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Les commentaires de DIMEZELL



  • DIMEZELL 20 mars 2010 12:46

    « Si l’on considère les décès de militaires français lors de manœuvre et d’entrainement sur le territoire métropolitain, (sans même parler des 40 soldats morts à l’inutile front afghan), les deux supporters du PSG décédés lors d’affrontements aux alentours d’un stade ne sont qu’un épiphénomène, »

    Assez scandaleux ce genre de commentaire et la suite est de la même débilité.

    Y-aurait -il une guerre dans les stades ?

    S’y entraine -t-on pour participer à un conflit ?

    La société est de plus en plus violente et il est urgentissime de mettre un terme à tous les phénomènes de ce genre rapidement et avec détermination pour la seule raison que la violence antraine la violence. Leur médiatisation est un problème de plus.

    Avez-vous déjà eu votre car dans lequel vous êtes avec vos mômes attaqué très violemment par des singes vociférants ? Je ne vous le souhaite pas !



  • DIMEZELL 18 mars 2010 18:28

    ur fest braz e Paris, ur fest en iwerzhon ..hag e breizh !



  • DIMEZELL 17 mars 2010 19:21

    C’est plus que ça.
    En tant qu’enseignant en école publique, je pense qu’il est indispensable d’instruire et d’éduquer, surtout aujourd’hui d’ailleurs - l’éducation de beaucoup est devenue la seule téléréalité et il paraitrait bien absurde de prétendre laisser cette éducation à la porte de l’école quand elle est devenue nécessaire dans chaque lieu et à chaque moment de vie scolaire ! )
    Ne pas fournir à l’école la culture nécessaire à tous les élèves c’est favoriser les confusions, différencions les paroles des cathéchismes de l’enseignement de l’histoire et on permettra aux élèves de mieux se situer. Ne rien dire c’est laisser le prêtre faire l’école !

    Ne pas fournir des informations basiques sur notre environnement social et culturel, c’est encore permettre les bons gros mélanges, le calendrier, les fêtes, les multiples lieux qui parsèment le territoire méritent qu’on fournisse de clés qui soient plus pertinentes que les seuls mots des prêtres.

    L’enseignement de l’histoire avec toutes les références que l’on connait mérite aussi des clés plus conceptuelles tellement il y a de choses à découvrir.
    Evidemment, ce travail nécessaire demande de solides précautions comme l’évoque l’auteur de l’article. Ne rien dire, ne rien faire est néanmoins le pire.



  • DIMEZELL 15 mars 2010 17:54

    Il est nécessaire de lutter pied à pied contre ces merdes qui n’ont pour vocation que de faire gagner de l’argent à ceux qui savent les créer et à asservir les paysans. Désatreuses conséquences possibles si on ne fait rien.



  • DIMEZELL 11 mars 2010 07:56

    C’est toujours intéressant de se souvenir des bons moments, des moins bons devenus pas si mauvais.
    Il importe de bien comprendre ce que pouvait sigifier pour ceux qui étaient visés les coups de règle au bout des doigts les doigts serrés ou placés au bout du bureau, les cheveux tirés sur le côté ( j’ai vu mes camarades décollés du sol de cette façon ! ), les gamins enfermés dans l’armoire de fond de classe, les tours de cour sous la pluie....agenouillés sur une règle de section carrée dans le privé.....la possibilité pour les quelques instits, bons instits par aileurs, sévères ou salopards, de bien abimer les mêmes mômes qui n’arrivaient pas et qui savaient qu’ils seraient encore là l’année suivante....
    Très courant. Le bon temps ma brave dame !



  • DIMEZELL 10 mars 2010 11:51

    L’école d’antan était d’antan. Elle fonctionnait pour ceux qui avait la chance de la connaître car la grande majorité la quittait très vite. D’autres restaient au fond de leur classe, en primaire, des années durant à refaire la même chose avec les mêmes difficultés et le même enseignant. On lui avait donné comme objectif de donner un bagage de base à des populations qui ne savaient pas écrire, pas lire mais qui connaissaient une culture populaire transmise oralement et, très souvent, une langue différente de la langue française académique. L’école utilisait des méthodes plus ou moins bien conçues qui fonctionnaient grâce à la volonté et la détermination de maîtres souvent engagés aussi à l’extérieur de l’école.

    Comparer avec aujourd’hui , c’est évoquer les vieux téléphones à cadran mobile alors qu’on vit à l’époque d’internet et des outils qui vont avec.

    L’école d’aujourd’hui a de sérieux enjeux à relever ; malheureusement elle n’a pas le pouvoir et les moyens de le faire. Le pouvoir de transformation se trouve entre les mains de ministres incompétents dont certains ne connaissent strictement rien à l’éducation avant d’être nommés. Chatel comme Darcos a une liste précise d’objectifs à respecter qui proviennent en ligne directe du Château. Ces objectifs sont financiers et idéologiques.

    Les problèmes clairement identifiés sur le terrain ainsi qu’in certain nombre de solutions qui ont fait preuve de leur efficacité ( aussi bien dans la gestion que les disciplines ) ne remontent pas car elles ne peuvent remonter.
    Dans d’autres pays ( je pense à un exemple précis en Ecosse mais c’est vrai ailleurs dans des pays ou régions francophones ), des colloques, des réunions réguières permettent cette remontée et des expérimentations sont possibles avec des réussites remarquées.
    En France les colloques ( sortes de grands messes Power Point ) distribuent les solutions à des enseignants infantilisés.
    Quant aux moyens, il suffit d’entendre Chatel évoquer la possibilité d’aller chercher les retraités ou de constater que la seule profession qui ne bénéficiera pas de formation sera bientôt celle d’enseignant !!

    Les problèmes sont de fond.

    Ceci dit, un élève d’aujourd’hui qui a suivi une scolarité complète de primaire a des compétences qui n’ont rien à voir avec celles de son homologue d’il y a 40 ou 50 ans. Il sait produire des textes ( les évaluations sont claires à ce sujet ), il sait travailler grâce aux outils multimédias, il a obtenu des compétences dans beaucoup d’autres domaines. Il a aussi des compétences en langue orale.
    Les difficultés qui peuvent être travaillées et pour lesquelles il existe des solutions sont, à ma connaissance, en priorité, de l’ordre du comportement d’élève, de la motivation, et de la copie de la langue. Là encore, au lieu d’appliquer des recettes débiles venues de grand maman ou d’un ministre inculte, il suffit d’inverser le processus et de donner la parole aux enseignants. Leur donner plus de responsabilité, des objectifs et des moyens ( qui ne sont pas que financiers d’ailleurs ). Bref, faire sortir la France de l’ornière stalinienne où elle est enlisée et quitter les seules pistes pédagogiques.



  • DIMEZELL 10 mars 2010 11:07

    Les élections dites régionales devraient être la possibilité de mettre l’homme au coeur de la politique ainsi que la démocratie. Le système français basé sur le seul président, avec une période actuelle particulière vu la personnalité de l’apprenti empereur, ne permet en aucun cas cette évolution. Les médias aux mains de parisiens qui ne connaissent pas leur propre pays et méprisent tout ce qui n’est pas dans leur petit secteur géographique n’arrangent rien.
    Il y a une vraie révolution à effectuer pour que les choses changent aussi bien dans la vie quotidienne de chaque habitant que dans les secteurs des transports ou du travail. Donner aux régions un budget et des pouvoirs.
    Par ailleurs, combien de temps devra-t-on accepter que les habitants de Loire Atlantique, par exemple,supportent une région bidon qui ne tient que grâce au fric, aux politiques qui en vivent et à quelques bureaucrates qui font leur sale boulot quand leur majorité réclament depuis 50 ans de retrouver la région que Vichy leur a retirée ?



  • DIMEZELL 13 février 2010 11:26

    les écoles privées ne font pas que choisir leurs élèves dans les communes voisines, les directeurs qui sont chefs d’établissements ( à la différence des directeurs des écoles publiques qui souffrent au quotidien d’une absence totale de statut ) peuvent virer les élèves comme ils le souhaitent. Certains ne s’en privent pas dès la pré-inscription parfois, évitant les problèmes de comportement et les mauvais résultats aux examens.



  • DIMEZELL 13 février 2010 11:19

    Laissons les femmes choisir d’être femmes comme bon leur semble. Le lavage à la main ou au lavoir est assez rare aujourd’hui.
    Quant aux bébés élevés au sein, pas de comparaison avec les autres en matière de résistance aux maladies, de l’absence d’allergies et bien d’autres choses qu’on ne cesse de découvrir chaque année, la dernière que j’ai lue étant l’adaptation du produit fabriqué par la mère aux besoins du nourrison.
    Mme Badinter donne beaucoup de leçons, avec ce besoin très français de vouloir faire universel. Qu’elle accepte enfin la différence car c’est, je crois, le problème central auquel est est confrontée et pas que pour les femmes.



  • DIMEZELL 13 février 2010 09:38

    Entre le devoir de faire ’naturel’ et la possibilité d’être femme en allaitant ses mômes , les préservant ainsi de futures maladies, en ayant la chance de créer un autre lien avec eux, il y a un pas. La critique radicale de Badinter se trompe d’adversaire comme toujours !
    La femme libre a le droit de choisir et dans ce domaine , beaucoup de luttes restent à faire, elles n’ont rien à voir avec l’écologie ou plutôt si, l’écologie y participe de manière sereine et efficace.



  • DIMEZELL 4 février 2010 07:36

    Quand je pense à toutes les réalisations faites grâce aux régions ...avec le budget dont elles disposent, ce genre de commentaire me fait doucement rigoler.
    Par ailleurs, je n’ai pas envie du tout de donner le pouvoir à un futur Duce.
    Donnons encore plus de pouvoir aux régions proches des citoyens afin de donner un sens au mot démocratie : les régions devraient pouvoir gérer ce qu’elles connaissent le mieux et qui est proprement ignoré par un pouvoir central qui ne pense que par Paris !



  • DIMEZELL 2 février 2010 12:41

    Pour que des progrès soient accomplis, comme le recherchent tous les enseignants qui aiment leur métier, il faudrait tellement de changements.
    Le premier serait d’éviter toutes les conneries qu’on baptise ’réformes’ et qu’on laisse aux professeurs le temps de réfléchir aux manières de faire progresser leurs élèves surtout concernant les 10% des élèves environ qui cumulent des difficultés de différentes natures ( sociales, culturelles, familiales..) .Mais quand on multiplie les réunions pour convaincre les enseignants que les évaluations sont de très bons outils pour orienter leur pédagogie alors que tous savent le réalité, on empêche tout simplement les profs de faire ce qui devrait être l’essentiel.
    En bref, on infantilise tout le monde : les élèves auxquels on réduit régulièrement la part d’autonomie nécessaire pour progresser, les profs auxquels on apporte les bonnes potions toutes plus ridicules que les autres et les parents qu’on manipule en pensant d’abord aux élections.



  • DIMEZELL 21 janvier 2010 09:52

    Merci pour cet article et les liens qui sont intégrés.

    Ca nous change vraiment de certains thèmes et d’un certain nombre de commentaires attendus sur ce site et dont on se passerait bien.

    Magnifiques photos et extraordinaires personnages aux visages incroyablement bien décorés, avec finesse,sensibilité et un sens très fort de l’harmonie des couleurs et des formes. Super.



  • DIMEZELL 15 janvier 2010 18:38

    Il est vrai que les photos de femmes nues présentes dans tous les magasines que l’on trouve dans tous les bureaux de tabac donnent une image respectable de la femme.
    Si certaines ont envie de se recouvrir d’un drap noir, c’est leur plus stricte liberté !
    Ce pays va - t -il oser interdire aux gens de s’habiller comme ils veulent ?
    Et après......les blouses obligatoires dans les écoles ? L’Interdiction de mettre un chapeau haut de forme en présence de notre bon maitre à tous ??
    Si notre société doit être un exemple de respect des autres et de la femme, qu’elle le montre par sa tolérance, le débat et l’écoute de tous et de chacun , on en est loin, très loin à l’heure où les stratégies politiques savent créer des failles entre les groupes sociaux et professionnels, où on fait en sorte que les gens s’opposent sur tous les sujets, où la violence ne fait que progresser.



  • DIMEZELL 14 janvier 2010 19:44

    L’appel des appels repose sur un constat qui semble bien être la réalité que beaucoup vivent aujourd’hui ici et là. Bon vent à vous et bon courage car nous ne sommes pas au bout de la m..... organisée avec détermination par la bande à notre maitre à tous.



  • DIMEZELL 11 janvier 2010 19:22

    Plus il y aura d’individus proches du Mélanchon et de ses copains du moment moins il y aura de chance d’empêcher notre bon maitre à tous de continuer à ruiner la démocratie et d’ empêcher le progrès social, c’est malheureusement aussi simple que cela.



  • DIMEZELL 6 janvier 2010 21:43

    Je viens de découvrir la présentation de l’auteur et je comprends mieux.



  • DIMEZELL 6 janvier 2010 21:42

    Si certaines choses sont vraies, l’augmentation du nombre d’enfants perturbés et les conséquences que cela induit dans les classes, beaucoup de commentaires discréditent complètement l’article comme cela a été souligné. Les petits coups de patte au Café Pédagogique relativement à un prétendu fond de commerce, les âneries relatives à la pédagogie....Les racontars habituels d’un autre fond de commerce, celui du Café du même nom.



  • DIMEZELL 6 janvier 2010 09:09

    On pourrait ajouter que le côté fanfaron aimé des médias est doublé de son amour du PC chinois, de sa haine de la diversité ( dans les faits, l’entendre sur les bancs du Sénat se moquer des langues comme le Breton est assez incroyable ), de son choix de casser un peu plus la gauche ( dans un souci de rassemblement très grand et unique évidemment ), du partage de certaines de ses décisions avec Dupont Aignan par exemple......bref un petit jacobin au rire moqueur.