@Tzecoatl
A ma connaissance, le concept de "monnaie temporaire" n’existe pas. Ni le concept de "monnaie permanente". Si un tel concept de monnaie existait, il serait contraire à la définition de la monnaie.
@Tzecoatl
Vous indiquez que la masse monétaire M3 est de 9000 alors que les credits est de 13000(nombre arrondis au milliers). Je vous remercie de citer ce bon exemple pour illustrer mon article. Ces nombres illustrent que la masse monétaire sont inférieurs aux credits bancaires. C’est normal. Et pourtant, tous les crédits pourront être remboursés.
@ecophilpat
@Le peripate
Vous disiez que l’usage du mot régulation cache une tromperie. Il est vrai que l’etymologie de ce mot est la "régularité", la "regle", qui implique une forme de calme et d’harmonie grace à l’action bénéfique d’un etre humain plus sage, d’une institution au dessus de la mélée de cuex qui grouillent humblement sur leur ouvrage quoptidien. Le mot "reglementation" apparait, dans l’imagerie inconsciente, comme une regle impersonnelle, froide, sans vie, sans ame, souvent imparfaite, génante pour soi-meme sous des prétextes incompréhensibles.
La réalité est tout autre. La reglementation, c’est la respect de la loi. La régulation est l’absence de loi fixe, la variation constante des regles du jeux entre les joueurs. C’est ainsi que l’ARCEP régule le marché entre les qq dizaines d’opérateurs de telecommunication. L’ARCEP fabrique des reglementations dans un domaine incertain, sachant que ces reglementations sont provisoires. L’ARCEP juge en equité et pas en droit. Peut-etre ce comportement de l’ARCEP est-il justifié s’il est impossible de définir une reglementation stable a cause de difficultés technologiques ou juridiques.
La régulation signifie une absence de l’Etat de Droit, une absence de lois stables et respectées par tous, y compris par l’Etat. La régulation signifie la dictature, le gouvernement par décrets successifs. La régulation est l’opposé de la réglementation.
@marcDS
Le but de mon article est très limité. Il vise uniquement à montrer que la quantité de monnaie importe peu pour permettre aux agents économiques de facturer et de payer leurs prestations entre eux. Le paiement des interets d’un prets de l’emprunteur à son banquier ne différe pas d’une autre prestation de service entre deux individus.
Et pourtant, le seul paiement est le fondement d’une étrange critique de nombreux intervenants de agoravox pour dire que la masse monétaire devrait sans cesse augmenter pour permettre le paiement des interets. Et, selon eux, cette constante augmentation sera une cause de l’instabilité monétaire. Cette courte et simple robinsonade a pour but de tordre le cout à cette objection sans fondement sérieux.
@marcoB12
Vous me dites que mon article n’est pas convaincant. Dans le cas de cette monnaie-or, la démonstration est triviale. Je l’ai néanmoins explicité longuement et en l’illustrant avec cette exotique robinsonade. Or le cas de la monnaie moderne ne différe en rien au cas de la robinsonade en ce qui concerne la quantité de monnaie nécessaire pour les échanges.
Vous ne trouverez personne qui vous prête à taux zero, Sauf s’il souhaite vous faire un cadeau. Mais cette question est différente du theme proposé par mon article.
@Tzecoalt
Vous objectez que la robinsonade serait exacte pour une monnaie-or, mais inexacte pour une monnaie de crédit, utilisant la monnaie moderne. Le raisonement de la robinsonade des poissons fumés ne dépend pas de la nature de la monnaie. Dans cet exemple, vous pouvez changer la nature de la monnaie, vous aurez exactement le meme fonctionement des échanges qu’avec la monnaie-or de la robinsonade.
@jdal
J’ai lu pluseiurs articles sur cette pressions légale pour que les banques acceptent d’octroyer des credits "subprime". Les organismes, comme freedie mac, était encore récemment, une adminsitration de l’Etat us. Fredie mac garantissait les credits subprime etbénéficiait ainsi d’une garantie informelle de l’Etat américain. J’ai la flemme, ce soir, de rechercher ces articles. C’est peut-etre florin aftalion, prof a l’essec, qui a redigé un papier sur cet aspect de la crise.
Ence qui concerne les monnaies privées, votre premiere phrase me fait sursauter. les citoyens servent les politiciens, et non pas l’inverse. les entreprise et les citoyens payent des impots à l’Etat contre leur gré. Ils payent pres de la moitié de leur production à l’Etat. Un esclave remet a son maitre tout ce qu’il produit. On peut donc dire qu’un citoyen est a moitié esclave de l’Etat.
Voius parlez ensuite de "privilege". cesser d’interdire a une banque le droit d’émettre des titres financiers suivant l’indice des prix n’est pas lui donner un "privilege". Une banque sait eméttre des titres financiers suivant le cours de l’or, ou du cac40, ou de tout autre indice. L’interdiction légale d’emettre des titres suivant un indice des prix n’est pas lui donner un privilege. C’est lui donner la liberté de faire son métier de banquier.
Vous évoquez une hypothetique difficulté pour les comptables de gérer pluseiurs monnaies. A l’heure de l’informatique, cette objection devient faible.
Vous parlez des "SEL". les SEL sont incontstablement de véritables monnaies. Mais des monnaies de médiocre qualité. Les SEL violent les lois sur le monopole monétaire de l’Etat francais. En particulier, les SEL violent le premier article du code monétaire, l’article L111-1. Les SEL bénéficient néanmoins d’une tolérance sous des conditions fiscales arbitraires.
@foufouille
En effet, il n’y a pas que les classes moyennes qui se font escroquer leur investissement. La "retraite par répartition" est un systeme d’escroquerie pyramidale. L’ampleur de l’escroquerie de la retraite par répartition est bien supérieure à celle de Madoff. Tous les salariés sont contraints d’investir dans cette escroquerie de la retraite par répartition, classes moyennes, ou smicards.
@max14z
quels sont vos arguments ?
@JL
Vous me reprochez de ne pas bien maitriser "mon sujet". J’ai écris plusiurs posts. De quel sujet parlez-vous ?
@]JL
Vous me demandez de répondre à une quetsion que vous auriez posée. Auriez-vous l’obligeance de bien vouloir la reformuler ? en effet, dans votre post, vous ne rapellez pas cette question. Quelle est votre question ?
@jdal
Vous dites que vous n’aviez pas pensé au role de la discrimination positive dans la crise monétaire. Moi non plus. J’avais écrit un article sur agoravox, "decryptage de la crise des subprimes". Mon article ignorait cet aspect de la discrimination positive. Je considérais que certains banquiers s’étaient trompés. Mais une question me taraudait de comprendre pourquoi cette erreur avait-elle été répétée par plusieurs banques et a une aussi grande ampleur. Aujourdhui, on estime a quelques 1000 milliards de dollars le cout des créances douteuses des subprimes.
Plusieurs articles rapportent des lois qui ont forcé les banques à fabriquer des contrats subprimes. J’ai ainsi découvert comment, grace a cette loi, les banques n’ont pas pu cesser cette pratique suicidaire. J’ai compris pourquoi, les banquiers ont emballé ces creances "toxiques" dans les fonds hypothecaires respectables. Ils se débarassaient, en toute légalité de ce risque.
J’ai découvert que l’économiste Gregory Mankiw, chef économique du président Clinton, avait alors alerté les politiciens sur ce risque déraisonable.
Vous critiquez l’idée des monnaie privées. Quel est votre argument contre cette thèse économique ?
@zmed
L’Etat a choisi le monopole monétaire et le controle. L’Etat a choisi de gerer la monnaie en confiant cette gestion à un organisme. Cet organisme, la Banque Centrale, agit donc au nom de son mandant. L’Etat francais est donc responsable de tout acte de la Banque Centrale.
Le systeme monétaire a connu un dysfonctionement. La responsabilité de la Banque centrale est nécessairement portée par son mandant, c’est à dire, par l’Etat.
La crise de 2008 est un dysfonctionement d’une monnaie étatique. Seul l’Etat en est responsable.
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