@ Self con troll,
Question Rugby, j’ai connu et joué avec quelques Perpignanais à l’époque où ce club « s’échangeait » quelques joueurs avec celui de Montpellier, dont par exemple l’actuel entraîneur de Clermont-Ferrand, mais bien d’autres encore. C’était un autre temps où le rugby n’était que semi-professionnel et où l’argent ne coulait pas à flot comme aujourd’hui. En ce temps-là, il y avait quelquefois de très rugueuses « mises au point », si vous voyez ce que je veux dire. Et là, pas de place pour les « lâches » et les imposteurs... il fallait pas se la raconter, surtout lorsqu’on voyageait à Toulon par exemple... au contraire de ce que l’on peut observer sur Internet ou l’imposture semble de mise. Mais c’est probablement un effet des temps actuels : nous vivons dans une société d’imposture, il faut donc bien qu’elle se révèle pour que nous la comprenions et que nous l’intégrions.
Question discussion... ça se discute. J’ai pas d’a priori sur le sujet, mais vous avez bien raison au sujet des interprétations farfelues de ce qu’on dit. Je dois même dire que de ce côté-là, j’en reste « baba » : c’est fou en fait la fréquence des « délires » d’interprétation que l’on peut rencontrer sur Internet.
Sur l’auto-censure : pourquoi s’auto-censurer ? Et qu’aurait-on à censurer ? L’une des seules auto-censure que je m’impose est liée au respect que je dois à mes contradicteurs et autres intervenants, à la seule condition expresse qu’ils sachent me rendre le respect avec lequel je les traite : je ne respecte pas quelqu’un qui me prive de son respect, car le respect n’est pas un dû, c’est une conquête et ce que ce soit dans la vraie vie ou sur Internet. En cas contraire, je ne me prive pas pour être aussi odieux que ce qu’il ait pu l’être... et forcément, ça dégénère. Mais quelque part, c’est aussi voulu... j’ai toujours dis que ce que l’on nomme en AT les jeux de pouvoir (en psychanalyse la perversion et la paranoïa) était mon sujet d’étude principal selon un abord pluridisciplinaire et ce depuis plus de 25 ans maintenant. Et parfois, pour étudier un phénomène lorsque les théories stagnent et ne vous apportent plus rien... ben, faut mettre les mains dans le cambouis.
L’adresse de mon site (2010) est présente sous mon profil depuis mon inscription sur Avox en 2012. Comme quoi... entre ce que l’on croit voir et ce qui existe vraiment, il existe parfois un fossé. Ce biais cognitif est présent chez tout le monde... sans exception. Mais chez certains, il est plus fréquent, c’est la que la notion de maladie mentale intervient (j’y reviendrais je pense en préparant un article sur Korzybski, car je suis « scotché » que ce qu’il énonce de façon si simple soit totalement éludé par ceux qui représentent « l’intelligentsia » en France). C’est une donnée fondamentale de notre cerveau. Nul ne peut y échapper, même chez ceux qui se sont entraînés à y remédier, comme je le fais depuis des années à partir du moment où j’eu conscience du phénomène (il y a plus de quinze ans). De telle sorte qu’habituellement, je vérifie à chaque fois les informations que je communique. Ce que ne veux pas dire que je me relis pour corriger mes fautes : je suis fondamentalement et rédibhitoirement bien plus attaché au fond qu’à la forme, le sens en contexte plutôt que les fautes d’’orthographe, au contraire des imposteurs dont l’une des particularités est de privilégier la forme sur le fond.
Sur les choses sérieuses... je n’ai jamais dit qu’arthes aimait les chevaux : je n’en sais rien. Tout est parti d’une de mes boutades personnelles à la suite de l’un de nos échanges où j’ai pu lui dire que SI elle aimait « monter sur ses grands chevaux », ça tombait bien, car moi aussi je les aimais. Et je lui ai ensuite donné la traduction littérale de mon prénom : Philippe = philos et hippos = aime les chevaux. Je n’avais jamais vu le clip d’Ameno d’ERA avant qu’arthes ne le poste ici, mais j’écoutais en boucle son CD lorsque celui-ci est sorti (ça date). J’ai des origines cathares dans ma famille, je comprends mieux ce qui « raisonnait » en moi en voyant ce clip lorsque plus jeune je me passais ce CD en boucle.
Voilà !
Ps :
Pour ce qui est de fantasmer sur le terrain des joutes : j’ai réalisé ce genre de fantasmes si souvent en France et hors de France que je suis passé à d’autre type de « fantasme ».