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Les commentaires de pragma



  • pragma 31 mai 2009 17:35

    L’Algérie est aussi, me semble t’il, un pays riche peuplé de pauvres.
    Enfin...sauf les responsables militaires et politiques.
    Le pétrole et le gaz y sont exploités par des compagnies dites nationales.
    On ne peut pas dire que La France y tire bien des ficelles, de nos jours.
    Mais la Chine s’en occupe !
    Bizarre : on n’en parle pas.



  • pragma 11 mai 2009 14:16

    L’auteur feint de ne pas voir de différence entre un travail et un emploi.

    L’emploi, c’est l’inscription sur une liste de personnel, qui permet de recevoir à échéances régulières une rémunération, sous une forme ou sous une autre.
    En principe, la rémunération est la contrepartie d’une prestation de service, autrement dit d’un effort physique ou intellectuel, d’une présence active à un poste, et du respect de règles du jeu d’un groupe : une fonction effective et un travail.
    Mais le principe n’est pas généralisé, et on observe de plus en plus de personnes qui n’ont retenu que l’aspect rémunération, qui ne fournissent que peu ou pas de travail et qui considèrent qu’ils ont une rente à vie que la société se doit de leur délivrer, sans qu’ils prennent le moindre risque.

    Chacun aura des exemples...

    Le niveau d’études n’y est pour rien, d’ailleurs.
    Le système français veut que les diplômes acquis dans sa jeunesse soient déterminants pour la vie entière - dans le milieu public tout au moins -.
    Il est donc des gens qui ne f...rien, mais qui touchent peu, d’autres qui n’en f... pas davantage, et qui s’en mettent plein les poches.



  • pragma 8 mai 2009 10:47

    Limitation des mandats : oui
    La politique ne doit pas être une profession et se présenter comme une carrière.
    Trop d’égo, de besoins de pouvoir, de griserie de l’argent public...

    Une remarque : suivant les périodes, entre 50 et 60% des parlementaires sont issus de la fonction publique, ce qui est déjà anormal en soi. Si d’aventure, ils ne sont pas réélus ni recasés par le pouvoir en place, ils retrouvent leur poste, ou tout au moins leur rémunération, sans même avoir perdu d’avantage lié à l’ancienneté. Parachute doré !
    Et si on les obligeait à démissionner de la fonction publique, s’ils sont élus ?
    Les représentants du privé ne sont pas certains, loin de là, de retrouver un emploi, et sont contraints souvent de repartir de zéro. Cela explique probablement que le non fonctionnaire y regarde à deux fois avant de se porter candidat !

    Quand au Tribunal des flagrants délits de mensonge, il aurait du boulot ! L’hypocrisie est une constante dans le monde politique, où on s’assoit sur ses promesses comme sur ses électeurs...



  • pragma 16 avril 2009 18:42

    c’est en fait Cetelem...la BNP
    Et il ne fait pas bon critiquer leurs pratiques : articles et commentaires à la trappe sur AV !
    Liberté d’expression, quand tu nous tiens...



  • pragma 21 mars 2009 09:54

    Ah le bon temps où l’on disposait d’une presse objective, de journalistes chevronnés, de lecteurs fidèles et obligés, de publicité par des crieurs de rues !
    Souvenez-vous... l’Humanité, organe intégré du parti c... qui se chargeait de penser pour le citoyen !



  • pragma 18 mars 2009 10:25

    Quel grand mot, la culture !
    Quel alibi pour distribuer force subventions un peu partout, pour entretenir - c’est le mot- une majorité de soi-disant créateurs, et pour engraisser indirectement quelques hauts fonctionnaires et grands groupes de communication !
    Accessible, la culture ?
    Essayez donc d’obtenir, dans les grandes villes, une place à un concert de vraie musique, ou à un opéra ! S’il y a encore de la place, le prix en est véritablement repoussant !
    Et les places prises le sont par des "personnalités" qui n’ont pas payé, ou qui ont eu les moyens de s’offrir ou de se faire offrir des abonnements à l’année hors de prix !
    Ce cher Jack Lang, au sens financier du terme, aura fait en sorte que le livre reste cher, lui aussi, et aura créé ce formidable défouloir, négation même de la culture, qu’est la Fête de la Musique.

    Au fait, quand on voit la gabegie qui est la caractéristique principale du ministère de cette culture, et l’inutilité patente de nombre de ses services, ne pourrait-on pas simplement envisager de le supprimer ?



  • pragma 4 mars 2009 16:50

    D’un autre ignorant de base, une interrogation : à l’actif des bilans, on évalue les valeurs financières détenues, au même titre que les immobilisations en dur, bâtiments et équipements, par exemple.
    Sauf erreur, depuis quelque temps, on les évalue à leur "prix de marché", mark on market, because les normes IFRS d’origine anglo-saxonne, lesquelles étaient bien mieux, évidemment que les valorisations historiques ringardes précédemment utilisées.
    Prix de marché=prix auquel se réalisent les transactions, c’est à dire fortement variable par définition, et par ailleurs souvent virtuel, puisque l’on ne sait absolument pas, concrètement, ce que l’on a acheté.
    Me trompe-je ?
    Et quelle va être la tête des bilans, des résultats, moins values passées ?
    Du boulot pour les Tribunaux de commerce, les liquidateurs, et les vautours qui trépignent !
    Accessoirement, à quel niveau vont se situer les rentrées fiscales sur les BIC, Madame Lagarde ?



  • pragma 28 février 2009 20:51

    D’après vous qui a mis le feu au Parlement de Bretagne ?



  • pragma 28 février 2009 20:35

    Soit...
    Retournons au seau hygiénique !
    Attendons qu’un maire ait réussi à vendre cette idée à ses administrés... et soit réélu, car il faudra bien 2 ou 3 mandatures !
    On verra après !
    Quant à la sciure de bois, avec quoi va t’on se chauffer ?



  • pragma 27 février 2009 14:23

    Il est probable qu’aucune solution ne sera parfaite, et qu’il se trouvera toujours des arguments pour défendre telle ou telle exception culturelle, économique et politique.

    On peut toutefois être certain que seront les deux pieds sur le frein tous ceux dont les postes, et donc les revenus, risquent d’être mis en cause.
    Au diable les raisonnements liés à l’efficacité de telle ou telle organisation : ce qui intéresse surtout ceux qui parleront, ce sont leurs salaires, leurs indemnités cumulées ou non, leur titre aussi, leur fromage personnel, en somme. Petits et gros avantages qu’ils se sont concoctés ensemble, au mépris du contribuable...
    Il est bien connu que certaines instances régionales ou intercommunales, surajoutées au système précédent, sans en fixer clairement les responsabilités, ne servent à rien. Sauf à coûter !

    Mais, pendant ce temps là, perdurent 36000 communes, exception hilarante, vu de l’étranger...
    36000 maires, censés tout savoir, être responsables au premier degré du nid de poule sur une chaussée.
    Bizarre : on n’en parle pas, dans le rapport de la commission des ancêtres...
    Il est vrai qu’il est des nids bien plus élevés et plus nobles !



  • pragma 27 février 2009 13:55

    Bravo !
    Pas encore vu...
    Plusser son propre article ! C’est du Tibéri, du grand art !

    Sur le fond, s’il y a un fond, sachez que le citoyen veut un lycée dans sa propre rue, sinon, il considèrera que le peuple n’est pas entendu !
    Vous ne proposez qu’une mesurette : un lycée par village, pensez donc !



  • pragma 23 février 2009 14:39

    Les sursalaires et avantages fiscaux accordés aux fonctionnaires, surtout quand ils concernent un tel pourcentage de la population, sont assimilables à des subventions.
    Et il est bien connu qu’une subvention entraine automatiquement des jalousies entre corporations, et surtout des hausses de prix de marché...
    Par exemple, croit-on vraiment que les loyers seraient ce qu’ils sont, sans l’allocation logement  ?
    Aucune subvention ne devrait être durable...
    Mais nous sommes dans le pays des avantages acquis, peu importe si la cause d’un coup de pouce un jour accordé, a disparu depuis longtemps !
    Le syndrôme de la prime d’escarbilles pour les cheminots est typique...Mais, heureusement, la SNCF ne sévit pas en Guadeloupe !



  • pragma 21 février 2009 14:44

    Il convient probablement d’être prudent sur la réalité des paroles de l’illustre septimaniaque, et sur le contexte dans lequel elles ont été extraites...
    Mais, sur le fond, il s’agit très probablement de comportements personnels effectifs du plus grand nombre de nos politiques actuels...Objectif : se faire réélire, peu importe la sauce !



  • pragma 20 février 2009 11:46

    Quand on répand, volontairement, au vu et au su de tout le monde, des informations personnelles, on ne doit pas s’étonner que certains malins veuillent s’en servir !
    Fesse-bouc et bien d’autres enrichissent les bases de données sur les plus naïfs !
    Si on parlait de la responsabilité de chacun, au lieu de considérer que la société doive tout régenter ?



  • pragma 15 février 2009 09:45

    Tout à fait d’accord avec cette opinion d’un journaliste qui semble connaître le milieu et ses contraintes.

    Nombre d’ universitaires, imbus de leurs diplômes obtenus depuis de nombreuses années, ont véritablement du mal à comprendre qu’il existe un monde vivant, en dehors de leur marigot, et que ce monde peut avoir des niveaux de compréhension théorique très diversifiés, et en tous cas différents des leurs. L’humilité est rare, chez ces messieurs de l’université !

    Je ne suis pas partisan, loin de là, de certaines méthodes journalistiques de recherche permanente du scoop, du micro-trottoir basique et non filtré, et de la dictature de l’Audimat.
    Mais il faut bien reconnaître que l’information du citoyen est nécessaire, qu’il faut y employer des mots et des synthèses compréhensibles, et que l’ésotérisme quasi permanent de France Culture, radio des élites universitaires, n’est pas très accessible...

    Le dit citoyen a des enfants, qui peut être sont amenés à aborder les études supérieures ; il a besoin de comprendre un peu le système, pour les conseiller au mieux. 
    Déjà échaudé par ses constats quant à l’efficacité relative du service de l’Education Nationale, dans le secondaire, il n’a que faire des états d’âme et des carrières des enseignants du supérieur.
    Il ne comprend d’ailleurs absolument rien à tous ces sigles et barbarismes avec lesquels jouent avec hauteur tous ces initiés. Il comprend simplement qu’ils sont anti-tout ce qui touche à leur statut.
    Il veut que ses enfants reçoivent une formation solide, avec des profs présents et compétents, et surtout des perspectives d’avenir professionnel.

    Faut-il rappeler que les universités devraient aussi former des adultes compétents, adaptés à l’environnement économique réel, et qui puissent être autre chose que professeurs d’université ?

    Aux journalistes, donc, de donner la parole à ces Français inquiets pour leurs gosses...




  • pragma 13 février 2009 13:30

    L’AFSSA est un organisme public dépendant du gouvernement, donc, si j’ai bien compris, il est à la solde du pouvoir !
    En conclusion, tout ce qui est sous le contrôle de l’Etat est critiquable, par définition, surtout si les avis qu’il émet sont contraires à ses propres opinions.
    Tous les fonctionnaires sont donc des vendus.
    Etonnant , non ?



  • pragma 13 février 2009 13:17

    Nul doute que l’auteur aurait fait bien mieux que Carlos Ghosn, si quelqu’un l’avait sélectionné à sa place à l’époque... Mais a t’il fait acte de candidature ?



  • pragma 30 décembre 2008 12:23

    L’article du poète est plutôt lourd...
    Le commentaire sera court, lui : et alors, que proposez-vous, concrètement ?



  • pragma 21 novembre 2008 15:50

    Nous sommes le pays du don obligatoire, via les prélèvements sociaux.

    Générosité imposée, qui dégoûte vite celui qui entreprend, à ses risques et périls, qui peine à joindre les deux bouts et voit ce que l’on fait, dans certains cas, de l’argent qu’on lui a ponctionné.

    Nombre d’associations, sous couvert d’activités artistiques, sociales ou humanitaires plus ou moins fumeuses, pompent des sommes phénoménales à l’état et aux collectivités, et cela de manière récurrente.
    Toute baisse de subvention, d’une année sur l’autre, est ressentie comme attentatoire à leur bien-être, et fait l’objet de pressions monstres sur les élus : gare aux prochains scrutins !

    Les élus ont le pouvoir de distribuer des postes rémunérés, soit dans la fonction publique ou territoriale, soit dans les commissions ad-hoc, soit dans les associations subventionnées (cela étant censé être plus discret). Ce n’est pas de l’enrichissement personnel, mais c’est le moyen de remercier les copains politiques, syndicaux qui ont bien voté, quand ce n’est pas purement les copains personnels...
    Et cela ne se produit pas qu’en Corse ou dans les DOM-TOM, territoires qusi mafieux qui détiennent le pompon mais vont bientôt se faire rattraper !

    Pourquoi les associations ne sont-elles pas mieux contrôlées, sur leur activité réelle, sur leur efficacité, sur leurs finances ? L’histoire de l’ARC nest pas une exception ! Voyez l’ARChe, plus récemment.
    Les petites entreprises croulent sous les tracasseries administratives, certaines associations font ce qu’elles veulent et ne sont jamais sanctionnées. Pourquoi ?
    Pourquoi, sur un million d’associations (là nous sommes les champions) un bon tiers est quasiment en sommeil depuis plusieurs années, dans une situation administrative de flou intégral ?

    Comment ne pas comprendre que le citoyen puisse devenir un peu moins naïf, et réagir avec circonspection à ces appels à la générosité marketisés qu’il trouve cahque jour dans sa boîte à lettres ?

    Le citoyen français est probablement aussi généreux que ses voisins. Mais il voudrait bien qu’on le "tape" un peu moins, et qu’il puisse donner à qui il veut avec la certitude que son effort financier ira au bon endroit.





  • pragma 14 novembre 2008 19:54

    Hétéroclisme ?
    De quoi enterrer la bravitude...