L’émotionalité exprimée dans les discours et réactions est liée aux intérêts économiques de chacun. L’agressivité est l’expression d’un angoisse pour sa sécurité. Vous avez fait votre carrière dans la fonction publique et logiquement, vous défendez un point de vue étatiste, une solidarité de corps presque uniformément pavlovienne. Les réformes entreprises par Sarkozy pour moderniser l’économie française ont eu un effet similaire sur de nombreux membres de lobbies bénéficiant d’une égalité plus égale que les autres qu’ils appellent « droits acquis ».
« on se marre »
J affirmais il y a quatre ans que les « médecins »cubains envoyés au Vénézuela avaient le niveau d’infirmiers et profitaient de l’aubaine pour se perdre au Brésil. Je le confirme.
Mis à part la longue litanie d’affirmations à l’évidence non nourries de l’expérience du terrain (on ne peut reprocher à un énarque de n’avoir ni le temps ni le goût pour se mélanger aux populations locales), n’y a t il pas une incohérence fondamentale entre le titre qui prône une fermeture des frontières et la nature même de l’économie argentine toute tournée vers l’exportation ?
L’Argentine est en effet le plus français des pays d’Amérique du Sud. Tout comme en France, les votes s’achètent à coup de générosité médiatique, tout comme en France, la Gauche y a le portefeuille bouffi et la larme de crocodile empathique et tout comme en France, le déni de réalité y est un dogme.
J ai adoré...je ne savais pas mettre de mots sur ce phénomène de mode qui pousse cette masse bien établie à supporter des idées en totale incohérence avec leurs actes, porte fanions rouge sang à la bedaine de notable des autocrates bolivariens. La réponse est dans le texte : la NOSTALGIE... d’une jeunesse dorée où le compromis n’avait pas de place, l opulence offerte par le sacrifice des générations d avant guerre relégant les contigences économiques au rang de détail. Chavez finalement, c est presque aussi facile à prononcer que Ché, ça ne demande pas un gros effort d’adaptation.
Ce qui est surprenant, c’est l’obsession du vote ouvrier dans une économie fortement tertiarisée où les biens manufacturés sont en grande majorité importés.
Excellente article qui schématise bien la personnalité gélatineuse de Flanflan au pays des bisounours. Même si je ne comprends pas la passion obsessionnelle de l’auteur pour le Capo de l’extrême centre, il faut bien lui reconnaître dans cet exposé des qualités analytiques.
Il est de bon ton pour tous les candidats de la 5e République de prendre des accents gauliens pour viser le poste. Mais parle t on du même poste alors que la France post coloniale des années 60 avait encore le sentiment, malgré deux guerres perdues, de régner sur le monde. Aujourd’hui, nous élirons un administrateur provincial d’une collectivité supra nationale dont le rôle sera d’appliquer des lois et des contraintes budgétaires votées ailleurs...La dimension n’est plus la même, ce qui explique peut être que l’envergure des hommes elle aussi ait changé...
Sur la forme, le sketch a été relativement bien interprété, il a fallu certainement au « bonhomme » puiser dans ses réserves pour déclamer son texte avec une énergie qui lui est inhabituelle.
Je suis assez d’accord avec l ensemble des réactions.
Je crois que Fergus n’a pas décrypté la stratégie de l’énarquie démagogue. L’objectif n’est pas de gagner mais de s’assurer de perdre. Le prochain quinquénat sera terrible pour l’équipe en place, comme il l’a été pour tous les gouvernements qui ont été obligés d’appliquer la rigueur imposée par 40 de laxisme budgétaire. Pour les courageux qui vont devoir faire payer l’addition, il s’agit d’un suicide politique.
Il n’y a encore des naïfs pour croire à un clivage entre énarques de droite et énarques de gauche ? Je croyais que les gouvernements Fillon dont les membres dépassent les hypocrisies marketing, avait mis fin aux illusions des militants de base les plus endoctrinés oO
Vous omettez de préciser qu’une bonne partie des intérêts de la dette payée par l’impôt va dans les assurances vie des papy boomers, ceux la même qui ont creusé cette dette en vivant pendant 40 ans au dessus de leurs moyens.
J ai pas lu au delà de cette phrase :
Le choix de Hollande me fait penser que les socialistes n’ont vraiment pas envie de se retrouver aux responsabilités pour le prochain quinquénat.
Ou avez vous vu que l’Euro était trop cher ?
Vous devriez peut être citer l’auteur de ces lignes...
Il n’y a aujourd’hui aucun candidat qui ait la carrure pour assumer les mesures impopulaires qui nous seront imposées par nos déficits publics récurrents et nos déséquilibres démographiques. Il n’y a pas de pare feu entre la Grèce, l’Italie, le Portugal, l’Espagne et la France. Les mêmes causes donnent les mêmes effets : désindustrialisation, balance commerciale et des paiements déficitaire, bulles immobilières restant à corriger, affairisme et tendance culturelle à reporter le traitement des problèmes.
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