Les commentaires de Karl-Groucho

Puisque ce site censure, il serait bien inspiré de déjà censurer tout racisme.

Ce n’est pas le cas.

POURQUOI ?

Bonjour la névrose (« l’immigration-invasion », « L’islamisation ») encore un trouillard nationaliste, raciste, etc. Beuh. Allez vous soigner, au lieu de polluer avec vos fantasmes qui sentent le dégueulis pas frais. Quand vous irez mieux, consultez les vrais chiffres, pas vos fantasmes de malade qui sue de peur, qui transpire la haine, qui a peur de son ombre et des autres.

Vous n’avez donc pas encore remarqué que, pendant qu’en tirant sur votre petite laisse, vous aboyez courageusement contre plus faible que vous, comme Le Chef — que vous aimez tant — vous l’ordonne, il vous tond bien ras ?

Triste...

Ça veut rien dire !

La retouche, c’est une des possibilités de Photoshop™ (1 % de cette — géniale — usine à gaz ?).

Photoshop™ est un logiciel pro de traitement d’image.

Du coup, on le trouve autant chez les graveurs que chez les photographes ou les concepteurs graphistes, etc.

C’est simplement ballot comme idée et comme titre, et ça dégringole le reste, puisque le titre est erroné ! On se dit que l’article va être autant du n’importe quoi que le titre, alors que ce n’est pas le cas.

Changez ce titre !

Rien de surprenant de la part de cet individu...

Mais quel rapport avec Photoshop™ ?!

Eh bien ! C’est simple :

Vive la Commune, citoyens !

Et, en cliquant sur le lien, dans ma petite revue de presse du matin n’arrête pas le pélerin, je me pensais (intérieurement, hein), que c’était à mettre en parallèle avec les déhonnorantes déclarations collabos (puisqu’ouvertement anti C.N.R.) de Kessler. Paf, c’est déjà dans l’artik’ ! Évident !

Merci. Voilà un artik’ bref, concis, précis, exact... Ce qui change agréablement des innombrables défécations névrotiques, xénophobes, racistes, etc. qui, de plus en plus, engorgent la cuvette d’Agora Vox.

C’est la Canaille
Eh bien, j’en suis !

Il serait bon, je pense, pour votre sécurité et pour celle des autres, que vous pensiez à consulter d’urgence, puisque vous semblez là en pleine phase délirante !

« Les pédagogues soixante-huitards qui ont laminé l’enseignement » Vous parlez de la clique actuelle qui vire par dizaine de milliers le personnel (et verse des larmes de crocodile (c’est pas gentil pour les crocodiles) sur les pépins qui en résulte avant de proposer — c’était le but — de remplacer par des portiques de détection et des policiers) ?

Encore une fois, il ne s’agit pas de « gauche ». Bien qu’elle vous foute une trouille aussi bleue que les étrangers qui sont pas de chez nous, elle est de droite, la gauche dont vous parlez. UMPS, tout ça, bof & beaufs. Ça devrait vous plaire. À moins que vous soyez un peu à droite de l’affront nationaliste ?

Figurez-vous que, justement, l’« anti-france », c’est l’extrême droite. On l’a vue à l’œuvre il y a ± soixante-dix ans. Ça vous manque ?

Relisez plus haut ma rafale de citations, tiens !

« Mais, j’avoue ma curiosité - la régularisation de tous ces sans-papiers, vous comptez leur donner également un accès prioritaire aux logements sociaux, déjà en trop petit nombre ; et puis, mieux encore, leur faire bénéficier du regroupement familial, allocations et tutti quanti ? »

« Habilement » (tu parles !) amené, comme si de rien était, en fin de commentaire...

Marre du racisme bas de plafond.

Vous ne vous rendez même pas compte que VOUS être complice de VOTRE propre exploitation (me voilà encore obligé de radoter) :

Vous collaborez consciemment ou non avec ceux qui vous désignent les boucs émissaires et pendant ce temps-là vous tondent alors que vous aboyez en tirant rageusement sur votre petite laisse ?

Mais enfin « votre pays » (où vous ne devez qu’au hasard d’être né), comme vous écrivez, il est décidé et dessiné par qui, sinon par les banquiers et leurs complices les marchands de canons ? Autrement dit, par le cacapitalisme. Et, le capitalisme, c’est la guerre. Ce n’est pas une formule creuse et récitée connement. C’est de l’observation.

Ouvrir ses yeux et les en croire, bon dieu ! Le « pays » n’est qu’une question de croyance en les histoires dont nous bercent nos bons maîtres (eux-mêmes frétillants aux ordres des mêmes banquiers et marchands de canon).

Liberté ? Égalité ? Fraternité ?

Citoyens du monde, citoyens de l’univers. C’est tout.

Rappelons-nous tonton Georges ! « Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part »…

Vous le faites exprès ? Vous semblez ignorer ce qu’il en advint et comment nos prétendus bons maîtres se torchèrent joyeusement (puissent-ils se s’en être douloureusement blessé le fondement et que ça se fut gravement infecté, et que, etc.) d’un célèbre referendum sur la prétendue constitution euroopéenne ?

Il semble que vous ne suivez plus les événements depuis quelque temps déjà.

Je lis :

« Comme on a consulté les Français lors des modifications des traités européens, qui ont eu une implication sur la souveraineté de la France et des citoyens ».

Vous semblez ignorer ce qu’il en advint et comment nos prétendus bons maîtres se torchèrent joyeusement (puissent-ils se s’en être douloureusement blessé le fondement et que ça se fut gravement infecté, et que, etc.) du referendum ?

Alors ? Quelle utilité, puisque c’est pour s’en foutre et nier toute démocratie ?

Et le coup de la pseudo constitution européenne, et ce que nos prétendus bons maîtres ont fait du résultat du référendum, ça suffit, pour voter tout court ?

Et votre racisme n’est pas soluble dans l’eau des piscines ?

Qu’est-ce que ça peut vous faire ?

Occupez-vous de votre petit nombril et foutez la paix aux autres, au lieu de clapoter dans la haine bien rance !

Ciel ! Vous parlez de « patriotes »…

Re Ciel ! Ça ne semble même pas être du second degré !

« Plus encore que le patriotisme qui est une hystérie comme une autre, mais plus creuse et plus mortelle qu’une autre, ce qui nous répugne c’est l’idée de Patrie qui est vraiment le concept le plus bestial, le moins philosophique dans lequel on essaie de faire entrer notre esprit. »
(La Révolution d’abord et toujours, Manifeste surréaliste d’août 1925)

« Où donc est ma patrie ? Ma patrie est où je suis, où personne ne me dérange, où personne ne me demande qui je suis, d’où je viens et ce que je fais. »
(B. Traven)

« Où l’on est bien, là est la patrie. »
(Aristophane)

« Quand les drapeaux sont déployés, toute l’intelligence est dans la trompette. »
(Stefan Zweig)

… & tout le reste n’est que symboles faciles, très bons et très pratiques… Pour les banquiers et les marchands de canons, mais non pour les citoyens adultes et responsables.

Et vlan ! Un de plus

Colonialiste, passéiste, d’extrême droite, délicatement raciste...
Bref, antirépublicain et antidémocratique.

Liberté ? Égalité ? Fraternité ?

Beuarque. Lamentable.

Encore une tribune d’extrême droite sur ce site. Ça devient franchement à vomir. Surtout quand c’est joliment enveloppé de pseudos bons sentiments, et « républicains » de surcroît !

Cessez de vous prétendre républicaine ou tenez un discours qui ne soit pas d’extrême droite ! Le problème n’est pas Aubry ni tout autre carriériste UMPS, mais dans le langage schizoïde tellement à la mode. N’est-ce pas, Madame la prétendue auteur ?

Vous collaborez consciemment ou non avec ceux qui vous désignent les boucs émissaire et vous tondent alors que vous aboyez en tirant rageusement sur votre petite laisse ?

Vous êtes contre le fait que chacun de ceux qui cotisent et paient des impôts puisse s’exprimer selon le suffrage prétendu universel, vous n’avez donc RIEN de républicain, puisque vous êtres contre la liberté, l’égalité et la fraternité.

Vous êtes dans la peur et la haine.
Vous êtes donc dans la névrose et votre jugement en est totalement invalidé.

À « french_car »

Il ne faut pas en vouloir à « non666 », ce n’est pas de sa faute, il ne sait visiblement pas plus lire qu’il ne sait penser !

Ses maîmaîtres lui désignent une proie (si possible, déjà faible, pas en état de se défendre, etc.), et il tente de la mordre. C’est du réflexe bien con ditionné, c’est tout.

Pendant ce temps, ses maîmaîtres le tondent bien ras, et il ne voit rien du tout.

Hi hi. Pauvre « non666 » !

Lit pas, pense pas, voit pas. Mais aboie férocement.

Vous avez de la chance, Monsieur le (très) laborieux « auteur », le ridicule ne tue plus !

Il y a bien longtemps que j’ai jeté la télé (déchetterie, tri sélectif, recyclage et tout, hein), mais le gag cité ne doit pas être si mauvais, puisqu’il fait si bien réagir ses cibles ! & il est absolument symptomatique que cet article ridicule attire aussitôt la bruyante approbation de malades nationalistes.

Allez-vous un peu nous lâcher un jour avec vos obsessions morbides ?

« Manières d’écrire »... En effet, en effet. « Si vous acceptez que le concept fait partie intégrante du signe, vous savez déjà que le concept peut s’écrire […] » ne vous paraît pas une meilleure... manière d’écrire ?

Quant aux anciens Égyptiens, ils tentaient de représenter ce qui est et non ce que l’on perçoit. un exemple fameux en est la stèle du roi Serpent, qu’on peut admirer au Louvre :

http://www.louvre.fr/llv/oeuvres/detail_notice.jsp?CONTENT%3C%3Ecnt_id=10134198673225473&CURRENT_LLV_NOTICE%3C%3Ecnt_id=10134198673225473&FOLDER%3C%3Efolder_id=9852723696500806&baseIndex=5&bmUID=1181837478959

La cour, ou figure le Serpent, est vue d’en haut, quand la façade est vue de face (tout le monde a la tête tournée à gauche, le sens dynamique étant celui de l’écriture, sens inverse du nôtre).

Vous donnez vraiment l’air de croire que le néolibéralisme et son frère jumeau, le social libéralisme vont vous offrir l’occasion « de renverser le néolibéralisme et son frère jumeau, le social libéralisme ».

Une telle naïveté serait presque touchante.

Sauf que, entretenir de telles illusions, ça revient à collaborer, justement, avec « le néolibéralisme et son frère jumeau, le social libéralisme »...

Ah, zutRe, flûtRe & merdRe, n’est-ce pas ?

Comment en sortir (entier) ?

« Si vous êtes ne en 2000 ,vous avez maintenant 10 ans
Non. Je les aurai dans l’année. Vous avez un gros problème de logique, je doute donc fortement qu’il vous soit permis de critiquer le sens pratique d’autrui, eu égard à combien il semble vous en manquer !

Mais, remontons alors à l’origine. « Les temps » commencent à l’an 1 et non à l’an zéro. Le XXIe siècle débuta donc le 1er janvier... 2001, et non 2000, n’en déplaise aux amis du marketing meRdiatique, fidèles ennemis du sens...

Quant à « décade »
http://www.cnrtl.fr/lexicographie/decade
puisqu’il peut y avoir confusion (encore une histoire d’anglicisme...), autant user du mot exact ne prêtant pas à confusion (si l’on est attentif au sens et si on ne souhaite pas embrouiller le lectorat).
http://www.cnrtl.fr/lexicographie/d%C3%A9cennie

« voit assez bien », pardon !