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Les commentaires de Paul Villach



  • Paul Villach Paul Villach 2 janvier 2012 19:46

    @ Cher Docdory

    Excellent, votre commentaire qui pourrait être un article à part entière ! Paul Villach



  • Paul Villach Paul Villach 2 janvier 2012 11:39

    @ Pandorerh

    On se demande en effet pourquoi cet attelage. C’est comme les départements universitaires dit « d’information et de communication »... Paul Villach



  • Paul Villach Paul Villach 1er janvier 2012 16:17

    @ Bo

    Je souscris évidemment à ce que vous écrivez. Je vous présente aussi mes meilleurs voeux. Paul Villach



  • Paul Villach Paul Villach 28 décembre 2011 18:07

    @ Alasalyes

    Avouez qu’il est plus à sa place aux obsèques de ce clown sordide de Kim-Jong-Il qu’à celles de Vaclav Havel. Il est normal que les histrions se soutiennent. Paul Villach



  • Paul Villach Paul Villach 21 décembre 2011 11:37

    @ Devphil30

    Vous avez compris le sujet l’article !
    Même Pierre Péan a mis en cause ce type de « journalisme d’investigation » par informations secrètes données de la main à la main...

    On ne peut décidément pas ouvrir les yeux des dévots. Paul Villach



  • Paul Villach Paul Villach 19 décembre 2011 10:47

    @ Fergus

    Merci Fergus. Nous partageons cette même passion.
    Quand j’ai vu la photo de « La Pieta » aux pieds de laquelle on accoste en venant de Punta Sabbioni, j’ai couru voir votre article.
    Une culture livre en partie sa quintessence par la musique. Paul Villach

     



  • Paul Villach Paul Villach 17 décembre 2011 17:18

    @ JF Chalot

    Salutaire rappel ! Paul Villach



  • Paul Villach Paul Villach 17 décembre 2011 17:16

    @ Liberté

    Hélas si ! Pour des chefs voyous, évaluer peut nécessiter d’inventer des fautes de service. La preuve ! Ces voyous dont je parle et que l’administration du ministre Fillon a couverts, sont toujours en poste, à l’exception du voyou d’inspecteur d’académie qui a pris sa retraite. C’est donc qu’ils ont bien fait leur travail... aux yeux d’une administration voyou, comme il existe des patrons voyous !

    Je vous accorde volontiers que, vu le degré de corruption atteint aujourd’hui par l’institution judiciaire française, que la condamnation du délinquant Chirac ne modifie pas - bien au contraire - la voyousse de principale adjointe que vous évoquez, condamnée en 1997 par la Cour de Cassation, serait relaxée aujourd’hui : la calomnie n’est-elle pas une prérogative de la fonction ?

    Je vous avoue même que je n’en suis pas revenu d’avoir vu ce blâme annulé en décembre 2006. Il existe sans doute dans les coins quelques juges honnêtes qui traînent encore ! Paul Villach



  • Paul Villach Paul Villach 17 décembre 2011 17:07

    @ Pandorehr

    Nous sommes bien d’accord, un administrateur qui a violé la loi, n’est plus digne de représenter le Service Public ! Mais vous le savez comme moi, l’administration française a dérivé vers ce mode de management où la violation de la loi est devenue une modalité d’action usuelle pourvu qu’elle y trouve intérêt.

    Que cette conduite désastreuse se fasse au prix d’une démoralisation de la nation, les ploutocrates au pouvoir n’en ont cure. Ce qu’ils veulent, ce sont des hommes et femmes prêts à tout, dès lors qu’ils sont « COUVERTS ».

    Quand à votre question sur les profs d’EPS qu’on voit accéder aux postes de direction dans l’Éducation nationale, j’avancerais une hypothèse qui s’inscrit dans ce contexte.
    1- Ces individus sont parmi les plus frustes du corps enseignants, car il y en a d’autres ;
    2- ils ont un appétit de revanche peu commun, car leurs collègues des autres disciplines les méprisent un peu ;
    3- ils sont les candidats rêvés pour occuper des postes de direction, en devant leur élévation sociale à une hiérarchie qui attend d’eux en échange qu’ils fassent tous ses caprices. Ils ne se font pas prier, ils ont une revanche à prendre sur leurs collègues.

    L’individu dont je fais état dans mon exemple, est un inculte de première ! Il ne sait pas écrire le Français correctement : « Il va s’en dire », écrit-il deux fois, par exemple, dans une lettre secrète de dénigrement d’un prof, adressée au président d’une fédération de parents d’élèves.
    Quand il s’exprimait en public, il régurgitait « les éléments de langage » - comme disent « les vaseux communicants » - qui devaient lui être servis dans des réunions de formation permanente accélérée et qu’il apprenait par coeur. Le mot « professionnel » était répété à tout bout de champ : il fallait être « professionnel », disait-il sans cesse sans se rendre compte que la première manière d’être « professionnel » dans un établissement scolaire, c’est de commencer par parler et écrire correctement le Français.
    Quand vous mettez un inculte de ce tonneau à un poste de direction, vous disposez d’un homme lige prêt à tout pour vous satisfaire : il vous est si reconnaissant de l’avoir élevé socialement malgré ses carences criantes qui auraient dû lui interdire d’accéder à ce poste.

    Voilà l’Éducation nationale aujourd’hui ! Paul Villach



  • Paul Villach Paul Villach 16 décembre 2011 12:46

    @ Zen

    De quelle généralisation m’accuses-tu ?

    1- Je ne dis pas que tous les administrateurs sont des voyous.
    2- Je demande seulement si des administrateurs dont l’évaluation d’un professeur a été condamnée par le tribunal administratif - comme le montre le cas d’espèce décrit dans cet article - peuvent continuer à rester en poste.
    3- À mes yeux, ils commettent une faute lourde qui jette le discrédit sur l’institution. Donc ma réponse est « DEHORS ! »

    Quelle est ta réponse ? Quelle règle générale appliquer à ces cas d’espèce qui ne sont pas rares. Et quand bien ils le seraient, ces voyous en poste nuisent au crédit de l’institution. Paul Villach



  • Paul Villach Paul Villach 16 décembre 2011 12:11

    @ Le Chat

    Dans l’exemple donné par cet article, qui est à la hauteur de la mission du service public d’éducation, la bande de voyous qui a imputé des fautes de service imaginaires ou le professeur qui en a été victime selon le jugement du tribunal administratif ?



  • Paul Villach Paul Villach 16 décembre 2011 12:07

    @ le Chat

    Pourquoi faites-vous diversion ?

    Je pose une question à la fin de cet article : est-il normal que des administrateurs qui ont vu leur évaluation d’un professeur condamnée par le tribunal administratif pour une raison aussi grave que l’imputation de fautes de service imaginaires, restent en place et continuent à sévir ?
    Quelle est votre réponse ?
    Le crédit d’une évaluation dépend du crédit de l’évaluateur. Le reste n’est que diversion ! Paul Villach



  • Paul Villach Paul Villach 16 décembre 2011 11:51

    @ Zen

    Vous trouvez secondaire que des chefs voyous peuvent rester impunis.
    Tout le crédit d’une évaluation repose sur le crédit de l’évaluateur !
    Quand l’évaluateur use de méthodes de voyous dûment constatées comme le prouve l’exemple donné dans mon article, ne jette-t-il pas le discrédit sur l’institution ?
    Qui pose de problème ? Tout le monde s’en fout ! Et pourquoi ? La corruption entre l’administration, les syndicats et une majorité d’enseignants est générale ! Le clientélisme est la règle ! Vogue la galère ! Paul Villach



  • Paul Villach Paul Villach 15 décembre 2011 10:58

    @ Cher Docdory

    Tout à fait d’accord avec vous ! Paul Villach



  • Paul Villach Paul Villach 12 décembre 2011 19:02

    @ ddacoudre

    « dommage que certain aient cru que tu prenais la défense de DSK. »
    Tu as raison !

    Il n’est pire aveugle que celui ne veut pas voir ! Ces gens ne savent pas ce qu’est une information... À quoi bon tenter de leur expliquer ?
    Paul Villach



  • Paul Villach Paul Villach 9 décembre 2011 18:46

    @ Cher Docdory

    Excellent travaux pratiques !

    On se demande comment le monde journalistique peut encore resservir sans sourciller ses dogmes infondés sans craindre le ridicule. Paul Villach



  • Paul Villach Paul Villach 9 décembre 2011 18:08

    @ Panrorerh

    Je voudrais partager votre optimisme.
    Il reste incompréhensible que le monde des journalistes continue de répandre les erreurs de leur mythologie sans craindre le discrédit. Paul Villach



  • Paul Villach Paul Villach 8 décembre 2011 19:18

    @ Pandorehr

    Cette relation entre les médias et la police permet aussi à certains journalistes de jouer aux « reporters d’investigation » : ils n’ont pas trop à chercher quand la police leur fournit directement les informations... Paul Villach



  • Paul Villach Paul Villach 8 décembre 2011 10:05

    @ Pandorerh

    Merci de cette analyse pénétrante et de ces propositions pertinentes. L’institution judiciaire est aujourd’hui si corrompue qu’elle menace la cohésion sociale. Paul Villach



  • Paul Villach Paul Villach 30 novembre 2011 10:57

    @ Liberté

    Je souscris entièrement à ce que vous écrivez.

    Il est fort probable qu’aujourd’hui la Cour de cassation donnerait raison à cette voyouse de principal-adjoint, puisque le Droit n’est désormais qu’un chiffon de papier.

    Je me demande encore comment le 7 décembre 2006 le Tribunal administratif de Nîmes a pu annuler un blâme infligé à un professeur pour « inexistence de motifs ». Ces voyous de principal, inspecteur d’académie et de recteur de Montpellier avaient inventé purement et simplement des fautes de service pour commettre leur forfait ! Voilà où en est l’Éducation nationale !

    Sans doute existait-il encore dans ce tribunal administratif un juge honnête égaré ... Paul Villach