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Les commentaires de chria



  • chria chria 27 juillet 2012 15:55

    @walker : je ne sais pas quel reportage tu as vu mais ce n’est absolument pas cela, et au contraire, les GES sont confortés.
    A l’heure actuel et en l’état des recherches, il s’avère qu’en prenant en compte l’ensemble des facteurs naturels connus, il n’y a qu’en rajoutant les facteurs anthropiques, les GES (dont le CO2) pour expliquer la montée des températures que l’on observe depuis le début du siècle dernier et le comportement du système en général. Après il existe encore des zones d’incertitudes, comme avec les nuages, mais les derniers résultats de Cloud n’apporte rien pour l’instant, et les scientifiques estiment qu’au final les nuages jouent à la marge, comparativement à une envolée massive des GES sur le long terme dans l’atmo.
    C’est pourquoi à la vue de ce constat et des probabilités, les scientifiques conseillent, par principe de précaution, de limiter les émissions de GES afin d’éviter des montées de température affolantes qui auraient des répercussions incontrôlables pour nos sociétés sclérosées.

    Après il y a la politique qui vient s’intégrer là dedans et ça devient le bordel...
    D’ailleurs les GES ce n’est pas que le CO2 émis par les pétroliers...



  • chria chria 27 juillet 2012 15:43

    Sauf que
    1) l’écologie politique et la science climatique ne sont pas du tout la même chose... Même si les avis du Giec rejoignent la vision des écolos (et alors ?).
    2) il n’y a pas d’exemple de découverte scientifique qui aurait remis en cause le fonctionnement du système climatique tel que compris et le rôle des GES...

    Tout ça n’est que du bla bla sans fondement.



  • chria chria 27 juillet 2012 14:54

    Avis bourrés de termes subjectifs et appuyés sur aucune publication.

    Il y a bien des débats au sein de la communauté scientifique mais cela ne veut pas dire que c’est les contre et les pour qui s’affrontent. C’est bien plus complexe que cela. En attendant, la théorie dominante reste que l’envoi massif de GES dans l’atmosphère réchauffe(era) celle-ci, toute chose égale par ailleurs.
    Le reste n’est que politique et idéologie.



  • chria chria 27 juillet 2012 14:47

    Bah pour reprendre Prigo allons y sur la flèche du temps.
    C’est pourtant logique.



  • chria chria 27 juillet 2012 14:46

    Qui a dit bidon ? Elles sont du tonnerre sur certains points, mais pour l’instant inapte à remettre en cause les modèles climatiques.



  • chria chria 27 juillet 2012 11:50

    bof appuyer une théorie non prouvée par des points de vue idéologiques c’est pas terrible.



  • chria chria 27 juillet 2012 11:47

    N’importe quoi, il n’a rien démontré du tout, mensonge !
    Décrédibilisation totale sur ce coup, files walker



  • chria chria 27 juillet 2012 11:46

    D’autant plus que rien n’est cyclique dans un système complexe... L’auteur aurait du tiqué puisqu’il a lu Prigo.



  • chria chria 27 juillet 2012 11:14

    « Oui, c’est la pollution qui est responsable du dérèglement climatique ; non ce n’est pas le CO2 qui réchauffe la planète. »
    A quand un petite publication pour nous démontrer tout cela ?



  • chria chria 27 juillet 2012 10:33

    En fait l’auteur nous montre comment on utilise la technique de l’épouvantail dans toute sa splendeur : on met dans les bouches des autres des propos qu’ils n’ont jamais tenu (le mélange scientifiques/journalistes, ou même de prendre un bout de phrase de quelqu’un pour l’attribuer aux autres), et on les démonte en prenant des arguments d’autres scientifiques/journalistes.

    Ensuite on a la technique jipebe : en un article on arrive à démontrer que toute cette science est fausse et qu’on vous baratine. De quoi flatter pas mal d’ego qui n’ont jamais pris la peine de lire les sources scientifiques : en deux coups de cuillères à pot v’la que j’ai tout compris, c’est que de la connerie !

    De plus la mauvaise foi est présente partout : "Quand tous ces ténors de la science, tous ces intellectuels engagés, tous ces journaux officiels, toutes ces associations, ces ONG, vous le rappellent jour après jour : la température augmente comme jamais dans l’histoire humaine, les glaciers fondent, la mer va monter, le désert va progresser en même temps que la malaria et les tsunamis"

    Ou encore quand il prétend que la fonte actuelle ne peut être liée au GES puisque c’est déjà arrivé et que donc il existe des facteurs naturels... Et ensuite il s’avère que la température « stagnant » depuis 10 ans, les GES n’ont donc aucun effet : et les facteurs naturels ?

    Et le fait de faire croire que la théorie de swensmark est la « vraie » alors qu’aucun article n’a encore été publié et que de toute façon même en rajoutant toutes les théories qu’on veut (nuage par ex, et pas le soleil, il est déjà intégré dans les modèles...), à première vue les gaz à effet de serre réchauffe et continueront de réchauffer l’atmosphère sur le long terme...
    A moins que l’auteur est quelques perles sur ce point sur la physique ? Bah il en trouvera bien on peut toujours tout trouver et tout travestir.

    Bref pour certains il semble si facile de réécrire l’histoire, alors pourquoi s’emmerder avec la science ? L’idéologie vaincra !



  • chria chria 16 juillet 2012 09:57

    Excellent ! Ils n’ont vraiment rien d’autres à foutre...



  • chria chria 12 juillet 2012 14:02

    La seule chose juste dans cet article est qu’on n’est pas égaux face au cannabis, et qu’il est débile de généraliser. 

    Sauf que c’est ce que fait l’auteur. 


  • chria chria 12 juillet 2012 09:44

    @joe : Le relativisme (qui en soi peut-être une bonne chose dans des débats triviaux) est finalement l’omega de toute votre pensée. Et c’est une impasse. 

    Envoyez des quantités importantes de GES dans l’atmosphère est on verra bien si cela n’a aucun effet. 
    M’enfin de toute façon à part envoyer des liens vers les mêmes sites sceptiques (comme on brandirait une bible, finalement) je me demande s’il vous arrive de réfléchir par vous même sur des sujets ou si vous êtes un robot. 


  • chria chria 12 juillet 2012 09:36

    Attention à ne pas confondre polluant et gaz à effet de serre, mais c’est sûr qu’il faut être complètement bouché pour penser que les activités humaines actuelles n’amènent qu’une relative pression sur l’environnement et que les bénéfices dont en tire l’homme sont bien plus importants que les dégâts occasionnés. 



  • chria chria 12 juillet 2012 09:32

    Intéressant ce débat entre un agriculteur qui vit le terrain et un penseur qui vit dans son relativisme



  • chria chria 11 juillet 2012 18:01

    @hervéM : j’espère que vous rigolez à comparer min et max.
    @cathy : ah oui d’accord c’est du second degré.

    Sinon vous avez oublié dieu et sa cohorte d’anges péteurs.



  • chria chria 11 juillet 2012 14:45

    Si au moins vous pouviez parler du sujet au dessus au lieu de noyer le poisson comme d’hab. 



  • chria chria 11 juillet 2012 12:32

    Observer c’est bien, essayer de comprendre c’est mieux. 

    On ne va pas relancer le débat météo-climat. 
    Le mois de juillet l’année dernière était un mois de juillet classique dans les années 1950/1980. 
    Et celui-ci est superbe cette année dans la moitié sud. 
    Dans les alpes on vient de vivre le 3e printemps le plus chaud depuis 60 ans. 8 mois de juin le plus chaud. 
    mais alors qu’est-ce que c’est pourri dans le nord ! Situation de blocage, y’en a de plus en plus. 
    On se calme. 



  • chria chria 11 juillet 2012 10:52

    L’étude parle de point de basculement notamment à cause de la pression exercée par les activités humaines depuis le début de la révolution industrielle. Un changement climatique rapide, qu’il soit d’origine humaine ou non, apportera donc une pression de plus sur l’environnement et aussi par conséquence sur notre organisation. La question de l’adaptation au regard du passé n’a donc pas de sens car la situation actuelle est unique dans l’histoire humaine (pollution, urbanisation, démographie, ressources, etc). 

    Bien que je n’aime pas les visions catastrophiques apportées par les écolos, je pense que lire cette article au travers de cette vision est un apriori mal venue. L’exercice ici étant de montrer qu’il y a une possibilité de point de bascule. Dont acte, on a compris. On intègre. 
    Après il faut faire attention au relativisme du « l’homme s’adaptera de toute façon ». Soit, je veux bien le croire, mais à quel prix ? On se situe alors devant une question quasi-morale, soit on prend la position de l’adaptation forcée et on considère que ceux qui en pâtiront ne font partis de toute façon que des perdants et qu’ils n’ont qu’à crever, soit on considère à la lumière de l’ensemble des prédictions qu’il faut dès maintenant essayer de s’organiser pour éviter le pire et vivre un changement dans la douceur. 
    Je suis sûr que le changement est de toute façon positif, mais il existe une réelle différence entre le changement qu’on prend dans la gueule et celui où on s’adapte. S’adapter ne veut pas dire attendre et tout ira mieux demain, mais bien se donner les armes pour le vivre positivement. 

    En fait dans tout changement il y a du bon et du mauvais. Considérer qu’il ne faut regarder que l’un ou l’autre est tout à fait étonnant. Pourquoi ne pas tout prendre en compte ? 
    Si des chercheurs font un article sur les bienfaits des pressions humaines sur l’environnement est bien on sera tous contents. Mais je n’en ai pas encore vu. A part de dire que les humains n’ont jamais été aussi heureux et bien nourris qu’aujourd’hui, et si on continue comme cela, ce sera encore mieux demain, notre modèle étant le mieux possible. 

    C’est pourquoi au final je suis d’accord avec votre conclusion. Et une bonne façon d’avancer serait que les écolos arrêtent de faire dans le catastrophisme et les « libéraux » dans le relativisme. Mais bon, il y a tellement d’intérêts derrière... 


  • chria chria 18 juin 2012 11:42

    Ahhhh on se sent mieux d’un coup