisser les hommes libres d’agir, et le soleil brillera.

    Malheureusement, chèr Peripate, la terre c’est pas le pays des stroumpfs mais celui des gargamels. Seul un bon de roundhouse kick à la chuck norris dans la face des gargamels a permis au stroumpf "crêve la dalle" d’avoir un peu de miettes dans sa gamelle.



  • TToon 10 octobre 2008 15:47

    Source sérieuse le LEAP. Ils ont prévu la crise depuis 2006.

    Par ailleurs vous vous gaussez qu’untel ou untel n’ayant pas travaillé dans les retraites ne peut connaître et encore moins prospecter. La spécialisation des domaines économiques est donc telle selon vous que seul un spécialiste du domaine est à même d’appréhender les problèmes inhérents à celui-ci.

    Soit. J’admets volontier la technicité.

    Mais dites-moi, êtes-vous un spécialiste dans les autres domaines économiques, comme celui des dérivés par exemple ? Etes-vous un spécialiste également des mécaniques de financement à court terme ?

    Bah non, vous êtes un spécialiste des retraites.

    Donc vous ne savez pas quels va être l’impact de la crise actuelle puisque vous n’etes pas une spécialiste dans tous les domaines aujourd’hui touchés.

    Donc finalement, vous n’en savez pas plus que nous. 




  • TToon 10 octobre 2008 13:52

    "Le vrai problème ici n’est pas la retraite par capitalisation mais le fait que pendant longtemps les américains ont placés de la thune dedans en quantité insuffisante. Qu’arrivés à la cinquantaine ils se sont dit : "y’a pas assez de thune sur le fond d’investissement", donc on va rester en risque parce que sinon on aura une retraite de merde. Vrai ! Mais quand dans le même temps ils fesaient exploser les ventes de 4x4 et le crédit conso on peut se dire qu’ils ont grandement manqué de jugeotte. D’ou cette poursuite d’un rendement illusoire des boites. Les 10% de rendement étaient la condition obligatoire pour que des gens qui sous-investissaient dans leur plan de retraite puisse en avoir une. Le miroir aux allouettes a bénéficié à l’économie mais maintenant ce sont ces mêmes futurs retraités qui vont se retrouver obligés de travailler plus longtemps."

    Merci pour ce plaidoyer pour la retraite par répartition. En effet livrés à eux même les gens font n’importe quoi.

    Merci finalement pour ce plaidoyer contre le système libéral.

    Comme quoi on est bien d’accord. L’état doit organiser les grandes lignes économiques pour que de simples appels à la déraison consummériste emporte le naufrage du bateau.



  • TToon 7 octobre 2008 22:31

    Tout ca pour dire que vous invoquez vos forces obscures comme nous invoquons les notres.

    Nous avons malgré tout une avance sur vous : sachant les hommes, ou à tout le moins suffisamment d’entre eux, avides et cupides, nous pensons que l’autorégulation n’est qu’une vaste fumisterie ne servant que les plus forts. Le libertarisme n’est finalement qu’un état de nature édulcoré mais un état de nature tout de même. 

    Il faut donc que l’état intervienne pour donner les grandes lignes et surtout ne pas titiller ce qu’il y a d’enfant en chacun d’entre nous : l’assouvissement immédiat de nos désirs.




  • TToon 7 octobre 2008 21:19

    Il est dans la nature de l’économie capitaliste que, en dernière analyse, l’emploi des facteurs de production ne vise qu’à servir les désirs des consommateurs. En affectant la main-d’œuvre et les biens du capital à certains usages, les entrepreneurs et les capitalistes sont obligés, par des forces auxquelles ils sont incapables d’échapper, de satisfaire les besoins des consommateurs dans la mesure où le permet l’état de la santé de l’économie et celui la technique. Ainsi, l’opposition faite entre la méthode capitaliste de production, qualifiée de production pour le profit, et la méthode socialiste, dite production pour l’usage, est totalement trompeuse.

    Quelle démonstration !

    Et sinon cette incantation, elle peut aussi servir pour faire pleuvoir des saucisses dans le sahara ? Et surtout, elle peut faire pleuvoir des knackis ? Parce que moi j’adore les knackis.



  • TToon 3 octobre 2008 17:40

    Mon cercle est loin d’être fermé. Figurez vous que je ne suis pas du serail.Comme vous je viens de la filiaire scientifique (doctorat en physique). Comme vous j’ai rencontré des gens avec qui je ne partageais pas du tout le même point de vue quant à l’art , donnant lieu à des débats animés mais fructueux. Mais de là à jeter l’anatème sur les filières éducatives artistiques, il y a un pas.

    On pourrait également, par sophisme déplacé, dire que les étudiants en science sont généralement que trop peu cultivés et très fermés d’esprit, avec un gros poil de poujadisme. Mais je dis ca, je ne dis rien. 



  • TToon 3 octobre 2008 17:36

    Des cons il y en a partout. Faire une généralité de particularités, cela s’appelle un sophisme par généralisation invalide.

    Plutôt que de vous lancez dans une telle diatrive, vous auriez mieux fait de souffler un bon coup.



  • TToon 3 octobre 2008 17:22

    Et ce Picasso. Quel con avec sa période académique (http://www.fotos.org/galeria/data/523/medium/31895-Premiere-communion-pablo-picasso.jpg).

    Sans parler de ce Georges Braque et ses études aux beaux arts. Des comme çà, il y en a plein.

    Je pencherai plutôt pour un artiste sans talent s’étant fait rabrouer pour des mecs qui en connaissent un peu plus que lui et qui lui ont dit que ce qu’il faisait était de la daube. Il en garde une rancune tenance.

    C’est marrant parce qu’on retrouve exactement le même type de discourt en photographie. Plétord de mecs viennent vous voir avec leur photo de chat, bébé et autres couchés de soleil niaiseux. On leur dit gentiment que ca n’est pas bon et qu’il faut s’exercer à la technique la plus élémentaire pour progresser. On parles même pas de culture photographique. Et ben, figurez vous qu’ils s’arqueboutent les bougres en beuglant sur l’inutilité de la techniqe et la quintesce de l’inné devant l’acquis. Bah, je veux bien, mais ca reste tout de même mauvais.



  • TToon 30 septembre 2008 15:54

    Aucun problème de compréhension pour moi. Mais bon, d’un autre côté, j’suis vachement intelligent. 



  • TToon 17 septembre 2008 17:07

    Pallas, je sens en vous le résistant s’étant engagé avec force contre l’oppresseur dès 46. En effet, chasseur de pauvres, je sens malgré tout dans votre phrasé un manque d’éducation flagrant vous filiant à la classe populaire.

    Qui êtes vous donc ? Peut-être un petit artisan, fils d’ouvriers, d’employés ou d’agriculteurs, qui a trimé toute sa vie en pestant contre ces parasites de pauvres responsables de toutes les taxes ayant ponctionné jusqu’à la dernière goutte de votre sueur. 

    Rejetant avec haine la classe dont vous êtes issus, vous y voyez la source de tous vos malheurs. Cette haine, vous portes sans doute à bout de bras. Sans elle, la vacuité de votre vie vous apparaîtrait sans doute avec trop de force.

    Pour l’instant, vous n’encontrez pas de difficultés infranchissables. Mais il suffira que vous soyez touché dans votre chair, si vous avez des enfants et petits enfants, ou dans votre bourse par la spolliation finale de votre retraite, capitalisée ou non, pour que vous entriez en résistance. Mais, il sera alors trop tard.

    Voyez vous, on naît pauvre, on le devient parfois, mais jamais on ne le souhaite. Plutôt que de vous en prendre à cette classe, à votre propre classe, tournez votre haine vers les vrais coupables, tous ceux qui, exploitant sans vergogne la misère, permet à celle-ci de prospérer, induisant par là, soit les taxes qui vous font horreurs, soit le délitement de la société par le refus de solidarité. 




  • TToon 12 septembre 2008 16:44

    Quand bien même cela serait le cas, l’excitation de la violence et l’appel aux bas instincts ne peut être que l’oeuvre d’homme restés enfants.

    La mort est souvent au bout du chemin mais rien de justifie d’en faire l’apologie.



  • TToon 12 septembre 2008 15:15

    Guerre, sang, violence, destruction, terrorisme,...

    Ne cherchez pas ici l’espoir, la solidarité, la fraternité, l’amour.

    Non juste des larmes et de la douleur. Uniquement la promesse de corps broyés et déchiquetés par des seigneurs de guerre dominés par la colère et la haine.
     
    Ayons en cet instant une pensée pour ces hommes de bonne volonté qui se sont battus avec conviction contre la violence et la guerre. Ayons une pensée pour ce pasteur noir américain voué au perpétuel assassinat.




  • TToon 28 août 2008 15:28

    Notez que je ne juge pas ici vos convictions. Combien même votre rhétorique serait bonne, votre tribune n’en demeure pas moins un sophisme car vos prémisses (ici la nation) n’ont pas été définis avec suffisance.

    Rien ne sert donc de discuter de la logique du discours quant l’axiome de départ est sujet à caution. Les attaques dont vous faites l’objet sont d’ailleurs dirigées en ce sens.

    Définissez vous sémantiquement le terme nation. N’y chercher pas une définition universelle qui n’existe pas. Et partant de là, exposer la, et dérouler votre rhétorique sur la base d’une définition offerte à tous. 




  • TToon 28 août 2008 15:01

    Sans morgue aucune, force est de constater que le concept de nation sur lequel se base votre tribune n’a pas été défini.

    Certains posts précédents pointent à propos que l’absence d’une définition claire de ce que vous concevez sémantiquement comme une nation.Certains soulignent également avec justesse la confusion qu’il ressort de vos propos entre nation et nationalisme.

    Le terme "nation", même s’il est l’objet de débats depuis des millénaires, reste un objet linguistique aux contours sémantiques flous. Doit-on y voir une signification antique se référant à une zone géographique, moderne lorsque l’on y voit une construction politique, positive à l’italienne, négative à la belge ? Parle-t-on de l’état nation et/ou de son peuple... Voyez vous le débat est bien loin d’être clos, y compris aujourd’hui. 

    Vous pourrez voir que j’use et abuse du terme de sémantique. Ici une boutade de ma part tant le premier principe de la sémantique est d’énoncer que "la carte n’est pas le territoire". Comme quoi...

    Personnellement, j’aime voir dans le terme de nation est définition purement factuelle, dénuée de toute idéologie, une somme de critères ojectifs communs à des êtres que sont : la culture, la langue, la spiritualité, et l’aspiration politique. 

    Voyez vous selon ma définition (je dis "ma", bien évidemment elle n’est pas de moi) vous ne pouvez pas renier votre nation : vous avez une culture, une langue, une spriritualité et une aspiration politiques qui forgent votre identité "nationale".

    Comment donc pourriez vous renier ces caractéristiques qui définissent votre moi profond ? Mis à part le lavage de cerveau, je ne vois pas.

    Bref, ne pas définir ce que signifie sémantiquement pour vous le terme "nation" rend ipso facto vos propos fort peut clairs et sujet à caution.