L’infâme avait accusé presque ouvertement le FN d’être à l’origine des tueries de Merah. Disqualifié à jamais à mes yeux. Son rassemblement à Marseille a été un four complet.
L’insignifiance incarnée.
En 2008, Mélenchon soutenait la répression sanglante des émeutes du Tibet par la dictature chinoise. O le grand démocrate...
Ce grossier personnage, dont les sbires empêchent les autres candidats de s’exprimer et qui n’a que le courage d’injurier les femmes (il n’a jamais osé se mesurer avec Jean-MArie LE Pen), est un homme du système. D’ailleurs il appellera à voter pour Hollande. Voiture-balai donc.
Sa page Facebook est la seule parmi celles des candidats à ne pas être bloquée. Comme cela en dit long sur ses complicités avec l’ologarchie des médias...
Ancienne conseillère du dictateur malgache Ravalomana, merci de préciser.
Article d’une platitude à pleurer...
Mon pronostic : Mélenchon roulant pour Sarkozy, celui-ci va éliminer Hollanduche grâce aux voix perdues à l’extrême-gauche comme il avait déjà réussi à court-circuiter DSK. Il se toruvera face à Marine Le Pen, qui fera au moins 20 pourcent et peut-être même plus de 25 pour cent.
Les sondages sont bidonnés de a à z.
On ne souligne pas assez qu’en se faisant le coadjuteur du bellicisme américain en Libye en Afghanistan et en Syrie, la France s’est attiré la haine des musulmans, et ce à juste titre.
C’est Wallerand de Saint-Just qui dans un communiqué a traité Mélenchon et Bayrou de « salauds » et non Marine Le Pen elle-même. Donc l’imputation de l’auteur est fausse. Certes Wallerand de Saint-Just est un porte-parole du FN, mais ce n’est pas Marine. Vous feriez bien de vérifier vos informations, Imhotep.
De toutes façons, il a raison : accuser sans preuves quelqu’un d’être un massacreur d’enfants, c’est ignoble.
Il est amusant de voir que dès que le Front national sort son programme économique, tout un chacun se découvre une fibre d’économiste et commence à discuter de ses propositions en grand connaisseur, et bien sûr pour dire combien ce programme est farfelu et absurde (comme tout ce qui peut sortir du populisme).
On aimerait savoir ce que pensaient tous ces beaux esprits en juillet 2008 lorsque Jean-Marie Le Pen avertissait les Français à propos du danger d’une crise finacière mondiale. Comment ce gros bêta par nature pouvait-il y voir si clair ? Aujourd’hui Marine propose la réindustrialisation, le protectionnisme raisonné, la priorité nationale, l’arrêt de l’immigration et la sortie de l’euro. Et c’est le tollé quand ce n’est pas le vol d’idées, car la réindustrialisation et le « Achetez français » sont maintenant sur toutes les lèvres, ou presque. C’est dire que quand on ne lui prend pas ses idées, tous les politiques et tous ceux qui pensent à l’avenir du pays sont obligés désormais de se référer à Marine Le Pen. Moi, j’appelle cela une grande victoire idéologique.
En fait, Marine domine complètement la scène politique française depuis des mois. Il suffit de voir le nombre d’articles qui lui son consacrés sur Agoravox pour s’en convaincre. Marine peut s’embrouiller dans les chiffres sous la pression d’une journaliste perfide et agressive, cela n’enlève rien à son intégrité, à sa sincérité et à la justesse de sa stratégie, qui est de reconquérir la souveraineté. Car tel est le véritable enjeu de la campagne et cela, seuls Marine Le Pen et Dupont-Aignan l’ont compris. Il ne s’agit pas du tout de défendre l’humain (comme si la France avait les moyens de subvenir aux besoins de tous les êtres humains, quelle folie) mais de défendre les Français. Non, contre l’Angleterre ou l’Allemagne comme autrefois, mais contre une structure impérialiste mondiale. Reprendre la souveraineté, c’est un programme qui demande du courage et c’est tout sauf de la démagogie. La démagogie, c’est de ne pas affronter les vrais problèmes, de lancer des slogans creux comme faire la révolution, s’indigner ou célébrer la jeunesse du monde (Hollande) et s’en remettre à d’autres pour le destin de la France.
Marine OK, pas KO sur l’aide aux travailleurs pauvres. Comment faire un buzz avec pas grand chose …
Après des termes de footballeur : Machin tacle Truc, on en vient à la boxe … Entre dames, cela est peut être plus tendance, sinon plus élégant.
Ainsi Madame Lapix aurait mis KO – rien que cela – Marine Le Pen sur un sujet important : permettre à chaque français gagnant, en équivalent plein temps, moins de 1,4 le SMIC de voir ses charges sociales salariales prises en compte (en équivalent plein temps) à concurrence de 200 euros.
Madame Lapix a voulu entraîner Marine Le Pen dans un décompte d’apothicaire, en affirmant que le coût de cette mesure serait de 20 milliards.
Sur le plan du coût brut (et d’un coup de brute) c’est vrai, puisque 8,4 millions de personnes concernées, cela correspond bien à un montant de 20 milliards d’euros. Mais d’un point de vue financier, ou coût net, c’est évidemment faux. Nous n’avons donc pas un KO, ou haut, mais un coup bas, qui aurait du exclure Madame Lapix, qui s’en va pourtant de médias en médias clamer sa pseudo-victoire.
Pour la petite histoire, le coût net de financement qui aurait été annoncé par Marine Le Pen si elle avait pu s’exprimer est d’un peu moins de 11,5 milliards, milliards qui seront entièrement pris en charge par la CSI (Cotisation Sociale sur les Importations).
Ce coût de 11,5 milliards (donc cette économie de 8,5 milliards entre les 20 milliards « Lapix » et les 11,5 milliards du programme de Marine) correspond à une récupération de TVA de 3,5 milliards, à une économie liée à une création d’emplois de 140 000 personnes (une relance de la consommation de 20 milliards ayant nécessairement un impact sur la production, et donc sur l’emploi) et enfin à diverses autres économies d’un montant de 1,1 à 1,200 milliard.
Très cordialement
B.L.
Penser changer le système sans diviser, c’est ne pas connaître la réalité essentielle de la politique (avec la nation), qui est la guerre sociale. Voyez ce qui s’est passé au Vénézuela : depuis que Hugo Chavez est au pouvoir, la société vénézuélienne est polarisée comme jamais et il ya eu des débuts de guerre civile. Mais Hugo chavez est resté et il a sorti son pays du libéralisme individualiste sauvage. Il faut donc avoir le courage de bousculer et même de provoquer des affrontements.
Le FN, c’est Hugo Chavez en France. Parce qu’en Amérique latine souveraineté, nationalisme et réformes sociales sont l’affaire du socialisme. Chez nous, ce sont plutôt des partis que l’on classe très à droite qui défendent ces causes.
Ne pas oublier que c’est le président islandais qui a sauvé son peuple de l’esclavage pour dette. C’est lui qui a fait pièce au gouvernment de gauche qui allait ratifier l’accord ruineux avec les créanciers et qui a convoqué un référendum, où le peuple a dit NON.
Dire que c’est la rue qui a sauvé le pays est faux.
La présidente du MEDEF a écrit un livre contre MLP. Comment oser prétendre que le FN est pour le gros patronat ? Ignorance, préjugés...
Ceux qui empêchent Marine de s’exprimer sont les dignes successeurs de Robespierre.
En français on dit boîte à idées....
News of Marseille quel nom !!! quel rapport entre Marseille et l’anglo-américain ? Anglomanie, anglomanie...
La maison de St Cloud est un héritage d’un ami du FN appelé Hubert Lambert, qui était très riche. Qui refuserait un héritage ?
Jean-Marie Le Pen est un homme profondément incompris, caricaturé par les médias menteurs. S’il avait pu être entendu et détenir de hautes responsabilités, je ne doute pas qu’il ne fût devenu aussi grand que De Gaulle, avec quelques scélératesses en moins.
Je le salue en grand défenseur de la France, en homme qui n’a jamais renié ses convictions. Longue vie au vieux lion !!!!!!!!!
Sans vouloir aucunement minorer l’énorme travail fourni par les Chinois eux-mêmes, force est de constater que c’est NOUS qui avons rendu la Chine riche en ouvrant nos marchés à ses produits, fabriqués avec des techniques que nous leur avons généreusement données. On sait que les Américains ont livré leurs techniques aérospatiales à la Chine.
La classe dirigeante chinoise est fascinée depuis longtemps par l’ascension et la modernisation du Japon de l’ère Meiji. Leur but est de répéter cette aventure d’occidentalisation accélérée, ne voulant voir que son côté positif.
Mais c’est oublier les horreurs du militarisme et de l’impérialisme nippons, les deux bombes atomiques qui les ont couronnés, la stagnation économique prolongée du Japon actuel et finalement le drame de Fukushima, qui marque les limites de l’idylle entre l’humanité et la technique. Si les Chinois étaient un tant soit peu lucides, ils verraient que l’imitation de l’Occident par Japon interposé ne peut que les mener aux mêmes désastres.
Le débat démocratique devrait servir à discerner ceux qui accusent avec raison de ceux qui ne sont que de vulgaires démagogues. Encore faudrait-il que les débats fussent suffisamment longs. La brièveté des émissions de radio ou de télévision encourage à mon avis la détérioration du débat public en simple échange d’invectives.
Plus personne ne voulant se reconnaître responsable tout accusateur devient automatiquement un faiseur de boucs émissaires...
Le bouc émissaire est le faux responsable de l’adversaire. Ses responsables à soi, eux, sont justifiés.
« Bouc émissaire » est comme « thèse du complot » une formule coupe-débat, d’autant plus forte et paralysante qu’elle sous-entend une tendance à l’antisémitisme, les descendants d’Abraham ayant souvent servi de boucs émissaires. La formule est culpabilisante et méprisante tout à la fois.
Merci cher ddacoudre,
D’abord permettez-moi d’inverser votre formule : ce ne sont pas les mots qui fondent les choses, mais les choses qui fondent les mots. Si les mots fondent les choses, c’est que le langage est perverti. Mais au départ, si l’on veille à utiliser le langage avec respect et le souci de la vérité (en se pénétrant notamment du sens des racines ou étymons) , le langage, je le crois, nous donne une image réaliste du monde. Et parler de la vérité n’aurait plus aucun sens, ce qui est bien sûr gravissime.
Si le langage était une fabrication arbitraire, nous serions enfermés à jamais dans notre subjectivité et nous pourrions même croire que le monde n’est que notre rêve. La diversité des langues (à supposer qu’elles ne soient pas dérivées d’une langue protohistorique unique) ne montre pas qu’elles soient purement conventionnelles, mais que les humains peuvent avoir des points de vue différents sur une réalité qui est par ailleurs d’une très grande richesse. Que le langage ne soit pas le résultat d’une convention ressort aussi du fait qu’il faut déjà un langage très élaboré pour créer une convention. Un homme qui n’a pas de langage ne saurait dire à ses congénères « Venez, mes frères et soeurs, nous allons désormais donner tel nom à telle chose et utiliser telle grammaire déterminée pour relier ces concepts entre eux ».
Chercher des responsables est normal et même nécessaire. Le but de tout discours utilisant l’idée de bouc émissaire est précisément de rendre impossible la recherche de coupables (se souvenir de la formule de Fabius : « responsable mais pas coupable ») : INTERDIT D’ACCUSER est ce que disent réellement les gens qui accusent les populistes de recourir à des boucs émissaires. On utilise évidemment le passé, le fait qu’il a existé des boucs émissaires accusés injustement — les Juifs sont évidemment les boucs émissaires par excellence dans l’histoire occidentale — pour décourager, condamner toute recherche de responsabilité fautive. Mais si personne, jamais, n’est responsable, comment les choses arrivent-elles ? Et comment bâtir une cité, une société démocratiques avec des êtres par définition jamais fautifs, donc jamais tenus de rendre compte de leurs actes ? Cela me semble difficile.
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