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Les commentaires de ash



  • ash ash 28 juillet 2009 10:55

    Tiens, c’est assez drôle, on pourrait se faire exactement la même remarque au sujet de la pub Twingo (ici)... Une pub pour une bagnole à priori FRANCAISE, qui met en scène une chômeuse FRANCAISE ? Où est la différence exactement, où fait-on mieux que les ricains là ? Si vraiment le message est grincant à vos oreilles, pourquoi donc s’en prendre à eux plutôt qu’à nous ?

    De plus, avant de vitupérer, ne négligeons pas la possibilité que nous soyons de vieux cons, devenus smiley



  • ash ash 19 mars 2009 15:04

    Il y a un truc qui m’épate à chaque fois qu’on s’esbaudit de l’essor du Net, c’est à quel point on passe à côté de cette vérité certes crue : les anciens modèles ont vécu car, et surtout, ils sont devenus de mon point de vue d’utilisateur/consommateurs, passablement mauvais.

    Contemplez l’état de l’art du journalisme portés par les médias traditionnels... Mein Gott... La publicité comme moyen de finance principal a été catastrophique pour l’intelligence des débats : pourquoi être ’bon’ et honnête vis à vis de ses concitoyens, en dénoncant ou en investigant, alors que semble suffire des papiers moyennement rédigés, suffisament plaisant pour l’annonceur et tout juste pour le lecteur.

    Nos journalistes ne font plus leur boulot, et sont devenus fainéants et passables, car le pli est pris, plus personne à la télé ne montera au créneau devant les énormités des uns et des autres : c’est pour l’exemple une émission comme ’le petit journal’ qui va mettre le nez de M. Lefebvre dans ses contradictions, crénom ! Une farce !

    Beaucoup partagent ce ressenti, plus ou moins consciemment, qu’on se fout gentiment d’eux à la téloche, ou dans la pléthore de magazines papiers sans substances... Certes pas de révolte ni boycott, mais une plus grande versatilité : à la premiere occasion, je zappe vers du gratuit pas plus bête que le reste, ou vers l’internet : et là quel soulagement de la liberté et parfois de la profondeur de ce matériau brut qu’est le Net... Ouf et re-ouf.




  • ash ash 1er décembre 2008 16:27

    www.banque-france.fr/fr/stat_conjoncture/telnomot/zoneeuro/zeb015.pdf

    Ce ne sont pas les stats les plus difficiles à trouver smiley Trouvez une autre excuse à votre paresse synaptique : vous nous bruitez le fil, là...



  • ash ash 12 novembre 2008 11:58

    A mon humble avis, il n’y a pas eu de Grand Plan Orchestré , mais l’"intentionnalité"... La "guerre d’influence"... Tout ceci a eu lieu de manière latente, à des échelles individuelles, ou possiblement en petits comités, à la faveur d’une regroupement opportuniste... C’est l’’Effet de Traine’ adapté à l’appât du gain !

    Car on ne peut pas prétendre que les alternatives n’ont pas été évoquées, et que pour être actuel notre modèle capitaliste fusse si pur, que par consensus il est inutile de le modifier (encore lu ce matin : discussionleader.hbsp.com/good-business/2008/11/social-businesscapitalisms-mis.html).
    L’information existe, les cheminements intellectuel ont lieu (cf Forest). Mais la réaction ne se potentialisera pas, car finalement peu désiré par les premiers arrivés sur le magôt : la guerre - tactique - se déroule sur ce point.

    Les mécanismes d’orientation générale du bidule sont malheureusement classiques et... basiques : un bête, égoïste et court-termiste, appât du gain. C’est humain, et observable à la toute petite petite échelle (fractales ?) de nos comportements quotidiens : osez le téléchargement, et pratiquez l’accès ’borderline’ à une source quasi illimitée de plaisirs culturels ; analysez bien les différentes étapes de votre jouissance personnelle... Constatez que le goinfrage est une première phase (et aussi bien souvent la seule).

    Si chaque cycle de pillage d’une société par quelques uns, est semblable dans le fond et ses motivations, ses formes seront toutes fois différentes : on joue sur une échelle de ’quelques générations’, et notre évolution se poursuit inexorablement... Dans notre présent, les techniques employées se sont dirigées vers davantage de virtualisation : la technologie de l’information (à laquelle je contribue smiley) a éminemment raccourci le siphonnage, avec le bénéfice ajouté de très bien s’accorder de contraintes morales fluctuantes : l’obfuscation technique recouverte d’un glacage de justifications foireuses (théorie libérale pe ?), ca vous fait passer n’importe quelle grosse pillule : au point de décridibiliser les tenants moralistes d’ailleurs.

    Alors de nouvelles règles, pour une société qui voudrait éviter ’çà’ : arg, mettre à l’index chaque garnement qui ira reprendre du rab de frites sans se préoccuper des copains qui n’en auront pas ? Mouais... Suffira pas... Nous somme ’câblés’ comme cela, et hum... apparemment certains plus que d’autres : l’ineluctabilité prônée par l’auteur résiderait-elle justement ici ?



  • ash ash 10 novembre 2008 12:15

    La virulence de la riposte est assez instructive :)
    Personnellement : je salue une première fois le gouvernement islandais pour avoir eu le courage de décapiter sa banque centrale (=>management de base hein, on change l’équipe lorsqu’on se dirige dans une direction différente). Et je le salue une seconde fois pour avoir osé le constat d’un déséquilibre hormonal au sein de leur finance...
    J’imagine que ceux qui hurlent à la vindicte, manquent de l’expérience d’avoir travaillé à la fois sur des projets ’mâtinés’ et sur d’autres, ’gentlemen only’. J’ai eu ce curieux privilège. Et la différence est éminemment ’palpable’ (on va s’éviter les jeux de mots :)). L’âge a tendance a minimiser les pics, mais entre 20 et 35 ans du moins, les comportements au travail sont radicalement ’autres’ dans ces deux cas. Toute le conduite d’un projet, ne serait-ce que les réunions de travail plus ou moins avachis, bénéficient de cete mixité. Alors j’avoue mal comprendre ceux qui trouvent normale la culture de l’uni-sexe dans la finance. Pensent-ils sincèrement que notre point de civilsation est si élevé que nous puissions moquer les comportements de nos congénères chimpanzés ? Ne veulent-ils pas plutôt perdurer des mécanismes passés qui leur sont favorables ? Et nous, lambdas, le désirons-nous ?
    Notre manque d’intelligence collective et de conscience nous plongent dans la mouise : il est anormal qu’une seule moitié de notre race soit aux commandes de la machine folle de la finance, le raccourci est peut-être facile entre ce constat et la recherche d’une cause : mais en tous cas les islandais ne veulent plus de cet état de fait, et ils le changent.
    Il n’y a décidément pas grand chose à y redire.








  • ash ash 5 novembre 2008 10:04

    Au sujet d’un article "foi/humanisme/immoralisme" : vi, j’adhère ! Si tant est que la forme soit modérément obscure et partiale, hein ! smiley
    A force de synthétiser/corréler les évènements passés : il semble bien ne me rester que les explications assez ’primordiales’. Ce qui est conforté par le fait que les problèmes complexes semblant souvent issus d’une somme de déclencheurs ’simples’ (ou de banalités affligeantes, selon l’enervement : comme ce post et ceux qui le précèdent apparemment smiley)... S’attaquer à l’autre extrèmité du problème pourrait nous permettre de dénouer le noeud intellectuel de la crise economique actuelle. Pour l’exemple.
    Cordialement.




  • ash ash 21 octobre 2008 16:20

    Que place-t-on dans ’Capitalisme’ ?

    Si l’on parle des personnes qui le pratiquent, on pourrait juger normal que toutes ces individualités aient un minimum syndical de considération pour leur prochain : par l’absurde, je me vois mal abandonner toutes fois (et lois) à partir du moment où j’allume mon ordinateur pour boursicoter.

    Il me semble iréel (voire dangereux) de séparer la notion capitalisme, du conglomérat de moralité des individus qui le pratique. Ca n’aurait juste pas de sens ’pratique’...

    A mon humble avis, il existe bel et bien un cadre moral minimal (très large) du capitalisme. Si l’on admet çà, je ne verrais personnellement rien d’amoral (pour le coup :)) à le contraindre spécifiquement davantage, histoire que ceusse qui profitent des zones grises, en plaidant l’ignorance, soient mis au parfum : le religieux pourrait s’inviter davantage dans les marchés.



  • ash ash 20 octobre 2008 09:43

    >comment obliger les loups qui sont dans la place à plus de probité ?
    Il est une truc très prôné par le management (anglo-saxon du moins) qui est de couper toutes les têtes d’une entreprise en difficulté, plutôt que de tenter d’infléchir des mentalités. L’esprit humain étant ainsi mal fait, qu’il aura tendance à s’enferrer dans des décisions qu’il a prises même si elles sont *visiblement* mauvaises...

    Il me semble impossible d’appeler à plus de probité des personnes qui ont une vision aussi étroite de leur rôle dans la société : le développement de leur capacité à faire du pognon (et pas à créer de la richesse), a certainement évincé toutes les neurones consacrées à leur contribution à un monde plus juste et plus heureux. Je conjoncture qu’ils se sentent incompris, et que nous passons pour des extra-terrestres, nous la foule hurlante amassée en bas de leurs immeubles : comprennent-ils même le problème actuel (M. Maris en doutait fortement dans l’interview qui circule) ? Mon sentiment est que ceux qui en avaient les capacités intellectuelles/morales en ont soit profité, soit sont sortis du système. Donc que ceux qui restent en place sont perdus pour l’humanité.

    J’attends de voir ce que donnera la décision islandaise de décapiter leur système, en y affectant des femmes. Je trouve la décision plutôt rafraichissante : et si priori elles résisteront davantage au côté sombre, on pourra se demander ’combien de temps’  ?



  • ash ash 14 octobre 2008 12:17

    Je plussoie votre intervention, malgré que je ne pressente pas franchement de ’meilleures indicateurs’ pour demain... Car si l’on ramène tout ce système à un conglomerat d’intérêts personnels, franchement il y a de quoi être pessimiste : indicateurs de quoi ? de faire du pognon à court terme, en l’occurrence, les indicateurs étaient parfaitement clairs et ont rempli leur rôles... Et les sociétés qui établissaient ces notations, les commanditaires des notations, et ceux qui étaient susceptibles de d’arbitrer, tout le monde fut partie prenante et a certainement largement baigné dans l’argent facile.
    Clairement les quelques fous qui ont du vouloir faire leur boulot sur un vague fond humaniste (’heu, boss, ce titre là, si tout le monde l’achete et que ca pête, ca va etre le krach et la recession pour le pays, c’est mal, non ?’) ont du être virés fissa.
    Je râle, je râle, mais comme à chaque fois que je lis les portraits de Boursorama, ou ses recommandations financieres : jamais ô grand jamais, on y trouve la moindre considération pour son prochain, mais uniquement des attributs qualifiants une prospérité financière ¢ court terme... Arf, une mise en garde contre une possiblité de mauvaise action et de pétage de bulle à venir, je l’attends celle-là.
    Comme j’attends toujours une tentative explication ou un mea culpa des gros investiseurs. Au moins Kerviel s’est justifié.
    Rien ne peut barrer la route à une aveuglante promesse de gros gain à court terme, et vu les sommes en jeu dernièrement, il y a eu de quoi dévoyer toute plusieurs fois toute la morale de la terre.



  • ash ash 7 octobre 2008 12:15

    Votre conclusion est terrible. Mais les remugles de ce ragoût executif/industriel vicie vraiment l’air, car ensemble notons que, chaque jour passant, tout ceci n’arrête jamais de prouver le peu de considération et de reflexion sur le sujet culturel et... le nôtre.
    C’est vrai quoi : à ’peine’ 60 millions de péquins à qui l’on veut faire consommer de l’art McDo à grands coups de raccourcis : enterré le statut particulier de la culture, enterré la reflexion sur les technos numériques qui duplique sans altérer, et le plus beau ces derniers temps, enterrée la démocratie.

    Et dès lors de constater le comportement de hussards des gens qui ont l’outil de l’Etat dans leurs mains, je ressors livide... Et avec pas mal d’amertume.
    Sans compter avec cette peur nouvelle dans leur future approche des (gros gros) problèmes à venir.




  • ash ash 6 octobre 2008 11:45

    Mince... A la deuxieme lecture on trouve encore des perles :)

    C’est drôle (ou pas) mais alors que particulièrement intéressé par le sujet, je m’apercois dans les faits que ca préoccupe peu ’les gens’ (et donc je pige la forme humoristique employée par Forest, gros malin, va :)), donc que ca ne suscite aucun remous sociétal, aucune remise en cause du (mauvais) systeme actuel, et que très ouvertement il y a un parti pris édifiant de la part de l’Executif...

    Alors bon, lorsqu’on voit à quel point le droit à l’avortement a eu du mal à s’imposer malgré le débat suscité, on est pas près de voir remis en cause le remplissage de poches de certains sur le dos de la Culture et l’Art, ou la mise aux normes d’un internet un peu trop libertaires. Car de façon exaspérante, il semble bien question de çà :|

    Des rives de la Saone, j’entends Victor Hugo se retourner dans sa tombe.



  • ash ash 1er octobre 2008 09:42

    Même si la pratique de l’augurat peut vous désespérer un homme... Crénom, ca ne manque pas de chevaux de bataille en ce moment !
    Certes ils auront moins d’envergure que l’analyse d’un effondrement planétaire de l’économie, mais restent nombreux ceux qui pourraient bénéficier de ta crédibilité smiley



  • ash ash 1er octobre 2008 09:15

    Je ne vois plus que çà : fr.wikipedia.org/wiki/Idiot_utile





  • ash ash 30 septembre 2008 13:56

    Bravo et Merci : autant pour sa forme que le fond, cet article est d’un interet vulgarisateur incontestable... Ca repose. Enfin... Façon de parler.
    Car quoi penser de la foi inconsidérée dans les modèlisations (mathématiques ?) : c’est bien signe que beaucoup n’appréhendent pas le gap entre théories et pratique de la vie, et qu’il va nous falloir reprendre certaines bases essentielles, dès l’école... Pierre-Gilles de Gennes, reviens nous !



  • ash ash 30 septembre 2008 10:21

    ... Et apparemment Agoravox vous permet de déverser votre haine du genre humain, vous pourriez lui être reconnaissant(e) ? Si vous engagez le championnat du raccourci vociférant, je tiens à vous prèvenir que vous ne serez pas seul à concourir smiley
    En l’occurrence, sachez qu’à mes yeux vous n’avez pas plus de crédibilité que n’en ont ceux qui vous déplaisent.
    Rectification : vous en avez bien moins
    Car à vitupérer de la sorte, je vous estime dans un état d’intellect particulièrement contraire à la discussion (pour des raisons qui m’échappent, mais passons) : vous ne faites que polluer le sujet, et génez ma reflexion.

    En l’occurrence, entre deux coups de sang, vos remarques sont relativement d’intérêt : respirez, et puis exposez vos idées avec vos moyens, vous serez lu/entendu : n’oubliez pas que vous oeuvrez pour des *lecteurs*, pas pour votre nombril smiley







  • ash ash 19 septembre 2008 09:10

    J’adhère : ce n’est pas tant la moralité en tant que cadre humaniste qui est critiquable, mais plutôt son utilisation malhonnête : comme si les Mauvais retournait leurs remords vers leurs détracteurs, ou au minimum se permettait des réponses simplistes au reproche de leur amoralité.
    On assiste du coup à une prioritarisation consternante des arguments moraux : manque d’intelligence ou cynisme éhonté ?



  • ash ash 18 septembre 2008 11:17

    J’aimerai assez ’les moralistes’ (plus que ’les moralisateurs’ ;) : je suis un peu gêné de lire que les bulles sont dans l’ordre des choses. Alors peut être le sont elles dans la ’chose financière actuelle’, mais à chaque fois cela me donne l’impression singulière d’assister à des courses de boites à savons sans frein dans les rues de san-francisco : où tout le monde sait qu’il n’y aura qu’une issue fatale, mais bon, on va tous bien se marrer en se tirant la bourre...

    Remplacez ’caisses à savons’ par ’structures bancaires et industrielles’ : revêtez la chose des oripeaux du ’c’est nécessaire pour assurer notre croissance’, ’tout le monde le fait, et sinon on va se faire bouffer’, si vous voulez... Cela reste des pratiques de sales gosses irresponsables. Et dans la mesure où les victimes ne sont pas uniquement les intéressés : la société doit-elle laisser pratiquer, dans ces conditions ?

    J’ai beau chercher, mais je n’arrive pas à trouver un tel état d’anarchie dans un autre domaine.




  • ash ash 15 septembre 2008 15:12

    <cynique>
    Dans l’utopie libérale, les excès des uns seraient à priori sanctionnés par un système auto-régulatoire, lisse et parfait (arf). Ce qui est intéressant dans nos systèmes hybrides, c’est que la triche y est aisée (il suffit juste d’un peu d’amoralité). Et si on voulait être plus conspirationniste que les conspirationnistes, on pourrait se laisser à penser que nos nuisibles n’ont pas trop interêt à se rapprocher de la perfection.
    Pourquoi s’ennuyer avec de meilleures règles, si on peut copiner avec le maître du jeu ?
    Un certain chaos, avec ses détours et ses zones d’ombres, est tout à fait fertile pour les affaires.
    Davantage d’ouvertures (comme l’éducation ou les soins privés) ne nuirait pas aux perspectives, certes, mais ne laissons pas l’Etat sortir complètement du terrain de jeu de l’économie... Tellement d’amitiés et d’intérêts partagés...
    </cynique>

    Les anti espèrent que le système actuel se foute par terre.
    Les pros invoquent les grands cycles, et appellent au pragmatisme.
    Les ultras, sans se renier, souhaitent au contraire réduire l’interventionnisme étatique.

    Misère. Et un système bêtement plus ’moral’ , serait-ce beaucoup demander ?
    Je sais, c’est naïf.



  • ash ash 11 septembre 2008 22:10

    Histoire de poser un jalon dans cet excellente série d’articles : le 07/08/09 l’état américain aura donc injecté 200 Milliards de $ dans Freddy et Fanny, les nationalisant de fait. Les deux PDG sont virés, et les actionnaires dans les choux. Chaque citoyen américain sera sollicité à hauteur d’environ un mois de salaire...

    La nouvelle, censée rassurer les investisseurs étrangers et calmer la chute des indices boursiers, s’est heurtée à l’annonce de la dégringolade de l’action de la banque d’affaires Lehman Brothers. 9 banques se sont déjà plantées. La liste noire des établissement pudiquement appelés ’à problèmes’ compte maintenant 117 entrées, et il semble y manquer les plus gros d’après certains.

    Forest, tu fus malheureusement très inspiré lors de ta prospective (horreur, à moins que la Destinée, bonne fille, n’ait décidé de suivre tes écrits à la lettre ?). Bon, en tout état de cause, il ne me reste plus qu’à te relire : avant de me constituer un stock de conserves et acheter un fusil :|



  • ash ash 11 septembre 2008 21:07

    Que tout ceux qui sont passés à côté de l’ovni SIMS lève le doigt :) J’en fais partie, et je l’ai essayé deux fois sans succès.
    J’ai beau être du milieu, retourner le probleme dans tous les sens : je n’ai pas d’explication. Au mieux je peux avancer qu’il etait pile dans l’air du temps, mais que surtout ET DE TOUTES LES FACONS, pour un *zillion* de raisons, personne n’éprouve la même satisfaction dans un jeu vidéo. Et qu’au final il etait normal que je ne ne ’sente pas’ un jeu un peu différent de mes habitudes (problemes de capteurs d’endorphine ;) ?
    Et j’ai la preuve permanente et quotidienne de mon aveuglément en regardant jouer mon gamin de 5 ans.
    Juste un peu d’humilité, car il est POSSIBLE qu’il suscite du plaisir, même si infime, à une majorité de la population. Ce que nous ne représentons pas, je suis prêt à le parier.