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Les commentaires de bakerstreet



  • bakerstreet bakerstreet 10 juillet 2016 10:37

    Cette société tente de vous rendre addictif, à tout et à n’importe quoi se vend, privilégiant la graisse et le sucre. Attention, beaucoup de produits tels que la voiture et les vacances à l’étranger contiennent bien sûr de la graisse et du sucre....


    Il vous creuser le sillon de l’envie, de la gourmandise, de l’appropriation, les moteurs de la production, pour que le capitalisme puisse continuer de l’avant !

    . La dedans la recherche du bonheur est à combattre, car un homme heureux ne consomme pas. 
    Persuadons les gens qu’il manque de l’essentiel : « Le produit » qui les fera arriver avant les autres. 
    A la recherche de « plus de muscle » « plus de fric » « plus de sex appeal » vous ne serez qu’un mouton qu’on mène à l’abattoir de la consommation

    Méfiez vous de ceux qui font de votre vie un parcours fléché, avec des tiroirs caisse à chaque étape. 



  • bakerstreet bakerstreet 9 juillet 2016 09:38

    @chantecler
    L’invective situe le personnage, et le parano, qui déteste qu’on dévoile ses coups de billard à deux balles. 


    « Terroriste de salon ? »

    Je revendique le salon, pas le terrorisme. 


  • bakerstreet bakerstreet 8 juillet 2016 22:25

    @chantecler
    Si je suis critique avec Wiesel, qui n’est pas tout blanc, ne comptez pas sur moi pour vous suivre sur ce chemin : « On en a fait des tonnes avec la solution finale », propos qui frisent le pire, genre Jean-Marie........

    Moralité : La tentative de récupération est toujours cachée au coin du bois.


  • bakerstreet bakerstreet 8 juillet 2016 22:20

    @Daniel MARTIN

    Sauf que les plus pauvres n’ont pas de voiture, et que les riches roulent en 4.4 qui est l’engin prédateur par excellence. La vignette, autrefois, bien qu’impopulaire, était une taxe adaptée, puisque liée à la cylindrée et à la puissance. 
    Oui à un impôt local lié à une circonscription élargie, disons de cinquante kms, ou de bassin, ce qui gommerait l’effet d’opportunité et de regroupement, dans des banlieue chics, loin des townships où les cas sociaux s’agglutinent. C’est à Neuilly sur seine qu’on paie le moins d’impot....Cherchez l’erreur. 


  • bakerstreet bakerstreet 8 juillet 2016 19:09

    @Daniel MARTIN
    Les plus modestes sont aidés. oui, si l’on met la barre très bas, au niveau de l’anoxie. 

    Alors on vous filera une bouteille d’oxygène, le temps de reprendre votre respiration avant de replonger en apnée. Mais le smicard, surtout une fois dépassé les 25ans, perd tout droit à une aide quelconque, même à l’allocation logement.
     Si c’est une femme seule, élevant un enfant, elle n’aura même pas les allocations familiales, ceux ci n’étant pas dépendant du revenu, et ne commençant qu’à partir du deuxième enfant, qu’un couple de médecins, par exemple, encaissera, alors qu’ils n’ont absolument pas besoin de cet argent de poche ( c’est vrai qu’il existe depuis peu un dégrèvement pour les plus fortunés, mais il est anecdotique).
    Voilà un exemple qui illustre la montée des inégalités dans ce pays, ou bien des études l’ont montré, le traitement social sert surtout les plus riches, et leur progéniture ( études, accès aux soins, etc..) 


  • bakerstreet bakerstreet 8 juillet 2016 18:57

    @Serge ULESKI
    Le grand mérite tout de même de Wiesel est de ne pas avoir été « ambassadeur des pôles »..


    .Au fait, quel pingouin endimanché va hériter du poste de Rocard, que Sarko lui avait si gentiment donné ?


  • bakerstreet bakerstreet 8 juillet 2016 14:17

    Wiesel comme d’autres, aurait gagné à ne pas avoir une indignation à géométrie variable. Effet nobel ? Illusion des dorures, « d’être une voix »....Certains se sont opposés ainsi à ce « prix Nobel de la paix », distinction qui semble autoriser certains à se laisser aller. On trouve c’est vrai un certain Henry Kissinger dans la liste, un homme qui aurait davantage mérité le prix Nobel de la guerre. 

    Je me souviens du conflit qui l’avait opposé avec Arundhati Roy, cette jeune indienne qui avait écrit un petit chef d’oeuvre, « le dieu des petits rien », et qui avait le culot de défendre tous les exploités de la terre, y compris les palestiniens. L’universalité, pour certains, ça s’arrête à leur frontière. 
    C’est là vraiment qu’on reconnait les grands hommes. Et des grandes femmes, bien sûr intégrés à cette formule générique « d’homme », d’humain faudrait il dire. Et l’indignation et la jeunesse de Arundhati nous montre que l’intelligence, la compassion, et l’universalité ne sont pas le monopole de vieillards chenus, ayant perdu une partie de leurs idéaux, et de leur vigilance. Lisez cet article, qui n’a pas pris une ride
    La bombe indienne - 22 mars 2011 - Bibliobs - L’Obs


  • bakerstreet bakerstreet 8 juillet 2016 13:01

    Président normal ?..Juste une exploitation politique, au niveau de l’image, tant le précédent s’est avéré « anormal » dans le dévoiement qu’il a installé au sein autant dans les institutions, que dans son usage personnel du pouvoir. Rappelons l’affaire Tapie, et son tribunal privé, révélateur de ce quinquennat...Et qui a commencé de la pire façon avec ce petit voyage en bateau Bolloré.

    Donc notre fromage président, ou notre président fromage a exploité cette image dégradée, pour nous emmener dans un autre bateau. « Je serais normal » en opposition avec ce que vous avez connu. Il jouait bien sûr au niveau de l’image dégradée qu’il a réussi à détourner à son profit, surfant sur son look à la Raymond Barre, petit ventre et calvitié de bon père de famille, près du peuple, se réclamant soi disant du « social », assorti de quelques formules qui ne pouvaient tromper que ceux qui y croyaient : « Moi président,... »Je m’attaquerais à la finance, au pouvoir de l’argent« ...Formules qui raisonnaient avec d’autant plus de force qu’on sortait justement de ce monde vermoulu, fait de très grands arrangements entre amis.....
    Rapidement, on a vu ce que cela donnait. Même au niveau symbolique, de l’exemplarité personnel, il a réquisitionné »la lanterne", suivant l’exemple de Sarko, emmenant sa favorite du jour. Retour à l’ancien régime. ce président que certains avaient élu en fonction de ses promesses de goupil, est encore plus amoral que le président. Flûte, je voulais dire anormal. Car pour le reste, inutile de dire ce que tout le monde sait, en terme d’accablement



  • bakerstreet bakerstreet 8 juillet 2016 11:53

    Ce gouvernement baisse les impôts sur le revenu « sur les classes moyennes » euphémisme pour signifier en fait les plus aisés, quand on sait que pas un français sur deux n’assez de revenu pour payer cet impot, et parallèlement augmente l’impôt foncier qui lui touche tous les propriétaires, indistinctement de leur revenu ; ce qui revient à dire qu’il creuse un peu plus l’injustice sociale. 



  • bakerstreet bakerstreet 7 juillet 2016 13:33

    @ben_voyons_ !

    Ben voyons, voir Pétain comme un sauveur, en dit long sur l’état de la société, sa bêtise, son inculture. Faudrait lire par exemple « la France de vichy », de Paxton par exemple, pour mesurer un peu, la crapulerie d’un régime honni, seul gouvernement d’Europe ayant non seulement accépté de collaborer avec les nazis, mais faisant du zèle, mettant les gamins dans les trains de la mort, pour ne pas les séparer de leurs parents...De grandes âmes !
    L’auteur a raison, dans le sens que l’histoire semble bégayer : Plusieurs points de similitude entre les deux époques. Les mêmes paradigmes, de Pétain à Hollande
    -Tenter de créer un ’union sacrée entre les parties
    -Tenter de profiter de l’état de choc, ( lisez Noamie Klein « la stratégie du choc »....Hier la guerre, la débâcle, aujourd’hui le terrorisme, pour décréter l’état d’urgence, et surtout orchestrer sa dérive pour museler l’opinion, à des fins liberticides, et d’ailleurs anticonstitutionnelles, tel la déchéance de nationalité
    - Faire resurgir le sceptre honteux de la déchéance de nationalité, contraire aux droits fondamentaux du citoyen et porteur des pires dérives, et des pires conséquences. Pour mémoire De Gaulle avait été déchu de sa nationalité quand il est parti à Londres par Pétain.....
    - La même passion des discours pompeux et larmoyants, décrétant le garde à vous, de Pétain, à Hollande, en parfait désaccord d’(ailleurs avec leurs actes quand ils parlent de solidarité.
    - Faire l’amalgame à des fins honteuses, entre défenseurs des libertés, et des droits du travail, avec les pires extrémistes. On pense évidemment à l’orchestration des dérives pour accuser d’autant plus facilement ceux dont on veut se débarrasser ou mettre sur le banc de l’infamie. 
    Pétain a ainsi traîné Léon Blum devant un tribunal d’exception, avant de l’envoyer à Buchenwald, pour régler ses comptes au front populaire, responsable selon lui de la défaite, et de la dérive de la « paresse », coupable de tous les crimes. Une accusation pour tenter de masquer ses propres responsabilités en tant que ministre de la guerre, où il n’avait rien fait.... Aujourd’hui c’est la CGT qu’on accuse de la rage. 
    - Et voilà qu’on tente d’interdire les manifs,...Là, c’est de l’inédie, une trahison des droits de l’homme et du citoyen, où se droit apparait intangible, et constitutionnel des acquis de la révolution.. Inédit depuis 61 !....Nous sommes en pleine guerre d’Algérie. 

    Beaucoup de citoyens sont écœurés de la dérive totalitaire. N’ayons pas peur des mots. En ce moment, un flic lit surement par dessus mon épaule. Ca ne fait rien. Internet et les blogs est un nouvel espace de liberté qui courcircuite ces connards. 

    Non seulement ils sont à la botte du patronat, mais en plus ils sont très cons !

    . Incapable avant de se lancer dans des lois absurdes et totalitaires, qu’ils vont droit dans le mur. La marque d’un régime coupé de son socle populaire, autiste en tout, juste préoccupé de la carrière de leurs représentants ; nous sommes arrivés sous l’ancien régime, le deuxième sous sol ! 

    A quand un garçon d’ascenseur pour nous redonner espoir ?...Ne nous leurrons pas, Ce n’est pas une individualité mais le collectif qui nous sauvera. 


  • bakerstreet bakerstreet 7 juillet 2016 09:27

    Ce qu’il y a de particulier dans l’art contemporain, au delà des questions qui au bout du clivage servent à certains à vous regarder de haut, en vous rejetant dans le clan des ringards, des réactionnaires, de ceux qui n’ont rien compris à la modernité, ce qui est bien sûr une supercherie, c’est que sa valeur et ses « génies » échappent à la critique habituelle, définie comme vous le dites par les règles intangibles du « bel art », pour être aux mains des hommes d’affaire, et des margoulins en tout genres, hommes d’influence qui définiront l’oméga. 

    Alors oui, « il n’y a plus de valeur ». Ou plutôt si : Ce seront celles de nos bon maîtres, qui selon leur bon plaisir, et mettront les étiquettes. 
    Les affects, la dedans, il n’y en a pas vraiment. Nous sommes chez les pervers


  • bakerstreet bakerstreet 6 juillet 2016 23:56

    @bakerstreet
    Mais ces pauvres temps modernes ont modelé l’illusion que la liberté était liée avant tout au pouvoir de l’argent, et à tout ce qui en découle, c’est à dire l’arrivisme, le cynisme, l’individualisation : En un mot, le malheur programmé ; ON en revient à la discussion de la veille, sur les ressorts de la solidarité entre individus. 

    La pauvreté ce n’est pas ce qu’on a ou qu’on a pas dans les poches, c’est ce qui ne permet pas de transcender les difficultés de la vie. Un panier garni fait d’éducation, d’instruction, de qualités morales et affectives. 


  • bakerstreet bakerstreet 6 juillet 2016 13:49

    @Fergus
    On l’a un peu trop oublié, dans notre pays qui pourtant fut un des premiers à le mettre en évidence, qu’un citoyen ne devait pas seulement être libéré des oppresseurs, mais qu’on ne pouvait être libre qu’éduqué. Le grand héritage de la révolution, promis par Danton, avant que l’école ne fut rendue obligatoire, et relativement égalitaire. 



  • bakerstreet bakerstreet 6 juillet 2016 10:01

    @Fergus
    C’est certain. Il est ridicule de mettre en avant l’exemple de ce pays, tout comme celui des paradis fiscaux, tel Andorre, ou le Lichenstein ou le Luxembourg, pour des raisons différentes. La Norvège

    c ’est un peu le quatar de l’europe ; un des pays les plus pauvres il y a 100 ans, peu peuplé, elle est assise sur un véritable trésor : Hydraulique, pétrolier, minérales.... 
    Que n’a t’elle pas ? Ils ont même une éthique et une morale !


  • bakerstreet bakerstreet 6 juillet 2016 09:45

    @Fergus
    Juste un mot. Je ne partirais de France pour rien au monde. J’aime ce pays, sa culture, ses cultures sa langue, ses langues. 

    Je n’ai jamais mis le pieds en islande, un pays dont les habitants comme beaucoup, rêvent de quitter, en raison de celle que vous évoquez, mais qui reviennent, en raison de celle d’Ulysse, le cœur tourné toujours vers Ithaque. 
    Les polars nordiques font un beau succès de librairie en ce moment. Tout le monde connait Mankel, mais moins connaissent indridason...Le froid ne suffit pas à explique le gout de la lecture, sinon, il suffirait d’arrêter de chauffer les classes...
    Arnaldur Indriðason — Wikipédia


  • bakerstreet bakerstreet 6 juillet 2016 09:38

    @Fifi Brind_acier

    Sans compter que nulle part au monde, vous ne trouverez un espace si dé régularisé que l’Europe, une aubaine pour les margoulins. L’impôt sur les entreprises est à un peu plus de 20% en Europe, presque la moitié d’un pays il est vrai très socialiste : Les état unis.....
    Notons qu’aux states précisément, la misère sociale ruinait le pays dans les années 20. La raison, un dumping économique et une course effrénée entre les états, pour attirer les investisseurs. Si bien que les impôts sur les sociétés, qui servent pour la santé, les retraites, l’éducation, étaient arrivés à cette époque, au même niveau qu’ils sont actuellement en Europe. Roosevelt harmonisa ces impôts, au même tôt, entre les états, ce qui fit repartir la puissance économique et l’espoir, qui se centrifugent.
    Puis il y eu Norman Friedman, dans les années 80, et la formidable régression, qui nous amené où nous sommes actuellement, un modèle que l’Europe est la dernière à suivre, avec une fausse naïveté de margoulins qui tirent les ficelles : « Cette libre concurrence sans entraves » Rien que des mots forts et riches mais qui débouchent sur la prédation


  • bakerstreet bakerstreet 6 juillet 2016 09:22

    @Fifi Brind_acier
    Vous avez raison sur ce point. La mise en concurrence des peuples est à l’envers du rêve et du mythe européen que les peuples ont ratifié. Le rêve des entrepreneurs libéraux l’a emporté. Ainsi la vision politique et sociale est totalement absente, C’’est ainsi qu’on est arrivé au plombier polonais qui bouche de nouveau la canalisation. Rien de changé donc depuis la dérive Bolkenstein, soit disant à l’époque amendé. La mondialisation, c’est une voiture de course sans frein, sans suspension, avec laquelle les concurrents sont invités à concourir. Et que le meilleur gagne. 

    Pour autant le mythe national ne me fait pas rêver. Je n’ai pas renoncé au rêve européen, et celui ci est tellement perfectible, à condition d’être exigeant. Mais pour cela il faudrait que les margoulins ne soient plus aux mains des lobbys, qui tirent les ficelles. C’est bien le corruption et le lobbying qui sont à mon avis responsables de nos malheurs. On tourne un peu en rond. Sans morale, nous allons dans le mur


  • bakerstreet bakerstreet 6 juillet 2016 09:07

    L’Islande est le pays où l’on trouve le plus grand nombre d’écrivains, et aussi de lecteurs au monde, en rapport avec sa population. LIsez donc les polars d’Indridason par exemple....

    Rien de plus normal au pays des sagas vikings, que d’avoir le sens de la légende, du groupe, et du dépassement
    . Voilà une des raisons pour laquelle ce pays a su se remettre en question, et repartir sur des bases plus saines, après avoir perdu la tête, et le sens des choses, comme beaucoup ,dans l’affairisme économique.
    Est ce que les normands peuvent prétendre à un passeport islandais, en rapport avec les mêmes origines norvégiennes. J’attend mon passeport pour filer la bas !



  • bakerstreet bakerstreet 5 juillet 2016 11:17

    @Fergus
    Bonjour

    Je ne sais plus qui a écrit cette phrase, dont voilà à peu près le contenu, et qui vous rejoint : « Plus les gens ont des obligations les uns les autres, et se rendent service, plus ils s’aiment, plus ils se sentent libres les uns des autres, et plus ils se détestent. »


  • bakerstreet bakerstreet 4 juillet 2016 23:58

    Le brexit, c’est l’enfant qui joue, ou qui jongle avec un bâton de dynamité, et les autres qui lui disent pas cap ! J’envie ceux qui font des projections et des analyses rigoureuses sur cette aberration. Tant de corollaires et de manipulations sont en jeu....Refaites le vote ce jour, et il sera à mon avis totalement différent de celui d’hier, sans pour autant d’ailleurs être plus pertinent. 

    L’essentiel est ailleurs que dans le« in » ou le « out ». 
    L’histoire de l’Angleterre, son isolationnisme, sa nostalgie de l’empire, son ambivalence par rapport au continent, son refus d’accepter sa responsabilité dans la glissade libérale, préférant montrer l’Europe du doigt à ces citoyens qui ne sont même pas au parfum de ce qu’est l’UE, la démagogie de Cameron, ce faux cul, voilà les ingrédients du poison !
    Quitter l’UE ? ...Quelle merde non prévue. Renoncer à la city. Pas question. 
    Donc l’avenir sera un torpillage du cuirassé Europe, à travers moults menaces de passage à l’acte, la dernière étant de monter le pavillon noir à tête de mort sur le royaume uni : 
    Je veux parler de cette menace de transformer le pays en paradis fiscal. Le dumping comme canonnière dirigé vers Bruxelles. 
    C’est la guerre.