Merci de cette référence utile. Bien à vous,
Bonsoir, vous avez raison, il existe un débat entre les images véhiculées, perçues et vécues. Je pense que la maturité offre aussi un certain « détachement », peut être aussi en compensation, mais ne tombons pas dans ces débats effectivement très masculins... Bien à vous,
Merci de ce témoignage.
En ce qui concerne « les religions du livre » ne m’en voulez pas pour un propos forcément très lapidaire. Et je ne suis pas sûr d’avoir fait des conclusions, ni d’être en sitaution pour en faire d’ailleurs. Mon travail est avant tout l’observation, non le jugement. Bien à vous, ED
Merci pour vos commentaires, justes , complémentaires et instructifs.
Je profite juste de ce petit message pour rendre à César ce qui est à César.
En l’occurence, la phrase citée dans le chapô de l’article et attribuée à Marx (sans doute pour la révolution) et qui est en réalité de Friedrich Nietzsche, et tirée de la citation suivante, de son livre publié entre 1883 et 1885 « Also sprach Zarathustra » ...
" Alors l’Autre me dit encore comme en un murmure : « Ce sont les paroles les plus silencieuses qui apportent la tempête. Ce sont les pensées qui viennent comme portées sur des pattes de colombes qui dirigent le monde.
Ô Zarathoustra, tu dois aller comme le fantôme de ce qui viendra un jour ; ainsi tu commanderas et, en commandant, tu iras de l’avant. »
Merci de ce résumé « coup de poing » du parcours du combattant d’un jeune qui souhaite acquérir son autonomie. La société devrait en effet prendre la mesure des difficultés accrues des 20/25 ans, et même des 25/30, d’autant plus fragilisés qu’ils occupent des emplois précaires.
Non, les évoque dans une note, lisez bien !
« Qui le notent » et « n’était-ce »... Désolé, on devrait toujours se relire !
Bien à vous,
Merci de témoignage sincère.
Comme vous l’avez peut-être remarqué, je dépasse aussi cette fête pour évoquer le couple et les rapports hommes femmes. Je suis d’ailleurs sensible aux autres témoignages qui le note, et que je remercie.
Je pense d’ailleurs évoquer à plusieurs reprises dans ce papier combien cette journée peut-être rejetée. Ce qui ne l’empêche pas d’être célébrée d’années en années. N’étais-ce pas aussi ce paradoxe qu’il fallait analyser ?
Bien à vous,
ED
Chère Sophie,
SAMEDI 1er NOVEMBRE 2009 : MORT DE CLAUDE LEVI-STRAUSS
Je viens de recevoir un courrier du cabinet du maire de Paris, daté du 21 aout 2009 en réponse à mon intervention. Comme je m’y étais engagé, je vous le communique :
IMPORTANT : COMMUNIQUE DE LA MAIRIE DE PARIS
COMMUNIQUE DE PRESSE DE MME Dominique BERTINOTTI MAIRE (PS) DU 4E ARRONDISSEMENT DE PARIS, CONSEILLERE DE PARIS
Paris, le 15 juil. 09 ; La sécurité des personnes avant tout
Face à la polémique concernant l’abattage d’urgence du saule pleureur du square de l’Ile de France (4ème arr.), je tiens à exprimer ma solidarité dans la décision prise par les fonctionnaires de la Ville de Paris appartenant à la Division Est du Service de l’arbre et des bois, soucieux de concilier développement des arbres et sécurisation de l’espace public.
Le 29 juin dernier, une branche s’est fracturée et est tombée dans la Seine fragilisant encore plus cet arbre centenaire, déjà atteint par la tempête de 1999. La pourriture du tronc de l’arbre est telle qu’aucune mesure de sauvegarde du saule pleureur (cerclage, etc) n’a pu être envisagée. Irrécupérable, il menaçait de tomber dans la rue à tout moment.
Ce lieu très fréquenté exige que la sécurité des passants soit l’impérative priorité même si nous sommes tous d’accord pour regretter qu’aujourd’hui un élément paysager fort va manquer à la beauté du site.
C’est pourquoi, un nouveau saule pleureur sera planté en cet endroit afin de redonner à ce lieu patrimonial toute sa majesté.
Il ne s’agit pasde juger.
Dans tous les cas, l’hommage rendu à cet « arbre-personnalité » me semble juste et révélateur. Même s’il était en fin de vie, cet arbre avait sa place dans le coeur des parisiens. Le problème est qu’il semblait en pleine forme...
Pour les raisons ,et les responsabilités, j’ai donc envoyé un mail au maire de Paris avant de publier cet article. Je vous communiquerai bien sûr sa réponse éventuelle. Et comment ne pas partager votre avis sur le déficit de communication de ses services.
Cordialement.
Aujourd’hui, personne ne le sachant, (et non savant.. )
Pardon.
C’est LA question. Personne ne le savant, aujourd’hui, cet acte semble gratuit, et con !
Car comme l’exprime très bien le message suivant de Régine M, on peut ressentir avec peine le vide ainsi créé.
Bonsoir.
Désolé, mais je ne vous suis pas dans votre discours politique.
Mon propos est citoyen, et dépasse toutes les échéances électorales.
Cordialement,
Bonsoir,
Merci pour vos messages, on sent que vous êtes touché.
Oui, comptez sur moi pour exiger des explications, je vous les communiquerai.
Bonne soirée,
Cordialement,
ED
Bonsoir.
Merci pour toutes ces contributions et ses commentaires. Il n’est pas courant d’échanger ainsi sur un végétal, et la richesse de ce débat est encourageante, y compris dans ses polémiques. Et merci aussi pour l’humour, les bucherons n’en manquent jamais !
Ce soir, je digère un peu mieux cette « mauvaise surprise » qui m’a conduit à écrire d’un trait ce texte hier soir. Bien-sûr, j’imagine qu’il devait y avoir des raisons pour que les services de la mairie abattent cet arbre. Encore faudrait-il les connaitre, les citoyens ont le droit de savoir.
Mais, à cette heure, et malgré un mail envoyé au maire de Paris avant la publication de l’article, aucune explication n’est venue. Si aucune réponse ne devait venir, pour moi, il s’agirait là d’une forme de mépris pour toutes ces personnes qui , à leur niveau et avec leur sensibilité, s’était attachées à cet arbre exceptionnel, qui faisait partie du patrimoine commun.
Dans ce sens, j’ai trouvé certains de vos témoignages très forts.
Mais attendons peut-être un peu, en cette période de vacances… Dès que j’aurai un retour, je vous le communiquerai, bien-sûr. Nous pourrons débattre des arguments avancés.
J’ajoute qu’il était situé dans un site protégé, accompagnant le « chevet » de Notre Dame de Paris, et que, à ce titre l’architecte des bâtiments de France aurait du être consulté. Et puis, si on veut préserver un arbre, il existe des techniques, des fortifiants, et même des tuteurs, ce qui ne semblait absolument pas nécessaire en l’occurrence. De plus, il était dégagé de toutes habitations et orienté vers la Seine.
Je comprends que ce débat puisse semble anachronique aux personnes qui n’ont pas connu cet arbre. Pour elles, et pour toutes les autres, je monterai les très nombreuses images et films que j’avaient réalisées de ce géant. Je sais qu’il existe aussi des images anciennes, des années 30 et 50 et vos témoignages peuvent aussi contribuer à la réalisation de ce film.
Si l’abattage brutal de cet arbre pouvait au moins servir à une prise de conscience, et élaborer une jurisprudence, et bien, son existence aura été doublement utile, à celles et ceux qui l’on connu, mais aussi à tous ces grands arbres menacés.
Bonne soirée,
Dans la forêt sans heures
On abat un grand arbre
Un vide vertical
Tremble en forme de fût
Près du tronc étendu.
Cherchez, cherchez oiseaux
La place de vos nids
Dans ce haut souvenir
Tant il murmure encore.
John Supervielle, 1937
@Fred. Tout ’abord, je suis intervenu sur la FAq du site pour que l’inégralité de messages postés depuis hier à la suite de cet article soient rétablis. Il y visiblement eu un bug domageable, j’espère que cela pourra être fait vite.
Que vous répondre ? Je ne juge pas les sujets que je traite, et je m’y engage toujours avec le soucis de rétablir une version de la vérité,basée sur l’observation et la mise en relation des faits, mais sans oculter leu aspects culturels, émotionnels ou psychologiques. Par ailleurs, j’ai aussi du respect pour la littérature et toutes les expressios artistiques et je pense qu’elles participent au débat public doublement, comme témoignages personnels et comme patrimoine commun.
Des causes « valables » ? je n’aime pas ce qualificatif. Je pense que des faits qui pourraient vous sembler « non valables » ou anodins peuvent changer le monde, au même titre que le évènements planétaires, comme le 11 septembre que vous citez.
Cela dit, je me suis déjà exprimé sur ce sujet, pas dans ces colonnes il est vrai, et qi vous êteen quête d’essentiel, je pense que vous pourre apprécier mon prochain livre, même s’il est écrit avec humour.. Mais ce n’est pas le propos. J’aime sincèrement cet agora du net qu’est agoraVox. Le fait de se confronter ainsi à toutes et à tous, de mettre en lumière des sujets sur le web, est plus interesant que la plupart des sites spécialisés et feutrés. Et puis, cette liberté de parole et d’expression n’est pas incompatible avec la rigueur du propos. Voila pourquoi je m’exprime volontier sur ce site. Les journalistes me disent d’ailleurs souvent q’ils m’y lisent. Mais surtout, je m’y exprime sans aucun filtre, autre que celui des internautes, ce qui n’est pas le cas d’ans une interview.
Maintenant je suis d’accord avec vous, il faut aussi savoir traiter de sujet « chauds ». Je ne calcule jamais mon sujet, et j’essaye de toujours rentrer dedans au mieux. Mais necroyez vous pas que le cycle de vie, la solitude, les passions ou la mort sont des sujets « valables »comme vous dites ? Merci en tous cas, d’avoir lu ce long article sur Woodstock, parti justement d’une demande d’interview de la part d’un grand quotidien national... Vous voyez, il y a souvent une logique dans une intuition. Bon dimanche, cordialment, ED
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