• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Les commentaires de blh



  • blh 3 mai 2009 19:13

    Proudhon,
    si vous tenez absolument à critiquez les militaires, je pense que vous devriez changer de fil, sinon de site..
    il ne s’agit pas de ce thème ici.



  • blh 2 mai 2009 23:27

    Qu’attendiez-vous donc de ces critiques ?
    Sans trop entrer dans les détails doctrinaux du communisme et de l’anarchisme, (termes à prendre dans leur sens le plus général ), il est une différence essentielle entre ces deux doctrines : le premier est maximaliste : tout par l’état, le second est minimaliste : justement, anarchie >>> an, préfixe privatif, archie, état .
    J’ai pu voir , en mai 68, des affrontements violents entre les anars et les rouges, avant que les mêmes se retournaient vers les forces de l’ordre...



  • blh 2 mai 2009 20:18

    Ces trois noms me reviennent en mémoire, c’est certain, mais incomplètement. Je me souviens aussi du Lt Néron Bancel, chef de peloton cm1... je pense que cela va me revenir.
    Néanmoins, le hasard est une chose bien curieuse. :)



  • blh 2 mai 2009 19:23

    à Cambronne,
    J’étais à Corté à cette époque, je préparais un ct1 trans et le cm1.
    Ce n’est donc pas impossible, en effet, que nous nous soyons rencontrés. Peut-être même étiez-vous mon chef de section  ?  :)



  • blh 2 mai 2009 19:18

    Vous avez de fortes pensées... un peu trop fortes pour que l’on en tienne compte.
    Essayez d’être plus constructifs et moins catégoriques : tout ce qui est excessif n’est pas crédible.



  • blh 2 mai 2009 16:30

    À l’auteur,

    Le caractère fondamental de ces lois est, sans conteste possible, la question que tout un chacun doit se poser :” l’Histoire doit-elle être tributaire de la Loi ? ” .

    En particulier, la fameuse ” Loi n° 90-615 du 13 juillet 1990 tendant à réprimer tout acte raciste, antisémite ou xénophobe “, appelée aussi loi Gayssot, du nom du député communiste Jean-Claude Gayssot qui la fit voter. Son article premier dispose que « Toute discrimination fondée sur l’appartenance ou la non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion est interdite. »
    Pourquoi pas.
    Mais, c’est surtout par son article 9 que celle-ci est plus connue et diversement appréciée par les historiens, juges et chercheurs de tout poil, article 9 qui qualifie de délit la contestation de l’existence des crimes contre l’humanité tels que définis par le Tribunal de Nuremberg. On aura compris qui est visé. Combien d’historiens, universitaires, chercheurs, hommes politiques ou plus simplement historiens particuliers, révisionnistes on été condamnés à de lourdes peines, voire à la prison ferme. Suffit d’aller aux audiences de la XVIIe chambre correctionnelle pour s’en rendre comte.

    Donc, devant les contestations de plus en plus nombreuses de ces artifices juridiques opposés à la “déclaration des droits de l’homme et de son article 8 qui stipule que  : « Nul ne peut être puni qu’en vertu d’une loi établie et promulguée antérieurement au délit. », le 18 novembre 2008, la mission d’information créée le 25 mars dernier à l’Assemblée nationale et présidée par Bernard Accoyer a déposé son rapport :

    Il y avait 3 questions :
    1- Quels rapports le Parlement entretient-il avec l’histoire ?
    2- Est-ce à la loi de qualifier les faits historiques ?
    3- Les lois « mémorielles » sont-elles nécessaires ?
    On notera les interventions remarquables de madame Françoise Chandernagor - de l’ Académie Goncourt, ancienne élève de l’École nationale d’administration, puis membre du Conseil d’État en 1969 - lors d’une conférence donnée aux rendez-vous de l’histoire de Blois, le 14 octobre 2006 ;
    et celle de madame Anne-Marie Le Pourhiet, juriste, docteur en droit, professeur agrégé de droit public à l’Université Rennes-1, vice-présidente de l’Association française de droit constitutionnel (AFDC) et de la Société des professeurs des facultés de droit (SPFD), membre suppléante du Conseil national de l’enseignement supérieur et de la recherche (CNESER), lors de son audition à la table ronde n°6 de la mission, le 14 octobre, dont on peut visionner une video plus bas.
    Sans préjuger des réponses apportées, on a pu assister à une volte face pour le moins incompréhensible d’un grand Historien, Mr Pierre Nora, président de l’association « Liberté pour l’histoire » et co-signataire de la pétition de 2005 qui réclamait l’abolition de la loi « Gayssot ».
    Voici, l’intervention, d’une durée de 9 minutes, que le professeur Anne-Marie Le Pourhiet a prononcée, le 14/10/08, devant la table ronde n°6 de la « Mission d’information sur les questions mémorielles » qui avait pour thème : « Le rôle du Parlement dans les questions mémorielles :

    C’est, à mon avis, un bon début pour remédier au manque de confiance des Français et pour les faire sortir du toujours vrai ” Quand les Français ne s’aimaient pas”. (… ne s’aimaient pas en tant que Nation, et non pas entre-eux.

    Remettre en cause la loi Gayssot, c’est remettre en cause les jugements de Nuremberg dont est issue la Shoah.
    D’autre part, il y a révisionniste et révisionniste, la plupart ne font que des copier-coller des publications de Rassinier et Faurisson .
    Enfin, c’est une tautologie de dire que, dès lors qu’une critique en rapport avec les juifs et(ou) les communistes est abordée, fait de leur(s) auteur(s) des nazi, facistes d’extrême -droiiite, etc.

    ps : j’ai une lettre du premier envers le second datant de 64, êtes-vous preneur ?



  • blh 2 mai 2009 14:25

    Pour Cambronne,
    après 71, 1re, 2ème Re, Gole, DLEC à Bonifacio, Corté, Diego-Suarez,Djibouti,Dzaoudzi/Mayotte.
    Avant, c’était le 1er et le 11ème Choc à Calvi et Perpignan.

    Merci pour les précisions que vous apportez à cet article ; j’avoue que je ne pensais pas trop à lire tant de commentaires, me disant que le marxisme-léninisme, bof, qui pouvait connaître tout çà... En fait, je me suis trompé, ces évènements ne sont pas oubliés, loin de là.
    Un peuple sans mémoire et comme un homme sans rêves, il meurt.

    Bonne fin de semaine.



  • blh 2 mai 2009 03:32

    Reinette,
    oui, effectivement, d’excellents compléments au film ; merci. :)



  • blh 2 mai 2009 02:28

    J’ai passé quelques années chez les para et la légion...L’entraînement y était assez difficile, mais avec un peu de volonté, on réussit à se dépasser. La preuve, je suis toujours votre serviteur :)
    Cette vidéo est effectivement bien connue, mais je pense sincèrement que ce n ’est qu’un fake : une jeune recrue recevant de tels coups dans le ventre ne se relève pas si rapidement. Jamais. A mois d’être en attente des coups.Et déjà formée. Et quand on connaît bien la vie dans ces unités d’élite, on se pose des questions au vu de cette vidéo.



  • blh 1er mai 2009 20:19

    Quant à dire qu’il y a trop d’erreurs, il faudrait demander à Andrzej Wadja ce qu’il en pense .



  • blh 1er mai 2009 20:14

    J’ai la nette impression que les critiques se déplacent et sortent de l’article proprement dit.
    Il est hors de question de refaire la Guerre de 39/45 et de porter la victoire à un camp plutôt qu’à un autre. On ne peut nier le fait que l’armée rouge a contribuer dans une large part à cette victoire, mais oublier les armées alliées n’est pas très « historique » .
    Il s’agit ici d’une critique d’un film mettant en relief le massacre de Katyn attribué à tort aux Allemands mais enfin reconnu par les Russes officiellement, et rien d’autres.
    Alors, s’il vous plait, messieurs les agioteurs et pourfendeurs de l’Armée Française, restez calme, respirez un bon coup et allez donc voir ce film. Merci. :)



  • blh 1er mai 2009 18:16

    J’étais militaire avant d’être prof de maths et j’ai découvert très tôt des auteurs assez conséquents.  :)



  • blh 1er mai 2009 14:43

    Que le communisme inspirât terreur en temps de paix n’est plus à démontrer, c’est plus une litote en définitive. Certains rescapés des goulags l’ont fort bien témoigné.
    Éviter les guerres, oui, cela devrait être un mot d’ordre perpétuel chez chacun de nous ; quant à juger que la révolution de 1789 fut salvatrice, je me pose des tas de questions.
    Je pense qu’il y a deux aspects essentiels dans ce film ; d’abord, montrer l’animalité de l’ homme , ensuite faire en sorte que les devoirs de mémoire ne soient pas toujours dans le même sens.



  • blh 1er mai 2009 13:24

    Quand on écrit que la plupart des 1,6 millions de personnes, élite de la Pologne, ont disparu, est-il encore possible de distinguer concentration/extermination ? A moins de revoir les définitions qu’en donnèrent les vainqueurs de Nuremberg. Diminuer l’intensité de ces derniers ne font pas des premiers des camps de vacances pour autant.



  • blh 21 avril 2009 21:47

    Si justement, les Français sont propriétaires de la France.
    Ils sont propriétaires de la France du fait de leurs aïeux qui ont creusé, fortifié, embelli cette terre à un point tel que des millions d’entre-eux sont morts pour avoir repoussé les envahisseurs de tout bord, et ce depuis Clovis, Phillipe Auguste, Jeanne d’Arc, sans oublier 1870, 14/18, 39/45.
    Ils sont propriétaires de la France parce que leurs terres sont des propriétés privées, chèrement acquises au cours des temps, patiemment, à force de privations, tout comme la fourmi de la fable.
    Et vous, grand pourfendeur du nationalisme, vous en êtes réduit, ainsi que vos confrères des grands groupes style Bildeberg et autres, à porter en exergue le drapeau du libéralisme le plus égoïste - car vous ne pensez qu’à vous- et le plus ringard qui soit., drapeau à côté duquel flotte celui du multiculturalisme avancé rendu obligatoire par un certain président.
    Vous ne vous rendez même pas compte que plusieurs nations , et non des moindres, prennent de plus en plus des mesures drastiques de protectionnisme.
    En fait, vous êtes le héraut de la dhimmitude la plus totale, tranquillement au chaud dans vos maisons hyper protégées, sans que vous ayez un seul mot pour ceux qui vivent, jour après jour, heure après heure, cette diversité, chance pour la France.
    Je vous plains, mais je ne vous salue pas , Mr Robert Branche



  • blh 12 avril 2009 11:41

    A propos de la « récupération » de cette bastonnade au profit de l’extrême droite, en voici l’essentiel, vu sur le site fdesouche.fr : essayez-donc de répondre aux questions posées.

    "A observer la réaction du système politico-médiatique à la diffusion de la vidéo du lynchage raciste d’un jeune Blanc dans un bus, on est en droit de se demander si la francophobie est l’apanage des seuls lascars de banlieues.

    Pour le prouver, il suffit d’imaginer que les agresseurs soient blancs et la victime issue d’une minorité. Un Arabe, un Noir ou un Juif par exemple.

    Imaginez la même scène, les même lieux, les mêmes coups, les mêmes insultes, le même contexte mais inversez les « couleurs » des protagonistes et remplacez « Français de merde » par Arabe, Noir ou Juif « de merde ».

    • Croyez-vous qu’il aurait fallu attendre qu’un policier poste ces images sur sa page Facebook, que quatre mois plus tard un internaute tombe dessus et nous les envoie pour qu’on parle enfin de cette agression dans les médias ?
    • Versac, “blogueur de référence”, aurait-il d’abord affirmé que la video était un faux grossier, avant de conclure à un obscur complot de l’extrême-gauche militante ?
    • Aurait-on cherché à nier le caractère raciste de l’agression en dépit des insultes racistes prononcées (« Français de merde » à deux reprises) ?
    • Se serait-on inquiété que la diffusion d’une telle vidéo puisse faire monter le racisme anti-blanc ?
    • Les médias se seraient-ils désintéressés totalement du sort de la victime, des conséquences physiques et psychologiques de son agression ?
    • Les médias se seraient ils totalement désintéressés du sort des agresseurs, et n’auraient-ils pas réclamé une peine “exemplaire” ?
    • Les médias auraient-ils volontairement inversé les culpabilités en s’intéressant plus à la fuite ayant permis la diffusion qu’aux images et à leur signification ?
    • Le MRAP, la LICRA, SOS Racisme, les politiciens, les évêques …seraient-ils restés silencieux ?

    Non !
    Pourquoi ?

    D’autre part,on apprend que la victime est élève à Sciences-Po Paris, l’école dirigée par l’inénarrable Richard Descoings, condamné pour avoir diffamé Le Pen.
    On imagine sans peine la facilité avec laquelle le brave jeune homme a raconté sa merveilleuse aventure d’avoir pu côtoyer de près le si tendre « Vivre ensemble ».

    Enfin, le seul qui ait eu le courage de sortir cette vidéo est en passe d’être mis à la porte, alors que les gentils bolosseurs sont toujours en liberté.

    Y a pas un couac quelque part ?




  • blh 25 mars 2009 08:07

    Effectivement, je me rappelle un peu de cet épisode qui déjà avait fait désordre à cette époque.
    Je suis assez persuadé ( ayant vécu quelques années dans le milieu du showbiz ) que ces deux demoiselles, au demeurant fort agréables à regarder jouer, ont dû, chacune en ce qui les concerne, recevoir maints conseils en tout genre, carrière oblige .
    Merci pouir le lien  smiley



  • blh 25 mars 2009 07:59

    Je me suis excusé précédemment à ce sujet.
    L’habitude d’écrire n’empêche évidemment pas de commettre des erreurs.
    Mais je pense que vous vouliez écrire presomption , j’imagine ? Voila où cela nous mène de vouloir écrire trop vite. smiley



  • blh 24 mars 2009 21:57

    Au temps pour moi,
    bien sur qu’il fallait lire calendes...
    je bats ma coulpe.



  • blh 24 mars 2009 21:52

    je ne cumule rien de quoique ce soit :
    j’ai passé un temps à l’armée, un temps en entreprise et un dernier temps à l’éducation nationale, cequi fait, en définitive, une seule retraite à peine supportable :)
    je ne sais pas si ces 2 millions de personnes qui auraient vu ce film l’ont ou non apprécié, il n’y a pas de stats encore à ce sujet ; d’autre part, je n’ai aucune idée de la raison de cette non-diffusion, je posais simplement la question .
    Je crois ,cependant, à la lumière de réactions assez conséquentes sur les blogs ou de vive voix, que le problème des lycées et collèges dans les zones dites " sensibles " demande des réponses claires et nettes, à l’opposé de celles rencontrées habituellement.