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Les commentaires de gdm



  • gdm gdm 3 février 2009 16:27
     
     
    @Tonton Tall
    Oui, le marché interbancaire était un maillon fiable des mécanismes monétaires. Cette fuidité du marché interbancaire permettaient aux banques d’etre sous-capitalisées. Le dysfonctionnement du marché interbancaire fut un grave echec de la monnaie et des regles de regulations monétaires et bancaires. Une meilleure fluidité du marché interbancaire sera obtenue lorsque les banques seront plus capitalisées. Cette immobilisation de capital au seul titre de la garantie monétaire va couter plus cher aux banquiers.

    Les taux d’interets réels vont donc nécessairement augmenter. L’abaissement névrotique des taux d’interets pour tenter de "relancer" l’économie va provoquer une inflation considérable. Le taux d’interet réel est le taux d’interet moins le taux d’inflation. Cette inflation sera suivie par des chocs en retour. Les Etats seront contraints à une politique monétaire de "stop and go", sans visibilité, sans regle fixe. Et sans regle fixe, les investisseurs evitent d’investir a long terme.

    La question est de savoir si l’inflation provoque la croissance. C’est la these des keynesiens.


  • gdm gdm 3 février 2009 16:08
     
    @Tonton Tall
    Une science est un corpus organisé de connaissance. C’est du moins une définition acceptyable d’une science. Certaines sciences sont expérimentales. Il est alors posible de recommencer l’expérience dans un labo, comme vous le dites justement.
    L’astronomie n’est pas une science expérimentale. En effet, nul ne peut "monter" une expérience d’astronomie en laboratoire. Mais c’est néanmoins une science.
    L’économie est la science qui consiste à étudier l’action humaine qui crée de la valeur. Il est possible d’en dégager des lois et des mécanismes. Ces lois et ces mécanismes sont décrits dans des schémas conseptuels. Ensuite, l’économiste montre comment ces schémas conceptuels sont efficaces pour comprendre la réalité économique et sociale.


  • gdm gdm 2 février 2009 14:37
     
    @Thierry
    Obama ne connais pas la gestion et les besoins de Citygroup. Obama ignore le modele d’avion qui conviendrait le meiux à cette entreprise. En un mot, Obmama ignore tout de la gestion et du marketing, de la société citygroup. Néanmoins, malgré cette totale ignorance de la gestion de l’entreprise, obama veut imposer au directeur tel choix de gestion. Obama s’immice donc évidement dans les choix économiques de gestion internet de l’entreprise. C’est une erreur politique évidente. Mais, si Obama a décidé de suivre la voie de la démagogie, alors, il en aura qq breves satisfactions à tres court terme et des catastrophes a moyen terme.


  • gdm gdm 2 février 2009 14:17

    @Thomas de Toulouse
    Vous dites que le débat scientifique n’est pas clos. Mais le débat politique semble clos sur les thèses réchauffistes. Cette asymétrie, voire incohérence, des politiciens nécessite une analyse politique adéquate. Pourquoi, les Etats voient-ils une certitude dans un débat sans certitude ? Toute thèse justifiant l’intervention des Etats sera naturellement encouragée par les Etats. Les Etats ne sont pas impartiaux dans ce débat. Ainsi, Les Etats accordent des budgets de recherche aux chercheurs qui soutiennent les thèses réchauffistes. Les autres chercheurs anti-réchauffistes ne reçoivent plus de budget. Seuls les chercheurs indépendants des Etats reçoivent des budgets pour continuer à travailler sur des thèses contraires au réchauffisme.

    Vous parlez de la "communauté scientifique". Elle ne forme aucune unanimité sur ce sujet. Bien au contraire. Vous allez même d’accuser certains scientifiques anti-réchauffistes d’être de "mauvaise foi". Je considère que celui qui invente un modèle mathématique de prévision du climat sur 100 ans, celui-la est de mauvaise foi. Lorsque ce modèle prétendument mathématique, projète au-delà de un an, c’est du charlatanisme. Au-delà de 100 ans, c’est une croyance superstitieuse.

    Ensuite, en évoquant les "énergies fossiles", vous parlez d’un problème de ressources économiques. Un économiste vous expliquerait qu’une ressource provient toujours de l’homme et non pas de la nature. Il ne peut donc pas exister de pénurie de "ressources économiques". Et pour un économiste, il ne peut donc exister de ressources prétendues naturelles. Ce raisonnement économique conceptuel semble paradoxal au non-économiste. La science économique est l’étude de la rareté des ressources. Toute ressource, ou presque, est substituable par une autre ressource. Les prix sont la manière de réguler la disponibilité des ressources. La créativité humaine existe toujours pour répondre à une demande.

    Vous donnez l’exemple du pétrole. Le pétrole ne manquera jamais, mais il sera plus cher. Au niveau de consommation actuel d’énergie, les réserves actuellement connues de charbon permettraient une consommation pendant 1000 ans.

    Vous affirmez que la conséquence économique de la "finitude" des ressources serait un "freinage" de notre "train de vie". Vous êtes alors sur le terrain des sciences économiques. Et votre thèse est discutable. Mais, à mon avis, certains écologistes savent que la thèse du réchauffement est mal fondée. Mais ces écologistes la défendent néanmoins, pour défendre une thèse purement économique du freinage de la consommation qui leur semble nécessaire.



  • gdm gdm 2 février 2009 10:51
     
    @Thomas de Toulouse
    Certains scientifiques contestent les thèses réchauffistes. Ils contestent aussi le rapport du GIEC. La plupart des hommes politiques semblent considerer que le débat scientifique serait clos. Certains meme affirment que les adversaires des réchauffistes se trompent, voire seraient des imbéciles ou des menteurs. La seule attitude scientifique serait d’admettre que le débat scientifique n’est pas clos.


  • gdm gdm 2 février 2009 10:36
     
    @Ma crise bien aimee
    Si cette information est confirmée, cela montre qu’Obama s’immice dans la gestion des sociétés. Si Citygroup avait décidé d’acheter un avion, c’est que cet achat était alors rentable. Si la direction de Citygroup pense que, désormais, cet achat ne l’est plus, elle négociera avec son fournisseur pour payer des dommages et interets en echange d’une annulation de cette commande d’avion.

    Un Président des USA s’immice comme gestionnaire de Citygroup pour savoir si tel achat est bon ou mauvais pour l’entreprise. Obama commet une erreur qui vise à controler la gestion d’une entreprise a la place du directeur de l’entreprise.


  • gdm gdm 30 janvier 2009 20:42
     
    @Tonton Tall
    La science économique n’est pas une science expérimentale. C’est une science qui invente des concepts. Il est donc nécessaire d’inventer des concepts. Tout concept est nécessairement schématique. Un schéma n’est pas destiné à décrire la realité, mais à l’interpréter, à la comprendre.


  • gdm gdm 29 janvier 2009 15:10
     
     
    @JPL
    Nos définitions respectives du mot "distribution" sont différentes. Il me semble légitime d’affirmer que l’aide sociale est une redistribution de l’Etat. Ce n’est pas votre avis. De même, pour moi, les prétendues "charges sociales" sont des impôts. Les charges sociales singent une cotisation de police d’assurance, mais elles ne sont pas comparables à ce que pourrait être une réelle police d’assurance-santé ou une police d’assurance-retraite.

    Ceux qui ont dit que l’impôt était "mauvais" auraient du ajouter que l’impôt est une spoliation légale, un crime, une injustice et un gaspillage. Aucun impôt n’a une quelconque logique économique. La seule logique du fisc est de prendre partout où il peut prendre. Le fisc ne se soucie pas des éventuelles conséquences économiques désastreuses. Le fisc ne se soucie pas non plus du respect du droit de propriété. Par exemple, les droits de douanes sont nuisibles pour l’importateur et pour l’exportateur. Il ne "protégent" pas les industries nationales destinées à être protégés. Les droits de douanes sont donc, en plus, un impôt idiot.

    Alain Minc disait justement que l’impôt est une taxe de séjour pour les riches. A mon avis, Minc a raison. Il n’existe pas d’autre justification pour l’impôt. Ainsi, les riches votent avec leurs pieds en mettant leur argent, leur entreprise ou leur domicile à l’étranger, dans un autre pays plus respectueux du droit de propriété.

    Vous me demandez mes sources sur le fait que le montant total de la redistribution serait du même ordre de grandeur aux USA et en France. C’est un rapport d’un haut fonctionnaire du gouvernement Juppé qui avait alors fait cette évaluation pour le gouvernement français. L’IFRAP fait de l’excellent travail avec une bonne équipe de chercheurs. Si l’IFRAP dit la même chose que ce haut fonctionnaire, c’est certainement bien fondé.

    Mon affirmation sur le montant des charges sociales n’est pas une "ahurissante information". C’est la réalité des chiffres que peut faire chaque salarié sur son bulletin de paye. Vous me demandez des exemples historiques à l’appui de ce que je dis. Je n’ai pas besoin de me référer à l’Histoire, mais plutôt a une petite calculette de bureau qui sait faire les aditions. Faites l’addition. Vous ne pouvez pas sérieusement le contester. Vous constaterez ainsi que la somme des charges patronales et des charges salariales d’un smicard égale son salaire net. L’Etat lui fait croire au smicard que la totalité de ces charges lui seraient destinée. C’est une astucieuse illusion qui ne résiste pas à l’épreuve de la calculette. La comparaison avec les autres pays d’Europe montre que le coût d’une assurance-maladie est bien moindre qu’une somme égale au salaire net.

    Votre résumé d’un bilan global des politiques de santé entre les USA et la France est un peu rapide. Vous me demandez mon avis. Oui, l’Etat devrait cesser d’interdire de pouvoir choisir librement sa compagnie d’assurance-santé. L’Etat français respecterait mieux le libre-choix et la liberté individuelle en autorisant les assurances allemandes à proposer leurs services en France.


  • gdm gdm 28 janvier 2009 23:53
     
    @Galuel
    Péripate a raison d’affirmer que la masse monétaire peut etre rendue aussi faible qu’on le souhaite. Le professeur Baumol l’a démontré dans une celebre formule mathématique :

    Notons M la masse monétaire minimale, b le coût moyen d’une transaction, r le taux d’intérêt, T le flux de transactions, T/M le nombre de transactions.

    On a la formule : M = racinecarrée(2*b*T/r)

    Lorsque le coût b est faible, la masse monétaire minimale est faible. Si le taux d’intérêt est bas, la masse monétaire optimale peut augmenter sans risque.



  • gdm gdm 28 janvier 2009 18:40
     
    @xbrossard
    La theorie liberale est une theorie du Droit. Comment le Droit est-il fondé ? et quelles consequences en tirer ?

    La theorie libertarienne va plus loin que le libéralisme. un libertarien considere que l’Etat peut etre réduit a une société commerciale ayant des clients. Chaque client choisit librement sa "Etat libertarien", c’est a dire sa société commerciale.

    Cet "Etat libertarien", sorte de société de service et d’assurance, remplit les memes fonction qu’un Etat traditionnel. Mais chacun peut en changer. cet Etat libetraien n’est pas fondé sur une domination sur un quelconque territoire. il est fondé sur la libre acceptation de ses clients, qu’on pourrait ici appelelr client-citoyens, ou citoyen-client.

    Oui, vous avez raison de remqrquer que chaque entreprise est "dictariale". l’obeissance du salarié est inscrit dans tout contrat de travail, et inscrit dans la loi. mais, chacun peut changer d’employeur. C’est la que reside la liberté du salarié. Un citoyen ne peut pas changer aussi facilement d’Etat.


  • gdm gdm 28 janvier 2009 18:23
     
    @lebonga
    cet article 111-1 du code monétaire dit seulement que la seule monnaie officielle de l’Etat francais est l’euro. C’est a dire que l’Etat francais mandate la Banque centrale Européenne pour gerer la monnaie de l’Etat. L’Etat est parfaitement libre de choisir une autre monnaie, ou une autre maniere de gerer la monnaie.

    Lorsqu’un individu mandate un mandataire pour agir en son nom, c’est son choix. S’il n’est pas content, il peut changer de mandataire. Mais il est absurde de critiquer le mandataire en oubliant qu’il obéit à son mandant.
    Il est absurde de prétendre que la banque centrale européenne serait indépendante de l’Etat francais. L’Etat francais a mandaté la BCE. ou si vous voulez, l’Etat francais a sous-traité la gestion de sa monnaie.


  • gdm gdm 28 janvier 2009 13:08
     
     
    @Le peripate
    Certes, mon pamphlet contre l’Etat illusioniste est passé trop rapidement sur certains arguments essentiels. L’économiste Francois Guillaumat a un discours réservé aux élites intellectuelles. Sa pensée est ample, logique et précise. De même ses phrases sont longues, bien balancées, et parfaitement équilibrées. Mais sa pensée est trop abstraite pour moi. Je prefere les mots plus simples et les phrases courtes.


  • gdm gdm 28 janvier 2009 13:01
     
     
    @JPL
    Les deux passages que vous relevez dans l’article sont, en effet, importants. Votre ton ironique gêne les échanges d’arguments. En effet, vous écrivez parfois ce que je pense, alors que c’est le contraire de ce que vous pensez. Les échanges d’arguments directs seraient plus positifs.

    Vous dites que le gouvernement US ne redistribuerait pas aux pauvres. C’est inexact. C’est même le contraire. La redistribution totale de l’Etat USA est, en pourcentage du PIB, supérieure à la redistribution faite par l’Etat français. Les critères redistributifs sont différents en France et aux USA. Mais aux USA, comme en France, plus l’Etat arrose d’aides et de subventions, plus la misère s’accroît dans le domaine ou il intervient. Ce paradoxe est magnifiquement compris et expliqué, dans son principe par l’économiste François Guillaumat.

    Oui, les prétendues "charges patronales" font partie du salaire de l’employé, au même titre que les "charges salariales". Si l’employeur remettait les charges patronales et les charges salariales au smicard, son salaire doublerait. L’arithmétique élémentaire le démontre.

    Ensuite, l’employé pourrait choisir la compagnie d’assurance pour son assurance-santé, et sa compagnie d’assurance pour son assurance-viellesse. L’Etat interdit au salarié de pouvoir réfléchir à un choix. Par l’exemple des autres pays européens, l’Etat français sait fort bien que l’employé français trouve une assurance santé moins chère et remboursant mieux. Et que le salarié français trouverait une assurance-viellesse plus avantageuse.

    Mais les syndicats qui gère les caisses "sociales". Les syndicalistes sont affectés à des postes de cadres dans ces "organismes sociaux. Il est donc logique que les syndicats ne protestent pas contre cette amputation de la moitié du pouvoir d’achat du smicard et autres employés.


  • gdm gdm 27 janvier 2009 23:06
     
    @Galuel
    Vous pouriez objectez que mon discours serait mal fondé. Mais vous ne pouvez pas valablement affirmer que mon discours serait "sans aucun fondement". En effet, j’ai enoncé plusieurs critiques distinctes. Vous ne m’objectez aucun argument précis sur aucune de mes critiques.

    Votre réponse ne me répond pas. En particulier, vous ne répondez pas sur ma critique de l’existence du prétendu "dogme" sur lequel vous fondez un partie de votre raisonement.


  • gdm gdm 27 janvier 2009 21:02
     
     
    @Galuel
    Vous opposez une "realité économique et une "realité politique". Cette prétendue opposition est mal fondée. L’augmentation de la masse monétaire dépend aujourdhui de la Banque Centrale. Une banque Centrale est le mandataire de l’Etat, gestionnaire de la monnaie de l’Etat. Depuis qu’il existe des Banques Centrales, la quantité de monnaie a augmenté par l’action des Etats, et donc par les choix des Etats et des Banques Centrales.

    L’augmentation de la masse monétaire ne provient pas d’une "realité économique". Lorsqu’il n’existait aucune banque centrale, la quantité de monnaie augmentait peu. Les ajustements des prix se faisaient par rapport au prix de l’or, a la hausse ou à la baisse. La quantité d’or utilisée pour la monnaie augmentait selon la production des mines d’or.

    Le préténdu "dogme" que vous dénoncez dans votre article n’existe donc pas. Lorsqu’un Etat soutient une politique de "franc fort", de "monnaie forte", c’est un choix économique conjoncturel. Ce n’est pas un dogme.

    Vous parlez ensuite de "realité expérimentale". La science économique n’est pas une science expérimentale. La "realité expérimentale dont vous parlez n’existe pas.

    Vous prétendez que ce "dogme" serait contraire à la croissance économique. Il ne s’agit pas de juger de la validité d’un dogme mais plutot d’une politique monétaire d’un Etat à un moment donné, pendant une période donnée. Votre analyse globale est criticable.

    Vous parlez ensuite des "exclus du systeme monétaire". Qui désignez-vous par ces mystérieux "exclus" ? les pauvres ? Les pauvres ne sont pas exclus du systeme moéntaire. Ils n’ont pas d’argent. C’est différent.

    Vous parlez de "croissance monétaire" en faisant le parallele avec la "croissance économique". Peutetre désignez vous par "croissance monétaire, ce qui serait en realité, une accroissement de la masse monétaire. Cette masse monétaire varie pour des causes proches, mais différentes de la croissance économique.

    Par exemple, le professeur Baumol a démontré une formule mathématique complexe, et incontestable, qui indique la masse monétaire minimale nécessaire aux aux échanges. Cette masse monétaire dépend de cinq parametres tres précis. La croissance économique est plus complexe.




  • gdm gdm 27 janvier 2009 09:09
     
    @onton Tall
    Votre définition du libertarisme n’est pas exacte. On dit aussi libertarianisme. Le libertarianisme est une theorie politique récente. Elle date de la fin du 20eme siecle. ce sont principalement des universitaires et des intellectuels. Le but du libertarianisme est une reflexion sur la société, sur le Droit, sur l’économie.

    Vous avez raison de dire que ma définition de la Bourse est incomplete. Mais c’est l’essentiel. Le reste des activités sont des activités complémenatire à cette activité essentielle. La finance est le sang qui nourit l’investissement des entreprises.


  • gdm gdm 27 janvier 2009 09:09
     
    @lebonga
    "la FED est mandataire de l’Etat US", disais-je. Vous me demandez une source fiable pour confirmer cette affirmation. C’est l’Etat US qui nomme le président de la FED. C’est l’Etat US qui autorise le FED a détenir le monopole monétaire aux USA. C’est l’Etat US qui légifere pour que le dollar de la FED s’impose aux US. C’est l’Etat US qui légifere pour que le dollar de la FED ait un "cours forcé" aux USA.

    Il en est exactement de meme en France. L’Etat a mandaté la Banque Centrale Européenne pour gerer la monnaie. En france, la source de cette information est le premier article du Code Monétaire, l’article 111-1. L’Etat francais a confié un mandat à la BCE. Ce mandat de gestion lui interdit d’intervenir dans la gestion de son mandataire.


  • gdm gdm 26 janvier 2009 09:50
     
    @Olga
    La FED est mandataire de l’Etat US. Il exécute le mandat de l’Etat US. En France, on désignerait ce mode de fonctionnement par "délégation de service public", ou alors "sous-traitance". L’Etat US est le mandant, le client, le donneur l’ordre, le patron, le décideur. Vous pouvez utiliser le vocabulaire qui vous convient. Mais la structure juridique de la FED n’influe pas sur le mandat de gestion du dollar. Ce mandat de gestion est donné par l’Etat US.

    Le statut de fonctionnaire, a la mode franco-francaise, n’est pas la seule maniere, pour un Etat de controler l’exécution de ses ordres. Un donneur d’ordre controle parfois mieux ses sous-traitant que ses salariés. Tout dépend de la nature du contrat entre l’Etat US et la FED. Il n’est pas douteux que la FED exécute fidelement la missiopn donnée par l’Etat US.

    C’est l’Etat US qui a décrété le monopole monétaire légal. Le dollar US appartient à l’Etat US. Le FED ne fait qu’un gérer sa production sous le controle de l’Etat US. Le dollar est une monnaie étatique. 


  • gdm gdm 26 janvier 2009 00:08
     
     
    @Tonton Tall
    La philosophie libertarienne est récente et peu répendue aujourdhui. Non, elle n’existe pas chez les politicens au pouvoir. Vous ne pouvez donc pas la voir à l’oeuvre.

    vous dites que la Bourse serait un casino. Ce n’est pas exact. La Bourse est le lieu ou se font les émissions de nouvelles actions, celles qui sont nécessaires pour que les entreprises investissent. Et la seconde fonction de la Bourse est d’etre un marché de l’occasion pour les actions déja existantes.


  • gdm gdm 25 janvier 2009 22:33
     
    @Forest Ent
    vous prétendez que les libertariens demanderait le secours de l’Etat. Votre affirmation n’est pas fondée. Aucun directeur de banque est libertarien. Vous ne verrez aucun libertarien demander que l’Etat donne de l’argent aux banque. Vous vous trompez donc sur ce point.

    Vous vous étonnez que les libertariens n’aient pas dénoncé ces subventions nommées "subprime". Un libertarien ne dirige pas une banque. Ce n’est pas son role de verifier la valeur de chaque actif, parmi des millirs d’actifs. Seul un banquier peut savoir ce qu’il achète. C’est sa responsabilité de banquier. Votre étonnement est donc hors de propos.

    Vous confondez libertarien et banquier. C’est une erreur. revoyez votre vocabulaire.

    Vous ignorez tout des libertariens. Et vous confondez l’intrusion la plus obsence de l’Etat dans les entreprises avec la doctrine des libertariens. revenez sur Terre. ne confondez pas les acteurs que vous croyez voir dans cette crise. sachez qu’il n’y a pas de libertariens. Ils sont principalement universitaires. et pas banquiers.