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Les commentaires de décurion



  • décurion 14 janvier 2010 11:23

    Si j’ai bonne mémoire, c’est l’insee, qui envoyait les courriers.



  • décurion 13 janvier 2010 21:12

    Exprimes toi clairement que je comprennes. Vas jusqu’au bout des motivations.Assumes clairement le fond de ta pensée, et crois moi, je te répondrais selon ton mérite.



  • décurion 13 janvier 2010 18:52

    Supposition gratuite et absurde.
    Le gros problème au niveau de la nationalité française, c’ est l’Algérie. On estime à environ 2 millions les actes d’état civil établis avant 1962, pour lesquels il faut s’en remettre aux autorités Algériennes pour la délivrance d’une copie.Malgré les accords successifs portant sur le microfilmage et la numérisation de ces registre, dont le dernier pour l’année de l’Algérie, en 2003, l’Algérie, multiplie les difficultés pour ne pas respecter ses engagements.
    Maintenant, si quelqu’un a eut l’occasion de tenir entre ses mains, une copie intégrale d’un acte de naissance établi par un état civil Algérien, il sait qu’il n’est pas possible de se fier à ses documents, qui sont des vrais-faux, ou des faux-vrais, au choix. Ces documents certifiés valables pour l’étranger, sont des retranscriptions manuscrites, établis par des jeunes non qualifiés (pour la plupart) et n’ayant plus aucune culture française, ce qui est logique,ils ont donc tendance à mettre des prénoms à consonnance musulmane, en lieu et place de ceux qu’ils ne décriptent pas, ou à mettre tout simplement néant, si c’est trop compliqué. Personnellement, j’ai du me reprendre à trois fois, pour obtenir 2 photocopies d’actes établis à Frenda, en 1907 et 1920. Encore faut il préciser, que mon insistance n’a été possible que parce qu’il me fut demandé des compléments nutritifs dont j’ai oublié le nom.
    En tout cas, le fait est que les documents officiels ne sont pas fiables, et les faux sont toujours possible.
    Il me semble évident, que si l’administration exigeait des garanties sérieuses uniquement aux personnes nées en Algérie, il y aurait un tollé général contre la discrimination. En attendant, tout le monde est logé à la même enseigne, mais c’est encore le moindre mal.
    Pour le reste, un grand nombre qui défende l’auteur aujourd’hui, le traiteront de colons à l’occasion.
     



  • décurion 13 janvier 2010 17:59

    « la possibilité de changer »



  • décurion 13 janvier 2010 17:57

    Si vous êtes né en Algérie, en ce qui concerne le N° de sécu, vous auriez du recevoir depuis belle lurette, un courier officiel, vous indiquant la possibilité le N° 99 (réservé aux étrangers) pour un N° correspondant à celui de votre département de naissance.
    Peut être n’avez vous pas reçu ce courrier, peut être avez vous omis d’y répondre ?
    Vous devriez vérifier.



  • décurion 13 janvier 2010 17:48

    Un de mes amis s’est fait délivré un certificat de nationalité gratuitement, cela s’est fait trés rapidement, en 1 aprés midi. Sa mère française, d’origine espagnole, née en Algérie, son père né en Espagne, naturalisé en Algérie, lui né dans le Rhône.



  • décurion 13 janvier 2010 15:48

    le livret matricule de votre père, détenu par la caserne Bernadotte à pau, ou aux archives départementale de son lieu de naissance, doit mentionner sa nationalité.
    L’acte de naissance de votre grand père, doit etre normalement aux archives consulaires du ministère des affaires étrangéres et attester également de sa nationalité.
    Il y avait également la possibilité de faire établir un certificat de nationalité par le tgi de votre domicile.

    Maintenant, il faut bien comprendre que cela est la contrepartie de l’égalité de traitement des citoyens devant la loi. On ne peut demander des preuves supplémentaires, aux personnes natives de pays ou l’état civil est déplorable, parce que ce serait discriminant pour ces personnes, donc on fait pour tous. Aprés tout comme on fait son lit on se couche, et on ne peut repprocher aux administrations de faire ce pourquoi elles sont payées.



  • décurion 13 janvier 2010 15:25

    les personnes concernées sont ceux qui subissent, pas ceux qui décident.



  • décurion 13 janvier 2010 14:38

    voxagora,

    Si je me contredis, démontrez le !
    De préférence, avec de bons arguments, car j’écris par expérience et connaissance personnelle, comme dans la plupart de mes commentaires.



  • décurion 13 janvier 2010 12:41

    Si chaque fois que l’on a un pet de travers, on se fend d’un article, qui croit tout dire et n’explique rien, AV est mal barré.
    Vous êtes né en Algérie. Soit, mais ou en Algérie ? Si vous êtes né à Frenda, Tiaret, ou à Alger, Oran, ce n’est pas pareil. Dans certains cas, les registres, ont été micofilmés, numérisés, gérés par le SCEC de Nantes ou transférés aux archives d’outre mer, dans d’autres cas, il n’y a pas eut de transfert de copies, et la preuve se trouve encore, à ce jour en Algérie, malgré les accords Bouteflika/ Chirac de 2003.
    Vos parents étaient français. Soit, mais Français FSE ou FSNA ?
    De plus, vous n’êtes pas le seul à subir ces tracasseries administratives, et d’autres, également fonctionnaires en passent par les mêmes arcanes, sans pour autant faire l’ane pour avoir du besson.
    Pour ma part, j’aimerais endurer trois, quatre fois plus de tracasseries administratives, et être sur que la nationalité française est seulement attribué à qui de droit.



  • décurion 13 janvier 2010 11:58

    Cette situation dure depuis des decennies. Les élus, les « pouvoirs publics » sont parfaitement au courant de la situation, et ils n’ont jamais rien fait de concret pour y mettre un terme, lorsque les personnes concernées étaient peu nombreuses et les moyens disponibles. Aujourd’hui, avec moins de moyens, et plus de pauvres, ils ne feront pas mieux, et donc relayer les témoignages, ne sert à rien.
    Ce qu’il y a de pire dans la misère, c’est qu’elle coûte beaucoup plus cher que le minimum d’aisance matérielle. Aussi con, que cela puisse paraître, être pauvre, est un luxe qui coute cher.
    La solution, la seule valable à mettre en oeuvre, dépend des personnes concernées, et de nul autre. Il faudrait qu’ils s’acceptent pour ce qu’ils sont, qu’ils se persuadent de leur capacité à réussir, et qu’ils se fassent confiance entre eux.



  • décurion 13 janvier 2010 11:07

    Peachy Carnehan,

    Vous avez certainement, une trés grandes expérience de la pauvreté, pour juger que j’écris des salades. Par ailleurs, si j’écris, ce que j’écris, c’est donc que je suis un habitué des banquets de l’UMP. Ainsi donc, pour vous reprendre sur l’emploi d’un mot, je deviens tutoyable, sinon pire.
    Il est clair que nous ne sommes pas sur la même d’onde, et il me semble donc inutile de poursuivre. C’est dommage, parce que les actions concrètes sont souvent à l’image des mots employés en amont, aussi droites, ou aussi tordues.



  • décurion 13 janvier 2010 01:11

    Bien entendu, le meurtre est interdit, mais pour autant, si je tue mon voisin, j’aurais droit d’etre défendu par un avocat, même si je n’ai pas les moyens de le payer moi même. Pour autant, je ne suis pas libéral, mais je n’aime pas que l’on associe les droits et les devoirs, dans un lot commun pour l’ensemble des citoyens, car on passe vite de l’exemple global à l’injonction indivuel, pour demander au rmiste des « devoirs » à hauteur de l’allocation perçue.
    C’est une dérive assez banale, dont je ne vous accuse pas, mais si vous êtes anti libéral, vous devriez évitér les termes qu’ils utilisent souvent comme munitions.



  • décurion 13 janvier 2010 00:28

    « C’est d’ailleurs pour cette raison que les droits trouvent leur réciprocité dans les devoirs. »
    Il n’y a et il ne peut y avoir de réciprocité entre les droits et les devoirs. C’est même carrement anti constitutionnel.
    Je crois que c’est Pasqua, qui lança cette sentence à la tv il y a plusieurs années. Le fait qu’elle soit reprise année aprés année est incompréhensible, car il est trés simple de comprendre que dans l’aire ou la loi s’applique, les droits sont attachés à la la personne et au citoyen, alors que les devoirs sont liés à la capacité des individus à assumer la charge qui en résulte.
    C’est pourquoi, il y avait des éxemptés du service militaire, il y a des citoyens qui ne payent pas l’impot sur le revenu, et des étrangers qui s’en acquittent. etc , etc.....



  • décurion 12 janvier 2010 23:20

    Tu crois pas que c’ est nul comme réflexion, d’autant plus que tu pleures bien plus souvent qu’à ton tour.
    Si tu veux me croire, c’est quand tu bonimente à grosse gachée, que tu es toi même.



  • décurion 12 janvier 2010 20:41

    Qui peut savoir, si notre secrétaire d’état a réussit ou loupée sa mission ? Avons nous tout les éléments pour juger ?
    Est ce que nous nous posons les bonnes questions ?
    Combien de résistants français sont allés vivre en allemagne aprés le 8 mai 1945 ?
    Combien de Nord Vietnamiens ont émigrés aux USA, aprés le retrait des troupes américaines du vietnam ?
    Combien de révolutionnaires Cubain ont rejoint l’Espagne aprés leur victoire sur les espagnols ?
    On pourrait multiplier la question, en changeant de lieu, la réponse serait pratiquement la même : un nombre dérisoire, ce qui est normal. Cela vaut pour la planète entière, sauf pour la France, à croire que nous sommes marqués par le destin.
    Combien de membres du FLN vivent en France depuis l’indépendance de l’Algérie ? Combien bénéficient de la double nationalité ? Combien y ont acquis des places enviables dans la société ?
    Qu’ est ce qui pousse un homme, qui a reçu en récompense de ces bons et loyaux services, l’une des plus belles villas de la région de Gardaia et deux valises pleines de billets, à venir travailler dans une usine merdique de la région lyonnaise, avec un salaire de manoeuvre, et à vivre dans une barre de Vaulx en Velin ? On sait que ce n’est pas pour raison politique, puisque chaque année il retourne chez lui ou il est reçu avec les honneurs qui lui sont dûs.
    Il serait interessant de connaitre les différentes motivations, qui ont poussés les « héros de la révolution Algérienne » à venir s’installer en France, et non dans cette Algérie, pour laquelle ils étaient sensés verser sang et sueurs. La réponse obtenue à propos des parents, il sera plus simple de comprendre le rôle des enfants.
    Au besoin, on peut se référer au discours de Boumedienne à l’ONU en 1974, ou à la petite phrase de Kadhafi dans le Figaro du 19/12/2006.



  • décurion 11 janvier 2010 21:33

    Le 8 mai 1945, le général de Gaulle, a devant lui tout le temps nécessaire, pour régler le problème Algérien. Si face à la tentative d’insurrection, il choisit d’utiliser la répression, c’est trés certainement qu’il n’a pas voulu se laisser imposer sa conduite par les évènements. Il aurait put tout aussi bien, agir avant le déclenchement des faits, puisque les mouvements nationalistes étaient étroitement surveillés, sinon noyautés par les renseignements français.
    La répression de 1945 à donné 10 ans de paix à l’Algérie, en pure perte, et en 1958, le général n’a plus le temps de réécrire l’histoire.
    L’acte de rebellion des Kabyles ne date du 8 mai 1945, puisque celle ci a été pour ainsi permanente, et pré existante à la présence française, même si les maures andalous, qui eurent le malheur de s’établir sur ces rives, ne peuvent en témoigner.
    Pour le reste, tes lectures sont à charges « anti colonialiste » exclusiment, je préfère moi chercher la vérité, en tout cas, celle disponible, comme elle vient, et selon mes moyens.



  • décurion 11 janvier 2010 20:18

    "les enfants de Fellaghas sont fiers de leurs parents qui ont obtenu leur indépendance de haute lutte et les armes à la main devant les hordes de soldats de criminels de l’empire Français, qui n’épargnaient ni femmes ni enfants.« 
    Il faut bien avouer que si cela était vrai, cela aurait de la gueule. Malheureusement, c’est faux.
    L’indépendance de l’Algérie, ne fut pas arrachée de hautes luttes par des fantassins baroudeurs, mais par des »artilleurs« qui salves aprés salves remplissaient les ventres de leurs femmes.Un combat gagné, mais non fini, qui a juste changé de continent.
    Qui pourrait croire qu’entre le 4 juin 1958 (Discours du forum d’Alger) et le 16 septembre 1959 (Discours sur l’auto determination), de Gaulle, ait changé d’opinion comme une girouette ?
    La vérité est que le sort de l’Algérie et des Colonies françaises, a été décidé avant la libération de la France en 1944. Si de Gaulle, ne voulait pas de l’Algérie, c’est parce qu’il ne voulait pas de ces habitants, Cela implique, bien évidemment les Indigènes, mais pas seulement eux, les » Européens« étaient également concernés.
    Non, vraîment les maquis FLN, n’étaient pas obligés de crapahuter dans les Aurès, ils auraient put tout aussi bien, retourner dans leur familles, et vendre des figues de Barbarie ou des fèves salés, ils auraient eut tout autant, l’indépendance, la vie en plus.Car il faut bien dire que la France était plus pressée d’accorder l’indépendance, que le FLN de L’obtenir, et cela se fit au prix de l’éradication des maquis FLN par l’ Armée Française. Mission qui fut admirablement remplie, si l’on excepte, ceux qui survécurent en s’enterrant littéralement sur place. Pour ce qui concernait les rescapés, les harkis désarmés, et les »français« , il incombait aux politiques du FLN, de finir le ménage. 
    Voilà peu ou prou, l’agonie de l’Algérie Française, qui engendra la nouvelle Algérie. Un pays formidable, ou malgré les incessantes purges à l’intérieur du FLN, malgré le massacre des harkis et de leur famille, chaque année, aprés 1962, il y eut une augmentation constante du nombre de  »héros de la révolution", et ou presque un algérien sur deux se réclame d’un parent naturalisé français, mort pour la France, ou l’ayant libéré.



  • décurion 11 janvier 2010 18:25

    Il ne faut pas se leurrer avec des mots. Toute notre économie, repose exclusivement sur la consommation des ménages. Peu importe les qualificatifs qui collent aux impots et aux taxes, ce n’est que du vent, et il n’y a qu’un seul véritable payeur : c’est celui qui perçoit un revenu fixe qu’il ne peut faire évoluer selon ses besoins. Celui là paye deux fois la taxe, alors que probablement, ceux qui ont oeuvrés sur la marchandise qu’il achète, se contenteront tout juste d’avancer la somme.
    La taxe carbone ! Si elle est payée par les entreprises, elle sera indexée dans les coûts, et gonflera les prix, ce qui obligera les consommateurs à payer deux fois cette putain de taxe. Si les entreprises sont éxonérées de cette taxe, les consommateurs ne la paieront qu’une fois.
    CQFD : In ne peut y avoir d’égalité devant l’impot, sans égalité devant le revenu.
    Prendre aux riches pour donner aux pauvres, est un voeu pieux, impossible à mettre en oeuvre, tant que les riches pourront légalement prendre aux pauvres.



  • décurion 9 janvier 2010 19:47

    Lorsqu’on a voté sur un commentaire, le plus disparait, empechant ainsi de voter deux fois le même commentaire.