• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Les commentaires de Serge ULESKI



  • Serge ULESKI Serge Uleski 8 mars 2008 12:16
    Bonjour à vous !
     
    Merci d’avoir pris le temps de commenter mon article.
     
     

    Vous écrivez : "10 sites à la fois, et "d’organiser ses relations" ( ???) qui va à l’encontre d’un comportement féminin dans ce genre "

    Il semblerait que vous en sachiez dix fois moins que moi sur le comportement féminin.

    Vous écrivez : "Les rencontres humaines via des sites de rencontre peuvent être, heureusement, beaucoup plus intéressantes et enrichissantes que vous ne le dites"
     

    Vous voulez vous essayer à une littérature qui ne parlerait que des trains qui arrivent à l’heure ??????

    De plus, il s’agit bien de "rencontres physiques via Internet" et pas de "chat"

     

    vous écrivez : " Vous allez faire quoi à quelqu’un qui va reproduire votre texte quelque part ? Un procès ? "

    Je lui demanderais de bien vouloir mentionner le nom de l’auteur : Serge ULESKI

    (les auteurs, ça existe vous savez !!!!!!!! Et je ne vois pas pourquoi je laisserais le premier cancre venu, me voler mon travail !!!!!)

     

    Cordialement

     

    Serge ULESKI



  • Serge ULESKI Serge Uleski 6 mars 2008 21:24

    Merci d’avoir pris la peine et le temps d’ajouter ce commentaire.

    cela dit, vous écrivez : "Et puis maintenant j’en suis à votre point, je reste chez moi et je relis Sénèque. "

    Il est aussi question de continuer de voyager mais... autrement. On peut encore sortir, je pense.

     

    cordialement

    Serge ULESKI



  • Serge ULESKI Serge Uleski 5 mars 2008 21:51

    re-bonjour !

     

    vous écrivez : "je ne pourrais pas le communiquer aux usagers de ma bibliothèque, alors qu’avec les creative common, je le pourrai"

     

    vous avez tout le loisir d’utiliser mon article à condition de mentionner sa source, son origine, son auteur.

    merci.

     



  • Serge ULESKI Serge Uleski 5 mars 2008 08:36

    Bonjour à vous !

    "Copyright © Serge ULESKI. Tous droits réservés" signifie que cet article a une origine, un auteur : Serge ULESKI et que le nom de l’auteur doit être mentionné à chaque fois que cet article est utilisé ; cela signifie aussi que je suis le seul à pouvoir m’opposer à la reproduction du dit article. 

    Cordialement

    Serge ULESKI

     



  • Serge ULESKI Serge Uleski 4 mars 2008 16:06

    Bonjour à vous !

    Merci pour votre commentaire qui vient "compléter" mon analyse entre fiction et réalité.

    (texte extrait du titre inédit : "La consolation".

     

    Cordialement

    Serge ULESKI



  • Serge ULESKI Serge Uleski 1er mars 2008 12:22

    Bonjour à vous !

    Vous écrivez : "le respect du chemin que décide le peuple cubain"

    Vous faites là preuve d’une complaisance inouïe !

    Le peuple cubain ne décide plus de quoi que ce soit depuis 40 ans ; sinon, d’une chose : quitter l’île.

     

    Cordialement

    Serge ULESKI



  • Serge ULESKI Serge Uleski 1er mars 2008 12:02

    bonjour à vous !

    Merci pour cet éclairage supplémentaire.

    Cordialement

    Serge ULESKI



  • Serge ULESKI Serge Uleski 29 février 2008 21:53

    Bonjour à vous !

    Je ne saurais être plus en accord avec vous.

    Je me réfère au dernier livre d’entretien de M. Ramonet avec Castro et non aux articles du monde diplomatique.

     

    Cordialement

    Serge ULESKI



  • Serge ULESKI Serge Uleski 29 février 2008 18:03

    Bonjour à vous !

    Vous écrivez : "Ne vous êtes vous jamais posé la question de savoir si le peuple Cubain aime sa vie ainsi, plutôt que de curer les poubelles de Batista ou présenter son cul aux sbires des ex-mafias locales et importées ?"

    Qui a condamné ce peuple à ces poubelles et à ces sbires ; et à défaut, à la mort lente sous le régime d’un Castro ?

    Vous ?

    Serge ULESKI



  • Serge ULESKI Serge Uleski 29 février 2008 18:00

    Bonjour à vous !

     

    vous écrivez : "Concernant Cuba , vous feriez bien d’aller jetter un oeil aux iles qui n’ont pas été communistes comme , St Lucie , St Vincent, haiti etc... pour vous appercevoir que les cubains ont eu beaucoup beaucoup de chance de rester hors des clous US"

     

    En effet ! Et il ne viendrait à l’idée de personne de défendre ces régimes ; et sûrement pas la gauche !

     

    cordialement.

    Serge ULESKI



  • Serge ULESKI Serge Uleski 29 février 2008 15:05

    Bonjour à vous !

    L’union fait la force !

    Ne baissez pas les bras.

    Merci pour votre soutien.

     

    Cordialement

    Serge ULESKI



  • Serge ULESKI Serge Uleski 29 février 2008 15:03

    bonjour à vous !

    Mon article n’ aurait aucun intérêt sur un site classé "à droite".

    Cela précisé, souhaitons plutôt bon courage à mes détracteurs.

     

    Cordialement

    Serge ULESKI.



  • Serge ULESKI Serge Uleski 29 février 2008 14:59
    Nîmes, une ville... que c’est pour rien ! 

     Je me rends à Nîmes pour les obsèques de mon frère Pierre. Je redécouvre une ville que j’ai laissée, voilà quelques semaines ; une ville que je retrouve toujours... en l’état, et quelle que soit la durée de mes absences.

     Au premier coup d’oeil, une ville pour rien ; si on oublie le centre ville, bien évidemment ! Business oblige !

     

    *** 

     Ah ! Nîmes ! Ville éternelle !

     

     Rome ? Pour un peu ?

     

     Nîmes avec ses trottoirs sur lesquels les personnes âgées se fracturent la jambe deux fois par an (ma mère qui a 76 ans, en sait quelque chose) et ce, tout simplement parce qu’ils n’ont pas la chance de vivre dans le quartier qu’il faut : le bon, le beau, le seul qui vaille, à savoir, le centre ville qu’un boulevard circulaire isole des autres quartiers ; îlot de commerces ce centre ville aux trottoirs irréprochables, aux appartements cossus et par voie de conséquence, bourgeois ; précisément ceux qui renouvellent sans faillir - telle une fatalité tragique -, le mandat d’une équipe municipale aux commandes d’une ville... pour rien ou pour si peu.

     

    *** 

     Soyons clairs ! Disons les choses !

     Dans cette ville, seules les femmes sont dignes de respect ! Et pas n’importe lesquelles : femmes et filles issues de la communauté Harki, beurettes jeunes, très jeunes et moins jeunes qui battent le pavé, les entreprises et les administrations à la recherche d’un emploi, besogneuses, à servir en brasserie du matin au soir, ou dans les commerces (quand on les accepte car, faut pas froisser les préjugés de la clientèle - notamment dans la filière du prêt-à-porter féminin).

     Les hommes, eux, assis aux terrasses des cafés, renouvellent leur consommation une fois toutes les quatre heures... tout fauchés qu’ils sont !

     (Les créations d’emplois à Nîmes - m’a-t-on murmuré à l’oreille - seraient dignes de celles d’une ville moyenne appartenant à un pays tel que... le Bangladesh)

     

    ***
     

     Une consolation, tout de même : je n’aurai jamais plus à revenir à Nîmes, ma mère quittant définitivement cette ville avec sous son bras, l’urne contenant les cendres de son fils Pierre - notre frère -, après le deuil qui nous a frappés.

     Alors, en guise d’adieu...

     Olé !!! Au passage du taureau, et sous la cape, le coude bien haut, entre trois renvois, deux vomis et un rendu...

      A cette ville pour rien, à cette ville pour si peu, à cette ville pour personne.

     

     



  • Serge ULESKI Serge Uleski 29 février 2008 12:11
    Les 3A ! Un label incontournable !

     Extrait du titre inédit : "Des apôtres, des anges et des démons". Chapitre 3

     

    "Dites, vous là-bas ! Venez donc par ici, deux minutes !

    - Qui ? Moi ?

    - Oui, vous !

    - Pourquoi moi ? J’ai rien dit. J’ai rien fait.

    - C’est à nous d’en décider. Et puis, nous vous trouvons un peu trop bavard ces temps-ci. Sachez que nous vous surveillons, et dernièrement on a relevé des déviances.

    - Des... dév...

    - Oui ! Des déviances ! Aussi, il va nous falloir, une nouvelle fois, corriger vos écarts. Nous devons nous assurer de la conformité de votre comportement avec l’ensemble de lois qui régissent ce lieu. Nous allons à nouveau tenté de vous aider à raisonner comme il faut afin d‘infléchir vos choix en notre faveur. Mais ce sera la dernière fois ! La dernière tentative ! Allez ! Suivez-moi !

    - Vous suivre ? Mais où ?

    - Vous le saurez toujours assez tôt. Pour l’heure, nous allons vous conditionner comme on conditionne une marchandise. C’est là, le prix à payer. Je vous propose un bocal comme premier conditionnement. Vous serez poisson rouge pendant une petite semaine. A heure fixe, dans votre aquarium, vous goberez les ressources matérielles et symboliques dont vous avez besoin pour prospérer parmi nous. Ces ressources qui sont aussi des remèdes, feront de vous le contraire de ce que vous êtes. Ils réveilleront l’autre vous-même que vous refusez de nous révéler. On va tenter encore une fois de vous réguler. Et puis, ensuite on va vous réformer.

    - Me réformer ? Ca peut pas attendre deux minutes ? Faut que je...

    - Allez ! Pas d’histoire ! Entrer ! Mais... essuyez-vous les pieds. Voilà. C’est bien. Prenez un siège et écoutez. Écoutez bien ! C’est une réforme à l’envers qu’on vous propose. Elle n’exclut pas, cette réforme. Bien au contraire ! C’est une réforme qui inclut et qui intègre. L’acquis doit triompher de l’inné qui lutte encore en vous. Bientôt, vous ne serez plus né mais... enseigné car, vous serez enfin ce qu’on vous aura demandé d’être. Quand on vous interrogera, vous n’aurez plus à mentionner votre date de naissance car, votre date de naissance sera la date de votre... re-naissance : le signe incontestable de votre guérison. Pour votre malheur, vous êtes encore pétri d’inné. L’acquis, notre acquis que nous tentons de vous inculquer n’a pas encore occupé la juste place qui lui revient. Vous semblez lui résister. Il est donc temps pour vous d’adhérer. Alors, préparez-vous à passer de l’autre côté !

    - De l’autre côté ? Mais... de quel côté parlez-vous !

    - Cessez de vous distinguer et rangez-vous ! Rangez-vous des voitures, des autobus, des trains et des avions. Rangez-vous aussi au fond d’un placard. Rangez tout et laissez sortir cet autre vous-même qui fera de vous un adepte du consensus car, si vous persistez, vous finirez par souffrir d’une forme de mépris de vous-même ; épuisé par votre entêtement, effrayé par la peur du rejet, envoûté par les illusions nombreuses qui hantent votre univers clos et stérile, un sentiment d’insignifiance viendra bientôt vous engloutir. Alors, cessez de lutter contre cet acquis que nous tentons de vous inculquer ; cet acquis qui doit nous permettre de faire en sorte que vous soyez... non pas heureux car le bonheur ne nous est et ne vous sera d’aucune utilité... mais... comme neutralisé sur ordre et au pied levé.

    - Neutralisé ?

    - Oui ! Pour bien faire, vous serez et la majorité tapageuse et la majorité silencieuse ; une majorité non soumise, non rebelle ; une majorité neutre, comblée et assouvie.

    - .............. ;

    - Ah ! Mais... comment dire ? Comment décrire cet état ? Comprenez bien que ce concept est tout nouveau pour nous. Nous n’en sommes encore qu’au stade de l’expérimentation. Alors, c’est pas facile. Il faut pouvoir trouver des mots nouveaux pour décrire ce nouvel état de conscience qui frise... l’inconscience.

    - Je vois.

    - Disons que prochainement vous ne vous ferez plus d’illusion sur quoi que ce soit et sur qui que ce soit. Dans un état cotonneux, confiant et raisonnable comme la raison qui guide nos pas et tous nos choix, vous flotterez entre deux eaux. Vous serez... attendez voir ! Vous serez... Adulte, apolitique et... abruti ! Oui, c’est ça ! Vous serez complètement abruti, à jeun mais... a... bru... ti ! Abruti... en l’état et... à l’état brut ! Les 3A ! Vous connaissez ?

    - Les 3A ????

    - Oui ! Un nouveau label incontournable ! La norme, la référence absolue les 3A : Adulte, Apolitique et Abruti ! Je vous explique : épuré, stabilisé, indécis mais ouvert à toutes les propositions et à tous les vents, fasciné par les courants d’air, bientôt vous ne ferez plus qu’un avec les désirs du plus grand nombre car les indécis se rangent toujours du côté de l’avis de ceux qui n’en ont pas. Pour vous, la raison du plus fort en gueule et en image sera la meilleure des raisons qui soit et celui qui possédera l’écran le plus grand, sur écran géant - écran de la plus haute définition -, celui-là remportera votre vote. Le premier qui parlera et qui sera le dernier à l‘ouvrir recueillera votre assentiment et votre suffrage universellement exprimé. Comme vous pouvez le constater, notre système fait appel à l’ouïe et à la vue : l’audio et la vidéo ! Son et images ! Eh oui Monsieur ! C’est tout un monde que nous mettons en scène. Tout un monde ! Le nôtre ! Le seul !"

     

    Copyright Serge ULESKI.2007. Tous droits réservés

     

    Mes synopsis - CLIQUEZ : Mes synopsis inédits



  • Serge ULESKI Serge Uleski 29 février 2008 11:42
    La Femme de cinquante ans et plus

    Matthieu et les femmes 

    Extrait du titre inédit : "Des apôtres, des anges et des démons" - chapitre 3 

     

     ______________

     

     

    "...Quand je les vois s’affairer, toutes ces femmes : la carrière qu’il faut gérer, les enfants, le mari, les courses, le ménage et puis... un amant aussi parce que... merde alors ! On ne vit qu’une fois, alors... autant que ce soit la bonne. Pas question de passer à côté de l’essentiel ! Mais comment font-elles ? Comment ? C’est pas rien, toute cette agitation ! Un vrai travail de titan ! Cela dit, moi les femmes, c’est après cinquante ans : femme qui a demandé le divorce après vingt ans de mariage et puis, celle que son mari a larguée, une fois que les enfants sont grands et qu’ils ne font plus chier personne. Et même, quand ils font encore chier le monde, eh bien, c’est tant pis pour eux et pour elle aussi. Alors... avec la femme de cinquante ans, c’est simple : soit elle boit, soit elle baise. Si vous l’invitez au resto, surveillez bien sa consommation d’alcool : le vin notamment. Si avant le repas, elle a pris un apéro, c’est mauvais signe et si en fin de repas, elle prend un digestif, alors là, cherchez pas : vous avez perdu votre temps. Votre soirée est foutue. Vous pouvez tout remballer. Vous êtes bon pour une branlette car, dites-vous bien que la femme que vous avez devant vous ne baise plus depuis des lustres et qu’elle en crève... oui ! elle en crève à petit feu et elle compte sur l’alcool pour écourter son calvaire. Mais en revanche, pour celles qui ne boivent pas ! Alors, là, oui ! Mille fois oui ! La femme de cinquante ans ! Toujours divorcée mais qui baise encore et même si c’est... allez... deux ou trois fois par an et parfois plus, pour les plus chanceuses ou les plus téméraires ! Car faut bien comprendre une chose : si elle baise plus souvent, eh bien, ça se saura et on la prendra pour une salope : ses collègues de bureau, par exemple et surtout les femmes, bien sûr ! Celles de son âge qui la jalouseront jusqu’à vouloir la tondre comme on en a tondues bien d’autres à une autre époque. Et puis, ses voisins aussi ! Ne les oublions pas ses voisins ! Les voisins et les cloisons ! L’isolation phonique, faut pas trop compter dessus depuis qu’on nous loge dans des passoires et des trous à rats en forme de gruyère. Tenez ! Un exemple : sa voisine ! Même âge mais... encore mariée celle-là. Je l’entends déjà : "Mais qui c’est la salope qui jouit ? De quel droit ! Trouvez-la moi ! Mais... nom de Dieu ! C’est elle ! Oui, c’est bien elle ! Qu’on lui ferme le caquet, à cette traînée ! A son âge ! Vous vous rendez compte ! Une femme divorcée en plus ! A la prochaine réunion des copropriétaires, on lui fout la honte ! On va pas la rater !" Un voisin maintenant, au hasard. Tenez ! Le mari de cette même voisine : "Qui ? Quoi ? Qui c’est l’enculé qui la fait jouir ? Qui c’est le salaud qui me fout la honte ? J’ai l’air de quoi, moi ! Avec ma femme qui ne pipe pas mot ! Ah ! Tuez-le ! Tuez-la ! Tuez-les tous les deux ! Qu’on en finisse et qu’elle se taise ! Cette salope ! Qu’elle se taise à jamais !" Eh oui ! C’est bien malheureux pour cette femme de cinquante ans qui ne veut pas passer pour une salope et qui... par conséquent, ne baise pas souvent et que tout le monde veut tondre ou tuer parce que... sachez une chose : cette femme-là, c’est... trempée que vous la baisez. Oui, trempée ! Ménopausée ou pas, la femme de cinquante ans et plus, c’est trempée que vous la trouvez quand vous lui enlevez sa petite culotte et que vous vous apprêtez à vous occuper d’elle. Trempée, je vous dis ! Son clitoris ? Une citrouille gorgée de sang ! Un fer de lance, son clitoris ! Parce que... ces femmes-là, eh bien, elles bandent ! Oui, Monsieur ! Elles bandent comme des mecs quand ils bandent ! Des reines de la baise, ces femmes-là ! Des reines ! Pour peu qu’on leur foute la paix aux réunions de copropriétaires et qu’on ne cherche pas à les tondre ! Oui, des reines qui ne vous ... et ne se... refusent rien. Et pour cause : "Ce sera quand le prochain coup de quéquette ? Dans un mois ? Un an ? Ô douleur ! Ô désespoir ! Mon Dieu, laissez-le moi, encore un peu ! Laissez-le moi ! Je vous en supplie !" Enfin, voilà quoi.

    Copyright 2007.Serge ULESKI.

     

    Mes synopsis - CLIQUEZ : Mes synopsis inédits

     



  • Serge ULESKI Serge Uleski 21 août 2007 20:51

    bonjour à vous !

    Merci pour vos commentaires.

    Cordialement Serge ULESKI



  • Serge ULESKI Serge Uleski 20 août 2007 20:24

    Bonjour à vous !

    En établissant un lien entre la poésie et la peinture contemporaine et l’on peut ajouter la musique (contemporaine : Boulez et autres), vous n’êtes sans doute pas loin de la vérité.

    Cordialement Serge ULESKI



  • Serge ULESKI Serge Uleski 20 août 2007 20:21

    Merci à vous !

    cordialement sergeULESKI



  • Serge ULESKI Serge Uleski 20 août 2007 15:55

    Bonjour à vous !

    La réponse à votre question est : oui !!!

    Les ULESKI : Ursula et Serge.