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Les commentaires de guillaume



  • guillaume 27 octobre 2009 12:54

    Sans dérapper, il faut avoir un peu l’historique en tête.
    La CEE parlait le français. Lorsque Thatcher débarqua dans la CEE et constata que le français y était la langue principale parlée et d’usage, elle fit tout pour le changer.
    La stratégie a tété simple : les anglais ne s’exprimaient qu’en anglais et rien d’autre, Thatcher a utilisé l’OTAN et l’appartenance à l’OTAN pour aider à imposer à l’Europe tous les problèmes croisés, notamment de sécurité, et donc administratifs. Elle a par ailleurs fait pression pour imposer l’anglais en Allemagne à la place du français en seconde langue et idem en France à la place de l’Allemand, avec pour justification que pour dialoguer avec les partenaires commerciaux Nord-Américains il faut savoir parler l’anglais...
    Et tout le reste à suivi. De plus, en France lorsqu’on mettait le moindre baton dans ce rouage, l’opposition jouait en faveur de l’ennemi (droite contre gauche et vice-versa) au sons du retour au nationalisme.

    Mais rien de national dans tout ça. C’est un problème de culture et de fonctionnement. Le français est un langue cartésienne, y compris dans son écriture, relativement complexe, mais logique en prenant tous les éléments en compte, y compris es exceptions à la règle qui ont toutes une explication.
    De plus elle découle du latin autre langue cartésienne.
    Le fait de s’exprimer dans une autre langue, l’anglais, notamment au niveau professionnel va mettre la France automatiquement à la traîne du Royaume-Uni et des Etats-Unis, car c’est là-bas que vont se faire les normes linguistiques professionnelles, et c’est là-bas qu’on va décider de comment les privilégier. Ce sera au travers de leur culture et leur éducation.
    On avait pourtant démontré dans les années 60/70 que même en matière d’économie, notre capitalisme rationnel, était supérieur à leur capitalisme émotionnel, mais bon...

    C’est pour ça que la destruction et la déstructuration du Français est un but essentiel pour le monde anglophone... mais maintenant qu’il y sont arrivé le chemin sera long et douloureux pour revenir à nos source.



  • guillaume 27 octobre 2009 12:34

    Moscovici d’origine roumaine, par son père, un communiste. Haut responsable du PS, le parti de l’opposition.
    Besson, né au Maroc.
    Besson, ministre, nommé par le président Sarkozy, d’origine hongroise par son père, grecque par sa mère.

    Je ne parlerais pas des origines ethniques.

    Le débat sur l’identité française est mal engagé.



  • guillaume 26 avril 2009 16:23

    Au contraire, rien n’a été dit.
    Je connais bien le problème technique et légal de tout ça.
    Ce que je peux dire, c’est que ni les arguments de l’extrême gauche (taxe sur le téléchargement) ni ceux du centre (contre tout) ni ceux du centre droite (Hadopi) ne sont valables. Ce que je reproche à la loi Hadopi c’est le flou technique dans lequel elle navigue, et le manque de cohésion juridique, mais le problème remonte à sa source : des lois laxistes sur les brev^ts imposés par les Etats-Unis, et des lois ubuesques sur les droits d’auteur (où la France qui n’a pas voulu s’aligner sur le principe de base du copyright, et a imposé la propriété intellectuelle de l’auteur, a une responsabilité de longue date). La version originelle du copyright anglo-saxoon et le maintien du brevet tel qu’il avait encore cours dans les années 80 auraient permis de résoudre tout ça juridiquement sans problème.



  • guillaume 26 avril 2009 16:15

    Je suis assez d’accord avec les remarques de l’article, les remarques pratiques s’entend.
    Je pense qu’effectivement chaque individu doit pouvoir s’il le désire et fait un effort (non surhumain) avoir la possibilité de vivre en Français.
    Ce que je nie absolument c’est cette façon de vouloir (la volonté donc) de métissage des cultures. les cultures, les idées ne se valent pas, il y en a toujours une qui prévaut. A vouloir mettre à égalité ses propres idées avec celles des autres, différentes, on donne un désavantage décisif aux siennes. C’est ce qui arrive actuellement à la France, qui sans forcer la réalité, est vouée à la disparition certaine (je ne crois plus que ce soit encore réversible).
    Je donnerais quelques exemples : désapprentissage du vrai français (structuré) dès l’école, mais jusque dans les lois et dans les entreprises. Disparition du service national (qui était un élément intégrateur forcé). Exclusion de toute élite financière hors de France (donc prise de décision économique à l’étranger avec la France devant s’aligner) avec aussi une dépossession organisée des Français, etc



  • guillaume 26 avril 2009 16:01

    Addidas, je m’en souviens bien, était en nette perte de vitesse. A se demander pourquoi Tapie l’a achetée. En fait il l’a achetée à prix réduit, car la famille Addidas appréciaient Tapie. Tapie a voulu en faire une affaire, et c’est là qu’est arrivé son poste de ministre, temps pendant lequel il a laissé rouler Addidas en roue libre, à moitié gérée par le CL, qui en bonne banque peu scrupuleuse (comme toutes les banques) a coulé de façon factice l’affaire avant de la vendre à très bon prix, alors qu’elle profitait, de fait, de l’hécatombe (orchestrée par elle) des valeurs de l’empire Tapie. Il se trouve que ça arrangéait tout le monde : le PS et la classe politique et la banque et le futur acquéreur. Le CL était en plus à l’époque la banque d’état pourrie, liée aux affaires politiques, dont 2 incendies ont fini par masquer les affaires occultes (où les affaires Tapie étaient insignifiantes car on parle de centaines de milliards de francs).

    par ailleurs, il faut savoir que lesliens afmilliaux de Tapie avec la CGT, lui a permis de débuter en affaires : des affaires familliales bine ciblées coulées par la CGT étaient reprises pour un franc par Tapie, qui avait tout de suite comme par hasard l’assentiment du syndicat. par la suite l’affaire finissait démenbrée, dégraissée, puis revendue sans que la CGT n’y trouve plus rien à redire.



  • guillaume 26 avril 2009 15:23

    C’est quoi ce gros FAKE !
    De la graine d’écrivain de gauche en perspective.

    On pourrait analyser tous les stratagèmes utilisés, parce qu’il en manque aucun, à commencer par sentimentalisme mielleuse pour introduire toutes les idées de l’extrême gauche contre celles libérales qu’il faudrait enfin appliquer en France, pour nous sortir effectivement de cette situation, et que ne fait pas Sarkosy contrairement aux attentes qu’il a suscité.

    Sinon, décidément Agoravox est de plus en plus noyauté par les activistes d’extrême gauche. C’est assez pathétique, car on passe à côté du débat sur nos institutions socialistes et inefficaces.

    Pour commenter ce que j’ai lu, la situation du personnage n’est tout simplement pas possible hors de son propre consentement. En plus il sait écrire, il a l’air intelligent, donc c’est totalement incompréhensible. Si j’ai bien compris, sa femme est un déséquilibrée. Dans ces cas il fallait pas forcer le sort et il savait à quoi s’attendre... de toute manière c’est vraiment du n’importe quoi à moins que l’intéressé ait agi par pur masochisme. Ce genre de personnage existe bel et bien à des degrés divers dans notre société, et le système social en raffole pour se justifier.



  • guillaume 7 février 2009 13:14

    Fausse spéculation.
    PSA n’a pas l’intention de ressortir le DS, mais va lancer un label plus haut de gamme.
    Le sigle DS de Citroen a une réputation mondiale qui va jusqu’aux Etats-Unis, Australie... où il y a de normbreux collectionneurs.
    C’est peut-être un début de haut de gamme comme l’a fait Toyota avec Lexus. Ces Lexus ont été des Toyota à leur début au Japon, puis Toyota lexus dans certains pays avant que Lexus ne dévienne indépendante.

    Avantage d’avoir un haut de gamme :
    On vend plus cher des technologies qu’on va démocratiser plus tard sur le reste des marques ou de la gamme, au lieu d’aller les chercher chez Mercedes, Audi, BMW ou Lexus...
    Les marges peuvent être plus importantes.
    En cas de crise, le marché change et fait du yoyo entre profiter au bas de gamme ou au haut de gamme. Etre sur les deux ségemnts permet de lisser la courbe.

    Critiquer Peugeot de na pas avoir prévu une crise, ça équivaut à les critiquer de s’être préparer à une crise si elle n’avait pas eu lieu. Le changement a été rapide et radical. Il faut juste réagir avec la même spontanéité.




  • guillaume 7 février 2009 13:00

    Pas pour les phares !!!



  • guillaume 7 février 2009 12:58

    Donc, conclusion : cette mesure Européenne est une belle idiotie.
    De plus l’interdiction des ampoules de 100W puis 75W... : on aurait plus le droit d’aménager son espace comme on le souhaite ? obligation de poser des "micro-ampoules" partout.
    C’est n’importe quoi. Une décision purement bureaucratique. Pas étonnant de la part de Bruxelles.
    A-t-on conulté architectes, décorateurs, médecins ou autres professionnels des espaces intérieurs et de la santé ? ou est-ce que l’omniscience de l’ENA et consorts a suffit.



  • guillaume 7 février 2009 12:50

    En fait j’ai une longue expérience de ces ampoules et voilà la réalité :
    ampoules fluocompactes :
    Très basse consommation, mais lumière incomplète (il manque des couleurs) et donc fatiguante, même si la lumière est très puissante (plus qu’en luimère classique). Il faut obligatoirement l’accompagner de lumière halogène.
    Possible irradation à faible distance (si on connaît le principe) : ne pas changer une ampoule alumée, même si elle est froide.
    Autre avantage : elle est froide et n’abime pas les spots peints de couleur claire, ou bien s’accomode des lampes fermées avec plus de puissance.
    Ces lampes ont un nombre réduit de cycles d’allumage, extinction. Elles sont à proscrire dans les endroits qui sont souvent et brièvement allumés et éteints : salles de bains, couloirs, cuisine, voire chambre à coucher.
    Elles ne sont faites que pour le séjour ou le lieu de travail !!! Là elles durent nettement plus longtemps en durée pure qu’une ampoule classique (5 fois plus annoncé et constaté).
    Les matériaux entrant dans la fabrication de cette ampoule sont notoirement polluants et l’énergie nécessaire à la produire pourrait bien totalement résorber son avantage énergétique d’usage.

    Ampoule halogène :
    C’est la lampe qu’il faudrait avoir partout. Elle consomme moins qu’une ampoule classique, tout en émettant une lumière plus complète pour la vue. La lumière est tellement plus proche de celle du soleil qu’il faut s’en protéger : à éviter en lumière directe (peut abimer les yeux), elle doit être utilisée en indirect.
    Cette ampoule chauffe plus que les autres et a un retour de charge sur le réseau à l’extinction très fort, et il faut donc avoir une lampe adaptée et protégée électriquement (surtout si la lampe dépasse 100 W).
    Durée de vie un peu supérieure généralement aux ampoules classques du fait de la qualité de fabrication nécessaire.

    Ampoule classique :
    lumière incomplète mais meilleure que les fluo, consommant plus que le halogène à lumière équivalente.
    Dure moins en nombre d’heures que les fluo, mais au moins autant en cycles d’usage.
    Avantage : pas chère à produire, peu polluante. Parfaite pour les caves et les locaux d’usage brefs courants (salle de bains, wc, couloirs...).

    Ampoules à LED :
    Technologie coûteuse, très prometeuse, pour l’instant pas au point. Elles devraient avoir tous les avantages, sauf peut-être celui du prix.



  • guillaume 3 décembre 2007 16:28

    A propos de Chavez, c’est la même chose que pour Pinochet. Ce n’est pas un dictateur, c’est un tyran (voir dans le dictionnaire car on l’utilise de façon impropre). L’Amérique du Sud en a toujours été pleine, mais Castro, c’est différent. Castro est bien un dictateur au sein d’un régime totalitaire. Après sa défaite au référendum Chavez devient nettement plus fréquentable. Il se débarrasse de son habit de tyran pour un président élu et en exercice comme les autres.

    A propos des otages, il y eu vraisemblablement une action d’Uribe pour contrecarrer Chavez qui s’invitait en gros en Colombie en tant qu’interlocuteur d’une des narco-guerrila les plus sanguinaire qui soit, et donc contre le pouvoir démocratiquement élu en Colombie. Si Chavez avait joué honnêtement le jeu, ça aurait pu marcher, mais il n’en a rien fait. La Colombie lui avait donné une ligne bien précise qu’il n’a pas suivi, et s’est même fourvoyé dans du baratin. Très franchement l’attitude de Chavez est irrattrapable par Paris. Je ne sais pas ce que notre gouvernement va encore chercher. La libération de quelques otage plus ou moins franco-colombiens ou americains ne vaut pas de passer outre l’avis et les intérêts de millions de personnes en Colombie qui tendent à mener une vie démocratique normale.



  • guillaume 1er décembre 2007 00:37

    Moi j’étais déjà plus ado, mais alors le côté craignos du groupe était absolument inoubliable. Il ont été un temps les chanteurs des soirées gauche caviar. J’avais un ami qui supportait les vocalises de Catherine Ringer dans son appart de Neuilly.

    La fin des années 70 et le début des années 80, c’était les temps mémorables de la bonne musique innovante et des clips vidéo et les Rita Mitsouko y ont joué leur part.



  • guillaume 2 novembre 2007 12:17

    J’ai oublié de préciser. Ce revenu est toujours inférieur aux revenus des autres dirigeants internationaux, et surtout très inférieur aux revenus officieux de ceux-ci (effectivement comme l’ont pratiqué Mitterrand, Giscard, mais pas Chirac justement).

    Néanmoins quelques exceptions notables : le président de l’Irelande (un boute de terre de 3 millions d’habitants reçoit 270 000 euros par an). Le président des Etats-Unis reçoit 400 000 dollars par an (soit en gros pas très loin du président de l’Irlande). Le premier ministre du Royaume-Uni reçoit 190 000 livres (premier Lord + parlementaire) soit en gros 270000 euros.

    Inutile de dire qu’en revenus nets, un Américain ou un Britannique (un Irlandais aussi) gagnent nettement plus par contre qu’un français.



  • guillaume 2 novembre 2007 12:02

    Je suis plutôt d’accord avec lerma. Ce qui m’étonne c’est cette valeur vôtée au gré du vent comme une par l’assemblée. Quand je pense à tout le système compliqué voté dès les premières lignes de la constitution Américaine de 1786, à peine retouché à quelques reprises.

    Bref, l’augmentation et surtout le niveau me paraît normal, voire en dessous de ce qu’il devrait être.

    Ce qui m’a choqué et personne n’a noté : comment se fait-il que la cohorte de ministres et de secrétariats de toutes sortes se donnent autant, en constante augmentation alors que le président, lui en arrive à avoir la rémunération la plus basse ? Etonnant ! Pas vraiment étonnant : les ministres sont des fonctionnaires par statut. C’est là où on voit à quel point les dépenses de l’Etat augmentent de façon automatique et chroniques. De même, il est important de noter que si le chef de l’Etat et les ministères ont des revenus en proportion des autres pays, ce n’est pas le cas des Français. Les Français sont désormais le peuple le plus taxé du monde (devant même les Suèdois). Et ils ont un revenu net (c’est de ça qu’on parle pour les ministres et le président) très inférieur aux autres pays développés. Les Français ont un pouvoir d’achat inférieur aux Portugais, qui ne brillent pourtant pas par leur PIB par habitant. La faute à la sécu et à l’administration (pourtant la voirie, les édifices publiques, la justice, la police et même l’armée coûtent des clopinettes dans les dépenses nationales). on aurait aimé que le président et les ministres fassent preuve de cette solidarité de revenus et se le donnent en proportion du revenu net français par rapport aux autres pays.



  • guillaume 2 novembre 2007 11:08

    Je suis d’accord avec JL. J’aimerais noter comment une énorme propagande médiatique a fait croire que les tenants du NON étaient tous les copains de route de José Bové. Les votants NON ont été 60% à gauche et 40% à droite (avec une droite à 55% de la population) selon des sondages à la sortie des urnes. C’est quand même significatif qu’avec la gauche dans l’opposition, et nombres de personnalités de gauche qui appelaient ou laissaient entendre qu’il fallait répondre NON, et alors que seuls De Villiers et Le Pen faisaient campagne terne avec des arguments marginaux pour le NON, il y eu tant de voix NON à droite et finalement juste ce qui était prévisible à gauche.

    Désormais avec un (mini)traité de plus, l’œuvre bureaucratique (dont dirigiste, étatiste, anti-individualiste...) de Bruxelles n’a pas l’aval du peuple : ce qui a été fait pourra être défait sans l’ombre d’un doute ! C’est tout simplement pour une garantie de préserver sa liberté future que le peuple a voté.

    Je tiens à souligner la nature restrictive de nos libertés telles qu’elles étaient définies dans le traité constitutionnel de façon précise (pour qu’il n’y ait pas d’échappatoire) ou floue (pour qu’on puisse éventuellement en enlever plus) qui étaient à comparer avec nos droits de 1789 singulièrement courts mais complets, comme si les hommes du XVIIe siècle étaient dotés d’un QI exceptionnellement supérieur.

    Tout cela bien sûr existe déjà, mais n’a jamais eu l’aval de la population française. C’est étonnant que les peuples des pays qui se sont battus pour la démocratie et la liberté individuelle en Europe, les Anglais, les Français, les Allemands (après le 2e guerre mondiale), les Polonais (depuis 1980 et avant), étaient sûrs de voter NON à ce traité en l’état alors que tous les autres pays arrivés à la démocratie et à l’Europe par le bas votaient massivement pour.

    Ces traités Européens, sont un espace de liberté encadrée pour nous, et non un espace de liberté acquises. Cependant en l’état, ils sont utiles pour réclamer que des principes communautaires viennent réveiller les libertés individuelles assoupies au niveau national, mais en laissant en l’état ou en contestant les principes restrictifs et impératifs imposés parla commission, qu’on peut alors facilement contester à loisir s’ils n’ont pas été validés par un avis populaire directe. C’est comme ça que l’Union Européenne fonctionne et fonctionne bien : on prend le deuxième avis juridique de la justice Européenne pour reprendre des libertés individuelles et on conteste les décisions bureaucratiques et mondialisantes de Bruxelles. C’est comme ça qu’on arrivera à casser le système monopolistique social français illégalement instauré, et contraire à nos propres droits de l’homme, de même que l’impôt sur la fortune et d’autres libertés perdues à la suite de la 2e guerre mondiale. Par contre, tout le reste « demande réflexion au cas par cas », comme l’ont acquis le Royaume Uni et la Pologne.



  • guillaume 19 octobre 2007 19:03

    Effectivement c’est cheap de soutenir Cecilia non élue, contre Sarkosy, élu du peuple français, comme s’ils étaient à égalité en politique.

    C’est très bien que cette pétasse se casse ! Vous m’excuserez mais c’est ce qu’elle est (Jacques Martin a fait sa connaissance dans une maison de rendez-vous).

    Elle a pesé sur les réformes à entreprendre depuis 6 mois en s’opposant à son mari en privé de façon quasi-ouverte, et en gênant sa stratégie internationale, faisant valoir ses opinions avant (comme ce qui s’est passé aux Etats-Unis et qui frise le scandale). Ouste !



  • guillaume 12 octobre 2007 22:19

    Le libéralisme c’est justement « réguler le capitalisme » alors que le socialisme c’est souvent « on régule que l’Etat et on laisse le business faire des magouilles puisque le business c’est sale ». Donc les vrais libéraux régulent le capitalisme intelligemment, avec le minimum de lois mais d’une efficacité maximale, pour que ça se passe dans la transparence et la justice.



  • guillaume 12 octobre 2007 21:06

    Le problème : on peut pas être individualiste sans le penser, donc être une penseur. Je pense qu’il n’est même pas individualiste et ça se voit dans certaines de ses réactions où il compromet ou ne tiens pas compte de la justice envers l’individu, en privilégiant l’intérêt du groupe ou soi-disant de tous. L’engagement sur le droit au logement (avec quelques détails long à expliquer mais où on sent un air de redistribution des biens - du jamais vu en France), sur un politique de discrimination positive... c’est la négation de l’individualisme (ou carrément le je m’en foutisme vis-à-vis de cette idée).



  • guillaume 12 octobre 2007 20:40

    Je suis contre les subventions aux associations. Pourquoi ? Parce que d’abord l’Etat a interdit les revenus, en instaurant le « suprême système français » d’association sans but lucratif, comme si on n’est jamais lucratif quand on traville quelque part, puis en défavorisant d’une manière ou d’une autre tout revenu y compris d’ailleurs des revenus issus de donations. Il faut voir qu’aux Etats-Unis ou ailleurs ces donations font l’objet de détaxes majeures, et que le mouvement associatif c’est comme une seconde vie.

    Du coup, résultat de cette situation française, la subvention obligatoire aux associations, pour qu’elles puissent légalement survivre (puisqu’en plus on leur flanque une obligation de comptabilité comme toute entreprise). 2e résultat : tout le mouvement associatif français est contrôlé et vit au gré des subventions ou des promesses de subventions.

    par exemple, tel politicien exclu de la vie politique par les électeurs : son mouvement lui subventionne (par le truchement de ses amis élus) son association qu’il vient de créer pour le faire réémerger. Dans d’autres pays (les Etats-Unis), un politicien qui n’est pas élu est à la rue, obliger de se chercher un emploi comme tout le monde.

    Donc, je me réjouirai uniquement quand TOUTES les subventions aux associations seront supprimées, et que les cotisations seront totalement détaxées et rétirées des impôts sur le revenu, et que ces associations auront le droit à d’être lucratives officiellement.

    L’argent a une odeur autrement plus fétide quand il est « distribué » par l’Etat.



  • guillaume 12 octobre 2007 20:26

    Je me souviens, quand du temps de Général Biscuit, déjà un groupe solide l’Etat est intervenu (par les banques nationalisées) pour faire en sorte que Danone, alors groupe BSN mette la main sur Général Biscuit. Il y a eu de la résistance, mais clairement média, gouvernement, et tout ce qui était au pouvoir quelque part disait à quel point c’était bien d’avoir un leader français dans l’agro-alimentaire.

    Quand on voit le résultat final, c’est à dire toute le secteur biscuit français soldé, on a de quoi réfléchir sur cette politique forcée de regroupement sans cesse mise en avant par l’Enarchie au pouvoir. peut-être que comme ça ça leur fera des postes à leur mesure dans des entreprises uniques plus ou moins inféodés au pouvoir.