Changer de Constitution est vital pour notre république. Mauvaise représentativité et trop de pouvoirs pour un seul homme. À terme, représentativité parfaite avec un Assemblée Référendaire (voir mon essai)
@Zo1la constitution n’a pas été changée. Il y a eu des mises à jour simplement 2 Il y a une possibilité de faire mieux en instituant une véritable représentativité ultra démocratique en créant une Assemblée Référendaire
Que l’Allemagne soit arrivée à l’équilibre budgétaire n’est pas une surprise. C’est au détriment des autres pays dont principalement la France avec qui elle commerce à ses avantages depuis longtemps. C’est le piège financier qui lui a permis de faire de l’U.E sa chose depuis sa création.
@Hecetuye howahkan Au début de la création de l’argent, la prédation était relativement faible : plus-values des producteurs et intermédiaires. Mais c’est devenu fort en devenant capitalisme avec la révolution industrielle. Voir Marx
@julius 1ER Vérification sur Wikipedia, c’est bien en 1954 (avril) que la fameuse TVA a été instaurée. Suvie par les pays de l’U.E. Effet pervers : bon pour mes entreprises, mais pas pour la population désargentée.
@julius 1ER Les investissements, grands travaux, entre autres, sont effectivement la clé d’une économie « normale ». C’est le dynamisme monétaire issu du travail que J.M. Keynes a toujours prôné en estimant nécessaire les incitations à la demande. Malheureusement, Milton Friedmann, a estimé que ce n’était pas à l’Etat de s’en occuper. L’Amérique étant la patrie du « business », il fallait laisser faire l’Entreprise. Le mal vient de là. Je le confirme dans un bouquin qui vient de sortir : « L’Economie humaine n’est pas un gros mot » qui reprend le monétarisme, mais vu par un informaticien et non par un économiste professionnel.
@GASTON7864 Si j’ai bien compris votre CSEVA serait une TVA mais sans récupération. Donc une taxe sur le CA mais à un taux de 20 % ce qui est actuellement impossible car trop importante Ce que je propose c’est d’y arriver progressivement mais à un taux plus faible. Il était si j’ai bonne mémoire de 3 %.
@GASTON7864 La taxe sur la C.A comprend la valeur ajoutée, sur laquelle d’ailleurs pèse une taxe, mais nette de tous frais. La taxe sur le C.A a été et serait à nouveau une contribution quelle que soit la valeur ajoutée. Je répète que ce serait le seul moyen de taxer les multinationales installées en dehors de l’Europe mais faisant leur « business » à l’intérieur.
@beo111 Effectivement, les entreprises pourraient augmenter leurs prix, dans les mêmes proportions. mais cette augmentation sera supportée, toujours dans la même proportion par les acheteurs. Donc rien ne changerait a priori a ceci près que les intermédiaires entre le premier producteur et l’acheteur final pourraient être moins nombreux. Donc moins de cumul de plus-values.S’ils augmentent leur prix, il augmenteront leurs plus-values qui sont taxées également. On reviendrait à ce qui existait avant 1954-5. La Tva a justement été instaurée pour favoriser l’essor des entreprises, au détriment des particuliers qui en subissent le poids. Je ne reproche pas à la TVA d’augmenter les prix (quoique) mais de faire supporter les taxes uniquement aux particuliers. Je rappelle que la vie est moins chère aux U.S.A qu’en France.
@Frédéric Van der Beken 1 - Il s’agit d’un remplacement à somme nulle. Si 1 point de TVA appliqué aux centaines de milliards du PIB rapporte 1 milliard, taxer les entreprises de 1 % sur rapporterait 0,9 milliard. Il faudrait donc légèrement monter le niveau de la taxe sur le CA des entreprises pour compenser
2 - Le remplacement de cette taxe se ferait progressivement - le basculement de la pression fiscale sur la population sur l’entreprise aurait l’avantage, non seulement de rétablir une certaine égalité parmi la population à l’avantage des plus faibles, mais relancerait la croissance en augmentant la demande achats en nombre (baisse des prix). Elle aurait tendance à diminuer le nombre d’intermédiaires qui grâce à la TVA sont exonérés d’impôts (sauf sur les bénéfices nets). Les prix ayant moins subi de plus-values baisseraient d’autant.
Julius 1er. Une taxe sur le C.A de 1 ou 2 % ne devrait pas empêcher les investissements. Comme c’est le cas aux U.S.A. Ce qui empêche les investissements c’est au contraire de taxer la population dont le pouvoir d’achat diminue. La TVA est contre-productive en augmentant les prix sans contrepartie pour les salariés. Or c’est l’origine de toute croissance. Dans pareil contexte les entreprises n’ayant pas confiance n’investissent pas. Relisez J.M. Keynes
@beo111 la TVA est effectivement un impôt principal. Imaginez, à terme, combien il suffirait e taxer les entreprises sur le chiffre d’affaires pour la remplacer ? A peine 2 à 3 %. Les multinationales et les entreprises côtées au 4/40 seraient taxées comme toutes les autres entreprises. Etant donné les milliards que cela représente cela suffirait à remplacer la TVA qui est un impôt inique. Quant à l’importation, rien de plus simple que de la remplacer par un droit de douane. Désolé de ne pas être un spécialiste de la fiduciarité, un simple raisonnement et l’ancienneté suffisent à comprendre cette logique.
@beo111 Une taxe sur le C.A des entreprises rapporterait davantage, étant donné leur montant
dans les multinationales. Collecter la TVA pour le fisc, ce n’est pas la payer. Ceux qui la payent c’’est la population, y compris les pauvres.
« L’économie n’est ni au service de la propriété privée et des intérêts individuels, ni au service de ceux qui voudraient utiliser l’Etat pour imposer leurs valeurs ou faire prévaloir leurs intérêts. » C’est être aveugle de ne pas voir que l’Economie qui déclare que la concurrence doit être libre et non faussée, est au service total des possédants. J’étais un peu sceptique quand j’ai appris que Tirolle avait eu le « Nobel ». Je comprends pourquoi : il est dans la pensée unique. Je n’achèterai donc pas son bouquin
Rocla. Plus rarement et comme esclave. A noter que, comme par hasard, des téléphones portables peuvent payer jusqu’à 20 euros, direct, sans code, dans certaines grandes surfaces. D’ici quelques années, tout sera scriptural.
Contrairement à ce que dit Eau du robinet, la disparition totale de l’argent d’espèces serait une excellent chose. A condition de bien contrôler l’argent scriptural. Plus d’économie souterraine, drogue et travail au noir.
LE GRAND SCANDALE DE LA DETTE SOUVERAINE
Jusque dans les années 70, l’argent était tiré du Trésor public, « ex nihilo » selon les besoins du moment, bien qu’avec le contrôle du Parlement. Mais trop facilement au gré des banques, qui estimaient, à juste titre, qu’augmenter la masse monétaire en circulation de cette façon engendrait l’inflation honnie pour tout prêteur qui voit la valeur de ses créances s’amenuiser avec le temps. Les prêteurs savent que cela fait baisser la valeur de l’argent prêté. D’où des lois empêchant l’Etat français de battre monnaie à son gré, en laissant ce soin aux banquiers, qui créent depuis ces sommes en circulation, assorti cette fois d’intérêts, censés être un frein à trop de facilité.
Depuis cette date les banques ont pris le pouvoir sur l’Etat en le laissant s’endetter comme devant, mais cette fois dans leur propre…intérêt ! Cette technique s’est généralisé avec les traités européens qui ont fait adopter une directive équivalente pour les pays membres de l’U.E. Les banques ont réussi à persuader que l’inflation était toujours malsaine pour la population, ce qui est faux. Comme le démontre la période des trente glorieuses Le lobby bancaire a réussi à persuader les dirigeants qu’il fallait supprimer la « planche à billets », L’Etat, obligé de payer des intérêts devait ainsi se montrer raisonnable dans ses dépenses. Cette technique s’est généralisée avec les traités européens.
La technique austéritaire récemment imposée par les banques à la Grèce, a été adoptée en France dans les années 75 avec toujours cet objectif déflationniste. La BCE a été créée officiellement dans ce but grâce au traité de Maastricht. Dans ces conditions, où l’argent scriptural est totalement virtuel, où seule l’acceptation de règles conventionnelles uniquement basées sur des chiffres, permet des maniements libérés de toutes contraintes au niveau des Etats. D’où les crises par l’inflation cette fois des dettes qui agissent comme des compensations à l’augmentation de liquidités dues à l’activité économique.
Ce système est le contraire du système keynésien d’avant années 70 qui veut lui, augmenter les dépenses de l’Etat, seule façon de créer la croissance alors que l’austérité la diminue, avec comme conséquence évidente le chômage de masse et la montée des inégalités.
Il y aurait une technique simple pour effacer ces dettes, du moins en partie, un simple jeu d’écriture, et tout le monde serait content. Mais, bof, les financiers sont trop cupides et les dirigeants trop bêtes !
Sans changer de système, rien ne se fera. C’est-à-dire changer de constitution. Pendant que les citoyens se morfondaient, j’ai pris le temps d’en rédiger une « 6 e république, faire bouger les lignes » (En numérique chez Amazon, ou imprimé chez Bookelis). Proposition amendable.
@oncle bin’s Ce sont les fous de dieu qui doivent avoir raison puisqu’ils vont jusqu’à s’immoler pour le leur, le vrai dieu. Les religieux sont violents parce qu’ils pensent détenir la Vérité.
@oncle bin’s Et voilà le résultat : c’est de quel Dieu du parles ? Celui des chrétiens, des autres religions monothéistes ? Celui dont tu parles est le vrai dieu ? Curieux les autres représentants sur terre de leur dieu, pensent le contraire. Chacun sa vérité. C’est les fous de dieu qui doivent avoir raison parce qu’ils s’immolent pour le leur. Vraiment quand les hommes croient que ce sont eux les dieux, ils détruisent tout.
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