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Les commentaires de Vladivostok 1919



  • Vladivostok 1919 Vladivostok 1919 8 juin 2011 11:48

    Vous répondez systématiquement à coté de la plaque, avec des approximations voir des arguments faux, (sur l’energie, sur les stratégies des corporations) ou pire en me faisant dire ce que je n’ai pas dit.
    Vous posez surtout beaucoup de « si », en révant d’un monde idéale « en théorie » qui n’existe pas, et qui est l’argument typique des « lendemains qui chantent », servit par ces corporations dont vous défendez les stratégies.

    Cela promet une discussion interminable, qui me fatigue d’avance, et qui de toute façon ne vous fera pas changé d’avis, quelque soit mes arguments.

    En l’occurence, je vis au USA, et ma femme etant médecins spécialisé en nutrition, ce n’est pas la surnutrition qui est à l’origine de la baisse de la durée de vie, mais bel et bien la malnutrition, dont une des causes est bel et bien l’organisation du système agro-alimentaire et la mainmise de ses entreprises qui vous font tant fantasmer.

    Votre opinion sur la question est peu documentée. Ou disont documentée sur les arguments de ventes des grands groupes agros, qui ont des services marketing et des lobbies très efficaces. (Vous en êtes malheureusement la preuve)

    Lisez un peu plus, rencontrez des fermier bio. C’est vraiment tout ce que peux vous conseiller.



  • Vladivostok 1919 Vladivostok 1919 8 juin 2011 10:21

    L’agressivité et la violence des anti-corrida... face à la générosité et la compassion du torréro qui met à mort un taureau.

    Mais bien sur, Diego !!!

    Comme disait aussi Pierre Desproge :
    "On ne m’ôtera pas de l’idée que, pendant la dernière guerre mondiale, de nombreux juifs ont eu une attitude carrément hostile à l’égard du régime nazi."



  • Vladivostok 1919 Vladivostok 1919 8 juin 2011 09:51

    Vous n’apportez aucun argument intelligible, rien qui ne tienne la route.

    Une comparaison avec le fascisme, et le communisme ?!!!
    A t’on besoin de rappeler à quel point ils passent pour des glands, ceux qui utilisent ce genre de bétise !



  • Vladivostok 1919 Vladivostok 1919 7 juin 2011 23:51

    Quand aux cancers, statistique INSEE ; près de 200% d’augmentation du nombre de cas entre 1980 et 2005 en France - et ne venez pas dire que cela n’est du qu’à l’amélioration du dépistage..

    Le label « Scientifique » ne vaut pas tripette depuis qu« ils dépendent de financement privés - en 2 clics je vous trouve une équipe de scientifiques qui a publié une étude sur la »preuve de l’existence de Dieu".



  • Vladivostok 1919 Vladivostok 1919 7 juin 2011 23:28

    Après le tissu d’anneries du jeune disciple, voici le tissu d"anneries du maitre en personne, Gil Rivière-Wekstein, le militant écologiste de longue date !!!

    http://www.enviro2b.com/2011/06/06/%C2%AB-le-bio-ne-represente-que-des-fausses-promesses-%C2%BB/

    Que dire de plus, l’article reproduit ici parle de lui même. Un vrai chef d’oeuvre parodique du service marketing de Monsanto-Bayer-BASF.
    Bel effort.



  • Vladivostok 1919 Vladivostok 1919 7 juin 2011 23:15

    Il y a 30 ans la situation était bien différente. C’était la révolution verte, qui à nourri beaucoup de monde, c’est vrai à grand renfort d’énergie à bas prix -pétrole - et d’industrialisation.
    La tendance « nourrir le monde » est inversée depuis les année 90, car cette révolution verte à eu 3 conséquences.
    - Faire dépendre l’agriculture de l’industrie pétro-chimique. On voit bien la limite du système quand l’énergie devient rare et chère
     - Créer des légions de pauvres - De cette agriculture conventionnelle sont nés tous les grands bidonvilles de la planète, provoqués par un exode ruralmassif de populations de fermiers.
    Ces derniers n’ont pu faire face à l’inondation des marchés céréaliers et autres denrées alimentaires produites à moindre coût par l’agriculture productiviste.
    - Désertification (un autre sujet)

    "avec une meilleure organisation, on ne jetterait pas 50 % de la nourriture, donc, on est parfaitement capable de nourrir quelques milliards d’humains en plus"

    En théorie vous avez raison - dans la pratique, vous êtes en pleine science fiction... Cela n’arrivera pas, car l’agriculture industrielle repose sur des chaines d’approvisionnement longues, qui entraine un énorme gachis des denrées périssables - cela fait partie du système. Le seul moyen de réduire le gachit est de réduire les distance, dans cette chaine d’approvisionnement, donc d’aller contre la logique de cette agriculture.

    L’allongement de la durée de la vie n’est plus d’actualité. Il régresse aux USA depuis plusieurs année, et en Europe, la France est quasiment le seul pays ou ce n’est pas encore le cas. Les centenaire d’aujourd’hui n’ont pas été nourrit avec toutes les saloperie qu’on nous sert aujourd’hui.

    Beaucoup de gens on compris à travers le monde que les intéret industrielles ne sont pas forcement les intérets de l’humanité, et ne contribue pas à son bien être..
    Bienvenue dans le monde réel..



  • Vladivostok 1919 Vladivostok 1919 7 juin 2011 22:06

    « L’humanité n’a jamais été aussi bien nourrie que depuis qu’elle a »industrialisé« son agriculture »

    Complètement faux...

    Il est vrais que l’humanité n’a jamais autant produit de nourriture, mais

    50% de la bouffe produite n’est pas consommé.. (Source - Etude : agence de l’ONU, le Stockholm International Water Institute.)

    Le milliard de crève la faim dans le monde à été dépassé (Source - FAO)

    Ce sont 2 conséquence directs de l’agriculture industrialisé.
    Et je ne compte même pas la destruction des forêts des zones arables de ce monde.



  • Vladivostok 1919 Vladivostok 1919 7 juin 2011 20:40

    Une réflexion sur le bio, et sur les solutions justement plus efficaces..
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    LA PERMACULTURE - UN INTÉRÊT ECONOMIQUE - Cliquez pour télécharger.



  • Vladivostok 1919 Vladivostok 1919 7 juin 2011 20:32

    « le bio intensif use beaucoup plus les sols que l’agriculture conventionnelle. »

    C’est malheureusement surement vrais.. J’ai en effet réalisé il y a quelque temps que en France, les agriculteurs bio labourent en moyenne plus que les autres.
    Le problème comme je le dis plus haut, c’est que le bio d’aujourd’hui espère pouvoir être écologique tout en gardant les mêmes principe industriels de l’agriculture conventionnelle

    Du vrai bio est difficile pour une grande culture comme le blé, et peu savent comme faire.
    Pour les autres culture maraichère, du vrais bio efficaces (productif et non envahit pas les insectes et mauvaises herbes) n’est possible qu’en abandonnant la monoculture, et en installant des système de polyculture, avec des rotations, incluant éventuellement élevage bovin, ou voulaille suivant les principes établis par Allan Savory..

    C’est bel et bien un type comme Allan Savory qui devrait être étudié dans les écoles d’agro... Mais je sens que notre auteur n’a jamais entendu ce nom.




  • Vladivostok 1919 Vladivostok 1919 7 juin 2011 13:53

     « Gil Rivière-Wekstein est membre de l’Afja (Association Française des Journalistes Agricoles) »

    Il n’en est pas pour autant journaliste.

    Cet organisme a pour « membre associé » (sic !) Bayer qui produit l’insecticide Gaucho, accusé d’être une cause de mortalité des abeilles. Il a aussi comme autre « membre associé » (re-sic !) l’UIPP, organisation professionnelle des Industriels de la Protection des Plantes (avec Bayer, BASF et Monsanto entres autres).



  • Vladivostok 1919 Vladivostok 1919 7 juin 2011 12:23

    Hourra !!
    LA première réaction de toute votre carrière sur Agoravox !!

    Une citation devrait être entre guillemets, mais j’avais bien compris qu’il s’agissait d’un argument émmanent du livre - il semble que vous cautionnez cet argument, je me trompe ?

     "la substance reste toxique pour la santé au-delà d’une certaine marge."
    Un purin d’ortie ou de consoude, ça pue un maximum, mais je n’aurais pas peur d’en boire un verre.. Ce qui m’attend ; une bonne colique au pire..
    Un verre de Round Up, ironie du sors, me ramènera à la case bio (façon de parler), puisque suite à cela je boufferais les pissenlis par la racine.
    Donc oui, la quantité fait le poison, mais se servir de cet argument pour prouver qu’une tisane peux vous tuer, je me marre.

    Ce n’est pas le premier article que je lis venant de vous, et oui, ce que vous apprenez dans votre école (là encore je suppose que vos article sont, même partiellement le reflets de cet apprentissage - dites moi si je me trompe) est une arnaque qui ne survit pas à l’épreuve des faits.
    L’agriculture conventionnelle échoue lamentablement sur tout les plans, et comble ces échecs par une surconsommation de produits phytosanitaires et m^me une surconsommation de sol, vu l’ampleur du phénomène d’érosion.

    Les OGM par exemple, leur argument de vente est la hausse des rendements, et la baisse de la consomation de produits chimiques - hors ce n’est pas du tout le cas...
    Partout dans le monde, après quelques années, entre 2 et 5 ans d’exploitation, les rendements baissent dramatiquement, et les quantité d’intrants chimiques doivent être augmentée considérablement.

    Le bio est encore loin d’être la panacée, car il reste dans le cadre d’une agriculture qui calque son fonctionnement sur des processus industriels.

    Ce n’est qu’un pas dans la bonne direction. La compréhension et l’utilisation des écosystèmes lui permettra d’atteindre des rendements bien superieur à ceux de l’agriculture conventionnelle. C’est déjà le cas dans de nombreux endroits du monde.



  • Vladivostok 1919 Vladivostok 1919 7 juin 2011 10:58

    Ce qui est effrayant avec cet article c’est qu’il est écrit par un « étudiant d »Agro Paris Tech« ...

    Comme dirait l’autre :  »On confit bien le sérail à l’eunuque« ...

    Si seulement l’auteur prenait la peine de répondre aux commentateurs. On voit néanmoins que ce n’est jamais le cas, donc plutôt que de perdre mon temps à argumenter, je préfére oublier bien vite ce torchon..

     »Les produits bio sont traités par des pesticides naturels, certes, ils ont les même effets réels que les pesticides usuels : la substance reste toxique pour la santé au-delà d’une certaine marge."
    haha... C’est ça que vous apprenez dans votre école ??
    J’espère que l’enseignement y est gratuit et qu’il n’occupe pas beaucoup de votre temps - on s’est foutu de vous !!



  • Vladivostok 1919 Vladivostok 1919 4 juin 2011 23:06

    Tout à fait d’accord, Diego !!
    ça c’est envoyé !!

    Bon, sinon, on fait comme d’hab ce week-end, on torture un chat au chalumeau ?
    J’ai un labrador si tu veux, mais je préférais le balancer du 15eme étage, pour le mois prochain.
    Ha, la gueule du clébard, mort de rire..

    Allez, tu me téléphones Diego,
    Bises !

    Vladi



  • Vladivostok 1919 Vladivostok 1919 4 juin 2011 03:35

    Les OGM réclament plus d’intrants chimiques.
    A part les 2 ou 3 premières années, les rendement sont moindres, déclinant d’années en années. Renseignez vous.
    Les « bénéfices » des OGM ; ce n’est que du marketing.. C’est Servier, à l’échelle de la planète.



  • Vladivostok 1919 Vladivostok 1919 4 juin 2011 03:31

    « le problème n’est donc pas les agriculteurs, mais les intérêts financiers qui les oblige à cultiver de telle manière. »

    Le débat sur les OGM et les semences stériles commence à dater de plusieurs années, et les ressources (pour ou contre) sont légions.
    Un agriculteur en grande culture qui fait le choix de racheter tout les ans des semences plutôt, que de les conserver lui même se met lui même la corde au cou ; pas besoin de chercher à blamer qui que ce soit d’autre.

    Et il n’y avait pas « une » variété de maïs résistance à la secherresse.. Originaire du mexique, la plupart le sont naturellement.

    Remplacer le maïs par le sorgho, encore naturellement très résistant à la secherresse est une alternative...
    Utiliser en été des arbres (murier blanc, tilleul américain) taillé à hauteur de bras, et dont les feuilles sont comestibles (humain comme bétail) est une autre alternative. Le murier était utilisé pour cela, dans les cévennes, d’ailleurs
    Cactus opuntia sans épine aussi pour le bétail..etc
    Les solutions sont légions, et les exemples de fermiers qui réussissent intelligemment sont aussi très nombreux.

    Il y a certe des lobbies, mais les agriculteurs savent montrer ce qu’ils veulent, de temps à autres, et avec plus de résultat que beaucoup d’autre corps de métiers.
    Ne pas tomber dans le piège des OGM est un minimum, de leur part. Ils sont bel et bien responsables.

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  • Vladivostok 1919 Vladivostok 1919 3 juin 2011 17:18

    Exact !! Tout à fait d’accord..

    LE problème n’est pas la secherresse, mais la mauvaise gestion du sol et des ressources en eau...
    L’agriculture pompe autour de 80% de l’eau douce en été... Dont une grande partie pour arroser du maïs destiné à nourrir du bétail. Trouver un subsitut au maïs qui ne demanderai que peu ou pas d’eau est la chose la plus simple au monde - déjà que les vaches ne sont pas sensées bouffer de maïs, mais de la verdure.

    Les agriculteurs sont poussé à la plantation de maïs - on se demande bien pourquoi.

    Voir à ce sujet le documentaire exactement sur ce sujet, 
    DOCUMENTAIRE - Pour quelques grains d’or
    http://www.youtube.com/watch?v=IE8JsX7X49o
    - Bande Annonce - 2 minutes 25



  • Vladivostok 1919 Vladivostok 1919 2 juin 2011 10:14

    Sur la boite de conserve en photo, ce sont des okras, un légume d’origine africaine, au gout entre l’asperge et l’aubergine.
    Idéal pour une culture dans le sud de la France, demande beaucoup de chaleur.

    Sinon, la solution est de raccourcir la chaine logistique, produire locale avec des méthodes agricoles non industrilles.
    (il faut composter le fumier pendant un an, pour que les bactéries soient tuées et ne soient pas transmis - comme ici - aux légumes)..
    D’ailleur un bétails sain ne transmettrait aucune maladie comme ça.

    Produire aussi une partie de sa nourriture, c’est de la résistance pépère, mais c’est de la résistance tout de même.

    @ l’auteur - Bon article, au fait...
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  • Vladivostok 1919 Vladivostok 1919 2 juin 2011 08:19

    Tant qu’on y est à promouvoir la tauromachie, je propose de respecter aussi l’opinion de cette minorité de Français qui torturent des chats font des combats de chiens.... dépénaliser plus généralement les mauvais traitements faits aux animaux.

    Prendre son pied devant la souffrance d’une bête, torturé par un Drag Queen en oripeaux de carnaval, c’est de la TRADITION, les gars, ...pouvez pas comprendre !!!

    Les mômes devraient même être encouragé à cramer des insectes à la loupe, tiens, dés le plus jeune âge, ça nous fera des adultes bien dans leur tête.

    Putain de barges... ça explique bien des choses.



  • Vladivostok 1919 Vladivostok 1919 27 mai 2011 09:33

    Imagine que le Crédit Agricole ce soit approprié le théme de cette chanson pour en saboter le sens profond...

    Quelle connerie la pub...
    Un peu comme Mercedez qui reprend « Mercedez Benz » de Janis Joplin, alors qu’elle ne faisait que se foutre du con de consommateur attiré par le blin-bling.
     Une belle bande d’enculés que ces connards du services marketing, je le sais, j’en était un..

    Bref ; merci pour l’article, je vais la re-écouter de ce pas.



  • Vladivostok 1919 Vladivostok 1919 21 mai 2011 09:14

    Bon article de votre part et constat très juste - pour une fois que je suis d’accord avec vous...

    Développer une agriculture vivrière passe par l’adoption de méthode agricole adaptées au lieu et a l’environnement de ceux qui travaille la terre et vive de ces produits.
    Ce sont des stratégies locales, basées sur la diversités des récoltes, polycultures, et en adéquation avec les ressources... Ce qui revient souvent (pas toujours) a abandonner la production de denrées alimentaires ayant un attrait commerciale.

    Un exemple ; par exemple la culture - ou le domptage du mesquite au Niger... le mesquite est un arbre a tendance envahissante, adapte au climat désertique et dont les gousse comestible donne une farine extrêmement nourrissante et tres bonne pour peu qu’on sache le cuisiner (anciennement une base de l’alimentation des indiens du Texas). 


    Plutôt que de cultiver du blé ou tout autre ressource gourmande en eau, et faisant l’objet d’une demande sur le marche international, la culture du mesquite ne nécessite pas d’eau, ne s’exportant pas, et donnant aussi un bois de grande qualite est ideale dans ce contexte.
    Un arbre est productif en 3 ans et donne 2 récoltes par an entre 50 et 100 kilos de gousses, a taille adulte.
    Un exemple parmi tant d’autre...