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Les commentaires de mimine



  • mimine mimine 19 novembre 2009 13:05

     vous êtes mal renseigné pour l’enseignement de l’allemand : les classes sont vides, les enseignants souvent sans poste ou en sous service, et le gouvernement cherche désespérément à sauver l’allemend pour des raisons politiques (le moteur franco allemand !) mais les élèves n’en veulent pas, d’ailleurs ce n’est pas nécessaire, les allemands parlent globalement nettement mieux que nous le sabir anglo-international. Cela dit, que ça fasse joli sur un CV, c’est sûr : l’allemand est considéré la langue des bons élèves (bien dociles au système !)



  • mimine mimine 19 novembre 2009 12:46

    je n’est jamais dit que l’école ne sert à rien, c’est le verbe SERVIR qui me gêne, et l’utilitarisme qui fait de l’homme un serf de la société, l’école doit apprendre à penser, et c’est pour cela que je souhaite être payée, pas pour dresser les perroquets comme le sous-entendent implicitement toutes les récentes (et pas si récentes) réformes de l’EN



  • mimine mimine 17 novembre 2009 13:36

    en tant que professeur de langue (pas d’anglais), ce genre de débat me fait bondir de la chaise :

    - avant tout il faut sortir de la conception utilitariste de l’école en général et des langues en particulier. L’enseignement des langues (comme l’école en générale) ne SERT pas à quoi que ce soit, car l’homme n’a pas à servir, l’école doit éduquer, instruire, socialiser, etc, donner les instruments pour l’intégration, ce qui n’est pas (c’est le contraire) la servitude à un système en place. D’ailleurs, c’est parfaitement illusoire et inutile d’essayer de préparer au boulot : au train où vas le développement de la réalité du monde du travail, l’école ne pourra jamais suivre (ne l’a jamais pu en réalité), le travail s’apprend quand on le trouve, pas avant ; avant on apprend à apprendre (et c’est déjà beaucoup). Et l’enseignelment professionnel est réductif, s’il oublie la culture générale.
    - apprendre les langues ne sert pas principalement à la communication utilitaire : on s’en sort très bien en Chine sans connaitre le chinois. Une langue permet de rentrer dans un univers culturel différent, d’ouvrir ses horizon à une logique différente (c’est le langage qui crée la pensée, et non l’inverse), c’est éducatif pour l’esprit critique et la formation intellectuelle. On apprendra le base de la langue nécessaire au boulot quand on aura trouvé le boulot.
    - l’anglais s’est imposé pour des raisons historiques et pratiques, on ne peut nier la réalité. Par contre les autres langues sont essentiellement préservées en tant que langues maternelles, et leur enseignement comme langues étrangères garanti la richesse culturelle européenne et mondiale. Le sabil anglo-international n’est pas une langue, mais un instrument de communication de base (qui ne permet pas de penser) et qui ne met pas en danger les langues maternelles (voir pays scandinaves).
    - l’esperanto , c’est l’équivalent (moins pratique et répandu) de ce sabir anglo-international : c’est une langue essentielle, simplifiée, sans histoire ni culture, qui ne permet pas de penser mais de communiquer : quel intérêt ?

    CL : il faut se battre pour garder la pluralité de l’enseignement des langues autres que l’anglais (même pour l’enseignement d’autres disciplines ), et arreter cet anti-anglicisme primaire qui ne mène à rien, la réalité est là, et niveler par le bas n’est pas un combat digne d’un esprit éduqué.



  • mimine mimine 8 juillet 2009 09:38

    à déclencher une inflation, toutes les banques centrale s’y sont déjà mises, mais ça ne marche pas, pas tout de suite (au Japon ça n’a jamais marché, mais ils avaient une situation particulière), pour le moment on coule doucement, le temps que les copains jouent leurs dernières billes en short en bourse, et rachètent des biens tangibles, puis, après (nécessaire) nettoyage des banques (=nationalisation), l’iperinflation va se déclencher, et qui va payer ?

    devine !
    surprise ! : les salariés, ceux à revenus fixes !



  • mimine mimine 8 juillet 2009 09:27

    vous oubliez que :
    ce n’est pas la « populace » qui va acheter l’emprunt Sarko : 80 % de l’épargne national est concentré dans les 20 % plus riches de la population, qui vont se faire des c******* en or avec les intérêts surestimés de cet emprunt (comme pour les précédents).

    La France ne va pas faire faillite (tout de suite, au moins) parce qu’elle est protégée par l’euro, destiné à remplacé le dollar à brève échéance : on va rester en déflation pendant un moment.



  • mimine mimine 6 juillet 2009 10:36

    son bateau était construit avec des bois méditerranéens ? ou islandais ? là ou aujourd’hui il n’y pas d’arbres du tout ?



  • mimine mimine 6 juillet 2009 10:33

    tout à fait d’accord, il faut se préoccuper plutôt de la distribution des richesses et des ressources (problèmes éminemment humains, et dû à l’homme surement) que de la nature, qui s’en sortira surement tout aussi bien si l’espèce humaine s’autodétruit par guerre, famine ou nucléaire



  • mimine mimine 6 juillet 2009 09:50

    si l’on savait mesurer la température globale (aujourd’hui, comme il y a 150 ans) de la planète avec cette précision, cette affirmation serait en effet inquiétante, mais la marge d’erreur de cette mesure enlève toute valeur à ce type d’affirmation : l’élévation de la température est fondée sur des « indices » pas sur des mesures fiables, et en époque historique (comme on l’a souvent répété) le Groenland (signifie « terre verte ») était couvert de forêts, pour la moitié (et ce n’est pas un « microclimat », c’est une ile-continent),ce qui permettait aux Vikings de construire leurs bateaux, et pourtant on n’a pas ni à Venise, ni au Pays Bas (archives historiques complètes et fiables) de traces de cataclysmes, ni d’arrêt du gulf stream...

    le climat c’est un système chaotique, et que je sache on n’a pas encore réussi a modéliser un système de ce type (si ce n’est que de manière très hypothétique) : preuve en est que la méteo à 48h se trompe plus ou moins à 50%, alors à 50 ans...



  • mimine mimine 6 juillet 2009 09:37

    et combien dépense le lobby nucléaire pour Al Gore & Co. ?



  • mimine mimine 2 juillet 2009 17:19

    la dette qui s’accumule permet de renflouer les copains, qu’ils puissent planquer quelques bon investissement en matières premières, puis quelques années d’inflation, voir hyper-inflation, et le compte est bon
    c’est qui le pigeon ?
    le salarié, et tous ce qui ont des investissements à taux fixe



  • mimine mimine 2 juillet 2009 17:12

    « ..un autre moyen » ?
    pendaison ? guillotine ?



  • mimine mimine 1er juillet 2009 12:58

    vous faites bien de préciser tout cela, mais je crois qu’on utilise la crise de 29 comme comparaison surtout parce qu’elle a produit un changement économique et societale comparable à celui que nous allons connaitre maintenant.

    les deux situations ne sont pas comparables, si l’histoire se répète, elle ne se répète jamais de la même manière : les systèmes économiques, monétaires et sociales ne sont pas les mêmes, ni les réactions des institutions internationales, mais la profondeur du changement n’en sera que plus grande.



  • mimine mimine 1er juillet 2009 12:16

    très bien dit

    l’écologie (science encore très approximative) prétend de remplacer le Politique : comme le darwinisme sociale (pseudo-science) avait formé et informé la culture qui produisit Hitler et Mussolini



  • mimine mimine 1er juillet 2009 12:11

    je crois que l’auteur voulait surtout dire que l’homme doit s’inquiéter surtout de régler l’organisation de la société, comme il l’a toujours fait : l’Homme s’est constitué en s’opposant à la nature.

    j’ajouterais que la planète se fiche pas mal de cette espèce de primates voués sans doute à l’autodestruction, et que dans quelques millions d’années une autres espèce peut-être plus intelligente nous remplacera.

    commençons à résoudre les problèmes de l’homme par l’homme : économie, distribution de la richesse, éducation,et on verra qu’il y en a pour tout le monde, c’est trop facile de brider la croissance des autres quand la notre est déjà en place (heureusement cette crise va redistribuer le carte, et pas à notre avantage)



  • mimine mimine 1er juillet 2009 10:21

    et puis quoi encore ? acheter une combinaison pour labo radioactifs niveaux 4 ?



  • mimine mimine 30 juin 2009 12:57

    je me refuse d’utiliser ces nouvelles sources d’empoisonnement : dans 20 ans combien d’ampoules auront été cassé dans mon appart ?

    la filière de traitement de ces déchets c’est la même qu’on a mis en place pour les ordi ? (exportation vers les chinois)

    le réchauffement de la planète n’est pas si sur que ça, l’empoisonnement par le mercure l’est, et on n’a pas besoin d’une affaire « amiante bis »



  • mimine mimine 30 juin 2009 10:19

    SuperSarko sait que c’est le moment de demander des prêts = avec l’inflation à venir on ne remboursera que les cacahouètes ; et je vais faire comme lui, demander tous les prêts que je peux pour le temps le plus long possible, pour acheter de matières premières (comme font la Chine et le Vatican)(pour l’immobilier il,faut attendre encore un peu la bonne chute), puis attendre que ça se passe comme en 43-44, mais sans la guerre (j’espère)



  • mimine mimine 26 juin 2009 11:25

    réclamer du pouvoir d’achat = comme tout le monde, quoi !



  • mimine mimine 26 juin 2009 11:18

    les remarques que vous faites sont justifiées, mais vous ne voyez pas que le sujet demandait justement de réfléchir à tous ce que vous dites, càd le statut de « science » de l’histoire, qui, en fait est une « science humaine », et non pas une « science ».

    je trouve que le sujet était extrêmement intéressant et trop difficile pour des Terminales : la question est que l’objectivité ne coïncide avec l’impartialité que dans les « sciences »= dans les sciences humaines, qui sont des sciences de l’interprétation, on ne peut pas être impartial, mais objectif, au sens d’être capable d’étudier son objet en mettant en question (donc en déclarant) les présupposés culturels qu’on utilise = ex : j’étudie l’histoire des juifs du point de vu des juifs, ou des européens, des musulmans, etc.

    - les sciences humaines, sciences de la réfléxion de l’homme sur soi-même ne sont des sciences que dans la mesure où l’auteur est capable de se mettre en question, avec ses convictions (après les avoir détectées) et à les confronter avec l’autre, c’est pourquoi elles n’atteignent jamais une « vérité » au sens de l’objectivité (qui reste encore à discuter) des sciences, mais comme relation spécifique à un contexte : on étudie le contexte ET le fait, ensemble, pour comprendre le réel que l’homme réinvente constamment
    (et je relance = pb épistémiologique : est-ce le monde des « sciences » réel ?)

    je ne voulais pas vous faire un cours accéleré de philo, mais il le fallit, étant donné la pertinence de vos remarques



  • mimine mimine 23 juin 2009 17:29

    aucun intérêt, ils ne sont pas solvables (même en subprime),
    comme en France ce sont des gens auxquels on s’intéresse seulement quand ils se révoltent, ce qui ne saurait tarder