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Les commentaires de Jerome Bondu



  • Jerome Bondu Jerome Bondu 8 décembre 2009 21:37

    Merci pour ces débats intéressants.

    Le livre de François de Closets m’a convaincu, et j’ai voulu (en toute naïveté) partager cette conviction. D’où cet article, qui est un pâle résumé du livre. Je ne peux que vous recommander d’aller à la source, et de frotter vos arguments à l’auteur de l’ouvrage.

    J’ai pris le temps de lire toutes vos critiques. J’ai bien compris que les opposants irréductibles, portent sur l’orthographe actuelle le même regard que d’autres portent sur « un livre ». Toute interprétation est un blasphème. Toute évolution est nuisible.

    Il me semblait au contraire que le propre de l’Homme était de savoir s’adapter. Comme l’a dit Darwin, les espèces qui survivent ne sont pas les plus fortes, … mais les plus adaptables.

    Cordialement,
    Jérôme Bondu



  • Jerome Bondu Jerome Bondu 7 décembre 2009 23:11

    A Philippe Renève :

    Cher Monsieur,
    La colère vous égare ! Mais passons …
    Voici un extrait de Molière, dans son orthographe originelle.

     * * * * * * * *
    Julie : Qui diroit que Madame eût un si grand enfant ?
    La comtesse : Helas ! quand je le fis, j’étois si jeune que je me jouois encore avec une poupée
    (...)
    Monsieur Bobinet : Madame, je n’oublirai aucune chose pour cultiver cette jeune plante, dont vos bontez m’ont fait l’honneur de me confier la conduite, & je tâcherai de luy inculquer les semences de la vertu.
     * * * * * * * *
    Ce texte s’il était imprimé aujourd’hui ne serait-il pas adapté ? Je pense que oui. C’est tout ce que je voulais dire.

    Je vous donne le lien où j’ai trouvé ce texte, pour bien prouver la source de mes dires :
    http://books.google.fr/books?pg=PA26&dq=%22extrait+original+de+moli%C3%A8re%22&lr=&ei=E3UdS7rSJqXsNbPByckL&id=qVUUAAAAQAAJ#v=onepage&q=&f=false

    Les personnes à l’orthographe très sure ont souvent beaucoup peiné pour l’acquérir. Voir cet élément qui les distingue disparaitre est évidemment douloureux.
    Mais bon, ... les jeunes français, qui ont entre 6 et 12 ans, et qui apprennent à écrire dans un monde nouveau doivent-ils en passer par là ? Le monde change, il faut s’adapter !
    Evitons de les handicaper avec ces veilles querelles et ces boulets orthographiques.

    Cordialement,
    Jerome Bondu



  • Jerome Bondu Jerome Bondu 7 décembre 2009 21:20

    Bonjour à tous,
    Et merci pour vos commentaires, … même les plus critiques.
    Au moins, cela me donne une chance de vous convaincre smiley

    Je vous propose cette série de réponses, qui permet de répondre sur le fond, et d’écarter les critiques personnelles.

    J’ai d’abord fait un copier-coller des critiques (NB : je me suis fait un malin plaisir de laisser les fautes d’orthographe dans les critiques).
    Puis j’ai répondu en commençant à chaque fois par « Réponse JB ».

    Ainsi vous trouverez :
    -Critique :
    - Réponse JB :

    -----------------------

    —Critique : Donc les centaines de millions de Français qui depuis des siècles, de Rabelais à Sartre et de Marot à Brassens ont écrit sans faute majeure étaient et sont des imbéciles qui ont perdu leur temps ?
    —RÉPONSE JB : faux. Pendant bien longtemps, l’orthographe était fluctuante. Et écrire par exemple « connoitre » ou « connaitre » revenait au même.

    -Critique : Allons-y gaiement, déplorons, critiquons, abolissons cette langue aussi piégeuse
    -RÉPONSE JB : il n’a jamais été question de cela.

    -Critique : Ainsi le français aura disparu dans quelques décennies, les Européens parleront un anglais bâtard sans même savoir l’écrire
    A force de chercher des excuses un jour notre langue sera langue morte.
    -RÉPONSE JB : Faux. Est-ce la peur de l’anglais qui vous pousse à « figer » la langue français. Pensez-vous que plus l’anglais s’impose, plus il faut conserver et vénérer notre écriture comme une relique ?
    Plus notre langue sera confinée dans des formes obsolètes, plus vite elle s’éteindra.

    -Critique : Ronsard, Molière et Flaubert devront être traduits.
    -RÉPONSE JB : Faux ! Vous ne savez sans doute pas que les écrits de ces auteurs sont déjà « adaptés ». Je pense que vous ne prendriez aucun plaisir à les lire Ronsard ou Molière dans le texte, tant la langue a évolué.

    -Critique : si cette orthographe est d’une difficulté insurmontable pourquoi dans les années soixante nous trouvions des zéros fautes , pardon très peu d’erreurs, au certificat d’études ?
    -RÉPONSE JB : parce que l’enseignement de l’orthographe prenait une place considérable dans le cursus de formation, au détriment des autres matières. Chose qui n’est plus possible aujourd’hui, sauf à vivre dans une « bulle » coupée du monde.

    -Critique : En attendant il ne faut pas confondre manque de logique avec manque de connaissance . Il y a bien peu de particularités qui ne trouvent pas d’explication.
    -RÉPONSE JB : le problème est que non seulement il y a beaucoup de règles, mais qu’il y a autant d’exceptions (j’ai été élevé avec cette phrase magique qui justifiait tout « c’est l’exception qui confirme la règle »).

    -Critique : La difficulté de la langue française et les incohérences orthographiques sont un véritable marronnier. On ne compte plus les ouvrages et sujets là dessus.
    -RÉPONSE JB : pourquoi rien ne bouge alors ???

    -Critique : la différence entre le langage parlé et écrit que l’on voit utilisé souvent spontanémment
    dans les commentaires doit il être pour autant truffé de fautes d’orthographe ?
    -RÉPONSE JB : bien sur que non. C’est justement en simplifiant l’orthographe que l’on réduira le nombre d’erreurs.

    -Critique : cette façon de mettre en avant l’immense difficulté de la langue française fait le lit du cliché parallèle, la soi-disant facilité de l’anglais, cliché absent de votre article, mais à mon avis présent en filigrane.
    -RÉPONSE JB : Faux. Je ne prétends pas que l’anglais soit facile. F de Closets en parle assez bien dans son livre. Il montre l’exemple d’une graphie qui a (si je me rappelle bien) près de 20 prononciations différentes !

    -Critique : le nivellement par le bas , tel est le but de la manoeuvre ,et avec la disparition programmée de l’histoire , un peuple d’ignare facilement manipulable par les élites autoproclamées !
    -RÉPONSE JB : humm, je me demande si l’on parle encore d’orthographe ?

    --------------

    Enfin, pour finir, un ami expert en orthographe m’a fait remarquer près de 10 fautes dans mon texte. Malgré une perfide allusion d’un des colistiers, j’ai relu mon texte avec attention, … mais elles m’ont glissé entre les yeux.

    Par contre, ces fautes me donnent une idée !
    Je mets au défi les critiques de me les trouver en une première lecture.
    Messieurs, j’espère que vous jouerez le jeu. Il ne s’agit pas de faire 36 lectures pour débusquer les fautes. Il s’agit de savoir si ces 8 fautes entachent le texte et vous gênent dans l’acquisition du sens du message.

    Merci pour votre collaboration,

    Avec mes meilleurs sentiments,
    Jérôme Bondu



  • Jerome Bondu Jerome Bondu 25 avril 2009 22:07

    Vous dites : Je tiens quand même à vous féliciter pour votre article, qui lève tout de même une polémique intéressante.
    JB—>Sympa, merci !

    Vous dites : ils les utilise déjà pour modifier les habitudes et comportements ! Et c’est bien cela qui est dangereux.
    JB—>La, je suis d’accord avec vous, mais dans une certaine mesure. Toute entreprise commerciale cherche à satisfaire les besoins de ses clients, et … à orienter les besoins de ses clients en fonction de ses avantages concurrentiels. C’est l’influence. Ca ne me semble pas abominable comme démarche. On fait tous cela à divers niveau. Devant sa femme quand on veut négocier une sortie entre copains (si si). Devant ses enfants pour qu’ils rangent leur chambre, … La vie est faite d’action d’influence. Que les entreprises le fassent est de bonne guerre.

    Vous dites : En parallèle, les puissants qui ont accès aux informations contenues dans les bases de données des fichiers nationaux (Secu, Police), les fichiers d’entreprises (banques, distribution) et réseaux internet (réseaux sociaux) peuvent, en regroupant ces informations, obtenir un pouvoir incomparable...
    JB—>Ca se discute. Cela part du principe qu’il y a les puissants, et les autres. Je trouve cela très tranché, très manichéen. Savez vous que l’immense majorité des chefs d’entreprise sont des gens comme vous et moi qui se sont mis à leur compte. Les politiques sont de même en majorité des gens qui ont des convictions et qui travaillent sur le terrain. C’est le prisme déformant d’une télévision simplificatrice qui donne l’impression que nous sommes gouvernés par une poignée de nantis, comme si nous étions revenus au temps monarchiques. La réalité est bien plus nuancée. Demain, vous allez peut être devenir auto-entrepreneur. Ainsi, vous serez consommateur des données statistiques que vous décriez aujourd’hui. Puis si votre affaire marche bien, vous ferez de la pub, gagnerez en visibilité dans les réseaux sociaux, et peut-être, une fois que votre affaire tournera toute seule, vous serez tenté de faire partie du conseil municipal de votre ville pour influer sur votre environnement… Tout ceci pour dire que je ne crois pas à au cloisonnement des classes. Par contre, je crois au cloisonnement des esprits.

    Vous dites : internet permet en même temps, pour les élus et puissants, de rassembler des masses d’informations inimaginables mais parfaitement justes et utilisables. Informations terriblement dangereuses une fois regroupées et exploitées.
    JB—>Comme je l’ai dit plus haut, je ne crois pas à une caste de puissants. La puissance réside dans ceux qui veulent avancer ensemble. Quand à la sur-conservation d’informations entre les mains de « puissants », avant qu’une utilisation puisse en être faite, il coulera de l’eau sous les points. Les exemples abondent (réseau Echelon inopérant, …).

    Je pense qu’internet est un média formidable. Pensez seulement à ce que nous permet Agoravox ! Cette discussion, entre nous qui ne nous connaissons pas, aurait été impossible il y a seulement 10 ans ! L’utilisation que vous faites de cet outil montre (dans un sens) que vous croyez en cette solution, … puisque vous l’utilisez ! Et plus nous serons nombreux, plus nous serons riches (intellectuellement). Et plus les renseignements qui pourront être tirés de nos débats pourront être utilisés par ceux qui sont au gouvernement pour adapter les lois en fonction de nos attentes.

    Je conçois que l’on puisse voir les blocages du système, et les utilisations négatives d’internet. Par contre, en nier les effets vertueux me semble une erreur.

    Cdt
    JB



  • Jerome Bondu Jerome Bondu 24 avril 2009 15:43

    Merci pour votre commentaire. Je comprends tout à fait votre propos et le partage en partie.

    Mais continuons votre démonstration : en effet on peut dire que ceux qui ont accès aux statistiques puissent mieux vendre en connaissant les habitudes de consommation des clients. Jusqu’au jour où un bloggeur présentera la démarche. Expliquera comment cela fonctionne. Les clients qui liront le post, comprendront le mécanisme ... et seront dès lors plus vigilants !! 

    Mon idée est que la multiplication des informations, même s’il y a un danger (que je ne nie pas), induira « dans un système déquilibre », les protections équivalentes.

    Cordialement,
    JB



  • Jerome Bondu Jerome Bondu 23 avril 2009 13:17

    Bien sur internet, n’est en rien un état idéal. Mais je pense qu’un nouvel équilibre va y être trouvé.

    Sur le fait que l’UMP s’intéresse au « contrat social » : je tiens à préciser que mon propos est 100% a-politique.

    Cdt
    JB



  • Jerome Bondu Jerome Bondu 9 avril 2008 00:22

    Il est étonnant de voir que la seconde partie de l’article sur la renaissance des régions n’a pas généré de commentaire.

    - Je pense pourtant ce film est un « signal faible » (comme on dit dans mon domaine) sur l’envie des Français de retrouver une culture régionale qui a été … maltraitée (pour ne pas dire pire) par la force centralisatrice.

    - Second point, je pense que c’est une des conséquences de l’unification Européenne. L’affaiblissement des frontières nationales laissant une marge de manoeuvre aux régions, qui vont retrouver les aires culturelles de l’ancien régime.

    Qu’en pensez-vous ?
    Jérôme Bondu

     
     


  • Jerome Bondu Jerome Bondu 9 avril 2008 00:12

    Merci pour votre commentaire, mais je me dois de défendre cette pauvre fonction "marketing".

    Le marketing n’est pas un "pièges à gogos" comme vous dites. C’est simplement le fait de chercher à adapter un produit à un public. Même l’Huma fait du marketing, et passe par les mêmes cabinets de conseil que les grandes marques !

    Vous dites qu’en "66 il n’y avait pas de plan marketinge". Bien sur que si. Mais peut être était-il différent. Relisez Zola "Au bonheur des dames". Vous verrez qu’il n’y a pas de commerce sans marketing.

    Je pense que vous confondez marketing et "vente forcée d’un mauvais produit".

    Cordialement,

    JB



  • Jerome Bondu Jerome Bondu 8 avril 2008 23:52

    A vrai dire, je ne sais pas réellement s’il y a eu un "plan marketing" ni quel était son contenu. 

    Mais je n’imagine pas une seconde qu’un investissement financier supérieur à 1 millions d’euros (quelque soit le domaine d’ailleurs) n’entraîne pas automatiquement un travail marketing.

    Cordialement,

    JB

    nb : je profite de ce premier commentaire pour présenter mes plus plates excuses pour les innombrables fautes d’aurtograffes qui parsèment mon article. Voila ce que c’est que de ne pas se relire attentivement smiley

     



  • Jerome Bondu Jerome Bondu 28 mars 2008 21:34

    @ Dalziel

    Vous dites : "Européens qu’ils sont les meilleurs, que leur civilisation est ce que l’espèce humaine a produit de mieux depuis son apparition sur terre,"

    Allons, allons, ... un peu de sérieux ! Allez voir, juste pour vous rafraichir la mémoire, le passage ou j’évoque la controverse de Valladolid sur http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=33763 

    JB

     



  • Jerome Bondu Jerome Bondu 28 mars 2008 21:25

    @ Philou 017

    La coopération et la fraternité (si tant est qu’ils soient possibles) ne peuvent prendre place qu’entre égaux.


    - Si l’Europe est forte, elle pourra proposer coopération et fraternité avec les autres blocs.

    - Si l’Europe est faible, elle subira le choix des autres, qui -ont peut le parier- n’auront rien de fraternels.

    Cordialement,

    JB



  • Jerome Bondu Jerome Bondu 26 mars 2008 16:36

    @ Lisa SION

    vous dites : S’il y a vraiment lieu de chercher à remplacer le plastique, là où c’est possible, il suffirait de remettre en question cette loi au service d’un lobby industriel.

     

    —> vous voulez dire que cette loi est toujours appliquée ?

    JB

     

     



  • Jerome Bondu Jerome Bondu 26 mars 2008 09:54

    Bonjour M. Beau,


    Vous exposez très bien la chose.

    Et c’est bien un des rôles du professionnel de l’intelligence économique que de savoir faire de la maïeutique avec le décideur, pour l’amener à "voir ce qu’il ne veut pas voir".
    D’ailleurs, toute mission d’intelligence économique commence théoriquement par une phase de questionnement 360, pour détecter les "réels" besoins en informations de l’entreprise, ... les lacunes dans le système informationnel.

    Bernard Besson et Jean-Claude Possin ont bien théorisé cette partie du process. Voir http://www.inter-ligere.net/article-13202369.html "Les questions naissent de l’ignorance et des besoins". Belle phrase issue d’une de leur conférence. On croirait de la philosophie smiley

    Cordialement,

    Jérôme Bondu
     

     



  • Jerome Bondu Jerome Bondu 25 mars 2008 11:27

    Merci pour votre commentaire.

    Il est vrai que je n’ai pas fait de recherches profondes sur le sujet. Je n’ai pas voulu jouer au spécialiste (que je ne suis pas). Mon billet se borne à essayer de poser des "bonnes" questions. Ce qui serait déjà pas si mal. Aux plus savants je laisse l’opportunité d’apporter des réponses.

    J’ai simplement essayé :

    - d’une part, donner de la visibilité à un sujet qui me parait crucial : celui du remplacement inéluctable des matières plastiques. Ces matières étant très difficilement biodégradables, et ayant un coût écologique que l’on ne maitrise pas.

    - d’autre part, de poser la question de la possibilité d’un investissement fort de l’Etat, comme celui qui a présidé à notre indépendance vis à vis du pétrole. Si une sorte de CEA du "remplacement des matières plastiques" pouvait naître, les conséquences en termes de brevets, d’emplois, et ... d’environnement serait incalculables.

    Parmi mes phrases fétiches, il y a celle qui dit : "On n’a pas invité l’électricité en cherchant à améliorer la bougie".
    D’où cet autre questionnement : dans quel laboratoire, quels chercheurs, dans quel pays, ... est-en train de naitre une technologie qui pourrait remplacer à meilleur compte le plastique ??? Comment détecter ces travaux ? Comment fédérer les recherches ? Comment la France peut-elle investir ce domaine stratégique ? Est-ce que l’Etat y travaille ?

    Cordialement,
    Jérôme Bondu

     

     



  • Jerome Bondu Jerome Bondu 11 février 2008 21:02

    Je suis attérré par le déchainement de haine que mon article a provoqué.

    JB



  • Jerome Bondu Jerome Bondu 7 février 2008 09:46

    @ Vénérable du sommet (quel pseudo !!)

     

    Vous dites "Je rappelle quand même que le public ne prend que ce que l’on veut bien lui donner (contrairement à internet), il n’a pas le choix."

     

    Ha bon ! Pas pour moi en tout cas. Je choisi ma presse, mes émissions de radio ou de télé. On ne m’a jamais forcé en la matière. Je lis différentes presses de différents bords. La France est suffisamment riche en la matière. C’est sur que si vous considérez que tout -absolument tout- est pourri, là ... c’est un autre problème. Quand on ne veut pas trouver, ... forcément on ne trouve pas.

    JB

     



  • Jerome Bondu Jerome Bondu 6 février 2008 22:30

    @ Philou017

    Vous dites "Contrairement à mr Servent, je ne ferais pas preuve d’une innocence béate en attribuant la dérive des médias à une évolution "sans vrai responsable"."

    Mais imputer tout le mal sur les médias, ou ceux que vous estimez tirer les ficelles (les financiers) masque nos propres responsabilités face à la situation actuelle.

    Quand dans une cours de récréation, une bétise a été commise, et qu’un enfant s’écrit "c’est pas moi c’est l’autre" ... on peut être sur qu’il est dans le coup !

    Cordialement,

    JB

     



  • Jerome Bondu Jerome Bondu 6 février 2008 22:23

    @Geko

    Merci pour votre commentaire mesuré. C’est vrai que l’on ne sait pas trop qui a commencé le premier à tirer l’autre vers le bas : le public ou les médias ?
    Ce qui est sur, c’est que faire porter la faute entièrement sur l’autre (par exemple sur les médias) n’est pas honnete.

    Jérôme



  • Jerome Bondu Jerome Bondu 6 février 2008 22:19

    @ Philou017

    Vous dites : "Si mr Servent a fait quelques pas pour ouvrir les yeux, il lui reste du chemin"

    Vous ne pouvez pas juger de la progression de M. Servent, à l’aune de vos propres critères, et sur la base du résumé que j’ai fait de son livre. Ce résumé est un travail personnel, et reflète uniquement ma compréhension de son propos.

    Cordialement

    JB.

     



  • Jerome Bondu Jerome Bondu 6 février 2008 22:15

    C’est vrai.

    Mais elle est aussi dépendante du ... public. C’est tout le sens du dernier paragraphe de l’article.

    Jérôme