A
bas la calotte contre les décal’auteurs !
Mort de rigolade en lisant ce
texte, très bien écrit, mais moralisateur façon vieillotte. Le cinéma, ce
reflet de mare croupissante pour alouettes sans têtes, rend compte, bon gré
malgré, de notre monde qui a épuisé tout esprit. C’est aussi une pompe à fric
et à merdre, un vrai boulevard des rêves cassés par le triomphe de l’idéologie
beauf qui ne met au pouvoir, dans tous les domaines, que les camelots à mesure
que la planète se couvre de pizzérias.
Une portée, pondue par Ubu, de milliards de beaufs (putanacha ! d’un jet de sperme ce gros
cul a colonisé la terre).
Pour conjurer quelque peu
l’ignorance et la bêtise, il n’y a pas assez de mots, trop peu d’actes et trop
de pensées pauvres. Notre lisier suinte
de toute part. La morale catho n’est pour ce faire d’aucune utilité sinon de
rendre encore plus pathétique le spectacle !