Jaja
« L’espiègle ici c’est bien toi le tricheur multicompte… »
Ah ! Bon ! Maintenant je comprends tout ! Mon serveur a été scratché il n’y a pas si longtemps par un dangereux troyen qui a affiché mon adresses IP et d’autres infos personnelles. C’est donc jaja qui serait à l’origine de ce piratage ! Mon serveur serait donc sous le contrôle de jaja ! C’est incroyable ! Mais, soyez inquiet car dès l’envoi de ce post, je cherche à virer tout le système, y compris le disque dur et la connexion ! Vous recommencerez sans doute avec un autre troyen car celui-là a surement été neutralisé parce que signalé chez microsoft.
« Cracher dans la gueule de révolutionnaires, y compris Louise Michel, qui est une icône en France… »
Ah ! Louise Michel ! L’icône ! Nous serons peut-être d’accord sur un point. Il faut saluer la participation active de Louise Michel à la COMMUNE DE PARIS en 1871 pour être victime de bannissement et donc louer sa mémoire sur ce point. La querelle n’est pas là. On ne peut toutefois pas manquer de souligner aussi, pour la leçon historique de la classe ouvrière, son appartenance et son fourvoiement au courant anarchiste, sa coterie avec le monde bourgeois. C’est cela qui pâlit l’activisme de Louise Michel et de bien d’autres aux yeux du mouvement ouvrier révolutionnaire. C’est regrettable, mais c’est comme çà. Mais, la révolution bolchevique de 1917 en Russie avec Lénine et Staline a tiré avec une grande perspicacité tous les enseignements de cette première expérience du mouvement révolutionnaire. Voici un extrait de la biographie de Louise Michel qui va dans mon sens :
« Louise Michel, née le 29 mai 1830 à Vroncourt-la-Côte, Haute-Marne et morte le 9 janvier 1905 à Marseille, alias " Enjolras", est une institutrice, militante anarchiste, franc-maçonne, aux idées féministes et l’une des figures majeures de la Commune de Paris. Première à arborer le drapeau noir, elle popularise celui-ci au sein du mouvement anarchiste.
(…)
En 1871, elle participe activement aux événements de la Commune de Paris, autant en première ligne qu’en soutien. Capturée en mai, elle est déportée en Nouvelle-Calédonie où elle se convertit à la pensée anarchiste.
(…)
Elle entretient une correspondance de 1850 à 1879 avec Victor Hugo, un des personnages les plus célèbres et les plus respectés de l’époque, et lui adresse quelques poèmes. Louise est entièrement sous le charme. Victor Hugo la dépeint telle " Judith la sombre Juive« et » Aria la Romaine " dans son poème Viro Major, femmes aux destins exceptionnels et tragiques. »
Des icônes en France, pour cette époque, plus ou moins comme Louise Michel, on en trouve partout tels Jules Guesdes, jules Vallès, Jean Jaurès, Victor Hugo, etc.
Enfin, lorsque Marx qualifie votre arrière-grand-papa idéologique, le « marxiste » Wilhelm Liebknecht par exemple, de fanfaron, vous voudriez bien croire que ce n’est point une insulte ad hominem, mais que c’est plutôt pour mettre en relief sa tendance idéologique ou son comportement politique. Tel a toujours été mon cas. Tel n’est absolument pas le cas de jaja qui se contente et sombre dans des invectives sauvages et stériles. C’est le propre de l’anarchisme dans tous les sens du mot.
Jaja
« Louphi-Mwana plains toi à la modération que je t’appelle comme ça... et non sans raisons… »
Seuls des espiègles traduisent les espiègles en justice pour leurs espiègleries. C’est vrai que les anarchistes, surtout les anarcho-trotskistes ou « anarchistes bohême » comme les appelaient Lénine, ne s’embarrassent pas des règles de civilité les plus élémentaires, à en juger par la promptitude de jaja à tutoyer des gens sans aucune affinité ni familiarité, sans les avoir jamais vues.
« Tu as dû en chier à éplucher mes posts »
Si ce n’est que d’éplucher les posts de jaja sur Agoravox, c’est de la rigolade. Par contre, éplucher les adresses internet, les e-mails et IP personnelles des forumistes, comme jaja s’y applique et l’avoue, il faut abattre de la besogne à moins que l’on soit un rat d’internet, un vrai pirate, ou encore un fonctionnaire de police mandaté à cet effet. Comme les rats et les pirates ne sont pas des politiciens, la dernière hypothèse correspond bien à jaja. Très probablement, jaja est une sentinelle de la police postée sur Agoravox. Mais, qu’importe !
« Pour Kronstadt j’invite celles et ceux qui sont intéressés par ce soulèvement à voir dans le texte d’Anton Ciliga en quoi cette insurrection n’était pas cette contre-révolution décrite par les staliniens et par Trotski lui-même. »
C’est qui, c’est quoi ce bidule Anton Ciliga ????
« Ainsi parmi les femmes et et les hommes que je cite souvent on trouve Gracchus Babeuf, Louise Michel, Élisée Reclus, Blanqui, Bakounine, Marx, Engels, Bakounine, Ciliga, Makhaïski, Trotski et j’en oublie beaucoup.... »
Pour ceux ou celles qui ne savent pas ce que c’est que le trotskisme par excellence, la profession de foi de jaja ci-dessus, son crédo biblique, c’est l’essence même du trotskisme dans la période précédant la révolution prolétarienne. Cette essence consiste à voltiger, à butiner continuellement par ci, par là, de courants politiques en courants politiques contradictoires, en cherchant à concilier des inconciliables.
Par exemple, qu’y a-t-il de commun entre d’un côté Marx et Engels voire même Gracchus Baboeuf et, de l’autre côté, Bakounine figure de proue de l’anarchisme (viré par Marx), Makhaïski, Ciliga Trotski, Louise Michel, des opportunistes notoires historiques ? Rien, absolument rien. Dans le mouvement ouvrier Trotski est le représentant emblématique de ce courant politique aux multiples visages sans aucun visage, de la voltige, du butinage, s’évertuant à concilier des tendances opposées et même diamétralement opposées, utilisant un langage pompeux.
« Les liquidateurs ont une physionomie spéciale : ce sont des libéraux et non des marxistes. Trotski n’a aucune physionomie et il n’en a jamais eu ; il se borne à faire la navette entre les libéraux et les marxistes et à lancer les mots à effet et des phrases sonores. » (1).
____________
(1) V. I. Lénine : « La désagrégation du bloc d’août », Œuvres complètes, tome XVII, p. 251-253, édition russe.
PS : (1) L’auteur de cette Citation de jaja n’est rien d’autre que Trotski en personne. Je le signale puisque jaja ne l’a pas fait étant illuminé par son prophète. Lien : http://www.marxists.org/francais/trotsky/oeuvres/1932/01/320127c.htm
Jaja
LES FORFANTERIES D’UN ANARCHO-TROTSKISTE
« Allons Mwana louphi »
« Mwana Louphi » ??? Jaja disjoncte et tombe dans des caricatures guignolesques dignes de Coluche. On savait que jaja était un personnage fourbe, maintenant le voici espiègle. Tout compte fait, l’espièglerie est la nature basique des anarchistes d’ailleurs résumée par des slogans tels que « la Démocratie Originelle », « la Démocratie directe », « Comunismo Subito » (Le Communisme tout de suite).
« …pas bien difficile de trouver l’original qui n’a rien d’imaginaire... »
Il était encore bien plus facile de mettre le lien de l’original comme vous venez de le faire par respect du lectorat d’Agoravox. Quand on se soucie du lectorat, on ne le renvie pas sur des sources de seconde main sans étiquette lorsqu’on dispose des sources originales. Le sens de la déontologie de jaja est quelque peu en pointillés. Ma remarque sur ce point était donc tout à fait justifiée. On peut cependant accorder foi à l’authenticité du texte attribué à Wilhelm Liebknecht.
On ne peut cependant pas véritablement qualifier Wilhelm Liebknecht comme étant un marxiste simplement parce qu’il a côtoyé Marx et Engels, notamment en participant au Congrès de Londres (27 juillet –1er Août 1896) dont furent exclus les anarchistes, arrière-grand-papas de jaja. Malgré les purges, le mouvement ouvrier révolutionnaire entouré du monde capitaliste n’est pas à l’abri de la vermine anarchiste dans ses rangs. D’où la juste formule de Staline « Le parti se fortifie en s’épurant des éléments opportunistes » (Staline : Les principes du léninisme).
En fait, Wilhelm Liebknecht n’était pas un marxiste ni sur le plan théorique, ni sur le plan pratique, comme l’explique Friedrich Engels.
Sur le plan théorique :
« Tu es curieux de savoir d’où viennent les phrases obscures et confuses du programme ? Mais elles sont toutes l’incarnation de Liebknecht lui-même ; c’est à cause d’elles que nous nous disputons depuis des années avec lui et c’est devant elles qu’il est en extase. Au point de vue théorique, il a toujours eu des idées confuses et notre façon vigoureuse de formuler les choses reste pour lui une abomination. » « Lettre à August Bebel, Londres, 1er mai 1891)
Sur le plan pratique :
« A Liebknecht je n’ai écrit que très brièvement. Je ne lui pardonne pas de ne nous avoir pas écritun seul mot de toute l’histoire avant qu’il ait été en quelque sorte trop tard (alors que Ramm et d’autres croyaient qu’il nous avait tenus tout à fait au courant). Ce n’est d’ailleurs pas la première fois qu’il agit de la sorte, comme en témoigne la correspondance nombreuse et désagréable que Marx et moi nous avons échangée avec lui ; mais, cette fois, cela passe les bornes, et nous ne pouvons décidément plus faire route ensemble. » (Friedrich Engels : « Lettre à August Bebel », Londres, mars 1875)
« Et la forfanterie de Liebknecht avec son « non » catégorique n’est donc que pâle vantardise et il le sait aussi. » (Friedrich Engels : « Lettre à August Bebel », Londres, 1er mai 1891)
Wilhelm Liebknecht était dont un plaisantin, un fanfaron. Les forfanteries des renégats du mouvement ouvrier sont le pain quotidien dont se nourrit jaja, de l’eau bénite pour jaja.
« Ah si, sombre crétin, je t’ai déja dit… »
Manque d’éducation la plus élémentaire. C’est le propre des anarcho-trotskistes ! On est habitué !
« …trotski n’était pas mon prophète »
Vous ne pouvez le nier puisque Trotski est l’un de vos « éminents théoriciens du mouvement ouvrier » dont vous vous appropriez en reproduisant ses extraits avec tant de délectation sans même plus prendre la peine de citer son, tellement vous êtes ennivré de lui. Je cite jaja :
« « « « Pour comprendre ce qu’est le fascisme, le vrai...bien loin des élucubrations fumeuses d’un Pasolini voyons ce qu’en disait l’un des théoriciens du mouvement ouvrier :
‘’Le régime fasciste voit son tour arriver lorsque les moyens »normaux’’, militaires et policiers de la dictature bourgeoise, avec leur couverture parlementaire, ne suffisent pas pour maintenir la société en équilibre. A travers les agents du fascisme, le capital met en mouvement les masses de la petite bourgeoisie enragée, les bandes des lumpen-prolétaires déclassés et démoralisés, tous ces innombrables êtres humains que le capital financier a lui-même plongés dans la rage et le désespoir….. » » » (1)
Trotski est bien votre prophète ! Vos dénégations sont ridicules.
« Entre lui et moi il y a Kronstadt... »
Mais Kronstadt ne fut rien d’autre qu’une citadelle marine sous la coupe des contre-révolutionnaires petit-bourgeois lourdement armés décidés à écraser le nouveau-né de la révolution prolétarienne russe et à rétablir le régime tsariste. Voici un peu plus de détails sur Kronstadt :
« En mars 1921, la garnison de l’île-forteresse de Cronstadt, qui commandait l’accès de la ville révolutionnaire de Petrograd par la mer Baltique, se soulevait contre le gouvernement bolchévique. Les mutins tiendront Cronstadt pendant deux semaines, jusqu’à ce que le régime soviétique contre-attaque en traversant la mer gelée, au prix de lourdes pertes en vies humaines dans les deux camps. Les rebelles prétendaient combattre pour restaurer un pouvoir des soviets purifié, libéré du monopole communiste. Pour les bolchéviks la révolte était une mutinerie contre-révolutionnaire : quelles qu’aient été les intentions des marins, ce soulèvement ne pouvait qu’aider les forces de la restauration capitaliste (allant de ceux qui se disaient démocrates aux monarchistes invétérés), unies derrière l’étendard blanc [la couleur de la contre-révolution] de la réaction cléricalo-tsariste. Les gardes blancs et leurs protecteurs impérialistes, repoussés militairement par l’Armée rouge soviétique après presque trois ans de guerre civile, restaient déterminés à écraser la Révolution bolchévique d’octobre 1917 et le jeune Etat ouvrier soviétique. »(2)
Il est clair qu’en bon anarchiste qui se respecte, jaja est un descendant des forces de la restauration capitaliste, des forces de défense du capitalisme dans les arrières du mouvement ouvrier.
« Ce que même des trotskistes d’aujourd’hui lui reprochent d’ailleurs... »
L’anarchisme, dont fait partie le trotskisme, est une galaxie de prédateurs du mouvement ouvrier dans laquelle les uns et les autres se télescopent en restant toutefois solidaires pour saboter et phagocyter le mouvement ouvrier.
_______
(1) Post de jaja – Agoravox- Article de Jack mandon – 14 juin 2013
(2) http://www.icl-fi.org/francais/spf/37/cronstadt.html
Jaja
« En 1896, le marxiste Wilhelm Liebknecht déclare : « Personne n’a combattu le « socialisme d’État » plus que nous les socialistes allemands, personne n’a montré plus distinctement que moi que le « socialisme d’État » est en fait le capitalisme d’État ! ».
Cette citation attribuée à Wilhelm Liebknecht est très douteuse. Wikipédia où elle est piochée ne fournit aucune indication sur ses sources. C’est un manque flagrant d’honnêteté intellectuelle que de se contenter des citations immaginaires.
« Nikolaï Ossisnski Nikolaï Boukharine, la revue « Le communiste », Paul mattick, Makhaiski, Bakounine, Ossinski, Makhaiski, Bakounine,, Ante Ciliga … »,
Si cette ribambelle de renégats de la révolution russe avaient été du côté du mouvement ouvrier authentique, cela se saurait. Cette lie boueuse putrescente de l’anarchisme ne serait pas autant vantée et recommandée au mouvement ouvrier par la bourgeoisie à l’inverse de Marx, Engels, Lénine et surtout Staline.
« En 1969, le marxiste Paul Mattick écrit… »
Le gaucho anarchiste Paul Mattick est aussi « marxiste » que Bakounine l’est, ou que Makhaïski, Ciliga ou encoreTrotski, les idoles de jaja, sont des « staliniens ». Quand les anarchistes sont peints en « marxistes », çà sent la pourriture à plein nez.
« …cet insulteur ordurier qui lors d’un accrochage récent avec moi c’est fait soutenir par Mwana Mikombo qui a la particularité d’avoir toujours et dans le temps les mêmes terminaisons d’IP que notre ami Louphi. »
Invoquer des insultes quand il n’y en a pas ou, ce qui revient pratiquement au même, quand les arguments d’en face sont solides, pour en proférer soi-même gratuitement, cela est un signe manifeste de lâcheté et de débandade intellectuelle.
En ce qui concerne Mwana Mikombo, il est un intervenant comme un autre. En tout cas, il est à priori plus respectable que certains pour avoir échangé avec lui. Rien à voir avec jaja. Quant à récupérer les IP (adresses internet) des forumistes, j’ignore si Agoravox le permet à n’importe quel blanc-bec. En tout état de cause, cela ne peut intéresser que les roussins. Jaja en est un sans doute. Cela ne serait pas surprenant de la part d’un trotskiste endurci. C’est plutôt le contraire qui serait surprenant. On sait d’ailleurs que Trotski, l’un des prophètes de jaja, fut à la tête d’un redoutable gang de barbouzes antisoviétique à la solde de l’impérialisme, en commençant par Hitler.
Et quand le régime hitlérien fut écrasé en premier lieu grâce à Staline, le gang antisoviétique trotskiste se mit au service du sionisme et de l’impérialisme euro-américain. Après Trotski, au sortir de la guerre anti-nazi (seconde guerre mondiale), Nikita Sergueïevitch Khrouchtchev prendra la relève de Trotski. Et c’est le gang impérialiste trotskiste khrouchtchévien qui réalisera le rêve napoléonien de Trotski en réussissant, par un coup d’Etat, à assassiner Staline et d’autres dirigeants soviétiques, faisant ipso facto exploser l’URSS.
Aujourd’hui, le trotskisme joue double. Tout en servant le sionisme et l’impérialisme euro-américain, il sert aussi l’impérialisme mahométan, en particulier le jihadisme. Il n’échappe à personne que le sionisme, l’impérialisme euro-américain et l’impérialisme mahométan sont les trois faces d’un même cylindre.
jaja
« Les révolutions repartent toujours du point où les derniers processus se sont enrayés »
Quand les anarcho-trotsistes théorisent sur les révolutions, ce n’est jamais bon signe pour les travailleurs, les masses laborieuses. Il y a forcément un loup dans la bergerie.
« En URSS nul doute que ce point d’enrayement commença dès 1919 avec la liquidation des Soviets et partant la suppression de fait des derniers vestiges de la démocratie ouvrière originelle »
Les ennemis de l’émancipation des travailleurs ont une méthode de propagande. Cette méthode consiste à affabuler froidement, sans aucun état d’âme. L’anarcho-trotskiste jaja ne dit pas de quelle manière et par qui la liquidation des soviets commença en 1919. En fait, jaja qui est faux comme un trotskiste, ne fait que vomir ici la bouillabaisse infecte concoctée avec de la bouillasse du trotskisme.
Voici en fait la situation réelle dans les années 1920 de la révolution prolétarienne en Russie, situation sur laquelle les politiciens fourbes, les capitalistes et leurs idéologues les anarchistes-trotskistes-khrouchtcheviens comme jaja, affabulent :
« Le grand problème qui se posait devant les révolutionnaires russes après la défaite des armées blanches et de l’intervention était « Que faire du pouvoir soviétique ? » Trotski, Boukharine et Zinoviev prétendaient qu’il était impossible d’édifier le socialisme dans la « Russie arriérée ». L’opposition de gauche voulait convertir la Révolution russe en un réservoir de la « Révolution mondiale, un centre mondial à partir duquel on susciterait des révolutions dans d’autres pays. Dépouillée de son « verbiage ultra-révolutionnaire » comme Lénine et Staline le soulignaient constamment, l’opposition de gauche en réalité luttait farouchement pour le pouvoir, un « anarchisme bohème » et, en Russie, pour l’instauration d’une dictature militaire par Trotski et ses associés.
Le problème se posa au Congrès des Soviets de décembre 1920. C’était l’année de la Révolution la plus froide, la plus grave au point de vue du ravitaillement, la plus décisive. Le Congrès se tenait dans la salle des Colonnes, à Moscou. La ville était enfouie sous la neige, gelée, affamée et malade. Dans La grande salle, qui n était pas chauffée à cause de la crise du combustible, les délégués étaient emmitouflés dans des peaux de moutons, des couvertures et des fourrures, grelottant sous l’intense froid de décembre.
Lénine encore pâle et sous le coup des suites des balles empoisonnées de Fanya Kaplan, qui avaient été à deux doigts de lui faire perdre la vie en 1918, monta à la tribune pour répondre à l’opposition de gauche. Il fit un tableau des terribles conditions lesquelles se trouvait la Russie. Il fit, appel à l’unité nationale pour vaincre les « incroyables difficultés » de la réorganisation de l’économie et de la vie sociale. Il annonça la nouvelle politique économique qui, abolissait le rigide « communisme de guerre », restaurait dans une certaine mesure le commerce privé et le capitalisme en Russie, et ouvrait la voie à la reconstruction. « Nous faisons un pas en arrière, dit Lénine, afin de pouvoir plus tard faire deux pas en avant ! ».
Lorsque Lénine annonça la « retraite temporaire » de le nouvelle politique économique, Trotski s’exclama : « Le coucou a annoncé la fin du pouvoir soviétique ! ».
Mais Lénine pensait que l’œuvre du pouvoir soviétique ne faisait que commencer. Il déclara au Congrès « C’est seulement lorsque le pays sera électrifié, lorsque l’industrie, l’agriculture, et les transports seront placés sur une base technique de production à grande échelle, c’est seulement que notre victoire sera complète ». (Michel Sayers et Albert E. Khan : « La Grande Conspiration contre la Russie – traduction française 1947)
Le 11 septembre 2012, sur Agoravox, jaja jurait avec véhémence qu’il n’était pas trotskiste en écrivant : « Je ne suis ni n’ai jamais été trotskiste : mais pouvez-vous le comprendre vous pour qui il est plus pratique de simplifier à outrance pour pouvoir m’envoyer au goulag en toute bonne conscience... ». Mais, c’est une fourberie.
La « démocratie ouvrière originelle », « la démocratie directe », de jaja, ce n’est que du verbiage ultra-révolutionnaire gauchiste, de la bouillasse, de la fumisterie, en ce qui concerne le mouvement ouvrier. De l’anarchisme, du trotskisme en particulier, des pseudos théoriciens du mouvement ouvrier, des gens comme jaja, ces politiciens véreux, les masses laborieuses, les travailleurs, ne peuvent s’attendre à autre chose que des fourberies !
jaja
« Les révolutions repartent toujours du point où les derniers processus se sont enrayés »
Quand les anarcho-trotsistes théorisent sur les révolutions, ce n’est jamais bon signe pour les travailleurs, les masses laborieuses. Il y a forcément un loup dans la bergerie.
« En URSS nul doute que ce point d’enrayement commença dès 1919 avec la liquidation des Soviets et partant la suppression de fait des derniers vestiges de la démocratie ouvrière originelle »
Les ennemis de l’émancipation des travailleurs ont une méthode de propagande. Cette méthode consiste à affabuler froidement, sans aucun état d’âme. L’anarcho-trotskiste jaja ne dit pas de quelle manière et par qui la liquidation des soviets commença en 1919. En fait, jaja qui est faux comme un trotskiste, ne fait que vomir ici la bouillabaisse infecte concoctée avec de la bouillasse du trotskisme.
Voici en fait la situation réelle dans les années 1920 de la révolution prolétarienne en Russie, situation sur laquelle les politiciens fourbes, les capitalistes et leurs idéologues les anarchistes-trotskistes-khrouchtcheviens comme jaja, affabulent :
« Le grand problème qui se posait devant les révolutionnaires russes après la défaite des armées blanches et de l’intervention était « Que faire du pouvoir soviétique ? » Trotski, Boukharine et Zinoviev prétendaient qu’il était impossible d’édifier le socialisme dans la « Russie arriérée ». L’opposition de gauche voulait convertir la Révolution russe en un réservoir de la « Révolution mondiale, un centre mondial à partir duquel on susciterait des révolutions dans d’autres pays. Dépouillée de son « verbiage ultra-révolutionnaire » comme Lénine et Staline le soulignaient constamment, l’opposition de gauche en réalité luttait farouchement pour le pouvoir, un « anarchisme bohème » et, en Russie, pour l’instauration d’une dictature militaire par Trotski et ses associés.
Le problème se posa au Congrès des Soviets de décembre 1920. C’était l’année de la Révolution la plus froide, la plus grave au point de vue du ravitaillement, la plus décisive. Le Congrès se tenait dans la salle des Colonnes, à Moscou. La ville était enfouie sous la neige, gelée, affamée et malade. Dans La grande salle, qui n était pas chauffée à cause de la crise du combustible, les délégués étaient emmitouflés dans des peaux de moutons, des couvertures et des fourrures, grelottant sous l’intense froid de décembre.
Lénine encore pâle et sous le coup des suites des balles empoisonnées de Fanya Kaplan, qui avaient été à deux doigts de lui faire perdre la vie en 1918, monta à la tribune pour répondre à l’opposition de gauche. Il fit un tableau des terribles conditions lesquelles se trouvait la Russie. Il fit, appel à l’unité nationale pour vaincre les « incroyables difficultés » de la réorganisation de l’économie et de la vie sociale. Il annonça la nouvelle politique économique qui, abolissait le rigide « communisme de guerre », restaurait dans une certaine mesure le commerce privé et le capitalisme en Russie, et ouvrait la voie à la reconstruction. « Nous faisons un pas en arrière, dit Lénine, afin de pouvoir plus tard faire deux pas en avant ! ».
Lorsque Lénine annonça la « retraite temporaire » de le nouvelle politique économique, Trotski s’exclama : « Le coucou a annoncé la fin du pouvoir soviétique ! ».
Mais Lénine pensait que l’œuvre du pouvoir soviétique ne faisait que commencer. Il déclara au Congrès « C’est seulement lorsque le pays sera électrifié, lorsque l’industrie, l’agriculture, et les transports seront placés sur une base technique de production à grande échelle, c’est seulement que notre victoire sera complète ». (Michel Sayers et Albert E. Khan : « La Grande Conspiration contre la Russie - traduction française 1947)
Le 11 septembre 2012, sur Agoravox, jaja jurait avec véhémence qu’il n’était pas trotskiste en écrivant : « Je ne suis ni n’ai jamais été trotskiste : mais pouvez-vous le comprendre vous pour qui il est plus pratique de simplifier à outrance pour pouvoir m’envoyer au goulag en toute bonne conscience... ». Mais, c’est une fourberie.
La « démocratie ouvrière originelle », « la démocratie directe », de jaja, ce n’est que du verbiage ultra-révolutionnaire gauchiste, de la bouillasse, de la fumisterie, en ce qui concerne le mouvement ouvrier. De l’anarchisme, du trotskisme en particulier, des pseudos théoriciens du mouvement ouvrier, des gens comme jaja, ces politiciens véreux, les masses laborieuses, les travailleurs, ne peuvent s’attendre à autre chose que des fourberies !
« dans votyre propos, transpire le communisme le plus integriste qui consiste a ne pas valoriser le travail des uns et des autres.......... »
Stupidités bourgeoises ou petite-bourgeoises ! Il faut être maso pour suivre vos ratiocinations sur « le communisme le plus intégriste », « le travail communiste », « l’économie au sens de réserve pour les besoins ultérieurs », « le patrimoine du capital » ou « le capital du patrimoine », « le capitalisme pur et dur » qui valorise le travail aussi bien « des uns » (? ????) que « des autres » (? ????).
Floreal-PRCF
« Le premier acte de lutte d’un syndicat est de refuser son consentement aux régressions patronales… »
Sauf si c’est un syndicat patronal, ou infesté par des ouvriers embourgeoisés, ou enkysté et dirigé par des apparatchiks de l’anarcho-trotskisme, comme c’est le cas de l’ensemble des syndicats de la place.
Sans l’émergence d’un parti communiste de type bolchevique, léniniste-staliniste, ayant suffisamment établi son influence sur les syndicats des travailleurs, il n’y a rien de très sérieux à attendre des syndicats en faveur des travailleurs.
Candide
« Les privilèges n’existent plus, nous avons fait la révolution pour cela. Le monde des seigneurs n’a plus sa place en France. »
Vous vous élevez à juste titre contre les privilèges et leurs seigneurs. Il faut vous en féliciter. Néanmoins, croyez-vous vraiment que les privilèges n’existent plus en France du fait de la révolution ? De quelle révolution s’agit-il, de la révolution de 1789 ? C’est une blague s’il s’agit de la révolution de 1789.
La révolution de 1789 était la révolution des bourgeois, c’est-à-dire la révolution des propriétaires et petits propriétaires, contre la monarchie féodale, pour la jouissance libre de leurs outils de travail en tant que propriétaires particuliers.
Les NON-propriétaires, tels les SANS-CULOTTES, les prolétaires de cette époque, bien qu’ayant été la force la plus vivifiante dans la révolution, avaient été exclus des privilèges de la révolution bourgeoise. La bourgeoisie révolutionnaire avait tranché à la guillotine les têtes de leurs représentants. Les têtes de Baboeuf et Robespierre par exemple furent ainsi tranchées.
La révolution bourgeoise n’avait fait et ne pouvait faire qu’enlever certains privilèges à la féodalité, pas tous les privilèges, seulement les privilèges institutionnels qui entravaient l’épanouissement du régime bourgeois de libre disposition des capitaux (moyens de travail).
De sorte que la révolution de 1789, loin d’abolir les privilèges, tous les privilèges, n’a fait que banaliser et sacraliser les privilèges des bourgeois en proclamant inviolable et sacrée la propriété privée des moyens de travail. Ainsi par exemple, l’article 17 de la déclaration de 1789, base éternelle des constitutions républicaines françaises, proclame : « La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n’est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l’exige évidemment, et sous la condition d’une juste et préalable indemnité ».
Or, la source des privilèges exclusifs dans la société n’est rien d’autre que la propriété privée des moyens de travail (le capital). Autrement dit, la société bourgeoise, dont l’essence consiste à sanctuariser la libre disposition du capital à des fins privées, sera toujours une société des privilèges exclusifs, socialement discriminants.
Le capital est un bien collectif, un fruit de la nature plus ou moins greffé du travail collectif. La libre disposition du capital, à des fins personnelles ou privées, signifie la soustraction à la collectivité d’un bien collectif. Tout le bouillonnement de la société bourgeoise consiste à légitimer, généraliser et à sanctifier ce vol originel.
Sans abolir la propriété privée du capital, les privilèges et leurs seigneurs ne peuvent disparaître. Seule la révolution communiste, du type de la révolution bolchevique russe, léniniste-staliniste héritière de la COMMUNE DE PARIS, abolit la propriété privée du capital pour instaurer la propriété collective du capital comme base économique de la transformation progressive de la vieille société bourgeoise en société communiste.
PRCF
« IL FAUT QUE S’UNISSENT les républicains fidèles à Valmy et à Jean Moulin, les syndicalistes respectueux de leurs revendications, les socialistes dignes de l’héritage patriotique et internationaliste de Jaurès, les communistes qui continuent le combat de la Commune et des Francs-Tireurs et Partisans (FTPF et FTP-MOI), les gaullistes fidèles à l’esprit du 18 Juin 1940, les chrétiens laïques, héritiers d’Estiennes d’Orves, les amis de la paix qui refusent que le nom français serve à couvrir des guerres pour la domination, sans oublier les résidents étrangers qui ont au cœur la Révolution française et le combat deManouchian. »
Vouloir faire renaître le communisme sur la base de l’UNION de toute cette galaxie d’icônes patriotardes foncièrement et historiquement anti-communistes hétérogènes, mon vieux, le PRCF a vraiment du grain à moudre ! Pour un groupe militant qui se définit comme communiste, c’est très grave de confondre communisme et patriotisme ou chauvinisme.
PRCF
« Depuis la défaite subie par le Mouvement Communiste International en RDA, en URSS et en Europe de l’Est… »
Ce bout de phrase qui introduit cet article mérite quelques éclaircissements. D’abord, on a l’impression que la RDA se situe en dehors de l’Europe de l’Est. Ce qui n’est pas exact. Ensuite, l’épicentre de la défaite du Mouvement Communiste International (MCI) ne se situe pas en RDA ni en Europe de l’Est en général. Cet épicentre se situe en URSS.
Ensuite, on ne peut parler de la défaite du MCI sans évoquer, ne serait-ce que subrepticement, l’événement majeur qui constitue le point de départ de cette défaite, à savoir le coup d’Etat sanglant trotskiste-khrouchtchévien contre Staline et la direction de l’Etat de l’URSS en mars 1953.
On donne ainsi l’impression que la défaite du MCI est venue indifféremment et uniformément de la RDA, des pays de l’Europe de l’Est en général. Ce qui n’est pas exact car l’explosion du MCI est partie de l’URSS sous l’action de la contre-révolution trotskiste-khrouchtchévienne cheval de Troie de l’impérialisme mondial. Cette désagréable impression est de nature à entretenir la confusion dans la compréhension du processus de la défaite du MCI.
Néanmoins, le contenue de cet article participe des bonnes intentions. Affaire à suivre.
jimanju
Votre article décrit, avec justesse et dans tous les aspects, le contenu et le contour de l’idéologie homosexuelle. L’un des aspects importants, si ce n’est l’aspect le plus déterminant, de cette idéologie, est sa propagande. Vous avez évoqué cet aspect déterminant de la propagande homosexuelle en parlant de la sémantique.
Pour pénétrer, s’incruster et phagocyter les esprits, cette funeste idéologie commence par s’attaquer aux codes du langage. Elle s’empare des mots, des expressions conventionnelles du langage pour en dénaturer et détourner le sens. Dans la guerre, le brouillage des codes d’information et systèmes de communication est l’arme mentale par excellence pour désorganiser et paralyser son ennemi. Le point de départ de la technique homosexuelle de brouillage des codes linguistiques consiste à transformer la sensualité (les sensations) en sexualité (le sexe).
A partir de ce brouillage sémantique, le fion devient un sexe, la bouche un sexe, le nez un sexe, le cerveau un sexe, la main un sexe, bref tout organe du corps humain devient un sexe. Par ailleurs, le père adoptif devient le père ; la mère adoptive devient la mère, le parent d’adoption devient le parent biologique, la parentalité devient l’homoparentalité, etc.
Le terme même d’homo-« SEXUALITÉ » utilisé pour désigner l’accouplement de personne de même sexe relève de cette technique homo« sexuelle » de brouillage des codes de communication, de brouillage du langage. Il faudrait plutôt désigner ce phénomène par le terme HOMOSENSUALITÉ, car la sexualité est une notion binaire qui n’a de sens qu’en présence de deux sexes différents.
Si tous les humains n’étaient constitués que d’un seul sexe, la notion même de sexe n’aurait aucun sens et n’existerait probablement pas. L’idéologie homosexuelle repose donc sur la désorganisation des codes du langage, des codes de communication de la société. C’est du parasitage idéologique, de l’escobarderie idéologique.
PRCF
Annie Lacroix-Riz doit être à juste titre considérée comme pionnière de la lutte contre le révisionnisme actuel de l’Histoire, particulièrement le révisionnisme en matière d’Histoire du mouvement ouvrier révolutionnaire de la période après la seconde guerre mondiale. Ce révisionnisme historique a pris son essor à partir de mars 1953 suite au renversement de l’URSS par le gang capitaliste trotskiste-khrouchtchévien camouflé dans l’appareil d’Etat soviétique sous le patronage des puissances impérialistes euro-américains et sionistes.
Dans cette période où l’impérialisme domine le monde entier sans partage, où le mouvement d’émancipation des peuples est au plus bas, complètement à plat semblant ne plus pouvoir se relever, où le révisionnisme tient lieu de méthode d’investigation, d’acquisition et d’affirmation des connaissances historiques, le travail d’Annie Lacroix-Riz, travail qui consiste à dépoussiérer ce révisionnisme, est une contribution inestimable à la restauration et la sauvegarde de la mémoire historique authentique.
Annie Lacroix-Riz a d’autant plus de mérite que, par choix du chemin de la connaissance véritable, par choix de la science, elle se démarque nettement à contre-pied de la doxa des hautes sphères de l’institution universitaire, cette crème de l’intelligentsia bourgeoise française, dont elle est issue. Cette grande qualité, la probité intellectuelle, plutôt rare et exceptionnelle dans l’université française, ne pouvait que conduire tout naturellement Annie Lacroix-Riz à prendre la voie du léninisme-stalinisme, c’est-à-dire le marxisme authentique.
Annie Lacroix-Riz est incontestablement une pionnière du mouvement ouvrier authentique qui peine encore actuellement à se remettre debout sous les coups du révisionnisme, de l’anarchisme et du trotskisme sous toutes leurs formes.
Eleusis Bastiat - Le Parisien Libéral
« Mais la loi est passée ! »
Il faut qu’elle soit passée ! Et très vite, sans rester ! Comme un météore dans le ciel !
« La frange minoritaire et jusqu’au boutiste… »
Le combat politique ne se résume pas en termes de majorité et de minorité.
Une preuve. Dans le programme présidentiel de François Hollande en 2012, l’instauration de l’homosexualité était un point, un tout petit point rikiki, parmi 60 autres points rédigés en long. Un seul point sur 60, ce n’est pas la majeure partie du programme de Hollande, à ce que l’on sache jusqu’à preuve du contraire ! Pourtant, ce tout petit point minoritaire, un sur 60, aura occupé à lui tout seul un an du quinquennat de Hollande, un cinquième du quinquennat !
Une preuve encore. L’Union Européenne compte 27 pays. A ce jour, seuls 6 pays ont instauré l’homosexualité dont la France en dernier. La minorité des pays de l’Union Européenne, moins d’un quart, est donc homosexuelle, jusqu’à preuve du contraire !
Une preuve encore. L’Europe compte entre 46 et 50 pays. Seuls 9 pays ont instauré l’homosexualité à ce jour dont la France en dernier. Donc, la minorité des pays de l’Europe, moins d’un cinquième, est homosexuelle, jusqu’à preuve du contraire.
Encore une preuve. A ce jour, la France, dernier pays en date à instaurer l’homosexualité, est le 14ème pays homosexuel dans le monde (1). Or, 238 pays sont recensés dans le monde dont 193 sont représentés à l’ONU (2). Donc, l’ultra minorité des pays dans le monde, moins de 8%, sont homosexuels. La France s’inscrit donc dans le cercle ultra-minoritaire des pays homosexuels dans le monde, jusqu’à preuve du contraire.
Cela montre à quel point les considérations de majorité et de minorité sont souvent ridicules en matière politique voire de civilisation. Dans une société de lutte de classes, une société basée sur la manipulation et l’exploitation des uns par les autres, la guerre de tous contre tous, les minorités et les majorités s’alternent au pouvoir, les minorités politiques d’aujourd’hui étant les majorités de demain et vice-versa.
« A un moment, il faut savoir si on préfère préserver les parts de marché du pays sur le marché du tourisme, ou si on privilégie une lutte à outrance qui dessert la cause défendue. »
C’est donc pour préserver les parts de marché, en particulier le marché du tourisme, que toute la gauche politique combat pour la civilisation homosexuelle, de la gauche extrême à gauche jusqu’à la gauche extrême à droite, en passant par le Front De Gauche et les écologistes ! L’homosexualité est donc la caverne d’Ali Baba, le grand gisement de trésors de la société capitaliste promis par l’Homme-Dieu, le dieu homosexuel, illuminateur de la gauche son prophète.
« Savez-vous que la violence n’engendre que la violence ? »
Non, la violence n’engendre pas que la violence. La violence engendre aussi la paix selon l’adage « Si tu veux la paix, prépare la guerre » traduction de la locution latine « Si vis pacem, para bellum ».
Vos remarques sont incohérentes. C’est ce qui arrive quand on se fait l’avocat-défenseur d’une mauvaise cause comme celle de promouvoir l’homosexualité.
« …les humains au sens large en tant qu’espèce sexuée culturelle. »
C’est l’homosexualité militante qui se propose d’a-sexuer les humains en instaurant le « mariage homosexuel », c’est-à-dire l’apartheid sexuel, les femmes entre elles, les hommes entre eux.
« Par ailleurs, c’est un non sens de prétendre que les homosexuels ont été exclu du mariage. »
Allez faire la leçon à vos coreligionnaires homos. C’est eux qui revendiquent le mariage … par la guerre.
« La procréation des hétéros n’est en rien due à un quelconque devoir... Vous confondez conséquence et devoir (=obligation). »
« La procréation des hétéros n’est en rien due à un quelconque devoir… ». Donc les « hétéros » peuvent s’en dispenser. Et si les « hétéros » décidaient de se passer de la procréation comme les « homos », exit la société, exit l’humanité ! L’homosexualité idéologique, doctrinaire, culturel, économique, politique, bref la nouvelle science révolutionnaire sociétale inventée par les « homos », c’est la sociétophobie, l’humanophobie.
« Vous confondez conséquence et devoir (=obligation) ». Qu’est-ce que c’est que cette conséquence qui n’est pas un devoir, une obligation ? Toute conséquence est le résultat nécessaire, obligatoire, « sine qua non », d’une prémisse. Parallèlement, tout devoir n’est devoir que comme la conséquence d’un postulat, d’une prémisse. L’homosexualité idéologique et politique, la nouvelle science, s’empêtre dans des raisonnements sophistiques nourris par le formalisme philosophique. L’homosexualité intellectuelle est une science de gribouille, l’antiscience, l’obscurantisme.
« En quoi est-ce que l’accès au mariage par les homos retire cette reconnaissance aux hétéros ? Inspirée par la nature ??? Quelle autre espèce que l’homme dans la nature pratique le mariage ?? »
Primo, le mariage « homosexuel » retire aux « hétéros » l’exclusivité de l’institution du mariage marque déposée des « hétéros ». Le mariage n’étant plus reconnu comme institution dédiée à l’hétérosexualité, les hétéros se retrouvent donc dépossédés de leur marque de fabrique au profit des figurateurs sans mérite.
Secundo, le mariage est une institution basée sur la procréation. Or, l’homosexualité est un déni de la procréation. L’accès au mariage des « homos » est donc un parasitage de l’institution du mariage. En tant que parasite, le mariage « homosexuel » cannibalise la substance morale du mariage qui est la nécessaire reconnaissance de la société vis-à-vis de son fondement, la procréation.
Le mariage « homosexuel » est un hold-up opéré sur la valeur mariage, hold-up accompagné de contrefaçon grotesque. Il n’y a que des escobars intellectuels et politiques pour contester cela.
« Ils [les « homos »] ne renoncent pas à l’hétérosexualité : ils n’ont jamais été hétéro, comment pourraient ils y renoncer ? Les homos ne choisissent pas l’homosexualité. »
Donc les « homos » sont nés en pratiquant déjà l’homosexualité ! C’est formidable ! L’homosexualité idéologique et politique révèle d’étranges secrets !
« Qui serait assez con pour choisir volontairement d’être homo dans une société qui le condamne, dans des familles homophobes, dans des pays ou cela signifie la mort ? »
Qui serait assez con pour choisir volontairement d’être un criminel dans une société qui le condamne, dans des familles criminophobes, dans des pays où cela signifie la peine de mort ? Pour cette raison, faut –il pour autant institutionnaliser le crime ? L’homosexualité idéologique et politique, la nouvelle science inventée par les « homos », n’a aucun sens de la société, en particulier de l’éthique.
« Quand avez-vous choisi l’hétérosexualité ? »
Dès que j’ai compris et accepté que l’humanité est un bien précieux de la nature et que la société est un bien précieux de l’humanité. L’homosexualité idéologique et politique est à l’antipode de cette compréhension et acceptation.
« Pour rappel : L’homophobie est l’hostilité, explicite ou implicite, envers des individus dont les préférences amoureuses ou sexuelles concernent des individus de même sexe. L’homophobie englobe donc les préjugés sur l’homosexualité et les discriminations (emploi, logement, services) envers ceux qui la pratiquent. Au sens large, l’homophobie peut être généralisée comme la peur, la haine, l’aversion, le harcèlement, la violence ou encore de la désapprobation intellectuelle intolérante envers l’ensemble de la communauté LGBT. « De même que la xénophobie, le racisme ou l’antisémitisme, l’homophobie paraît être une désignation de l’autre comme le mauvais contraire, inférieur ou anormal. »
Pour mémoire : L’accusation d’homophobe n’est qu’un bouclier derrière lequel les humanophobes, les hétérophobes, les génitophobes, les sociétophobes, s’abritent dans leurs assauts contre la société.
Quant aux « préjugés sur l’homosexualité », il n’y en a ici aucun. Il n’y a que du jugement objectif et rationnel.
« La morale n’existant pas dans la nature, une « valeur éthique » ne saurait être naturelle. »
Allez vous jeter dans une arène de lions ou sauter par-dessus bord en plein océan et vous verrez alors si la morale n’existe pas dans la nature. Vous ne faites que débiter des stupidités sophistiques débilitantes.
« On est dans l’idéologie religieuse là. »
L’homosexualité idéologique, la nouvelle science, ne voit le mariage qu’à travers le prisme de la religion. Dans la société humaine, le mariage, association Homme-Femme en vue de la procréation, avec son corollaire trinitaire Père-mère-Enfant, institution fondatrice de la société, a longtemps existé avant la religion.
« Le mariage civil n’est pas concerné par le religieux »
Encore moins par l’homosexualité !
« Les homos n’ayant pas accès au mariage religieux »
La cause homosexuelle dispose bien de sa propre religion, la religion de l’Homme-Dieu transformateur du fion et des godes en sexes, créateur des couples Homos procréateurs, créateur des bébés éprouvettes, créateur des utérus à vendre et à louer, bienfaiteur des familles homos ! ».
« L’homosexualité à toujours existé au sein même de la société et de nombreux homosexuels ont contribué à l’amélioration de cette dernière. »
La pollution aussi a toujours existé au sein même de la société et de nombreux pollueurs ont contribué à l’amélioration de cette dernière. Pour autant, la société doit-elle encourager les pollueurs à polluer ?
« Certaines théories avancent d’ailleurs l’utilité sociale de l’homosexualité »
C’est de la fumisterie à l’état pure ! La charlatanerie et l’obscurantisme existent aussi dans la société ! Seulement, la société se doit de les combattre en vue de les extirper complètement !
« pourquoi n’avez vous pas fait un article de ce texte qui le mérite ? »
Faute de temps pour rester scotché sur l’ordi à répondre aux messages.
« Avez-vous vu des homos manifester pour retirer leurs droits aux hétéros de se marier ? »
Dans la société, la notion de droit suppose le devoir, un rôle positif pour la société. Dans la société, un droit sans devoir est une escroquerie, un vol.
Les hétéros assurent l’œuvre naturelle essentielle de procréer et donc de régénérer la société humaine. Sans les hétéros, point de société humaine. Le devoir des hétéros est donc absolu et spécifique. Ce devoir absolu et spécifique crée un droit absolu et spécifique pour les hétéros vis-à-vis de la société. Ce droit se traduit par un devoir tout autant absolu et spécifique de la société envers les hétéros. Ce devoir absolu et spécifique est avant tout et par-dessus tout moral, éthique, le devoir de reconnaissance. La société exerce jusqu’ici ce devoir spécifique et absolu de reconnaissance vis-à-vis des hétéros par l’institution du mariage. Le mariage, dans ses diverses formes hétéros, est ainsi une institution méritoire inspirée par la nature.
Or, par libre choix de l’homosexualité, les homos, dans leur spécificité en tant qu’homos qui manifestent et revendiquent des droits, renoncent à l’œuvre naturelle d’engendrer et de pérenniser la société. Par ce renoncement volontaire, les manifestants homos s’extraient donc volontairement du processus de régénération de la société. Cette auto-marginalisation, caractère absolu et spécifique des manifestants homos, se traduit par l’absence de devoir, donc l’absence de droit, vis-à-vis de la société en tant qu’homos manifestant. Autrement dit, les manifestants homos par définition ne peuvent bénéficier d’aucun droit dans la société en tant qu’homos, encore moins bénéficier d’un droit tant soit peu moral.
En revendiquant le droit au mariage, pire en se le faisant octroyer, les homos s’accaparent d’une valeur éthique naturelle indue spécifique aux hétéros. Par cet accaparement immérité, le mariage désormais partagée entre les hétéros et les homos se déprécie gravement, perd de sa valeur morale institutionnelle. Les hétéros se retrouvent donc spoliés dans leur spécificité de dépositaires de la valeur éthique institutionnelle qui fonde la société. Le sens même du mariage se trouve ainsi dévoyé.
En revendiquant et en s’octroyant le mariage, qui plus est à égalité avec les hétéros, les homos contestent et retirent leurs droits aux hétéros de se marier au sens éthique naturel. L’intrusion de l’homosexualité, dans les institutions de la société, de quelque manière et à quelque degré que ce soit (PACS et autres associations homosexuelles) est un hold-up sociétal car l’homosexualité par définition est la négation irrémédiable de la société. La situation est comparable à celle d’un virus nocif qui viendrait réclamer son bon droit à loger dans un corps sain.
Il convient aussi de souligner que les homos, à travers leurs lobbys, forment une vaste entreprise de prédation des finances publiques. Par exemple, on sait que « L’Union Européenne est à l’origine du mariage pour tous », que « La Commission européenne, qui exerce le pouvoir exécutif, déclare vouloir faire disparaître toute discrimination à l’encontre des homosexuels … » et que « Pour résumer, en 2012 donc, au moins 1 155 000 euros ont été à minima versés par l’Union Européenne aux associations homosexuelles. ». (1)
Or, ces fonds très importants qui sont versés aux organisations homosexuelles pour une cause futile et contraire à la société, la propagation de l’homosexualité, sont prélevés sur les deniers publics dans un contexte de crise financière générale de plus en plus aiguë des Etats. Ces sommes importantes constituent autant de dotations en moins pour la cause familiale sincère. On comprend d’autant mieux l’escobarderie de l’homosexualité politique qui consiste à s’accaparer de la valeur éthique du mariage et de la parentalité. Sans s’accaparer de la valeur éthique du mariage et de la parentalité, leur piochage dans les fonds publics, donc dans les poches des contribuables, pour la promotion de l’homosexualité, ne saurait se justifier.
L’homosexualité politique, en tant que mouvement qui s’organise et réclame des droits à la société en se faisant financer abondamment sur les fonds publics, est un hold-up à la fois sociétal et financier.
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