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Les commentaires de jobo0502



  • jobo0502 25 mai 2016 01:33

    Bonsoir Olivier,

    Souvenirs, souvenirs...
    http://www.pauljorion.com/blog/2016/05/24/piqure-de-rappel-insistance-de-68-par-christian-laval-2/

    Enfin la vague revient, depuis le temps que je l’espère...



  • jobo0502 24 avril 2015 23:29

    @olivier cabanel

    Autre citation :

    « Pour les riches : des couilles en or. Pour les pauvres : Des nouilles encore. »
    Pierre Dac



  • jobo0502 6 juin 2014 02:05

    Il existe encore dans une grande frange de la population le respect du puissant parce qu’il est puissant donc fort, fort par ses biens, fort par son savoir du moment, fort par ce qu’il pourrait faire engendrant peur et insécurité. Pendant plus de 10000 ans le peuple a appris à son dépend qu’il ne faut pas mécontenter les forts, dix mille ans de bourrage de crane, cela laisse des traces, des habitudes et quasiment des réflexes (ah ! Darwin).

    Il y a quelques 250 ans les plus forts des moins forts ont dit aux vraiment plus forts : cela suffit, on partage ou l’on fait tout casser, parce qu’ils fournissaient au bas peuple les moyens de survivre.

    La, commence la civilisation de l’image, puisqu’une effigie sur une pièce entraîna une coupure historique.

    A la place d’un nombre restreint de privilégiés, le pouvoir fut auto-octroyé à ceux qui compteraient (conteraient) un maximum de mains au sein de ceux dont la tête souhaitait tenir encore au cou, et garantissaient que rien ne changerait au dessous de leur position. Ils élurent des représentants.

    Ils représentaient le peuple qui relevait d’eux en toute dépendance vitalement consentie, mais qui ne les connaissait pas, ni des rêves ni des dents.

    Peu de documents nous révèlent ces élites, experts, hommes élus par leurs pairs. Ont-ils profité de leur position, je n’oserai m’avancer sans l’aval d’historiens dûment rétribués confirmant une certaine propension à ce qui fût sera...

    Les représentants se représentaient, avancée historique, hommes inconnus de la majorité des foules.

    Il y a moins de cent ans, vint le son, puis, peu de temps après,l’image, offerts au peuple béat et reconnaissant par ceux qui auraient bien voulus restés incognitos... mais affaires obligent...

    Vint alors l’époque de le représentation (celle qui consiste à paraître et ne plus être à part). La m.rde dans la tête ne se voit pas si l’on est propre sur soi. L’habit fait le moine avec le maquillage d’un maquignon et l’on peut se présenter en tant que représentant d’une représentation (Euh !!)


    Voila ou nous en sommes, maintenant, nous pouvons tout savoir de ceux qui sollicitent notre approbation, mais le réflexe de Pavlov semble encore bien incrusté, tant à propos des personnes que des idées.

    Je n’ai pas de recette miracle sachant qu’au fil des temps, tant d’idées et de conditionnements se sont interpénétrés qu’il nous faudra bien encore 10000 ans pour nous en débarrasser , après le grand krak.

    Juste un peu plus d’égalité, de commensalité, de partage et surtout de doute nous permettra de retarder l ’heure du nivellement en espérant qu’après, une raison s ’éveille.


    A peu prés 3 kilos vitales de notre corps n’est pas nous (au sens ADN du terme) - bactéries, virus, champignons- mais sans eux nous ne serions pas, nous ne pourrions pas être. Il n’existe aucune espèce vivante qui ne dépend pas du sacrifice partiel d’ une autre au bénéfice dans le temps des deux (n’oublions pas que la terre est vivante en tant qu’organisme structuré complexe).


    Chacun doit donner pour recevoir et chacun doit recevoir pour pouvoir donner.


    Il est vrai qu ’en ce moment, beaucoup veulent recevoir et peu donner, profitant de l’éclatement des structures historico-culturelles qu’ils ont organisé. La disparition des repères facilite la dissolution des entités représentatives d’une vie locale. Vie locale déjà mise à mal par la disparition du lieu de vie en faveur du lieu de travail, étranger en son pays...



    L’ego a remplacé la mana




  • jobo0502 4 juin 2014 05:39

    Même en face à face, j’ai du mal à croire en la personne qui me parle selon les intérêts qu’elle représente... qui croit encore son conseiller bancaire ou celui de son assurance, qui croit encore aux discours des hommes publiques, qui croit encore aux paroles de ceux dont l’intérêt est de vous faire croire.
    La croyance se fonde sur votre ignorance et/ou votre passivité.
    La croyance se fonde sur le fait qu’il ne vous sera pas possible de démontrer que le contraire - ou une autre option- est vrai.
    La croyance se fonde sur un principe démocratique, celui où une majorité formatée l’emporte.
    La croyance se fonde sur un principe d’agrégation, l’union fait la force.
    La croyance se fonde sur un principe de protection, hors de moi, point de sauvegarde.
    La croyance se fonde sur la tradition, hier , c’était comme ça, aujourd’hui c’est comme ça, donc demain ça sera comme ça.

    La croyance n’est pas qu’affaire de religion, mais aussi de politique ce qui est la même chose, il faut bien le concéder, il faut bien le regretter.

    Puis-je vous proposer un autre livre ? Un livre de questionnement que certains connaissent surement sous la forme mnémotechnique QQOQC et autres variantes indiquées dans le lien.
    Qui, Quoi, Ou, Quand, Comment (auxquels vous pouvez ajouter d’autres questions toutes aussi importantes du type combien, pourquoi ...)
    Je ne donne pas de réponse, je pose des questions.
    Qui a intérêt à vous faire croire en ceci plutôt qu’en cela ?,
    Quoi, que veux t-on vous faire croire ?,
    Ou, pourquoi ici et pas ailleurs(et vice versa)
    Quand , qu’est ce qui fait que ces questions perdurent alors qu’elles devraient être résolues depuis des lustres.
    Comment peut on vous opposer les uns aux autres alors que vous êtes les mêmes ?

    J’ai posé des interrogations mais elles ne sont pas les seules à pouvoir être formulées. Chacun, selon ses croyances, peut les retranscrire, mais qu’il n’oublie pas que croire, c’est voir avec un seul œil, ce qui est vraiment dommage, l’important est le message qui n’est pas dit.

    Alors, que nous soyons les rejetons ou avatars d’un dieu ou d’un E.T. nos sommes dans la même me.de. Et ni l’un ni l’autre ne nous en sortira. La seule solution c’est NOUS au delà de nos erreurs et nos errements.



  • jobo0502 4 juin 2014 02:46

    Ah ! je constate qu’il existe encore quelques adeptes de notre si ancienne religion gustative.
    Il ne faudrait pas oublier que parmi les origines arabo-perses et greco-romaines se glissent quelques origines babyloniennes d’où l’origine probable bien que plus tardive et contestée de l’interprétation de l’agneau christique.... Des recherches doivent surement être en cours.
    Malheureusement, au fil des temps et des migrations, les ingrédients de bases, les accommodements et les accompagnements ont passablement évolués si bien qu’il est bien difficile de retrouver la recette originelle, si tant est qu’il y en ait une et non plusieures dès la conception par un ventre incontestablement humanoîde par sa propension a abusé de ses bienfaits avec ou sans fromage, avec ou sans tomates (pour les végétalistes) et qu’il est , jusqu’à témoignage certifié d’un E.T père de l’un mais fils de l’autre, le spécialiste de la bonne bouffe... et du bourrage de cranes.
    Tout le reste me semble un rêve dans un nuage.



  • jobo0502 28 mai 2014 21:01

    Préparation au tissu de mensonge TAFTA !

    Projet de loi sur le principe de précaution visant à modifier la charte de l’environnement.

    En bref, le principe de précaution, c’est bien mais il ne faudrait pas que cela nuise à l’innovation... faites confiance aux experts



  • jobo0502 25 mai 2014 00:09

    Belle combinaison que l’Europe, comme celle de l’aveugle et du paralytique (fable de Claris de Florian).
    Résumons :
    Un paralytique -le peuple- à des problèmes pour avancer tout seul.
    Un aveugle -les élites-, qui passait par là lui dit : ne t’en fais pas, moi je suis fort, je peux te porter et à nous deux, nous irons ou nous voudrons :
    Aidons-nous mutuellement,
    la charge des malheurs en sera plus légère ;

    ...
    Voilà, voilà, cela c’était la fable, la promesse, le contrat, l’Europe...

    Mais ce que ne dit pas le texte, c’est que pendant quelques temps, le paralytique orienta l’aveugle, évitant quelques pièges en paysage et météo difficiles. Puis, l’horizon s’éclaircit, la progression facilitée...
    Et l’aveugle, ce gourmet, sentant les effluves de repas copieux et savoureux fonça là où l’attirait sa panse rebondie prétextant que l’effort méritait de se sustenter de l’énergie ad hoc, sans écouter les avertissements de sa vigie qui se lassait à la longue de recevoir des branches dans la figure et de ne pouvoir agripper au vol les fruits qu’il entrevoyait, une question revenant sans cesse dans son esprit : A quoi je sers ? (n’osant dire à quoi sers-je ? vu que de tissu, il n’en avait plus sur le corps smiley ) et que, grimpé sur les épaules de ce maniaque de la boulimie, il avait à peine accès aux reliefs des orgies. Il ne savait pas que cette pensée était aussi partagée par celui qui le transportait, : L’aveugle, économe de ses forces s’interrogeait : A quoi il sert ? je n’en ai besoin que d’un petit peu, de temps en temps, quand la santé va, tout va .... Enfin, plein de pensées altruistes et partageuses, progressistes quoi...juste l’envie de se libérer d’un fardeau inutile en période de fastes, d’autant qu’il avait rencontré dans son périple d’autres adeptes de l’aveuglement jouisseur profiteur usant du même mode de vision et provenant de moult régions de ce monde, qu’il faudra bien aller gouter un jour juste pour vérifier qu’ils disent la vérité et confirmant qu’il ne servait à rien de voir, pourvu qu’on ait l’ivresse.

    Morale de l’histoire : j’ai peur d’être trimballé par des aveugles.



  • jobo0502 21 mai 2014 02:05

    Construire en pierre ou en paille, en froid et solide ou en chaud et « fragile ».
    La maison individuelle, dont on est « propriétaire » et occupant jusqu’à ce que le physique et le souffle trahissent notre énergie vitale, est un révélateur des conceptions individuelles de la vie. L’érection d’un « bien » transmissible de génération en génération, ou d’un « lieu de vie » traversant les générations comme une belle histoire, sera l’héritage, la « propriété » des descendants, même si les murs sont partis en fumée. D’un coté moi et les sous tout de suite, de l’autre coté ,moi et nous...demain (deux univers, deux conceptions, deux éducations, deux avenirs).

    je me souviens des « paillers » de mon enfance ou, dans les cabanes creusées entre les bottes, je partageai les merveilles de la nature avec ma voisine... Croyez moi, la paille, cela, parfois, donne chaud...



  • jobo0502 16 mai 2014 02:26

    Hors sujet, bien que..... bien que .... bien que...

    La Nasa sait depuis trente ans que les ondes électromagnétiques peuvent nuire à la santé

    Il y a eu le DTT, l’agent orange et autres héritiers

    Il y a. eu Servier.

    Il y a eu l’amiante

    Il y a eu le cheval bovin ou le bovin cheval, sans compter la vache folle

    Il y a eu les pesticides

    Il y a eu le nucléaire

    Il y a eu les OGM

    Il y a eu les phtalates,

    Il y a eu les seins qui explosent (bien que non personnellement concerné)

    ....

    ................

    ... Il y a eu tant de méfaits commis au nom du bien humain, que ma liste n’en représente pas le dixième. Sachant que vous pouvez sans crainte de vous tromper remplacer le passé par le présent et le futur...

    ----------

    Au delà de TAFTA, c’est la mentalité d’une frange de l’humanité qu’il faudrait répudier. Cette frange des oligarques, financiers, entrepreneurs, politiques, experts, penseurs pour nous, qui profite de notre bienveillante somnolence, de notre conciliation profiteuse, de nos « laisse moi tranquille »,« j’ compte mes sous » et de « et ma retraite... » pour nous infuser -pour pas cher mais avec beaucoup ça rapporte- une forme de nihilisme, de « à quoi bon » qui conduit à nôtre perte c’est certain, mais aussi à la leur -mais ce sera demain et seul compte aujourd’hui-.

    ---------

    Pourquoi oublie t-on nos arrières petits enfants et au delà. Ils n’ont pas d’importance ??? Je répète : ILS N’ONT PAS D’IMPORTANCE ???

    _____

    Chaque décision d’aujourd’hui devrait être prise en fonction de demain. Pas une molécule ne devrait s’échapper de son laboratoire avant deux décennies de test, pas un grain de pollen ne devrait virevolter dans l’air commun sans savoir ce que ses rejetons reproduiront, pas une radiation ne devrait être émise avant que nos petites cellules et celles du monde vivant ou inerte aient pu appuyer sur les boutons « j’aime » ou « j’aime pas », pas une infrastructure ne devrait être montée sans apporter la preuve qu"elle sera durable et nécessaire demain.... Après tout, les infrastructures sculptent notre monde pour une certaine période (alignements de Kanak,....)

    ---------

    En conclusion de ce trop long billet :

    On n’oublie trop fréquemment que aujourd’hui c’est demain et que la réciproque est tout autant vrais.

    Que tout ce qui est retiré du bien commun aujourd’hui ne sera plus disponible demain

    Que tout ce qui est ajouté au bien commun devra être assumé par la suite

    Que le bonheur de quelques uns ne fait pas le bonheur de tous , même s’il est étalé dans les magasines. Et que souvent, le bonheur des uns fait le malheur des autres.

    Que nous pouvons tous participer à un meilleur avenir, il s’agit simplement de savoir, et pour savoir il faut s’informer, et pour s’informer, il faut être ouvert et pour être ouvert il faut abdiquer, abdiquer ses crédos, juste un moment, le temps de reposer le pied à coté, juste un moment le temps de penser au voisin, à ses arrières arrières-arrières petits enfants et au monde dans lequel ils seront obligés de vivre, juste un moment regrettant le temps ou la nature était naturelle et ou le mot liberté n’était pas seulement dans le dictionnaire.





  • jobo0502 8 juillet 2012 02:20

    Si je ne m’abuse, cette réflexion émane d« Einstein qui s’interrogeait sur la création de l’univers, car comme tout un chacun, il entrevoyait 2 possibilités :
    1- l’univers a été créé par un être conscient (dieu).
     1a- Si dieu appartient à notre univers, cala implique qu’il s’est auto-créé en préliminaire. Génération spontanée ?
     1b- Sinon, cela implique que dieu existait déjà hors de notre univers. Il appartenait donc à un autre univers, dont il n’était pas forcément le dieu créateur. De toute façon, à un moment ou l’autre, l »on retombe sur le 1a
    2- l’univers est le résultat de lois naturelles. Cette hypothèses se décompose en deux possibilités :
     2a- Ces lois ont été définies par une conscience (dieu, qui se retrouve donc hors de cet univers sinon il se serait lui même créé... et à partir de quoi...., voir hypothèse 1 -qu’un dieu crée les lois ou la matière, ne change pas le résultat-)
     2b- Ces lois sont le résultat du hasard, de tâtonnements, d’essais, de potentialités d’organisation, pour aboutir à l’image d’une construction cohérente et évolutive -image qui n’est pas obligatoirement la seule possible-. A noter que cette hypothèse implique l’existence d’une structure plus « primitive » qui permet ces tentatives, une soupe primordiale (de valeur nulle, donc intégrant le plus et le moins, le oui et le non, le vrai et le faux, le pour et le contre, mais structure dynamique, dont pourrait être éventuellement issu un dieu créateur, une idée créatrice ; mais cette hypothèse n’est pas indispensable, si l’on considère le nombre de tentatives potentiellement offertes sachant que dans ce monde les dimensions spatiales ou temporelles ne sont pas encore créées.Ainsi, à chaque instant des milliards de milliards d’univers seraient initiés mais seul un très très très faible pourcentage serait auto-constructeur et auto évolutif.

    L’hypothèse d’un dieu est affaire humaine, non « céleste ».





  • jobo0502 1er février 2012 21:49

    http://www.la-fontaine-ch-thierry.net/anvetupo.htm :

    L’ANE VETU DE LA PEAU DU LION



     De la peau du Lion l’Âne s’étant vêtu
      Etait craint partout à la ronde,
      Et bien qu’Animal sans vertu,
      Il faisait trembler tout le monde.
     Un petit bout d’oreille échappé par malheur
      Découvrit la fourbe et l’erreur.
      Martin  fit alors son office.
     Ceux qui ne savaient pas la ruse et la malice
      S’étonnaient de voir que Martin
      Chassât les Lions au moulin.

      Force gens font du bruit en France
     Par qui cet apologue est rendu familier.
      Un équipage cavalier
      Fait les trois quarts de leur vaillance.





  • jobo0502 30 janvier 2012 21:27

    En complément, liste des prestations servies par les CAF :

    Toutes les prestations

    Les informations données sont générales. Les situations particulières peuvent entraîner des dispositions différentes. Renseignez-vous auprès de votre Caf.

    Enfance et Famille
    • Prime à la naissance
    • Allocation de base
    • Complément de libre choix du mode de garde
    • Complément de libre choix d’activité
    Logement Solidarité et insertion

    Faites vos jeux, lesquelles sauteront en premier ?



  • jobo0502 30 janvier 2012 21:19

    Je n’ai encore vu aucun commentaire, ni allusion sur les médias, du coup fourré qui se cache sous la TVA sociale qui serait censée être la contrepartie d’une baisse des cotisations AF patronales.
    Ceci implique un transfert de contributions dont l’origine et la destination sont clairement identifiées au profit d’une politique sociale de la famille, vers les aléas d’un vote budgétaire soumis aux contraintes du moment (notamment le paiement de la dette ) .
    Rien ne peut certifier qu’il y a aura à terme ( et peut être dés le départ) la contrepartie exacte des montants actuellement issus des cotisations, par la ligne budgétaire qui sera reversée aux CAF (y compris de l’augmentation assurée des rentrées par l’augmentation -même minime- des salaires inhérentes à des cotisations assises sur la rémunération).
    A terme donc, diminution des prestations sociales.



  • jobo0502 24 janvier 2012 02:01

    "En choisissant comme directeur de campagne le vice-président du Cercle de l’Industrie – lobby réunissant les PDG des principaux groupes industriels français – le candidat de la gauche de droite aux prochaines élections présidentielles a envoyé un signal, on ne peut plus clair, aux marchés financiers : l’alternance ne constituera pas une menace, bien au contraire, pour les classes possédantes. Après José Sócrates, José Luis Zapatero, George Papandréou et Elio Di Rupo, François Hollande sera-t-il le prochain dirigeant socialiste à prétexter la « crise des dettes publiques » pour imposer aux travailleurs l’austérité et la régression sociale ? Au vu du pédigrée de ses responsables de campagne, il y a tout lieu de le craindre : c’est que les principaux conseillers dudit candidat se signalent par leur proximité avec le monde des affaires et leur volonté de rassurer l’Europe des marchés. A moins de quatre mois des élections, un passage en revue des troupes s’imposait"

    ICI





  • jobo0502 17 novembre 2008 23:37

    Dans les commentaires -de ce texte ou bien d’autres-, j’ai relevè des oppositions entre ceux qui conspuent les rentiers retraités, et ceux qui voient en eux la lutte alimentant la source des acquis sociaux qui sont mis à la poubelle petit à petit, et bien évidemment le manque de mordant des actifs actuels qui laissent filer petit à petit les avantages acquis.
    Pour les premiers je dirais simplement que les retraites sont des acquis sociaux et qu’elles rentrent simplement dans le cadre de la défense de ceux-ci. J’attends de voir si à 70 ans au travail, ils ne commenceront pas a râler sérieusement pour réclamer leur rente- je dis cela dans l’espoir de vivre bicentenaire avec la rente que je n’ai pas encore-.
    Pour les autres, je voudrais rappeler que l’environnement n’est pas le même. Les dépenses considérées comme nécessaires maintenant étaient inconnues à l’époque (les entreprises de PTT n’étaient pas pour tout le monde). L’école était gratuite - vraiment gratuite, même s’il fallait marcher une heure, voire plus pour y aller et autant pour revenir, quelque soit la saison et le temps-. La communication se limitait au village, quartier, les enfants étaient à coté. Une économie parallèle existait : je te ferre ton cheval si tu me donne 10 kilos de patates, je viendrai t’aider pour refaire ta toiture, ....-. Maintenant, c’est du travail au noir. Le chauffage dans la cheminée ne chauffait que la pièce....Il y a tellement de différences...
    Pourquoi, maintenant les gens sont-ils si frileux ?
    Parce que les gens, à l’époque, étaient beaucoup plus proche les uns des autres. Pas de télé. Le dimanche, on jouait aux boules, aux cartes, en buvant le petit rosé de la dernière récolte et en mangeant des crêpes avec les voisins et/ou la famille.
    Parce que si le chauffage n’atteint pas 20 degrés dans la chambre des bambins ils sont considérés comme des parents indignes.
    Parce qu’ils ont peur -avec raison- que les rejetons soient mis au ban s’ils n’ont pas le top publicitaire (vêtements, accessoires , communication, jeux).
    Parce que les abonnements téléphones portables, internet -c’est maintenant une obligation -(il fut un temps qui ne durera plus longtemps où la communication avec autrui était considéré comme un service publique que ce soit par lettre, téléphone et maintenant internet, communiquer avec les autres n’est plus un droit mais un service monnayable, la parole est d’or ).
    Parce que les minimas sont calculés de telle façon que ceux qui en disposent sont toujours sur le fil. Et que le moindre écart, un jour de grève, c’est des mois de galère. Et qu’il n’y a plus le voisin pour aider. Le voisin, je ne sais pas qui c’est.
    Parce que ceux, censés les représenter (syndicats, partis politiques) ne sont plus crédibles et ne donnent vraiment pas l’envie de les rejoindre au prix d’une cotisation empiétant sur le budget téléphone.
    Parce que....
    Parce que... tellement de bonnes et de mauvaises raisons.

    Alors, une solution ?
    Non, à moins de repartir de zéro. Faire un parti, un syndicat de ceux qui ne peuvent plus rien perdre -un minima étant garanti-. A l’époque , ils ne pouvaient pas perdre grand chose. Un syndicat, un parti qui s’agite, qui hurle, qui met le bo.del.
    Ce ne sont pas ceux qui ont déjà, ne serait-ce qu’un petit peu, qui casseront tout. L’avantage de notre société est quelle prévoit un minima, seuls ceux qui y sont déjà ne risquent rien.
    En espérant qu’ils seront rejoint par ceux qui ont plus. C’est l’élan qui compte.



  • jobo0502 14 novembre 2008 01:00

    La sélection naturelle prône l’adaptation au milieu.

    Cela pourrait-il s’étendre à la société ?

    Pour ce qui concerne la France, c’est certain. L’air du temps étant le financier et l’affairisme, les hautes sphères sont bien orientées. En bas, on est un peu malhabile, gauche devrais-je dire. Bien que peu à peu on s’adapte. L’argent n’a pas d’odeur, il y a bien longtemps qu’en bas ils ne sentent plus rien. C’est bon pour l’avenir.

    Aux USA, l’avenir est moins noir qu’on ne pense. Ils connaissent l’initiateur de la 3 ème guerre mondiale. Cela rassure.

    Ailleurs dans le monde : Tout va très bien. Mon bébé n’a que trois jambes, mon précédent, qui est mort maintenant, en avait quatre : Je devrai peut-être arrêter d’arroser mes salades avec des bidons en plastiques vantant les monts saints. Oui, je sais, il n’y a plus de riz, plus de manioc, mais c’est pas grave, je vais acheter des semences.

     

    Sélection naturelle ???????



  • jobo0502 14 novembre 2008 00:18

    J’affine (bien que tout le monde s’en fout)

    Le fait que l’on passe du quark à moi, summum de l’évolution (simplement en tant que représentant de l’espèce humaine) pose problème en ce qui concerne le hasard Quelles chances pour qu’un mélange de protons, de neutrons et d’électrons puisse parvenir à former une telle merveille (je répète, en tant que modeste représentant de l’espèce humaine). Et ce en quelque 4,5 milliards d’années.

    J’en appelle aux statisticiens, mais moi a vu de nez, je dirai aucune.

    Sauf si le hasard est orienté.

    Orienté par des règles de bases.

    Des règles qui demandent plus de complexité, plus d’intelligence. L’intelligence est au coeur de la matière. Nous ne l’avons pas encore découverte et encore moins mesurée.