A cette aune il ne faudrait point oublier Giscard d’Estaing pour celui de littérature...
La vieillesse est un naufrage. Victor Hugo
En effet, pauvre mec bouffi de suffisance. Mais qui veut-il berner, mystifier, à part lui-même, en laissant supposer que...On pourrait être pris de pitié, de compassion pour ces derniers feux d’un gâtisme mondain, comme on peut s’attendrir sur un malade atteint d’Alzheimer et qui se prendrait pour Casanova. Je voudrais tout de même rappeler que l’hommel fut un féroce partisan de l’application de la peine de mort, que sous son empire fut adoubé Bokassa premier, à nos frais et avec quels retours sur investissement ? Des queues de cerise. Que Giscard exporta en Amérique du Sud le savoir-faire de nos tortionnaires d’Algérie et qu’il soutint Pinochet en lui fournissant systématiquement les identités réelles des opposants revenant au pays sous des noms d’emprunt. Mais peut-être détestait-il les noms d’emprunt ?
A tout cet échafaudage vous pouvez y adjoindre la longueur de la barbe du capitaine, son âge et la taille des bonnets de ma gardienne d’immeuble. Vous verrez, avec un peu de bonne volonté ça tombera pile et votre démonstration n’en sera que plus étayée. Je vous signale, au cas où vous l’ignoreriez, que le Yi King ne contient pas un seul mot désignant Dieu ou se référant à une quelconque immanence divine,anges, lutins, djinns et farfadets compris. D’où la pertinence, voire l’actualité, du livre dont il est question.
Comment on peut souscrire à, pire, commenter de telles fadaises. On se croirait dans une cour de récré en CP. Nananère, la mienne pisse plus loin que la tienne. Pauvre mec.
Un cheminement assez pernicieux, agrémenté de mille subtils méandres et érudites sources, histoire de conclure à l’existence de Dieu. Vous ais-je bien compris ? Malheureusement c’est au moment où vous affirmez que la Bible et le Coran sont scientifiquement corrects que votre château de cartes s’écroule. Un exemple entre mille ; ces deux livres stipulent que le soleil tourne autour de la terre. Pas besoin de gloser ultérieurement, tout est dit.
Merci
Franco, reviens, regarde ce qu’ils sont en train de faire !!!
Depuis l’instauration de l’UE les Suisses n’ont fait que se gausser et moquer l’ institution susnommée et quand on leur a aimablement proposé d’en faire partie ils ont voté non de façon claire et massive, probablement trop occupés à en gérer le fric douteux sans vouloir en assumer aucune des conséquences attenantes. A ce stade ils se plaignent et nous traitent de pusillanimes parce qu’on ne les soutient point dans leurs déboires avec le malfrat Lybien. Ils n’ont cessé de ch... devant notre porte et les voila qui sonnent frénétiquement pour demander du papier. Non seulement personne ne leur ouvrira, mais ils risquent en sus de se prendre un seau d’eau sur la tête.
Hi hi hi, que c’est délicieusement envoyé et quelle délectation dans l’éparpillement d’un sac de guano que de toutes façons, personnellement, je n’aurais jamais eu l’idée d’en dépasser la page de garde. Il me semble aussi que l’on ait poussé le vice jusqu’à en tirer un film. Sans doute éminemment oubliable et forcément oublié. En remerciant l’auteur pour ce petit article qui rafraîchit les méninges tel un Perrier rondelle consommé sous quelque frondaison silencieuse. Sinon, pour ceux qui aiment les lettres, l’écriture majuscule sans esbroufe et effets de colorisation, fendez vous de quelques Euros et, si vous ignorez l’auteur, plongez vous dans l’oeuvre de Pierre Michon. Sans aucun doute un des très rares écrivains français méritant pleinement ce titre.
Juste pour vous dire bravo. Démonstration claire, sans scories sirupeuses, ni travers haineux. Sinon le constat demeure carrément inquiétant, surtout celui du prix d’achat d’une conscience solidaire visant plus loin que le bout de son nez ; un écran plat et deux jours de congés payés !
Il me répugne d’intervenir face a cette haine dégoulinante de beauferie et de la suffisance des ignares. Juste pour vous soutenir, afin que vous ne vous sentiez pas trop seul !
Cher plancher des vaches, c’est effectivement désolant. A croire que les sommes extraordinaires et la « sueur de méninges » investies dans la recherche fondamentale et ses applications à la médecine, scanners, résonnance magnétique...Ne serviraient à rien pour un grand nombre d’individus, pire, ce serait un détournement de fonds au détriment de leurs rituels de guérison. Pour apporter des cataractes à nos moulins respectifs je vous citerai une scène surréaliste, surprise lors d’une visite à la Salpêtrière, couloir de la mort, rayon cancers. Une maritorne, accoutrée en cheftaine ethnique, entourée de trois pauvres hères au regard de chiens faméliques attendant une saucisse, proféra, à haute et intelligible voix et ce à propos du mourant visité : Il n’y aucune crainte à avoir, il va guérir dans la semaine ; astrologiquement, son thème est imparable. Pour en rajouter une louche, une mienne cousine est morte à quarante ans, dans d’atroces souffrances, d’un cancer généralisé. Des années plus tard j’appris qu’au lieu d’aller consulter un médecin inscrit à l’ordre, elle s’était fait prescrire des « pierres de lune » par une sorte de chiromancienne et qu’elle se trimballait ainsi avec les poches pleines de cailloux...
La Suisse s’est fendue, à quelques années d’intervalle, d’une paire d’enquêtes définitives, extrêmement coûteuses et précises, à propos des médecines dites douces, parallèles, traditionnelles, enfin, comme on voudra bien les nommer, selon sa propre sensibilité. La première, grosse modo une dizaine de milliers de tests, à propos de l’homéopathie : conclusion ça ne guérit strictement rien, sans pour autant faire de mal. La seconde, mêmes moyens colossaux, même méthodologie pinailleuse de Suisses, concernait l’acuponcture. Résultat ; l’acuponcture pourrait soulager quelques pathologies bénignes, à la seule condition que le patient y croie. Et nous ? Ben, on a l’eau de Lourdes !
Atterré par la nouvelle...Pour ceux qui auraient des réticences à propos de l’importance et du talent de Pina Bausch, disons que l’on peut sans crainte d’exagération la placer sur le même pied qu’un Shakespeare ou qu’un Molière.
Mais qui a malaxé cet épouvantable brouet musical omniprésent ? Ce pot, carrément pourri, envahissant jusqu’à la nausée, de sonorités éthniques de supermarché. Au bout de cinq minutes j’ai coupé le son, par ailleurs les commentaires ressemblant à la musique, une steppe de platitudes navrantes, je pense n’avoir rien perdu. Ai tenu ainsi à peu près un quart d’heure avant de me rabattre sur un bouquin. Ah, oui, j’oubliais, il y a les images. Tellement léchées, trafiquées, boostées, saturées qu’elles font penser à une collection de posters à l’usage de chambres de prépubères. On navigue à des années lumière de Sébastiao Salgado, lequel, avec ses reportages, nous racconte pourtant la même chose. S’attendre à quoi quand Besson rôde dans les parages ? Ben, à ça, justement.
La masturbation est-elle brevetable ? A cette aune il suffirait de s’arroger en tant que propriété industrielle une variation de quelques degrés du poignet par rapport à un panel de masturbateurs lambda des deux sexes et vous voila en droit d’exiger un écot pour tout onaniste transgressant cet espace, lequel vous appartient légalement. Pour ce tout être humain se devra d’être bagué d’un bracelet transmetteur à senseurs goniométriques que votre votre société, détentrice du brevet susnommé, se fera un plaisir de lui river à vie, gratuitement. A raison d’un centime d’Euro par acte constaté, empiétant sur le domaine angulaire vous appartenant, vous voici multimégamilliardaire en quelques heures. Sachant que le bracelet ne vous aura rien coûté, car sponsorisé par un quelconque annonceur et que l’investissement pécuniaire du dépôt international devrait être couvert en quelques minutes...
Ne tentez pas le coup, j’ai déja tout déposé à l’INPI !
Pourriez demander à Marc Lévy de vous faire une préface...
Un beau texte, poignant et concis, qui nous change des pseudo écrivains (nombreux, délétères et insistants) sévissant sur le site. Parcours épouvantable de cette jeune femme volontaire et libre d’esprit, quand le destin décide d’affronter, dans le sens éthymologique du terme, un individu à la bêtise et à la lâcheté de ses congénères. On sait, malheureusement, que dans ces cas le match est perdu d’avance.
Etes vous grassement rémunéré quand vous tartinez ce genre de panégyrique ? J’espère que c’est le cas, sinon on pourrait douter de votre clairvoyance. Pensez vous sincèrement que l’on puisse se pâmer face à des Etats où règne l’esclavage dans le sens le plus basique du terme, l’obscurantisme, la superstition, la pratique courante d’exécutions moyenâgeuses ? Des Etats où le sens même du mot liberté devient une absurdité inconcevable ? Et qu’ont fait ces crétins ( je parle des quelques familles qui ont tout acaparré) du tsunami d’or qui se déverse sur eux depuis un siècle ? Des centres de recherche fondamentale ? Des CHU que le monde pourrait leur envier ? Ont-ils formé de brillants chercheurs, médecins, ingénieurs, architectes, artistes que sais-je encore ? Non, ils ont formé des cohortes de terroristes analphabètes, d’imams qui ne le sont pas moins, de joueurs de poker et de fréquentateurs de putes. Brillant bilan, n’est ce pas ?! Et ne venez pas nous bassiner avec les inventeurs de la boussole, Avicenne, l’algèbre et l’écriture des Mille et unes nuits ; tout ça est un passé définitivement révolu. La réalité est celle d’un peuple englué, confit dans l’aveuglement d’une religion qui n’a jamais compris qu’elle devait vivre en évoluant avec l’Histoire, d’une caste dépensant des fortunes afin que d’autres leur concoctent le goût de chiotte grotesque qu’ils aiment et qui s’étale à chaque mètre carré de lieux infréquentables car la température descend rarement en dessous des 40° Du reste ces constructions pharaoniques sont les trois quarts vides, bientôt ensablées et bonnes comme décors pour films catastrophe. Un jour tout ce monde retournera à ses dromadaires, à ses poissons pleins de mouches, à sa technologie d’âge du bronze, nul n’aura été capable de saisir l’occasion de la richesse pétrolière, ils seront passés à côté de tout.
Plutôt que sceptique ne vaut-il pas mieux se déclarer septique concernant la croyance en Dieu ? Enfin, c’est vous qui l’affirmez. Réponse : Dieu est-il immanent dans l’excrémentiel ? Corollaire, le siège (si je puis me permettre) de la foi pourrait bien se trouver entre la raie des fesses.
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