• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Les commentaires de victor waknine



  • victor waknine victor waknine 22 juillet 2011 11:51

    Malraux disait « Mal nommer c’est rajouter aux malheurs du monde »

    Oui Guillaume il y a plus à faire car la cause primordiale est l’effondrement des valeurs devant l’unique critère de gestion financière.

    Mais cela dépasse les acteurs des RPS et il n’y a que le combat politique nouveau qui reste un lointain espoir.

    Pour ma aprt je me bats déjà pour ne pas mettre le mot prévention à tous les étages.

    le niveau 2 est de l’accompagnement
    le niveau 3 est de l’intervention
    seul le niveau relève de la prévention

    allez dire à une gouvernance bon c’est bien vous vous êtes enfin attaqué aux causes premières cela va améliorer les RPS et lui dire en même temps, mais pour faire mieux il faut solliciter le pouvoir politici financier.

    Il vous répondra que beaucoup d’entre fassent au moins comme moi.



  • victor waknine victor waknine 15 décembre 2010 15:33

    merci pour tous ces posts, afin d’en savoir plus je vous recommandes de consulter www.rupertconsulting.com qui a développé une analyse de l’état d’esprit pour confronter la perception (des indicateurs virtuels) aux aspirations des individus dans les organisations



  • victor waknine victor waknine 24 octobre 2010 19:49

    Lordon est dans le vrai, d’ailleurs ils vont découvrir leur déconfiture sur les LBO dont la faillite s’annonce (7000 Milliards de $ au niveau mondial) et les fonds de pension représente 60% de ces montants, ils n’auront plus d’yeux pour pleurer les pauvres.

    La stratégie qui se développe est en 3 temps :

    *On passe en force ans parler du pb de l’emploi sur les 4 niveaux de flux cités plus haut, on polarise le débat sur nous au moins on pense au sauvetage du système
    *2é étape on sort Borloo qui tout mielleux nous dit qu’après cette couleuvre on va s’occuper des jeunes (1er flux) et des séniors (4é flux) cad, comme Pôle Emploi va payer les mecs qui virés à 50 ans et après leurs 3 années de chomedue, vont pendant 14 ans chercher du travail avec le RSA pour faire la soudure et toucher à leur retraite le min veillesse qui est de toutes façons la seule variable introduite dans leurs calculs après avouir rasé tout le monde.

    3é étape , on sort les AXA et companies qui vont avec des mutualistes bon teint genre socialos, vont pondre un petit cocktail de capi du style 2/ répartition , 1/3 capi pour dynamiser votre retraite.

    Cela se finira dans les poches des intermédiaires qui se gavent avant de reverser la misère sans compter leurs déconvenues sur les produits investis spéculatifs pardi.

    mais la ou s’est très fort et je rejoins Lordon, c’est que les mecs ils vont se défoncer dans le salariat cat ils y auront mis leur épargne par la CAPI et la boucle est bouclée sur la financiarisation « avant, pendant, après »

    Pour les contrer il faut investir dans la pierre et l’or genre machine arrière, cracher sur leurs produits mutualisés genre sicav et acheter du studio et du terrain, surtout ne pas leur filer votre blé contre du papier , c’est la le danger.
    Viser une contrepartie béton mieux que l’emprunt d’état , du béton, du béton, du béton , on les aura avec du béton.



  • victor waknine victor waknine 24 octobre 2010 15:10

    Petit point d’étape pour nombre d’entre vous :
    1* pour tous ceux qui mettent une étiquette facile sur l’habit du moine, un consultant en stratégie et management ex PDG viré par la grand méchant système libéral, cela donne parfois à sourire et froid dans le dos. Nous luttons tous pour une relative éthique sociale pour ne pas tomber avec facilité sur des jugements au faciès , l’homme est bien plus complexe que sa fonction heureusement, la culture, l’histoire et les relations et expériences humaines l’enrichissent perpétuellement. La fonction en outre ne désigne pas la vérité loin s’en faut cela serait d’un triste...

    2* a ce propos le fond du sujet que je travaille est justement d’alerter sur cette mutation qui a rendu les individus , objets et qui donc sont pilotés par les indicateurs de gestion et des sondages sans tenir compte de leurs vies émotionnelles et d’ordre/désordres de la vie des organisations qui interpelle le hasard dans son tréfond.

    Mon propos est de rajouter une dimension sociale au système économique basée sur : Bien Etre, Confiance, Etat d’Esprit et Qualité de Vie au Travail dont la quantification se ferait par la règle et la convention entre les parties prenantes internes.
    Passer d’une gouvernance économique à une gouvernance socio économique.

    3* à titre d’exemple, Cameron le conservateur anglais , va supprimer 490000 emplois publics sous l’autel de la bonne gestion financière, il fait donc bonne figure aux agences de notation pour pouvoir emprunter et rassurer les marchés financiers, il se comporte en Business Decision Manager.
     Statistiquement si on joue avec leurs règles il va générer pas moins de 2000 suicides dont on ne calcule pas bien sur le côut astronomique de diffusion dans la population en termes de perte de confiance, déprime etc ; C’est comme si on pouvait simuler les transformations positives dues aux suicides chez France Telecom et les décisions importantes qui en découlèrent sur la prévention obligatoire des RPS dans les entreprises, « un mal pour un bien ».

    Au lieu de cela, si le gouvernement anglais (c’est valable pour les autres) décidait d’analyser de façon systémique la situation globale, désindustrialisation et privatisation des services publics des années Thatcher qui ont amené le pays dans cette situation .
    Fustiger les emplois publics en boucs émissaires cela reviens à dire :« Vous les libéraux du marché financier dogmatique, on a déjà fait beaucoup pour vous, cela n’a rien donné , c’est pire, mais comme on ne peut pas renier ce qui a été fait par les anciens conservateurs, on va taper là ou c’est possible, les services publics ; Et svp créez nous un peu d’emplois pour ces miséreux ».

    En conclusions c’est par la coexistence des 2 systèmes forts, liberté d’entreprendre d’un côté et services et entreprises publiques de l’autre qu’un équilibre socio économioque est possible.
    La loi du marché a failli aussi, comme le socialisme et le communisme, l’utopie est de croire pouvoir piloter le hasard etb le futur au lieu de s’y adapter avec humilité en gardant des grands principes démocratiques et sociaux tout en renforçant le dialogue social et la représentativité dans les organisations au niveau de la gouvernance.



  • victor waknine victor waknine 20 octobre 2010 14:37

    avant de vous en prendre au consultant vérifier d’abord ce qu’il propose www.mozartconsulting.fr cela s« appelle de l’éthique même sur ago il n’est pas interdit d’en avoir.
    Votre consultant a aussi été PDG donc c’est un exploiteur, il est né au Maroc, donc ...il habite les beaux quartiers donc...

    Et au fait vous en pensez quoi du fond de l’article ? car votre consultant lui avance à visage découvert , il annonce tout son nom, son métier d’auj et d’hier et sa vision citoyenne.

    Un conseil gratuit : »Ce que l’on fait est différent de que l’on est"
    vous êtes qui vous ? et vous faites quoi ?



  • victor waknine victor waknine 20 octobre 2010 12:17

    évidemment, je voulais juste apporter un angle d’éclairage sur le débat des retraites qui fait l’hypothèse du plein emploi ou d’un chomage acceptable 7 % comme en allemagne.
    Chez nous outre ce que vous rappellez, OMC, marchés financiers er UE dont je parle, délocalisations industrielles et c, on oublie cet aspect des gains de productivité dans l’équation générale en massacrant les services publics et en subventionnant l’emploi privé par 375 mesures que personne ne contrôle.

    dailleurs le critère de la RGPP est basé sur la productivité des SI qui justifient le non remplacement d’un fonctionnaire sur 2 et tout le reste

    merci



  • victor waknine victor waknine 25 septembre 2010 20:04

    svp voir ma réponse à Lisa

    la stratégie adoptée est de pouvoir comprendre les armes et le vocabulaire de son adversaire pour mieux le combattre.

    Face aux requins dont le dogme est l’EBIT vaut mieux bien comprendre ce qui se passe et leur faire mal là ou il faut.



  • victor waknine victor waknine 25 septembre 2010 19:57

    Bonjour,

    merci pour l’échange, oui on peut douter mais il s’agit de réagir et ne pas croire qu’avec des pénalités et des tickets psy on va pouvoir éradiquer le pb.La relation Manager/managé est essentielle dans un premier temps afin de faire tomber la pression.La cible vous l’avez compris c’est l’actionnaire c’est pourquoi la stratégie à adopter est celle du dauphin qui s’adresse au requin en ces termes : « Tu gagnes que si je ne perds pas », donc pas de respect, de qualité de vie au travail, pas de motivation ou d’engagement.

    EBIT caché= tout ce qu’il perd comme charges dues au mal être au travail : absentéisme, maladies et accidents professionnels, turn over, contentieux, présentéisme, baisse de qualité et de productivité, etc, perte d’image.
    En fait son EBIT caché est > EBIT comptable et la il s’arrache les cheveux et va peut être bouger
    Le reste c’est de l’angelisme de carpes plus ou moins éclairées, il s’en moque vraiment : morale, éthique, taxes, médias.

    Il faut avoir été dans leur bain pour bien comprendre comment ils se lavent et s’y jettent.



  • victor waknine victor waknine 7 septembre 2010 13:10

    merci pour votre remarque, j’en tiendrais compte



  • victor waknine victor waknine 5 septembre 2010 22:32

    c’est un cas classique du théorème de godel

    Gödel a démontré en 1931 deux résultats mathématiques :
    => Il se peut que dans certains cas, on puisse démontrer une chose et son contraire (inconsistance).
    => Il existe des vérités mathématiques qu’il est impossible de démontrer (incomplétude)
    Le plus célèbre de ces résultats est le second, qu’on appelle théorème d’incomplétude de Gödel.

    Quelques définitions
    Système formel
    Preuve de Dieu
    Machine de Turing
    Programme informatique

    ajoutons que dans le cas d’éspèce nous sommes face à un exemple de causalité inversée, ou l’effet précède la cause : qui en effet a sollicité l’autre le premier , Dieu ou l’homme ?

    le dessein de Dieu est la vie c’est l’effet voulu, une fois celle ci déployée et constatée, l’homme apparaît , il en cherche la cause qu’il nomme Dieu qui date de 10000ans à peine environ pour la première version des divinités avant le monothéisme.

    On ne peut démontrer qui a sollicité l’autre, on peut démontrer l’existence et son contraire, c’est de l’indécidabilité pure et de l’inconsistance



  • victor waknine victor waknine 17 août 2010 21:39

    « enroulade » ou « farinade » ou biaisage« ou »mascacarade« ou »manipulade« ou »sondaglande« ou »propapulation" avec manipulation c’est mon préféré.
    J’attends le partage des honneurs



  • victor waknine victor waknine 17 août 2010 21:30

    on interroge un premier échantillon de gens d’église et on leur pose la question suivante : Peut on prier en fumant ? réponse NON à 95¨%
    On interroge un second échantillon( tjs avec la méthode des quotas, 1006 personnes dont on connaît la pointure et la couleur du slip au moment du sondage mais pas le nom du voisin du dessus car il est parti en vacances) et on lui pose la question : Peut on fumer en priant ?
    réponse OUI à 95%.

    En fait les psycho sondeurs vous prédisent le présent à partir de l’avenir et les scientifiques vous prédisent l’avenir à partir du présent, du réel du mesuré, là est la grande différence.

    Enfin un petit dernier pour la route, Albert disait « on compte, mais ce qui compte n’est pas compté » mais je lui préfère « les problèmes d’auj sont les solutions d’hier »

    Et surtout ne pas sous estimer le poids des mauvais psy TCC dans l’éducation, la santé l’entreprise et les instituts de sondage, ils font des ravages, mais attention la proportion des mauvais est d’environ 50% pas de quoi s’inquiéter, c’est pas moi qui le dit c’est les psychanalystes, ils en connaissent un bout la dessus.



  • victor waknine victor waknine 14 août 2010 21:15

    édifiant et instructif cela me rassure et me conforte de fuir ces gens la trop intelligents
    votre post m’a fait beaucoup rire, merci



  • victor waknine victor waknine 12 août 2010 11:44

    Désolé JL mais je ne lobbyse pour rien. Mon seul combat est le « Travailler mieux pour Vivre mieux » et ma crainte partagée par de nombreux citoyens est de constater que les mécanismes créateurs d’emploi durable sont en panne car trop orientés « services » qui font 70% des emplois en France (20 pour l’industrie et 10 pour la construction)
    Je suis aligné avec votre profil sur la folie neo libérale qui justement ne propose comme système que croissance/consommation/financiarisation/privatisation.
    Mais comme il faut être pragmatique et que les élections approchent , secouer les neurones de ceux qui risquent d’être aux commandes nourrit un faible espoir j’admets.
    Donc relancer l’emploi industriel DURABLE avec un actionnariat public et européen sous contrôle citoyen et syndical dans une approche conventionnelle , me paraît être une route à privilégier, quitte à renationaliser des pans entiers de nos filières industrielles.

    Qui aura ce courage d’en reparler ? je vais frapper à la porte d’Europe Ecologie pour voir, n’étant affilié à aucun camp.
    merci






  • victor waknine victor waknine 14 juillet 2010 18:16

    « On compte mais ce qui compte n’est pas compté » par ex dans les organisations, le bien être et l’état d’esprit des gens, on s’en balance, d’ou tous les chiffres sont faux EBIT, Provisions, EVA, VA, etc, et la bourse et les agences de notation se gargarisent de chiffres faux et les BSC sont des miroirs de pilotage d’une bande d’égarés abrutis par la perplexité de la mer qu’ils ont à travaerser.
    Voila pourquoi votre propos me paraît sain, ceci étant ou est le SENS, pour ma part c’est « Travailler mieux pour Vivre mieux » et se poser la question du « devoir faire » plutôt que du « pouvoir faire » afin de satisfaire les attentes des parties prenantes.



  • victor waknine victor waknine 30 juin 2010 21:27

    ne cherchez pas trop loin, c’est le DAF qui décides, il prouve l’économie même si c’est une cata pour tous, car c’est sa posture, et tous les moutons suivent puisqu’ils utilisent le critère financier comme seul dogme, même si cela est dangereux .
    Qui va pouvoir aller dire au DG et encore moins au DAF , non c’est une mauvaise décision ? personne , car elle est basée sur le seul critère gestionnaire, inattaquable.

    alors ?
    L’astuce c’est d’agir comme un dauphin et de dire aux requins « Désormais tu ne gagnes que si je ne perds pas » et de lui sortir un concurrent à l’EBIT, l’IBET, l’Indice du Bien ETre au Travail qui va lui montrer combien il perd à ne pas faire en sorte que les individus se sentent pas bien dans l’organisation.



  • victor waknine victor waknine 14 juin 2010 10:58

    on peut savoir qui tu es cela me ferait peut être plaisir ?



  • victor waknine victor waknine 1er juin 2010 21:12

    un post d’étape par l’auteur :
    M Junior d’abord : la belle affaire de savoir que les analystes financiers savent que le capital humain est le + important, qu’en font ils ?avec quelles mesures ?s’intéressent ils de savoir si les collaborateurs se sentent bien dans la boîte qu’ils analysent ? réponse NON
    Une planche de salut pour des DRH qui cherchent à bien faire leur boulot sans mimer les financiers est de s’intéresser au bien être et à la qualité de vie collective, de là découle beaucoup de choses et la performance en particulier.

    Pour Olivier Lapoix ensuite : attention , mon propos est du second degré en montrant aux cyniques de la finance que le capital humain ce n’est justement pas comme du capital financier, mais qu’une stratégie de les ridiculiser avec leurs chiffres qui ne veulent rien dire est de les interpeller sur un capital humain qu’ils auront bien du mal à valoriser.

    merci à tous pour vos commentaires

    victor



  • victor waknine victor waknine 25 mai 2010 09:33

    tout le contraire, il s’agit de s’adresser aux cyniques avec l’IBET pour relativiser et ridiculiser l’EBIT qui est le seul dogme économique en oubliant une simple question , les salariés se sentent ils bien dans leur travail ? et de la découle les actions de qualité de vie au travail.

    Bref c’est du second degré pour faire bouger les lignes en utilisant la voie socio économique, tout le reste c’est du conflit de pouvoirs entre direction et élus au détriment des salariés.
    merci de votre témoignage



  • victor waknine victor waknine 24 mai 2010 19:31

    petite précision de l’auteur, la valorisation du capital humain est certainement une obsession de l’actionnaire/dirigeant,
    l’IBET ne s’envisage que si cela correspond à une co production entre les différentes parties prenantes qui se mettent d’accord sur dégradation de la valeur ajoutée générée par une non qualté de vie au travail.
    En quelque sorte « l’EBIT c’est bien , l’IBET mieux » ou comment compter ce qui compte et non pas ce qui est compté dans les comptes.