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Les commentaires de Nometon



  • Nometon Nometon 24 février 2011 09:58

    A lire à ce sujet, la tribune du chercheur Delphine Perrin dans Libération dont je reproduis ci-dessous deux courts extraits.

    "Ces gouvernements européens, aujourd’hui ostensiblement scandalisés, négocient avec Kadhafi depuis 2008, dans la plus grande opacité, la conclusion d’un accord global qui comprendrait notamment l’engagement de la Libye à réadmettre ces migrants plus systématiquement.« 

     »Cette révolte du peuple libyen et la médiatisation de sa répression démesurée permettent aujourd’hui de révéler au grand jour le cynisme sans borne des gouvernants européens."

    Sarkozy et Berlusconi forment le triste et cynique tandem qui a promu cette politique en Europe.

    Force est de constater que Sarkozy a ruiné, en trois ans, la politique étrangère de la France auprès des pays arabes. Durant des décennies, la France parlait à ces pays et les écoutait, cultivant un ton et une place qui la distinguait des autres pays occidendaux.
    En trois ans, Sarkozy a mis en pièce cet héritage, lui substituant une diplomatie de l’intérêt immédiat, de la fausseté et du clinquant, digne des magazines people qui lui offrent, à n’en pas douter, ses inspirations.

    Le seul moyen de rendre ne serait-ce qu’une dignité à la parole de la France, c’est de virer ce petit sire et sa bande.



  • Nometon Nometon 11 février 2011 00:56

    La Turquie fut un modèle pour Hitler.
    Au milieu des années 30, alors qu’il planifiait le génocide des juifs et qu’il le présentait à des généraux, Hitler balaya les questions et les réticences en disant : « Qui se souvient des arméniens ? » 1,5 million de civils arméniens sont mort en 1915. Leur génocide, qui inspira Hitler, fut organisé et perpétré par les Jeunes Turcs et toute la machine policière et militaire de la Turquie d’alors. Modèle sordide s’il en est !

    La Turquie est aussi un modèle de négationnisme d’Etat, ayant institué depuis le début des années 80 une véritable politique de communication, une propagande en bonne et due forme visant à remettre en cause la vérité historique du génocide des arméniens et à tenter de semer le doute dans l’esprit des populations occidentales. La négation, puis le négationnisme, modèles qui ont su inspirer l’extrême-droite française !

    La Turquie est enfin un modèle de Realpolitik et de servilité pro-américaine, constituant un bastion de l’Otan dans le caucase. Le pays est un point de passage entre le Moyen-Orient, l’est et l’Europe. Les Etats-Unis et le Royaume-Uni ont toujours eu partie liée avec la Turquie, aussi bien à l’encontre de l’Europe que de la Russie. Et le dernier « coup » de cette politique désastreuse fut bien la candidature de la Turquie en Europe, laquelle, si elle n’avait tous les peuples européens contre elle, eût jeté l’Europe politique, déjà bien mal en point, dans une poubelle de l’histoire.

    Les peuples tunisien et égyptien qui se battent pour leur liberté, n’ont nul besoin de modèle et encore moins de celui de la Turquie ! S’ils se battent, ce n’est pas pour emprunter une autre voie, c’est pour choisir la leur.



  • Nometon Nometon 9 février 2011 12:44

    Et mille et une fois d’accord avec les commentaires de Philou017, y compris ses quelques critiques concernant le choix des questions.



  • Nometon Nometon 9 février 2011 12:40

    Mille fois d’accord avec Gaspard Delanuit.

    Il y a beaucoup de z(h)éros sur ce fil qui conspuent Julien Assange avec une la rage et la jalousie des impuissants, de ce qui ne font rien et déversent la bile de leur néant, de ceux qui salissent le courage quand il se manifeste sous leurs yeux, tout cela pour mieux geindre et pleurer, tout cela afin de démontrer que l’on ne peut rien faire, que les puissants dirigent tout, manipulent tout, tout cela, en réalité, pour légitimer la lâcheté de leurs résignations quotidiennes.

    Il suffit de lire Assange et ensuite les commentaires qui transforment immediatement ses propos, les détournent et les falsifient, pour voir toute la palette de la mocheté humaine.

    Assange est un homme, simplement un homme. Il apporte sa pierre, il se bat, il agit.
    Tous ceux qui demandent de lui des révélations en cascade sur tous les secrets du monde devraient plutôt se rendre dans une église. Là, il trouverait la « révélation ». Cette Révélation (avec un grand R) est, depuis des siècles, le plus éprouvé des mensonges.



  • Nometon Nometon 7 février 2011 15:12

    @ Littlewalter

    Parce qu’il est « douteux, dangereux et malsain » d’en savoir un peu plus sur ce dont parlent les diplomates et nos gouvernements dans leurs salons feutrés ?

    La diplomatie et ses émissaires existaient bien avant que n’existent des régimes démocratiques. Les diplomates servaient les rois et les puissants, excellant dans l’art de négocier des accords qui satisfassent beaucoup leurs intérêts et, un peu, parfois, les intérêts des populations. Bien des mauvaises habitudes ont été prises alors et persistent, aujourd’hui encore, derrière cette culture séculaire de conseillers du Prince.

    Il est grand temps que la diplomatie se mette à l’heure d’une démocratie ambitieuse, cette diplomatie de palais qui n’a absolument pas su prévoir la révolution tunisienne et la révolte égyptienne, et qui se satisfait si bien de couvrir les intérêts des grands groupes multinationaux. Il y a de grands hommes parmi les diplomates, mais il n’est tout simplement plus acceptable que d’autres, beaucoup moins admirables, conduisent la politique extérieure de nos pays sans en rendre de compte, hormis à nos gouvernements, lesquels ne rendent plus compte eux-mêmes de leurs décisions. Faut-il rappeler que les peuples européens étaient très majoritairement contre la guerre en Irak et que plusieurs gouvernements soit disant démocratiques (le Royaume-Uni, l’Espagne, l’Italie..) se sont engagés dans cette guerre par décision de ces gouvernements ?

    Ce qui est « douteux, dangereux et malsain », c’est la peur, la vôtre selon toute évidence, d’affronter un monde complexe, aux intrications multiples, un monde dur où la démocratie est bafouée régulièrement par des officines, des carriéristes politiques et des conseils d’administration.

    Le discours du secret est empreint de ce paternalisme puant, qui désigne les peuples comme de grands enfants incapables de comprendre les visées du monde, incapable de faire des choix de gouvernement, incapables, en clair, de s’administrer. Et auquel il vaut mieux cacher les décisions les plus sensibles. Ce discours est une négation pure et simple de la responsabilité citoyenne d’un individu et tout homme humaniste, tout homme progressiste, qu’il soit de philosophie socialiste, libérale ou anarchiste, devrait le fustiger pour ce qu’il est : le discours de l’obscurantisme.

    Bravo à Julian Assange, à Wikileaks. Honte aux hommes qui veulent détruire ou salir son combat.



  • Nometon Nometon 27 janvier 2011 15:03

    Parce que vous pensez réellement que la diminution des ressources en pétrole entraînera, sur la planète, la disparition des avions ?

    Cet article est à pleurer de rire...



  • Nometon Nometon 24 décembre 2010 14:57

    L’athéisme est une voie difficile, exigeante qui repose sur le courage de penser.
    La religion est une voie conformiste, dogmatique, qui repose sur la lâcheté de croire.

    Dans une démocratie, les deux voies sont ouvertes.
    A chacun de faire son choix (ou pas).

    Mais personnellement, le premier religieux qui vient me chatouiller les neurones en prendra gentiment pour son grade.



  • Nometon Nometon 17 décembre 2010 10:23

    "Je suis belle, ô mortels ! comme un rêve de pierre,
    Et mon sein, où chacun s’est meurtri tour à tour,
    Est fait pour inspirer au poète un amour
    Eternel et muet ainsi que la matière.« 

    (... tant votre propos résonne avec »La Beauté" de Baudelaire...)



  • Nometon Nometon 10 décembre 2010 09:36

    Aucune phobie contre Ségolène Royal. C’est bien vous qui êtes dans l’affect !

    En revanche, aucune envie qu’elle représente les forces de gauche. Royal est fondamentalement centriste. Si elle n’avait pas débuté sa carrière comme responsable de la com présidentielle alors que Mitterrand était au pouvoir, si le président de l’époque avait été à droite, elle serait aujourd’hui dans le camp adverse sans question ni regret, sans doute avec le nouveau centre ou une obédience de ce genre. La principale stratégie politique de Royal a été de vouloir un rapprochement avec le modem. Sa principale ambition politique, mis à part d’être élue présidente, est de faire disparaître le socialisme au profit d’un parti démocrate à l’américaine. Ses récentes déclarations envers DSK sont tout à fait dans cette ligne.

    Personnellement, je combats cette ligne politique. Il n’y a pas de phobie envers une personne (c’est d’ailleurs une attitude très sarkoziste de vouloir toujours tout ramener aux valeurs de l’individu). Il y a une résistance affirmée contre la droitisation rampante du principal parti de gauche, que Ségolène appelle de ses voeux et à laquelle elle travaille.



  • Nometon Nometon 3 novembre 2010 11:20

    Ségolène Royal rêvait de transformer le parti socialiste en parti démocrate à l’américaine.

    Pour y parvenir, elle a (eu) de nombreux soutiens, certains inattendus :
    - une partie de l’extrême gauche serait ravie de ce recentrage. Il confirmerait en effet la critique qu’ils font d’un PS pas assez à gauche et leur laisserait le champ libre à gauche.
    - une partie des socialistes centristes partagent activement ce rêve de Royal d’un parti démocrate à l’américain (Désir d’avenir les rassemble). Manuel Valls qui fut un soutien de Royal incarne également cette tendance.
    - les groupes financiers, les entreprises du CAC 40 et les entreprises de presse (qui leur appartiennent à 95%) usent de tout leur pouvoir pour anéantir définitivement le socialisme en France, à l’image de ce qui s’est passé, précisément, aux Etats-Unis d’Amérique au début du XXe siècle. Car à cette période, il existait un parti socialiste américain relativement influent, porté par la vague de migration d’européens (allemands, irlandais, polonais, italiens...) à la fin du XIXe.

    En clair, cela n’a jamais été un hasard si Royal a porté le fer contre le parti socialiste. Elle a, semble-t-il, nuancé sa position depuis un an, car le socialisme est plus vivace en France que ne veulent le dire les grands patrons de presse comme pas mal de rédacteurs d’Agoravox (étrange position commune). Royal sait qu’une alternative crédible serait très difficile sans socialistes. Elle aurait sinon depuis longtemps créé son propre parti.

    Aussi, dans cette période d’apaisement, je trouve curieux cet article qui fait resurgir ce vieux rêve destructeur que Royal a porté et qui n’a mené à rien, sinon qu’il a bel et bien failli détruire le PS. Il est facile, enfantin même, de porter la division. Bien plus ardu est le combat de l’union.
    Et toute la gauche a besoin d’union aujourd’hui. Les récentes manifestations et luttes syndicales contre le gouvernement-présidence Fillon-Sarkozy l’ont une fois de plus montré : la gauche doit trouver le moyen de s’unir, car unie, elle peut réellement faire basculer les néolibéraux cyniques qui nous gouvernent. La droite fera tout pour empêcher cette union. Malheureusement, il y aura aussi des gens de gauche pour aller dans ce sens. A eux de se regarder en face.



  • Nometon Nometon 23 octobre 2010 01:07

    Cher auteur royaliste,

    téléportez-vous donc à l’heureux temps de l’Ancien Régime où votre belle morale inquisitrice de catholique bien-pensant vous aurait valu prébendes et titres, ainsi que les honneurs des palais et des cours, des châteaux et de leur chapelle ! Mais surtout, de grâce, ne revenez pas ! Laissez donc vivre en paix les femmes et les hommes qui se sont battus durant des siècles pour l’émancipation de leur existence.

    Pour votre gouverne, mêmes les représentants du catholicisme au comité d’éthique français (qui a largement discuté des questions que vous abordez) ont reconnu que le foetus dans les premières semaines de son développement ne pouvait être considéré comme une « personne humaine » ! Votre argumentation n’est pas seulement passéiste, elle est crassement extrémiste.

    Alors, un effort : repartez en l’an de grâce 1486. Vous y trouverez une société bien plus conforme à votre morale de pacotille et à la bêtise de vos jugements. Et vous pourrez même brûler quelques sorcières, avec la bénédiction du pape et des évêques. Et puisse votre Dieu immanent vous garder de me croiser jamais !



  • Nometon Nometon 22 octobre 2010 13:24
    • "En consacrant le 1er budget de l’état à savoir l’éducation nationale soit 61 milliards d’euros en 2010 au remboursement de la dette l’état mettrait 27 ans à rembourser sa dette. En utilisant le budget de la culture, 3 milliards d’euros, l’état mettrait 545 ans à rembourser la dette.« 

    Le premier budget de l’Etat est l’aide aux entreprises. Le montant agrégé de ces aides était en 2008 de 68 milliards d’euros, dont plus de 65% au bénéfice des seules entreprises du CAC 40. Cette »dépense« n’apparaît pas dans les comptes analytiques puisqu’elle est ventilée sur de nombreuses lignes comptables. Par ailleurs, ces aides prennent la forme de dispenses fiscales, qui sont donc des »non-recettes« , lesquelles ne sont pas non plus apparentes dans le budget simplifié de l’Etat tel qu’il est présenté aux Français.

    Ce n’est donc ni le budget de la dette, ni celui de l’éducation qui est le premier poste de coût pour l’Etat (je parle de coût, et non de dépense, puisque par jeu comptable, il s’agit d’abord de non-recettes).

    Sur tous les points développés par l’auteur, qui sont autant de lieux communs de la doxa néo-libérale, un succédanée des propos de la droite va-t-en guerre (économique, ou pire), il y aurait chaque fois des arguments pour montrer à quel point la couleuvre est grosse et le mensonge dogmatique !

    Cher auteur, bien avant vous, j’ai travaillé dans le privé dans une fonction marketing. Je vous connais bien, pas personnellement, mais j’ai rencontré des dizaines de cerveaux tels que le vôtre, pétri d’une idéologie effarante qu’ils dispensent comme une vérité incontestable. Les cabinets de conseil et d’audit des grandes entreprises sont pleines de ces discours-là qui conduisent, sous couvert de prétendues contraintes incontestables, à délocaliser l’activité dans des pays à bas salaires, à titriser des valeurs opaques pour spéculer sur les marchés, à filialiser puis vendre les back-offices (là où se crée la valeur) pour présenter aux actionnaires des sociétés holding où seul subsiste le front-office (là où est comptabilisée la valeur)... en somme, à manipuler les chiffres et mentir, mentir sans honte ni regret puisque mentir permet de »faire" de l’argent.

    Dans votre cas, j’hésite pourtant. Peut-être croyez-vous vraiment à ce que vous racontez. Dans ce cas, je vous invite à la méfiance : d’autres, plus cyniques et lucides que vous, ne tarderont pas à vous manger.

    Bon courage.



  • Nometon Nometon 18 octobre 2010 14:50

    Cher Dupont et Dupond,
    Notre pays est malade, malade de ne pas donner suffisamment de moyens à la recherche et à l’industrie, malade d’un gouvernement affairiste et corrompu, malade d’une propagande de presse où les journalistes ont disparu face aux éditorialistes de salon et aux présentateurs de courbettes, malade d’être divisé en minorités égoïstes et exclusives, malades des propos réactionnaires des extrémistes de tout bord qui, gauche comme droite, disent en choeur : « rien ne changera jamais », malade d’avoir gobé couleuvres et boniments, malade d’une droite néolibérale qui organise les déficits publics pour détruire le système mis en place par le Conseil national de la résistance et pour privatiser tout ce qui peut l’être, malade de n’avoir pas toujours eu le courage de dire « non ! », malade de cette passivité qui se croit supérieure et que vous incarnez avec un cynisme écoeurant.
    Je vous laisse à votre cynisme. Il ne mène à rien. Votre joie consiste à démobiliser les autres, à les désenchanter, à les « prévenir » de jours meilleurs ? C’est une joie sénile. Une joie d’aigri. La joie de l’impuissance.

    p-s : Vous m’affublez d’un « lyrisme de supermarché ». Cela doit faire bien longtemps que vous n’avez pas mis les pieds dans un supermarché. On y trouve de tout, tous les produits qui se vendent, du frais et de la conserve, mais du lyrisme ? Vraiment, je vous invite à faire vous-mêmes vos courses. Cela mettra à jour votre lot de métaphores.



  • Nometon Nometon 18 octobre 2010 12:27

    @ Dupont : « Et on fait quoi après ? »
    Après ? Après, on aura la tête haute de ceux qui se sont battus quand on a voulu les faire ramper et les mettre à genoux. Après, on pourra au moins avoir un moyen de faire pression sur ce gouvernement qui n’a d’intérêt que pour les puissants et les riches. Après, on pourra discuter : de la hausse des salaires, de la défense des droits et des libertés, de la VIe république ! Après, ce sera comme avant mais avec un peu plus d’énergie, de force de notre côté.

    Mais on peut aussi se taire, courber la tête ou sourire avec la lippe supérieure de ceux qui chantent que rien ne changera jamais. C’est vrai que ceux-là n’ont jamais rien changé.



  • Nometon Nometon 18 octobre 2010 12:17

    Grève générale !



  • Nometon Nometon 18 octobre 2010 11:39

    Ce gouvernement doit tomber !

    Entre le père-la-morale Fillon, cette baudruche fantoche pleine de faux airs, et le petit empereur des talonnettes, l’empereur des affaires de famille (juteuses), des courtisans et des mensonges, la République a disparu au sommet de l’Etat.

    Ce gouvernement a tellement de morgue qu’il n’hésite même pas à mettre le pays au défi ! Au défi de se battre, de défiler, de maintenir la grève. Au defi de tenir debout !
    Alors, montrons-leur ! Montrons-leur et battons-nous !



  • Nometon Nometon 14 octobre 2010 09:23

    Bon fabliau ! Et on en redemande.



  • Nometon Nometon 12 octobre 2010 15:07

    Mille fois d’accord avec Salsabil.
    Ainsi qu’avec l’article d’Olivier Bach la question de la laïcité :

    "Les manquements à cette neutralité sont condamnés par les tribunaux administratifs quand il s’agit d’agents de l’Etat. Son chef ne peut pas l’être..."

    L’immunité du Président est devenue une absurdité, d’autant que les chambres parlementaires réagissent peu ou pas à ces atteintes répétées aux lois de la République. Il serait pourtant du rôle des présidents des chambres et des groupes parlementaires de s’insurger publiquement, institutionnellement, contre ces dérives. Je ne comprends pas comment, en France, un Président peut être à ce point hors la loi sans qu’aucun garde-fou ne soit mis en place. Pas d’alerte, pas de réaction. A bien y réfléchir, et connaissant le personnage Sarkozy, c’est même assez inquiétant



  • Nometon Nometon 9 octobre 2010 11:25

    @ L’auteur : Cette citation de Mazarin est extraordinaire :

    « Il y a quantité de gens, disait effectivement, Mazarin, qui sont entre les deux, ni pauvres, ni riches. Des Français qui travaillent, rêvant d’être riches et redoutant d’être pauvres ! C’est ceux-là que nous devons taxer, encore plus, toujours plus ! Ceux-là ! Plus tu leur prends, plus ils travaillent pour compenser. C’est un réservoir inépuisable »

    Sauriez-vous nous dire son contexte (ou la source où vous avez déniché cette perle) ? Grand Merci par avance !

    Bravo pour votre article.



  • Nometon Nometon 9 octobre 2010 11:17

    Bel article, bien écrit, intelligent ; tranchant.