@ Barbouse
Les 42 fautes qui fleurissent dans votre commentaire me font dire qu’il doit se lire au second degré (non ?)
la future Miss SDF ne sera pas forcément la plus jolie, mais la plus méritante, la plus courageuse, animée d’une volonté de s’en sortir
Quelle abjection ! Leur plus grand mérite est, pour elles toutes, de rester en vie !
Elles ont perdu tout le reste, dignité y-compris, et une "bienfaiseuse" vient leur promettre je ne sais quelle "action" pensée à l’aune de ce qui fait qu’elles sont à la rue : la société de la réussite égocentrique. L’indécence de cette action a sans doute poussé cette "bienfaiseuse" à ne pas oser offrir à la plus méritante (celle qui sera le moins loin des valeurs de notre si belle société !) un logement décent, des soins médicaux (une rolex ?) etc...
Et puis les autres.... Les "perdantes" ? ..... Bah elles retournent à la rue sans sublissime prix "bon d’achat".
En plus de vivre une vie sans vie et sans espoir, elles auront eu un espoir (peut-être pas celui de remporter le prix, mais celui qu’on leur a vendu : faire connaître leur "cause") et on le leur aura retiré aussi sec :
C’est sûr, pendant la soirée de remise des prix, il y aura du monde devant l’écran de TV ! Je parie même que le lendemain, tout le monde ne parlera que de ça !
Mais après ?....
Rien comme d’hab’. Sauf peut-être la bonne conscience de la "bienfaiseuse".
Humanitaire,
Faut pas nous la faire !!
Plusieurs choses m’intriguent dans vos propos :
Coup de gueule ô combien légitime.
Pourquoi pas aussi laisser des enseignements tels que la musique et les arts plastiques s’éteindre doucement au profit de cours d’histoire de l’art ? Ceux-ci pourront être pris en charge par les profs d’Histoire-Géo... ça supprimerait des postes et libérerait enfin du temps pour des enseignements utiles tels que SMS renforcé... médialogie... IEE (initiation à l’esprit d’entreprise)...
La pensée et la culture, c’est sûr, sont des pertes de temps (donc d’argent) !
Le fait qu’il s’agisse de deux bilderbergers n’a sans doute aucun rapport avec la complicité qui semble émaner du rapport entre ces hommes.
En tant que pantins zélés des "maîtres du monde", on se comprend...
@Robert Branche
Faites-vous partie de ces doux rêveurs qui croient encore que les hommes politiques ont un pouvoir quelconque sur le monde économique actuel ?
Pensez-vous vraiment que les députés français, tous seuls dans leur coin, peuvent voter des lois protectionnistes ?
Nos homme politiques actuels sont pieds et poings liés à des structures qui les dépassent (multinationales, systèmes bancaires, groupes de pressions....).
Toute leur action tend à faire ce qu’ils peuvent à leur niveau : soit du rafistolage (les mesurettes "protectionnistes" vont dans ce sens) soit accélérer et favoriser encore l’emprise des structures sus-citées sur la vie des citoyens (méthode sarko & co)
Pour sortir définitivement de la crise, il ne faut pas compter sur ces "représentants" car ils ne remettent jamais en question la forme du moule qui a permis de fondre la société dans laquelle nous vivons. (le "changer de paradigme" de Brieli, plus loin).
concernant le premier thème de l’article....
L’évaluation des élèves de cm2 n’est pas ubuesque juste parce qu’elle est proposée en janvier mais elle l’est en elle-même parce que la majeure partie des "exercices" (un exercice sert, comme son nom l’indique, à s’exercer) est conçue comme un piège.
De plus, je sais, pour l’avoir faite passer à mes élèves, que cette évaluation, contrairement à ce qui a été affirmé, n’a pas été testée. Si elle l’avait été, de nombreuse erreurs et incohérences auraient (on peut l’espérer) été corrigées. Par exemple (entre autres) des consignes orales notifiées sur le livret du maître en contradiction avec les consignes écrites sur le livret de l’élève...
On nous prend pour des imbéciles ou on essaie de le faire.
A vos billevesées, je répondrais volontiers balivernes !
La publication est devenue la seule façon pour certains chercheurs de faire croire en l’avancée de leur recherches ! Ceux qui publient le plus sont ceux qui sont cooptés ou qui ne remettent rien de fondamental en cause.
On va publier qu’on a peut-être trouvé le gène qui favorise telle ou telle tare humaine parce que cette publication vaut résultat et donc vaut crédibilité. peu importe que l’on n’ en soit qu’à l’émission d’hypothèse ou à l’expérimentation... Ce qui compte, c’est de publier !
D’ailleurs, tous ceux qui planchent sur des sujets non politiquement corrects ont bien du mal à publier !!
Ce n’est pas le nombre de publications qui fait que la recherche avance ! Je dirais même : au contraire !
Je comprends que l’on veuille savoir où va l’argent du contribuable. (sutout en temps de crise, ma bonne dame !) mais il est tellement d’autres domaines bien plus dispendieux où, là, on ne se vante pas de cacher pour quoi on le dépense, que cela me semble un alibi trop bienvenu.
Nous vivons dans une société qui marche à la concu-rance, à la rentabilité. Il est dommage que l’on hypothèque ainsi l’avenir de la recherche en lui demandant de l’efficacité immédiate !
Le problème est le même partout : pour deux ou trois chercheurs jugés inefficaces ou dont les recherches ne présentent pas d’intérêt (encore que cela se disculte) on va enfermer la totalité des universitaires dans une logique marchande. La culture du résultat.
Le fait que ce soient des entreprises qui financent les recherches aux USA montre bien quelle est la finalité de tout cela : la course au progrès (au brevet $$$$ !). Et je ne vois donc pas trop comment la recherche fondamentale pourrait en sortir gagnante...
Les réactions de méfiance vis à vis des chercheurs ne sont pas surprenantes.
En premier lieu parce que la recherche, pour la plupart des gens, ne vaut que par ce qu’elle "trouve". Et encore ! Faut-il qu’elle trouve quelque chose d’immédiatement rentable !
Et pourtant, ce sont souvent les mêmes personnes qui ne remettent jamais en cause aucune avancée "scientifique" - puisqu’il en va ainsi du "progrès" (je ne donnerai pas d’exemple pour ne pas avoir le lobby OGM sur le dos - zut, je l’ai dit !).
Ils ne peuvent pas comprendre que la recherche doit, le plus possible, être indépendante du pouvoir et des modes... et surtout : du monde de l’entreprise et de la rentabilité !!!
Le monde universitaire a déjà bien du mal à s’affranchir des dogmes qui y ont vu jour.
Il est déjà trop politiquement correct.
Par pitié, n’en rajoutons pas avec une politique de résultat !
Qui sait ce qui nous sera vraiment utile dans le futur ??
Oui, mais il y avait au moins 1200 manifestants ! (armés jusqu’aux dents avec leurs voix et leurs idées).
Ce qui fait peur, c’est que le trait est à peine forcé...
Debord en ferait une jaunisse !
Cela fait bien longtemps que la religion n’est plus l’opium du peuple occidental. Elle a été remplacée par un opiacé beaucoup plus puissant : la Telle-est-vision. C’est trop bien comme drogue : ça te fait voir ta vie en rose, ça te rend le maître du monde (du monde de ton petit confort qui est le seul qui existe), ça te fait croire que tu es intelligent et cultivé, ça te fait manger et tartiner sur ton visage tous les produits qui rendent beaux... pis ça donne des sujets de conversation.
Avez-vous remarqué la multiplication des écrans non seulement chez les gens (y parait qu’y en a qui ont des TV dans les toilettes pour pouvoir pousser sans réfléchir !), mais aussi à l’extérieur (grands magasins, petits commerçants, la Poste...) Il ne faudrait surtout pas laisser au cerveau humain le temps de penser à quoi que ce soit par lui-même. C’est dangereux.
Un peuple bien "distrait" est un peuple soumis.
Méfions-nous : cette "génération" fait des enfants...
J’envisage sérieusement de quitter l’éducNat...
Le plus drôle dans cette affaire de licenciements, c’est que notre hyper-président fout à la porte deux de ses plus zélés sujets. On dirait du Jarry !
...le refus de faire de l’argent, d’éviter les dispositifs de contrôle ou la volonté de refaire du lien social constituent une forme d’infraction, la plus grave qui existe dans notre société, un acte terroriste.
Voilà, c’est précisément ce que dénoncent Coupat&co (voir la revue Tiqqun) et ce pour quoi ils sont dangereux pour la société !
Vous imaginez ? Redonner à l’homme le goût de la vraie liberté (et pas celle de choisir entre Mc Truc et Big Machin) ? Trouver le bonheur par soi-même, et non grace à la marchandise ! Ne plus se laisser berner par le monde spectaculaire ! Dénoncer l’esclavage du salariat ! Evidemment que c’est révolutionnaire ! Evidemment que ça fait peur aux gouvernements !
Coupat n’est pas un dangereux terroriste. C’est un penseur. C’est pire à l’heure actuelle !!
Y’a le 696 qu’a fait un effort quand même !
Waoh !!
Pis ça marche aussi avec 7 !
Merci tonton Raoul !
Forest,
J’étais en train décrire mon commentaire quand vous postiez le votre...
Vous vous doutez de mon adhésion à vos propos !
@l’auteur,
J’ai été beaucoup plus convaincue par l’explication de Mourey que par la votre qui m’a, cependant, divertie !
Tout est un petit peu confus et me rappelle la première lecture que j’ai faite (à 17 ans) du pendule de Foucault d’U. Eco où il joue à emmener le lecteur dans les arcanes de sociétés secrètes en utilisant le biais "numérologique". L’exercice de style est bluffant, on y croit presque.... jusqu’à ce qu’il prouve la supercherie mathématiquement !
On peut faire, très certainement des rapprochements "intriguants" avec n’importe quel nombre !
Jouons ensemble avec les sept péchés capitaux, les sept nains, les sept merveilles du monde, les sept jours de la semaine....(mauvais exemple, c’est trop connoté bibliquement le sept).
Qui c’est qui s’y colle avec 72 ?
En fait, la signification profonde de tout cela, c’est que OUI les hébreux et les présocratiques avaient bien une vision "mathématique" du monde. Le nombre, le langage, la pensée, la logique, la poésie... tout cela était intimement mêlé. Mais nous avons bien du mal à le comprendre de nos jours. Même Platon n’y a rien compris. Il était déjà à cent mille lieues de la pensée archaïque.
Alors, vouloir la décrypter maintenant avec des outils théoriques inadéquats me fait doucement rire !
A lire pour aller dans le sens d’une vraie découverte :
Modernité de la logique archaïque de Rouland Tournaire aux éditions l’Harmattan.
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