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Les commentaires de Raphaël Zacharie de Izarra



  • Raphaël Zacharie de Izarra Raphaël Zacharie de Izarra 30 octobre 2010 14:18

    POUR DISSIPER LES DOUTES

    Mes textes sur la défense du voile islamique sont très sérieux.

    Raphaël Zacharie de IZARRA



  • Raphaël Zacharie de Izarra Raphaël Zacharie de Izarra 30 octobre 2010 10:50

    DATI : L’INFLATION DE SA CONNERIE

    (Au sujet de l’affaire du lapsus de Dati : un plaisantin 48 heures en garde à vue pour quelques mots d’humour)
     
    Ce gouvernement de chochottes est « républiquement » trop correct pour être honnête... République frileuse, rigide, embourgeoisée qui ne souffre pas l’arabesque humoristique, la souplesse des zygomatiques, les courbes du doux dérapage verbal, le délicieux égarement que permet la fantaisie, cet humour qui est l’apanage des esprits de qualité ne se prenant pas au sérieux tout en faisant preuve de hauteur et de finesse...
     
    Pauvre ministre effarouchée comme une vierge à l’idée de cette verge verveuse purement virtuelle ! Comme elle doit être traumatisée la Dati en tant que femme, mère, ministre ! Recevoir en pleine face cette bombe de mots, quelle affaire !
     
    Une INFLATION d’hypocrisie, de nullité, de bêtise... Ce gouvernement dévirilisé composé de pucelles en tailleur Channel et de coquelets en cravate me laisse décidément perplexe...
     
    Raphaël Zacharie de IZARRA


  • Raphaël Zacharie de Izarra Raphaël Zacharie de Izarra 30 octobre 2010 01:47

    COORDONNEES COMPLETES DE L’AUTEUR :

    Raphaël Zacharie de IZARRA
    2, Escalier de la Grande Poterne
    72000 Le Mans
    02 43 80 42 98
    [email protected]



  • Raphaël Zacharie de Izarra Raphaël Zacharie de Izarra 29 octobre 2010 21:30
    POUR INFORMATION

    Courtoisie, pertinence, hauteur de vue, orthographe congrue sont des signes de goût, d’éducation, d’élégance qui vous feront apprécier de l’esthète à qui vous vous adressez.

    Se distinguer dans ce sens sera toujours préférable aux stériles et sottes injures (que l’orthographe indigente de leurs auteurs rendent encore plus vaines et indignes).

    Lorsque vous déposez vos commentaires, merci de bien vouloir faire preuve d’élémentaire savoir-vivre, de respect, d’honnêteté. L’esprit chevaleresque est l’apanage des gens distingués, civilisés, aimables.

    Cela dit, rien n’est obligatoire. Celui qui fait le choix de l’insulte, de la grossièreté, de la haine, du harcèlement, voire des menaces pourra s’adonner sans aucune restriction à ce genre d’abus, anonymement ou à visage découvert. Aucune censure ne sera pratiquée ici : les contributeurs, libres de s’exprimer, adultes et donc responsables de leurs écrits assumeront la portée de leurs propos. Ils feront pleinement usage de leur liberté d’expression avec tout ce que cela comporte de désagréments en cas d’outrances.

    Je réponds en priorité aux gens courtois, respectueux, intelligents et me réserve le droit moral d’ignorer les autres.

    Raphaël Zacharie de IZARRA


  • Raphaël Zacharie de Izarra Raphaël Zacharie de Izarra 29 octobre 2010 21:29

    BEAUTE ET GRANDEUR DU VOILE ISLAMIQUE

    Moi qui ne suis pourtant pas musulman, je suis choqué par le systématique dénigrement du noble voile islamique de la part des français et plus généralement de l’Occident. Ce racisme anti porteuses de voile est malheureusement un mouvement de fond à l’échelle de notre civilisation matérialiste plus qu’une simple lubie politique.
    Ce symbole de probité morale que portent fièrement les femmes mahometiennes déplaît à notre civilisation obsédée par le sexe, l’argent, la frime, et la république française franchement dévirilisée, devenue superficielle, frileuse et insidieusement raciste aimerait bannir le voile islamique de son sol « aux sillons impurs » décidément allergique aux caresses âpres et belles de la vertu islamique courageusement affichée.
    Les porteuses de voile sont belles, fortes, héroïques, nobles.
    Que l’on me permette de leur rendre hommage à l’heure où tous les montrent du doigt comme des pestiférées, de vulgaires délinquantes, les dernières ennemies du pays à abattre... J’engage les femmes musulmanes à continuer de faire preuve de fermeté face à l’iniquité des attaques légalistes de cette France pervertie à la cause des Dupont bêtement incommodés par la vue du voile, ces veaux déjà dénoncés avant moi par de Gaule.
    Certes on pourra me rétorquer que de Gaule par ailleurs ne voulait pas mélanger notre pain à celui des Sarrazins, et alors ? On peut être un grand homme de deux mètres de haut et se tromper sur des vérités flottantes de quelques dizaines de centimètres carrés.
    Dés lors qu’il y a des françaises étalant sans complexe leur appartenance sociale à la haute sphère de la superficialité avec d’ostensibles carrés Hermès autour du cou, pourquoi des femmes musulmanes devraient-elles se voir interdites d’arborer leur piété avec la même fierté (et parfois aussi avec une admirable modestie qui les grandit encore plus) ? Que je sache, les premières violent le principe de la laïcité républicaine à partir du moment où dans leur sillage embaumé de parfum Channel elles laissent des signes réellement distinctifs, franchement revendiqués et ouvertement endoctrinants de leur appartenance au cercle des adorateurs du Veau d’Or (la preuve : après les avoir simplement croisées, bien des femmes du peuple veulent les imiter)...
    Religion de la légèreté contre religion de la pudeur, je ne vois aucune différence entre ces deux cultes d’un point de vue strictement républicain : dans les deux cas nous avons bien affaire à des modes de vie basées sur des convictions intimes socialement exhibées avec des symboles forts qui ne laissent aucune ambiguïté sur les sensibilités, moeurs et orientations socio-culturelles des unes et des autres.
    Il faut être cohérent : ou bien la république française interdit le port du voile aux femmes musulmanes mais en même temps, au nom de ce même respect du principe de la laïcité qui la turlupine étrangement depuis quelques années -comme par hasard surtout au sujet du voile-, elle interdit également aux femmes d’industriels de porter sacs Vuitton facilement repérables et bagues en or apparentes (susceptibles de faire des adeptes), aux sportifs de sortir en survêtements hors du lieu de leurs activités physiques (survêtements censés promouvoir illicitement leur sport favori), aux cyclistes d’ôter leurs casquettes à visière dès qu’ils mettent pied à terre (publicité déloyale pour le cyclisme), aux admirateurs de Johnny Hallyday de porter leurs T-Shirt à l’effigie de leur idole en dehors des salles de concert, etc., ou bien elle évite de se ridiculiser en respectant la liberté de chacun de se vêtir comme il l’entend, de porter croix, voiles, amulettes, colifichets ou gris-gris, chaussures à talons-aiguilles, bottes de paysans, guêtres, robes, chapeaux, colliers de perles, tatouages...
    Bref, j’exhorte les femmes voilées à rester fidèles à leurs convictions religieuses, fortes dans l’adversité, grandes dans leur dignité, glorieuses dans leur hauteur. Je leur demande de ne surtout pas se laisser intimider par ces faux républicains qui n’admettent pas que la vertu puisse se parer des atours sobres et chastes qui font l’honneur, la noblesse et la pieuse beauté des femmes voilées.
    Raphaël Zacharie de IZARRA


  • Raphaël Zacharie de Izarra Raphaël Zacharie de Izarra 29 octobre 2010 17:45

    Patou,

    Au contraire je tire mes semblables vers le haut en leur mettant le nez dans mes poubelles.

    J’éveille les léthargiques à la cause izarrienne : la richesse est aussi au fond de nos poubelles et peu de gens la voient, cette richesse.

    Le salut de certains est sous leurs pieds et eux fixent désespérément un ciel vide de peaux de bananes et de restes de nourritures.

    Raphaël Zacharie de IZARRA



  • Raphaël Zacharie de Izarra Raphaël Zacharie de Izarra 29 octobre 2010 11:53

    Amaury Watremez,

    Détrompez-vous : tout est à réellement prendre au strict premier degré dans mon article.

    Raphaël Zacharie de IZARRA



  • Raphaël Zacharie de Izarra Raphaël Zacharie de Izarra 1er juillet 2010 21:22

    La vraie liberté, celle de l’esprit, fait peur.

    C’est humain.

    =======

    LE COURAGE DE LA VRAIE LIBERTE

    Bien des gens à l’intelligence sans pénétration assimilent mes propos relatifs à la politique et à l’Histoire, qu’ils estiment choquants, à ceux des « collabos » ou des fascistes. A l’extrême opposé on m’a également accusé, pour les mêmes paroles, d’être un suppôt du communisme le plus criminel !
     
    Parce que ces réflexions personnelles et prises de position individuelles déplaisent à ce qui constitue le socle de la société, parce qu’elles ne correspondent pas à l’air du temps, parce qu’elles tranchent si radicalement avec tout ce qui est admis dans les esprit formatés de cette république susceptible, elles sont impitoyablement huées.
    La bonté, le sens de la justice revendiqués par certains peuvent être involontairement -pour ne pas dire artificiellement- façonnés par le contexte politique, historique, culturel dans lequel ils vivent, ou plus généralement par les moeurs de la civilisation, au lieu d’être le résultat de choix personnels. Ainsi certains s’enorgueillissent de ne pas manger de chiens comme le font les asiatiques... Mais ils mangent des vaches, des lapins, des cochons, confondant qualités personnelles, voire grandeur d’âme avec simple conditionnement culturel.
     
    Quel mérite y-t-il à ne pas manger de chiens quand on est né en Europe ?
    Plongés dans le fleuve de l’Histoire, beaucoup d’individus se laissent emporter par le courant dominant, quelle que soit sa direction, plus sensible à la brutale autorité des éléments en action qu’à la subtile musique de leur conscience. Pour leur bonheur il se trouve que le courant dominant corresponde assez souvent à la voix -muselée- de leur conscience. Bonne pioche ! Mais nul sur le plan moral.
    Si un chemin est plus souvent emprunté que les autres par des hommes que l’on pense foncièrement justes, ce n’est pas parce que ce chemin est droit mais parce qu’il est facile.
    Les chemins justes ne sont pas nécessairement pénibles à emprunter, contrairement aux idées reçues. Ainsi, déduire que l’occidental est bon, civilisé parce qu’ils ne mange pas de chien est une ineptie : s’il ne mange pas de chien c’est parce qu’il préfère manger du boeuf. Les héros le sont assez fréquemment malgré eux, c’est bien connu. Rares sont les vrais braves ayant choisi le sacrifice, plus répandus sont les « courageux par défaut ».
     
    Si les Français avaient été plongés dans le même contexte que les allemands dans les années trente, ils se seraient comportés de la même façon qu’eux. Et inversement : si les Allemands de cette époque avaient été du bon côté de la frontière, ils auraient tous été de farouches anti-nazis. Et ce, dans les mêmes proportions historiques déjà connues, indépendamment des vertus, vices, lâchetés ou courage des individus composant les nations, chaque peuple étant respectivement influencé par ses valeurs, quasiment à son insu.
     
    Qu’est-ce qu’un traître ? Le traître est tout bêtement celui qui n’adhère pas aux valeurs de son camp, de sa terre natale, de sa patrie mais à celles du camp adverse. Ce qui n’a évidemment strictement rien à voir avec la morale ou le sens de la justice.
     
    Selon cette définition, je suis un très grand traître à bien des égards de la même manière que les rares courageux allemands opposés au nazisme furent des traîtres aux yeux de leur concitoyens.
     
    On peut être traître à des valeurs temporelles, à des vertus étriquées, à des intérêts locaux, à des préférences nationales pour vouloir rester fidèle à des causes plus universelles.
    Quand je tiens un discours déplaisant -mais courageux- que j’estime juste, seul contre tous, indifférent à la pression des « légalistes », à la moralité de l’époque, aux susceptibilités de la société, je suis considéré comme un traître, un lâche, un ennemi.
     
    C’est pourtant avec ce même courage dont je fais preuve aujourd’hui face à mes détracteurs que certains allemands inflexibles se sont opposés au régime nazi (et de manière plus générale la civilisation à la barbarie, le sage à la bêtise populaire), c’est avec la même véhémence avec laquelle on me répond ici qu’ils se firent appeler traîtres par les leurs en ces temps troublés !
     
    L’Histoire les a réhabilité, la vérité me réhabilitera. L’indépendance d’esprit est souvent reprochée aux « traîtres » qui pactisent avec la liberté de pensée.
    Le tort de mes détracteurs est de manquer de recul : empêtrés dans leurs mesquines passions patriotiques, conflits intellectuels masturbatoires et drames personnels dont la portée est limitée à eux-mêmes, ils jugent mes propos depuis leur fosse socio-culturelle, leurs conformations génétiques (les sanguins réagissent avec plus de virulence à l’éclat izarrien), sentiments populistes et autres « formatages civilisationnels » et non depuis les hauteurs sereines, détachées, objectives, illimitées du ciel et de sa lumière.
    Raphaël Zacharie de IZARRA


  • Raphaël Zacharie de Izarra Raphaël Zacharie de Izarra 1er juillet 2010 21:15
    Vous faites allusion à des cas isolés grossis par les médias.

    Evidemment les journalistes ne parleront jamais des milliers de propriétaires honnêtes et consciencieux car ce n’est guère vendeur. Ni intéressant.

    Ils ne parleront que des rares cas de malhonnêteté, plus spectaculaires.

    Votre manque de discernement est effarant !

    Raphaël Zacharie de IZARRA

    =======

    « On peut être milliardaire et honnête. Et c’est d’ailleurs ce qui se passe dans la plupart des cas »
    mdr !
    fils de bourgeois
    un bailleur qui laisse pourrir son logement est honnete ?


  • Raphaël Zacharie de Izarra Raphaël Zacharie de Izarra 1er juillet 2010 21:11

    La santé vient avec le froid, l’exercice physique, non avec la molesse d’un confort outrancier !

    Je fais du vélo tous les jours, en toutes saisons. La pluie est revigorante, la neige saine, le vent délicieux, la brume meilleure que le tabac. 

    Je n’ai plus de grippe l’hiver depuis que j’ai cessé de chauffer ma maison. Mon corps s’est endurci, mes défenses se sont renforcées au contact des éléments au lieu de s’affaiblir dans la chaleur et la molesse d’un confort qui aujourd’hui m’est devenu écoeurant.

    Raphaël Zacharie de IZARRA

    =======

    Ton raisonnement ne s’applique qu’aux personnes qui ont une santé de fer et qui arrivent à la conserver malgré un mode de vie plutôt spartiate, soit une très petite part de la population.

    Et ceux qui ont des gosses ? Et les soins dentaires qui, s’ils ne sont entrepris à temps peuvent causer des problèmes pulmonaires et cardiaques ? Et les corrections des problèmes de vision on les laisse tomber et on vit comme des taupes.

    Vivre en marge pose aussi des problèmes sociaux vis à vis des enfants. Que pourront-ils rétorquer à leurs camarades de classes qui ne se gêneront pas pour les charrier à longueur de journée ?



  • Raphaël Zacharie de Izarra Raphaël Zacharie de Izarra 1er juillet 2010 21:05
    Je me méfie autant du racisme anti riche que de l’éloge inconditionnel du pauvre.

    L’équation « riche donc salaud » et « pauvre donc honnête » relève du populisme le plus primaire et dangereux (genre « Juif donc parasite » du temps de la montée du nazisme).

    Encore un qui jalouse la voiture de son voisin, le salaire de son patron...

    Un éboueur n’aura jamais les mêmes compétences qu’un professeur. Un intellectuel ne saura pas faire pousser des patates dans les champs. Chacun doit se contenter de ce pour quoi il est fait. C’est ce qu’on appelle la richesse de l’humanité.
     
    L’égalité sociale n’existe pas et c’est tant mieux : vive la diversité !

    Personnellement si mon voisin est plus fortuné que moi, que ce soit grâce à un héritage ou grâce à son travail, j’en suis sincèrement heureux pour lui.

    Jamais il ne me viendrait à l’esprit de le honnir pour cela !

    Mon esprit est resté sain.
     
    On peut être milliardaire et honnête. Et c’est d’ailleurs ce qui se passe dans la plupart des cas. Ce sont souvent les pauvres qui accusent les riches d’être malhonnêtes... Réaction pour le moins suspecte, vous ne trouvez pas ?
     
    Je n’adhère pas aux discours populistes, vous l’aurez compris.

    Raphaël Zacharie de IZARRA


  • Raphaël Zacharie de Izarra Raphaël Zacharie de Izarra 1er juillet 2010 19:49

    Ce n’est pas tout à fait faux... Mais pas entièrement vrai. En fait je ne méprise pas le travail.

    Je méprise le travail obligatoire, c’est à dire la pression sociale, pour couvrir des besoins futiles.

    Il est vrai que je ne me prends pas pour n’importe qui et j’assume parfaitement mes petites vanités.

    Raphaël Zacharie de IZARRA



  • Raphaël Zacharie de Izarra Raphaël Zacharie de Izarra 1er juillet 2010 19:33

    Ceux qui ne payent pas leur loyer ont encore droit de jouir de leur logement occupé !

    Il y a d’ailleurs des abus dans ce sens.

    Combien d’honnêtes propriétaires, sous prétexte qu’ils sont propriétaires (c’est à dire qu’ils ont travaillé pour acheter leur bien, ce qui est considéré comme un crime par les geignards) se font voler par des squatteurs sans scrupule ou des locataires de mauvaise foi ? Et pendant que leur appartement est squatté par ces parasites, eux les propriétaires doivent payer les charges !

    Ne pas pouvoir payer son loyer n’est pas un drame : il existe des aides en France pour les déshérités de ce genre. De toute façon les gens de bonne foi qui ne peuvent plus payer leur loyer n’ont rien à craindre des propriétaires honnêtes : ils ne se retrouveront jamais à la rue et le ils savent.

    Raphaël Zacharie de IZARRA



  • Raphaël Zacharie de Izarra Raphaël Zacharie de Izarra 1er juillet 2010 18:04

    CORRECTIONS :

    Dans le mille ! Ou presque... En effet, je lave mon linge à la main, à l’eau froide quand je n’ai plus d’eau chaude et fais d’ailleurs tout avec du savon de Marseille : rasage, douche et linge.

    Je n’utilise pas de shampoing que je considère comme un produit parfaitement superflu, une pure invention de marchands de cosmétiques.

    Je « fais » les poubelles sans aucune gêne. Et je dirais même avec une réelle ostentation (je veux montrer l’exemple). Je consomme fréquemment des aliments non entamés (ou entamés, ça dépend mais peu importe, cela ne me pose aucun problème) très bons, d’excellente qualité trouvés dans les poubelles de certains commerces (des invendus du jour tout simplement).

    Je prends des douches tiède ou froides en été. Je ne chauffe JAMAIS la salle de bain en hiver. Les radiateurs chez moi sont inutiles depuis huit ans.

    Je ne me plains pas, bien au contraire...

    Le confort à outrance, pour moi ce sont des insignifiances de vrais bourgeois se prenant sincèrement pour des pauvres prolétaires.

    Je vis comme un pauvre selon les critères en vigueur dans notre société d’opulence. Pourtant j’estime vivre comme un pacha. Habitués à chauffer l’hiver, les français sont devenus des mauviettes. Les hommes en ont perdu leur virilité, leur vitalité, les enfants sont devenus des larves hyper couvées et demain seront des hommes fragiles, sensibles, malades d’excès de confort.

    Raphaël Zacharie de IZARRA



  • Raphaël Zacharie de Izarra Raphaël Zacharie de Izarra 1er juillet 2010 18:01

    Dans le mille ! Ou presque... En effet, je lave mon linge à la main, à l’eau froide quand je n’ai plus d’eau chaude et fais d’ailleurs tout avec du savon de Marseille : rasage, douche et linge.

    Je n’utilise pas de shampoing que je considère comme un produit parfaitement superflu, une pure invention de marchands de cosmétiques.

    Je « fais » les poubelles sans aucune gêne. Et je dirais même avec une réelle ostentation (je veux montrer l’exemple). Je consomme fréquemment des aliments non entamés (ou entamés, ça dépend mais peu importe, cela ne me pose aucun problème) très bons, d’excellente qualité trouvés dans les poubelles de certains commerces (des invendus du jour tout simplement).

    Je prends des douches tiède ou froides en été. Je ne chauffe JAMAIS la salle de bain en hiver. Les radiateurs chez moi sont inutiles depuis huit ans.

    Je ne me plains pas, bien au contraire...

    Le confort à outrance, pour moi ce sont des insignifiances de vrais bourgeois se croyant sincèrement pour des pauvres prolétaires.

    Je vis comme un pauvre selon les critères en vigueur dans otre société d’opulence. Pourtant j’estime vivre come u pacha. Habitués à chauffer l’hiver, les français sont devenus des mauviettes. Les hommes en ont perdu leur virilité, leur vitalité, les enfants sont devenus des larves hyper couvées et demain seront des hommes fragiles, sensibles, malades d’excés de confort.

    Raphaël Zacharie de IZARRA



  • Raphaël Zacharie de Izarra Raphaël Zacharie de Izarra 1er juillet 2010 15:55
    Précisément, cela fait huit ans que je ne chauffe pas l’hiver (j’habite au Mans).

    Je me suis accoutumé au « froid » (notion très relative). Je n’ai plus de grippes depuis que je ne chauffe plus et mes factures d’électricité sont raisonnables. Ma compagne a suivi mon mode de vie et en est très satisfaite (même si elle râlait au début).

    Je fais du vélo et lorsque je rentre j’ai chaud. Ensuite je me couvre à l’intérieur toute la journée Je n ’en suis pas mort, au contraire cela me donne une sensation de vie plus intense (trop de chaleur ramollit, endort, affaiblit moralement et physiquement) et une réelle vitalité !

    Raphaël Zacharie de IZARRA


  • Raphaël Zacharie de Izarra Raphaël Zacharie de Izarra 2 juin 2010 23:48

    Evidemment j’ai mêlé à mes textes des textes de HUGO, histoire de faire tourner en bourriques mes dtéracateurs...

    Raphaël Zacgarie de IZARRA



  • Raphaël Zacharie de Izarra Raphaël Zacharie de Izarra 17 avril 2010 00:40
    PHOTO DE RIMBAUD : JE SUIS L’AUTEUR DE CETTE NOUVELLE MYSTIFICATION
     
    Je constate que certains journalistes sont plus avisés que d’autres. J’ai eu l’heureuse surprise de dénicher un article de Jacques Quentin http://fauxrimbaud.blogspot.com/ qui parle de moi avec grande lucidité... Je trouve fort flatteur qu’un journaliste (de province) un peu plus futé que les autres ait l’audace d’avancer une thèse fort pertinente à propos de cette nouvelle « découverte », à savoir que je serais l’auteur d’une énième farce médiatique à base d’Arthur ... Il faut dire que ce Jacques Quentin connaît bien son gibier : c’est à ma connaissance le seul qui a dénoncé en toutes lettres et sans la moindre ambigüité l’énorme plaisanterie izarrienne au sujet du « Rêve de Bismarck ». C’était en avril 2008. 
     
    Cette fois je n’ai même pas eu besoin d’aller répandre des alarmes sur la toile en expliquant que je suis effectivement l’auteur d’un nouveau coup monté concernant cette photo : ce journaliste provincial à la tête froide s’en est chargé à ma place... C’est dire la profondeur de ses intuitions ! Il est vrai qu’il connaît bien son cher IZARRA, mystificateur obsessionnel à but strictement égocentrique : il ne me fait aucun cadeau quand il s’agit de me disséquer de sa plume tranchante comme la vérité, me sachant sur ce point aussi avare de pincettes à l’égard des exégètes crédules que je m’amuse à faire braire avec mes espiègleries rimbalesques de qualité quasi professionnelle répandues à grande échelle médiatique...
     
    Mes détracteurs apprécieront.
     
    Raphaël Zacharie de IZARRA
     
    =======
     
    L’article de Jacques Quentin à mon sujet :
     
    LES DESSOUS DE LA PHOTO DE RIMBAUD : IZARRIMBAUD ?
     
    Elle lui ressemblait comme une fille peut ressembler à son père.
     
    Avec la bonne foi, la sincérité de son âme entière, de son coeur franc (fatalement lucides), le public ne s’y était pas trompé. La France était convaincue !
     
    Sauf que les tests ADN avaient rendu leur verdict, pétrifiant : désaccord génétique total et définitif entre la fille et son prétendu géniteur.
     
    La douche froide.
     
    Qui ne se souvient pas de cette douloureuse affaire Aurore Drossard, fille imaginaire de Montand ? La leçon, authentique cas d’école, doit nous inciter à adopter à l’avenir la plus extrême prudence dans ce genre d’information où la subjectivité peut brouiller les pistes les mieux balisées.
     
    Or, avec le dernier avatar concernant Rimbaud, nous sommes dans un processus médiatico-hystérique exactement inverse : cette fois ce sont les « spécialistes » qui, enivrés de doctes fumées, se sont eux-mêmes convaincus. Et de quoi donc me demanderez-vous ? Du pire : la mine patibulaire d’un Rimbaud aux antipodes de sa légende esthétique.
     
    La pilule à du mal à passer chez les vrais-faux admirateurs du poète de Charleville qui, avec ce bon sens inné caractérisant les profanes et les ignorants, doutent.
     
    La découverte de la photo date de deux ans. Troublant : à la même époque un certain Izarra criait à qui voulait l’entendre -et nul ne semblait vouloir prêter sérieusement l’oreille à ses élucubrations- qu’il était l’auteur du « Rêve de Bismarck », un autre inestimable trésor rimbaldien sauvé des rebuts d’un bouquiniste de Charleville-Mézières. Décidément, le hasard facilite bien des choses dans l’environnement de cet énigmatique Izarra...
     
    Mais revenons à la tête de Rimbaud. Les spécialistes dont le fameux Jean-Jacques Lefrère se sont basés sur quatre de ses photos (plus ou moins nettes) déjà connues et reconnues pour établir un nouveau dogme avec cette vertigineuse certitude propres aux exégètes de leur niveau, élevés au pain blanchit. La farine universitaire a d’incontestables vertus de salubrité intellectuelle... Bref, c’est avec la même conviction, pour ne pas dire la même ferveur que le « Rêve de Bismarck » fut décrété authentique.
     
    Rien n’est plus ressemblant à un portrait qu’un autre portrait, pour peu que le coeur s’emballe. On s’interrogera sur les méthodes employées par ces imprudents spécialistes cherchant à faire passer à la postérité le visage d’un parfait anonyme confondu avec Rimbaud sous le prétexte d’une enseigne d’hôtel en guise de (fausse) piste aux stars du Parnasse, de chasse aux mythes... Bertillonnage ? Identification judiciaire ? Tests ADN ? Les rieurs riront.
     
    Les convictions pour le moins subjectives -autant dire hautement fantaisistes- de Jean-Jacques Lefrère et ses disciples sont une bonne gifle pour nous rappeler qu’à travers ce genre de révélation sensationnelle pleine de flou artistique lié à l’univers de Rimbaud, un Izarra peut toujours en cacher un autre.
     
    Les érudits échaudés ajouteront : aujourd’hui plus qu’hier.
     
    Méfiance donc.
     
    Jacques Quentin
     
     
    Lire aussi « Rimbaud et ses faux embrouillages » : http://fauxrimbaud.blogspot.com/2008/11/rimbaud-et-ses-faux-embrouillages.html


  • Raphaël Zacharie de Izarra Raphaël Zacharie de Izarra 16 avril 2010 13:44

    Issmane,

    Je suis beaucoup plus distingué que cet avatar...

    Raphaël Zacharie de IZARRA



  • Raphaël Zacharie de Izarra Raphaël Zacharie de Izarra 16 avril 2010 12:01
    PHOTO DE RIMBAUD : JE SUIS L’AUTEUR DE CETTE NOUVELLE MYSTIFICATION
     
    Je constate que certains journalistes sont plus avisés que d’autres. J’ai eu l’heureuse surprise de dénicher un article de Jacques Quentin http://fauxrimbaud.blogspot.com/ qui parle de moi avec grande lucidité... Je trouve fort flatteur qu’un journaliste (de province) un peu plus futé que les autres ait l’audace d’avancer une thèse fort pertinente à propos de cette nouvelle « découverte », à savoir que je serais l’auteur d’une énième farce médiatique à base d’Arthur ... Il faut dire que ce Jacques Quentin connaît bien son gibier : c’est à ma connaissance le seul qui a dénoncé en toutes lettres et sans la moindre ambigüité l’énorme plaisanterie izarrienne au sujet du « Rêve de Bismarck ». C’était en avril 2008. 
     
    Cette fois je n’ai même pas eu besoin d’aller répandre des alarmes sur la toile en expliquant que je suis effectivement l’auteur d’un nouveau coup monté concernant cette photo : ce journaliste provincial à la tête froide s’en est chargé à ma place... C’est dire la profondeur de ses intuitions ! Il est vrai qu’il connaît bien son cher IZARRA, mystificateur obsessionnel à but strictement égocentrique : il ne me fait aucun cadeau quand il s’agit de me disséquer de sa plume tranchante comme la vérité, me sachant sur ce point aussi avare de pincettes à l’égard des exégètes crédules que je m’amuse à faire braire avec mes espiègleries rimbalesques de qualité quasi professionnelle répandues à grande échelle médiatique...
     
    Mes détracteurs apprécieront.
     
    Raphaël Zacharie de IZARRA
     
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    ARTICLE ORIGINAL : http://fauxrimbaud.blogspot.com/
     
    Lire aussi « Rimbaud et ses faux embrouillages » : http://fauxrimbaud.blogspot.com/2008/11/rimbaud-et-ses-faux-embrouillages.html