• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Les commentaires de John Lloyds



  • John Lloyds John Lloyds 17 février 2010 10:32

    Oui, non seulement cette remarque de Juncker est dédaigneuse à l’égard des citoyens européens - traduction : vous n’avez rien à savoir, on vous emmerde - mais elle sous-entend une planification déjà établie sous le manteau de mesures coercitives ; comme d’habitude, ce sont les peuples qui vont morfler et les banques qui vont ramasser.



  • John Lloyds John Lloyds 12 février 2010 11:13

    Mais qu’est-ce qu’il nous emmerde Dugué avec son BHL, BHL et son « goût pour la philosophie de la vie », dixit Dugué, Ha oui, on l’a vu à l’oeuvre au nettoyage de Gaza par de l’armement non conventionnel fin 2008, comme par hasard il n’avait pas d’idée cette fois là :

    « N’étant pas un expert militaire, je m’abstiendrai de juger si les bombardements israéliens sur Gaza auraient pu être mieux ciblés, moins intenses. »

    BHL n’existe que par sa présence médiatique, il est président du conseil de surveillance d’ARTE, dont on s’est récemment rendu compte à quelle point cette chaîne soi-disant culturelle était la marionnette du pouvoir, actionnaire de Libé, et c’est l’éditocrate et le tribunocrate de Sarkoland, maintenant la propagande gouvernementale au sein des canards boiteux que sont Le Point et Le monde qui ne doivent leur survie qu’à coups de centaines de millions de subventions qu’on pompe au contribuable.

    Dugué, non seulement vous êtes un dissident de façade gesticulant pour mieux buzzer, mais votre semblant de critique du système en place que l’on croit se dégager de vos centaines d’articles n’est qu’un artifice démagogique pour drainer du lecteur. Vous êtes un imposteur, un des pires, un serviteur gouvernemental planqué derrière une gestuelle anticonformiste.



  • John Lloyds John Lloyds 10 février 2010 23:15

    Outrancier, moi qui m’étais trouvé indulgent ? Ces mecs là pétent dans la soie avec la thune que l’état nous extorque tous les matins, un salaire de ministre pour certains, et se foutent de notre gueule à longueurs de JT, en essayant en plus de s’attaquer au seul endroit de liberté d’expression qu’il reste ... Euh oui, j’ai été bien indulgent finalement, déjà qu’ils aient mis leur mandant et leur déontologie à la poubelle, on en est arrivé au stade de la trahison des citoyens. Rappelez-moi, c’est quoi la peine pour trahison ? Allez, je vous laisse choisir, les variètés sont innombrables dans l’histoire, et très souvent c’est pas joli joli ...



  • John Lloyds John Lloyds 10 février 2010 18:06

    Lucien, personne ne peut frapper la caste seigneurale d’un régime féodal ; pire, ce serait lui rendre service, en légitimant son imposture, et lui donnerait prétexte à l’intensifier. Le mieux, c’est d’attendre que le château implose. Contrairement aux apparences, je crois qu’ils sont faibles et qu’ils ont peur, ils sont très mauvais, du 11 septembre qu’ils n’ont pas su maquiller, à la grippe A, qui fut un fiasco, et je pense même qu’ils sont dans un désaccord profond sur la suite à donner. Il sera toujours temps de trouver une solution quand, engraissés par leur avidité, ils se casseront la gueule.



  • John Lloyds John Lloyds 10 février 2010 17:49

    « Vous aurez la bonté de nous prévenir quelques heures avant, quand même ? »

    Même en troll tu rases les paquerettes, du gland



  • John Lloyds John Lloyds 10 février 2010 17:12

    "Les véritables ennemis sont ceux qui s’enrichissent de la situation économique et réaliseraient de véritables fortunes s’il y avait une guerre généralisée"

    Hum ... !? J’ai une vision nettement plus étendue. Les véritables ennemis sont aussi ceux qui, sans en être les bénéficiaires, supportent, favorisent et participent au système dont l’aboutissement est ceux que vous citez. Entre la participation subie, et l’implication volontaire à cette immense farce organisée, il y a une très large palette et le ciblage de l’ennemi peut varier dans des proportions très importantes, selon l’endroit précis où l’on posera la séparation. Pour être plus clair, pendant l’occupation, les allemands n’auraient jamais pu faire autant de mal sans les malgré-nous.



  • John Lloyds John Lloyds 10 février 2010 12:49

    Rigolade partagée, pucelle, tes accointances avec les propagandes officielles me rappellent les porcs qu’on amènent dans les abattoirs sans qu’ils s’en aperçoivent. A moins que tu ne participes volontairement à cette farce, dans ce cas mes excuses, ce n’est plus l’innocence immaculée d’Oléans, mais la sournoiserie vlontaire. J’aurais préféré la première, c’est encore pardonnable.



  • John Lloyds John Lloyds 10 février 2010 12:01

    Une clairvoyance monumentale smiley



  • John Lloyds John Lloyds 10 février 2010 11:50

    partagé smiley



  • John Lloyds John Lloyds 10 février 2010 11:28

    @Clem
    Nietzsche, Le Précurseur : « Les pensées qui mènent le monde arrivent sur des ailes de colombe »

    @JL

    Dans le genre Reopen qui faisait des distributions de tracts, cette image de racolage était aussi en dessous de la ceinture

    @La pucelle Reinette

    Roubini, Marc Faber, Jim Rogers, Paul Jorion, des apocalyptiques eux aussi ? smiley Je sais, le bon accueil de mes articles t’emmerde, mais t’inquiètes, tu vas en bouffer de la déliquescence.



  • John Lloyds John Lloyds 10 février 2010 10:31

     Bonne présentation d’un économiste que je ne connaissais pas.

    Sur le fond, le jeu de la prévision est très délicat, d’autant qu’il doit intégrer des décisions gouvernementales et/ou privées qui n’ont pas encore été prises. Autant des analystes comme Larouche ou Roubini avaient prévu la crise de 2008, autant d’autres non moins prestigieux, dont le même Larouche, en avaient prévu une seconde fin 2009, et elle n’a pas eu lieu.

    Se sont-ils trompés ? Oui et non. Oui sur l’exactitude de la date, mais non sur le fond. Car une des leçons à retenir des évènements économiques et financiers de 2009, c’est que le système a montré une extraordinaire capacité à sauver les meubles. Par des procédés de républiques bananières (planche à billets, manipulation des normes comptables pour sortir les actifs toxiques des bilans, achats boursiers institutionnels, pondération extrême des refinancements de la dette à court terme, dont le rachat de sa propre dette – le summum de l’escroquerie), mais il a réussi à reporter l’ensemble du problème à plus tard, par création de bulles encore plus monstrueuses que les précédentes.

    Qui aurait pu prévoir un tel niveau de machiavélisme début 2009 ? Personne. Techniquement, ces analystes avaient raison, le système aurait du plonger dans son entier en 2009. On a mis des pansements sur une jambe de bois, il n’empêche que cette jambe pourrie finira par imploser intégralement. Le choix stratégique de monétiser une dette publique exponentielle, par choix de transmettre la patate chaude aux générations suivantes, n’empêche en rien les banques de fermer le robinet à l’économie réelle et de dilapider l’argent du contribuable touché à 0% et investi à 4% dans le circuit fermé du carry trade.

    L’ensemble tient encore parce que chacun se tient par la barbichette et la dette peut encore être refinancée à court terme, mais que l’on tombe sur des pays (par exemple les PIGS) qui ne trouvent plus preneur à cause d’un taux obligataire qui crève le plafond – taux majoré en cas d’éjection de la zone euro, et c’est le début de l’effet domino.

    Alors cette année ? C’est fort possible. Mais qui sait si ces apprentis de l’enfer, dans leur fuite en avant, ne sont pas encore capables d’inventer des bulles encore plus astronomiques, pour encore reculer l’échéance ? Maintenant mieux vaut que ça se fasse rapidement, la mort lente des populations prises en étau entre les plans d’austérité nationaux et la contraction économique risque bien de nous entraîner dans un nouveau système féodal, la politique du tout-répressif adopté par la plupart des pays présageant plutôt cette hypothèse.

    Pour ma part, j’en reste à mon pronostic, je pense à une guerre mondiale imminente avant l’effondrement financier, qui remettra les compteurs à zéro et évitera à l’occident la honte d’une crise systémique. Un mini false flag avorté a eu lieu à Noel pour justifier la mise en place de moyens de détection orweliens dans les aéroports, il faut à mon avis s’attendre à un bon gros false flag cette année, qui, en justifiant une guerre contre l’Iran, règlerait à la fois l’ardoise financière et les obstacles que sont la Chine et la Russie à la marche des ingérences américaines via l’OTAN. Ce n’est pas pour rien que Poutine vient d’adopter sa nouvelle doctrine militaire, qui prévoit la frappe nucléaire préventive en cas d’utilisation d’armement conventionnel ou de différents géo-stratégiques.



  • John Lloyds John Lloyds 10 février 2010 10:24

    C’est bien ce que je dis, tant de merde dans les yeux pour ne pas voir que tous les warning clignotent au rouge, qu’il y a une seconde tour de Pise sur la première, et qu’on va droit vers l’apocalypse financière, il ne reste que le pilier de bar. D’autant que tous les experts sont aujourdhui unanimes (Faber, Rogers, Roubine, Leap, Larouche, Celente ...). Allez Dugué, un petit 51 ?



  • John Lloyds John Lloyds 10 février 2010 10:11

    Résumé de l’émission ;

    Eric Fottorino (directeur du journal Le Monde) : « Le journalisme professionnel se doit d’être un contre-pouvoir »

    Haha hahahaha hahahahahahahahahahahahahahahahahahaha hahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahaha

     smiley  smiley  smiley  smiley  smiley  smiley  smiley  smiley 

    La perle de la neutralité ;

    Reportage sur les théories du complot : « Or il est avéré que le vol 77 s’est bien écrasé sur le Pentagone »

    Haha hahahaha hahahahahahahahahahahahahahahahahahaha hahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahaha

     smiley  smiley  smiley  smiley  smiley  smiley  smiley  smiley 

    Une bonne tranche de rigolade, de voir comment ARTE s’est reconverti dans le cirage de pompes. Pourquoi ce partenariat avec France Inter, dirigé par Sarkoland via Philippe Val, ne m’étonne pas ?

    Enfin bonne nouvelle, les canards du ministère de la propagande sont en chute libre, 8 journalistes de gros calibre en grosse colère (Chabot, Pujadas, Plenel, Fottorino, Giesbert, Elkabbach, Val et Axel Ganz) qui interviennent sur la Kultur ARTE, les chantres de l’empereur commencent à chier dans leurs frocs.

    2 milliards de subventions pour maintenir les perfusions à la voix de son maître, c’est pas cher payé pour la machine à laver les cervelles, ils sont payés avec nos ronds pour ne pas faire leur boulot, et ça vient encore geindre. Rien de neuf, donc, la désinformation officielle se poursuit, mais elle semble avoir pas mal de plomb dans l’aile, ça sent le chant du cygne des merdias à plein nez. 



  • John Lloyds John Lloyds 10 février 2010 10:01

    "En vérité, les choses ne se sont pas passées ainsi car bien avant la faillite de Lehman Brothers, les indicateurs montraient que la crise économique était bien entamée.« 

    Sacré Dugué, qui vient nous expliquer la crise, alors qu’en 2008, il nous expliquait que tout allait repartir

     »il n’y a pas de crise économique comme en 1929 mais une crise financière qui produira un ou deux point de croissance en moins et tout va repartir"

    Dugué, votre place est au comptoir du bar des amis.



  • John Lloyds John Lloyds 9 février 2010 12:17

    Un gouvernement totalitaire en cours, ça fait des mois qu’on est un certain nombre à le répéter. Ben oui, le réveil est violent, et le pire est à venir. Alors une nouvelle fois : bientôt, l’appareil législatif leur permettra de se pointer chez vous à n’importe quelle heure, pour n’importe quel prétexte, et il n’y aura même plus de juge d’instruction, vous serez à la merci du parquet.

     En plus ces petits flicaillons à la cervelle complètemet lavée par l’environnement où ils évoluent, se sentent investis d’une mission sacrée, et redoublent de zèle, il n’y a qu’à les écouter interviewés après leurs oeuvres, ils n’en peuvent plus d’auto-congratulations.

    D’un autre côté, la masse creuse a voté le tout-répressif, elle va en bouffer, maintenant, qu’elle ne vienne pas se plaindre. Ils étaient des millions dans les rues quand Le Pen était au second tour, mais ils ont voté dans la plus grande conscience pour un des pires dictateurs que l’histoire retiendra comme tel. Le peuple est tellement zombifié qu’il creuse en toute innocence la tombe de ses enfants.



  • John Lloyds John Lloyds 9 février 2010 11:18

    Vil mécréant, achetez-donc ce livre, image de la médiocrité des articles de l’auteur, ne comprenez-vous pas qu’il fait son maximum, près de 1000 articles de promotion publicitaire, Donnez 20€ pour ce bouquin, il faut faire de Dugué une oeuvre sociale, après la discrimination positive inventons le positivisme littéraire et philosophique, l’égalité des chances dans le domaine de la pensée.



  • John Lloyds John Lloyds 9 février 2010 10:50

    Encore un bouquin qui va probablement être censuré, tellement la pensée fulgurante de Dugué menacera le pouvoir smiley

    MDR Bardamu, j’ai failli m’étrangler en te lisant pendant mon café. Mais vous n’avez rien compris : Dugué veut buzzer. Son prochain titre : il faut sauver le soldat Sarkozy.



  • John Lloyds John Lloyds 8 février 2010 23:30

    Lisez donc ça

    Mais oui, Léon, Le Monde, le canard à Sarko, celui qu’ils n’arrivent pas vendre tellement il se rapproche de la Pravda, le canard qui n’avait jamais prévu la crise. Tu as bien conscience qu’il ne reste que les cons comme toi pour le lire ?



  • John Lloyds John Lloyds 8 février 2010 23:23

    « Je n’ai pas dit autrechose mon brave »

    Alors pourquoi me reprendre ? Ha oui, le troll, joubliais



  • John Lloyds John Lloyds 8 février 2010 22:29

    Léon, inutile de copier un cours général comme rideau de fumée, je te joins ici l’analyse d’un cabinet spécialisé, c’est bel et bien la situation des PIGS qui sont à l’origine de la chute de l’Euro, va vendre tes salades aux petits enfants à la sortie des écoles, pauvre mec, t’es juste bon qu’à radoter tes anciens cours :

    "L’euro était tombé vendredi à 1,3586 dollars, son plus bas niveau depuis le 20 mai 2009, pénalisé par des craintes persistantes que certains membres de l’union monétaire, comme la Grèce, le Portugal ou l’Espagne, ne puissent régler seuls leur problème de dette.

    Les cambistes étaient déçus par les commentaires des ministres des Finances du G7, réunis au Canada vendredi et samedi, qui "ne sont pas parvenus à apporter des mesures concrètes pour gérer les problèmes persistants de dette en Europe", a noté Michael Hewson, analyste chez CMC Markets.

    "Les participants sur les marchés qui attendaient des signes d’un renflouement de la Grèce ont dû être déçus", ont commenté de leur côté les analystes de Commerzbank à l’issue de cette réunion."