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Les commentaires de fabb54



  • fabb54 23 mai 2013 21:36

    Parler de gauche et de droite n’a pas de sens si l’on n’en précise pas les champs concernés. 
    Je me considère de gauche d’un point de vue « social », d’un point de vue « moral » et d’un point de vue « intellectuel ». Mais cela ne m’empêche pas de penser que, dans son ensemble, la population française vit au dessus de ses moyens en consommant plus qu’elle ne produit. Que nous devons adapter nos niveaux de vie à ce que l’on produit réellement. Mais combien de personnes, hurlant à tout va sur des politiques ne faisant rien pour leur pouvoir d’achat, consomment smarphones, télévisions et autres objets high-tech sans comprendre que ce qui est anormal, c’est qu’ils soient capable d’acheter ces biens, que bien sûr ils ne produisent pas, puisque de petits asiatiques le font très bien pour très peu en retour.

    Bien sûr, les inégalités doivent être combattues, c’est même la priorité dans un contexte de contraction économique où chacun doit faire l’effort. 

    Mais il n’y a pas de politique envisageable qui permettrait d’augmenter le pouvoir d’achat. Il faut bien en avoir conscience, et, à ce titre, Hollande, pendant la campagne, et Mélanchon et LePen aujourd’hui sont des vendeurs de rêves. 



  • fabb54 20 février 2013 12:48

    @ tous :

    Qui est le troll ? Qui est le faschiste ? Celui qui donne son avis calmement, écoutant les autres et essayant de suivre leurs raisonnements ou celui qui, de facto, va ignorer, calomnier voire insulter (faschiste ? et puis quoi encore ?) un autre parceque son opinion est différente de la sienne ?

    @ Jluc : votre commentaire est le seul argumenté et je vous en remercie.
    Je me permets de vous répondre car je pense que vous avez une image faussée de mes opinions, sans doute de la faute de la manière dont je m’exprime.

    « Pas besoin d’avoir fait des études d’économie pour que les ouvriers voient leurs emplois délocalisés selon le bon désir des actionnaires, ‘parce que l’Euro est trop cher et que l’on ne peut plus exporter’ ».

     « Les agriculteurs n’ont pas besoin d’avoir fait l’ENA pour se rendre compte que la viande des lasagnes suit un circuit européen épique, long et tortueux, alors qu’ils n’arrivent même pas à vivre en vendant leurs propres produits. »

    A mon sens, l’Europe n’est pas la cause de nos problèmes mais l’une de ses représentations. L’Europe telle qu’elle est faite est imparfaite et incapable d’assurer une gouvernance démocratique allant dans le sens de la volonté et du bien être de ses populations. Je ne suis pas partisan d’une « élitocratie européenne » comme certains semblent vouloir me le faire porter.
    Mais les questions sanitaires liées aux dérives des industries (agroalimentaires et autres) ne sont en aucun cas une spécificité européenne, bien au contraire. Le comportement des acteurs impliqués est scandaleux, immoral et dégeulasse mais cela reste le fait de PERSONNES cupides, et non de l’UE en tant que telle.

    Et si les agriculteurs (attention, pas tous) ont du mal à vivre de leurs productions, ce n’est quand même pas la faute de l’UE (qui les subventionne de plus), mais des distributeurs pressant sur leurs marges et des consommateurs au pouvoir d’achat d’i-phones qui rechignent à payer leurs steak hacés plus de 10€ le kg.

    Le système est pourri, ce n’est pas en faisant sauter une partie de celui-ci (l’UE) que tout va s’arranger. La construction européenne (au moins l’idée) est l’un des seuls éléments positifs que je retient des 25 dernières années, je trouve dommage de le saborder.
    Et lorsqu’il n’y aura plus l’UE, on accusera l’Allemagne. Ou la Chine. Ou le Quatar.
    Sans se regarder dans la glace.



  • fabb54 20 février 2013 09:28

    Vous ne devez pas avoir ce que veux dire littéralement crever de faim.



  • fabb54 19 février 2013 18:31

    @ Mortelone :

    Ma vie est presque un conte de fée. La santé,une famille, une copine, des amis, des loisirs, et, par chance et abnégation, un travail. Je ne crois plus depuis quelque temps en les hommes politiques, avides de pouvoir, cupides et corrompus. Certains décident néanmoins que cela ne mérite pas de gacher leurs existences. Que le niveau de vie occidental est structurellement trop élevé, et que le déclin de nos niveaux de vie est normal. Déclin somme toute relatif puisque, même si la vie peut s’avérer très difficile pour certains, en France, en Espagne, au Portugal ou Grèce, personne ne crève de faim, ce qui est loin d’être le cas partout dans le monde.

    Nos idéaux sont les mêmes, les moyens de les atteindre probablement pas, mais ne soyez pas hautain à pense que seul vous voyiez la situation.
    Mais, au final, que proposeriez vous ?



  • fabb54 19 février 2013 18:09

    @ Mortelone :

    Vous aussi êtes dans la confrontation.

    Sur quels points pensez vous que je « délire » ? Qu’elle partie de mon commentaire trouvez-vous génante ? Peut être me suis-je montré trop aggressif à l’envers du réseau voltaire ? (que j’apprécie sur certains points par ailleurs ?).



  • fabb54 19 février 2013 14:30

    Votre commentaire est l’un des plus refléchi qu’il m’ait été donné de lire depuis l’avenement du débat sur le mariage pour tous.

    « Je ne sais pas si c’est intéressant ou dangereux. Moi j’aspire à autre chose. »

    Cette refléxion est belle. Je pense comme vous : je ne sais pas. Rares sont ceux qui parlent sans affirmer quelque chose ni vouloir convaincre.
    La société et la famille traditionnelle ont des défauts certains,patriarchisme, déterminisme social et sexué ...
    On sait ce que l’on gagne, et on devine ce que l’on perd. Mais le mariage homo n’en est pas la cause du déclin de ces valeurs traditionnelles, mais l’une de ses représentations.
    (Je suis, sur le mariage homo, incapable d’avoir un avis tranché).



  • fabb54 19 février 2013 14:09

    Je tire 3 grandes informations de ces sondages :

    - les français n’ont plus confiance en leurs partis politiques
    - les personnes les moins éduquées sont aussi les plus méfiantes par rapport à l’autre (journalistes, politiques, les pays tiers, l’UE)
    - sur certaines questions, que le réseau Voltaire choisit de mettre en avant dans cet article, la séparation traditionnelle entre droite et gauche n’a plus de sens.

    Vous en faites votre propre interprétation, mais elle n’est pas forcément partagée par tout le monde ...


    Peut-on être patriote et vouloir encore plus d’intégration européenne ? Est-on nécessairement fasciste et corrompu si l’on pense que l’idée européenne est une bonne chose, quels qu’en soient les prix à payer à court terme ? Peut-on être pour une intégration européenne forte et contre l’ingérence dans d’autres pays tiers ? Pour une UE forte et contre la politique transatlantique (OTAN, impérialisme US) ?

    A t on le droit de penser que la mondialisation nous a avant tout été favorable tout en la considérant imparfaite et donc réformable ?

    A t on le droit d’être du petit peuple et de considérer que ceux qui ont peur de l’UE, peur de la mondialisation sont avant tout ceux qui n’en comprennent pas vraiment les enjeux et mécanismes ? Que ceux qui la pensent responsable de la situation des pays européens n’ont pas compris qu’ils se sont eux même gavés sur son dos ?

    Peut-on penser les hommes politiques comme des requins avides d’ambitions personnelles sans pour autant être incompétents ?

    J’apprécie d’avoir des opinions et sources d’informations différentes comme le Réseau Voltaire, mais vous tombez dans les mêmes travers que les médias traditionnels, des politiques et de l’individu en général, travers qui plombent nos sociétés : la catégorisation des personnes dans des carcans, la construction de réflexions par l’opposition, et, sur certains domaines, la més-information, volontaire ou incompétente.

    Si l’on se revendique comme un cercle de pensée, on ne montre pas un côté des réalités en cachant l’autre. Sinon, on est aussi, et seulement, un lobbyiste médiatique.



  • fabb54 19 février 2013 13:36

    Un pessimisme un peu trop prononcé à mon goût mais une description extrêmement juste et pertinente de notre société.

    Dès lors que l’on traite d’actualité, de politique et de thématiques sociétales, le système entraine le peuple, les médias, les politiques aux jugements à l’emporte pièce. La tendance est à l’immédiat. Mieux vaut vite au risque d’être précipité. Mieux vaut une opinion tranchée et passionnée au risque de simplisme, qu’une réelle réflexion.

    Et, figurez vous, le peuple en redemande, même ici.
    La tendance est à l’opposition : en politique, dans les médias, entre les individus. Il est bien plus facile de s’identifier par opposition à quelque chose qu’à un destin commun. Le moindre débat cristallise les oppositions, dualise les opinions et annihile la réflexion.

    La tendance est aussi à l’indignation sélective, dans les faits, dans le temps.
    On s’indigne trop souvent de ce qu’on ne comprend pas. Il est plus facile de s’indigner de l’inconnu que de sa propre ignorance. Si je ne comprends pas, c’est donc que c’est mal expliqué. Et donc que quelqu’un, le malin, ait mal expliqué. Volontairement ou non, une tête doit tomber. Au mieux, être clouée, au pilori, de la main médiatique ou de l’autre politique.

    La tendance est impitoyable car bouleversante. L’accélération sociétale est brutale. 10000g à encaisser en quelques décennies, le choc est dur et long à absorber. L’avènement du web, de l’immédiateté de l’information, de la manipulation, des changements sociétaux, de la montée en puissance de la finance, de l’industrialisation et de la mécanisation quasi-totale du travail, du culte de la consommation.

    Il n’existe pas, à mon sens, d’organisation pouvant supporter tant de mutation sans en subir des conséquences néfastes. Plus encore quant la tendance est à l’uniformisation.

    Mais le temps, ou le mur, remettrons de l’ordre dans tout ça.



  • fabb54 15 février 2013 14:26

    Moi je trouve que Hollande fait du bon boulot compte tenu des marges de manoeuvres qui sont les siennes.

    Aucun homme politique, fut-ce Mélanchon ou LePen, n’aurait pu faire une politique très éloignée de celles que nous propose Hollande et nous proposait Sarkozy.

    Non pas que cette politique menée soit la bonne, bien au contraire, ni qu’elle ne devrait être totalement réorientée, mais parceque toute autre politique menée contre ce qui nous fait nous indigner (libéralisation totale des échanges, organismes financiers, injustices sociales) aurait des conséquences à court et moyen terme intenable devant le peuple pour un responsable politique.

    Les seules différences à noter entre les différents politiques est la manière dont ils font passez au peuple les mesures prises, et, en cela, je préfère, de loin, Hollande à Sarkozy.

    Mais n’oublions pas une chose : aucun homme politique ne se fait élir sans faire de promesses ... qu’il ne pourra de toute manière pas tenir.

    Nous attendons beaucoup trop et sommes trop éxigeants avec les hommes politiques et pas assez avec nous même.
    La voix du changement, c’est nous tous, et pas cet homme politique comme un autre qu’est M. Hollande. Organisons notre quotidien différemment, favorisons les initiatives populaires, les échanges de services, de biens, d’informations.
    L’homme politique qui donnera envie de voter n’est pas pour demain !



  • fabb54 14 février 2013 12:28

    Ces questions de l’élevage des enfants sont tellement révélatrices de l’importance de l’héritage culturel et religieux dans la société.

    Mais parler de l’élevage d’un enfant au par un couple homme/femme comme naturel n’a pas de sens. Tout ce que la nature propose est naturel. Certaines espèces animales confient l’élevage de leurs enfants à des groupes de femelles, d’autres de males, d’autres à un individu, d’autres ne les élèvent pas ... et ces modalités d’élevagevarient et évoluent même au sein des espèces !

    L’être humain ne déroge pas à la règle, et au sein même de l’espèce, si le modèle majoritaire d’élevage est celui homme/femme (père/mère), il n’est pas universel.
    Il n’y a donc rien de non naturel à envisager l’élevage sous un autre modèle d’une partie de nos enfants, ni même de considérer à priori, comme vous le faites, que ces modèles soient nécessairement moins bons que le majoritaire.

    En fait, la capacité d’un modèle à être efficace dans l’élevage des enfants dépend principalement de l’acceptation et la possibilté sociétale de ce modèle : là joue tout le poids de l’héritage culturel. Le débat actuel est à ce titre extremement révélateur de l’importance accordée à l’héritage culturel dans notre pays.

    L’amour, comme vous le dites, n’est pas non plus nécessairement gage d’élevage efficace des enfants. Certes, dans notre société, cela revêt une importance capitale tant l’amour porté à l’enfant correspond assez bien à l’attention qui lui est portée dans son éducation.
    Mais on peut très bien s’imaginer des systèmes d’éducation autres, basés sur des centres collectifs d’élevage, ou la rigueur, l’autorité, l’effort, la curiosité et le travail seraient enséignés aux enfants. J’avoue que cette perspective n’est pas réjouissante, mais rien ne dit que, dans ce système, les enfants soient moins bien élevés que dans le notre ...

    Tout cela pour conclure sur le fait que l’évolution des modalités parentales d’élevage des enfants - et l’efficacité dont on se doit, comme vous, d’exiger - est surtout fonction de l’ouverture d’une société au modèle dominant aux modèles minoritaires.
    En somme, de la liberté d’une société.



  • fabb54 14 février 2013 11:41

    Les religions telles que nous les connaissons n’ont plus vraiment leur place dans notre société. Non pas qu’elles soient sources d’aliénation des croyants, mais parce que le contexte économique, politique, social et sociétal entraîne un repli communautaire des croyants, chrétiens, juifs et musulmans.

    Comme le dit l’auteur, nous avons tous intérêt, en tant que patriotes, à apaiser les esprits des personnes.
    Cela passe bien entendu par une dédramatisation de l’Islam au travers des médias et des représentants politiques.
    Cela passe aussi par une reprise en main de notre politique internationale.
    Cela passe aussi par l’arrêt de l’importation scandaleuse du conflit israélo-palestinien dans les pensées des individus de ce pays.
    Cela passe aussi par une remise en question profonde des religions elles-mêmes, de leur rôle, de leurs messages, de leur influence communautaire.

    Comme vous, cher auteur, je pense qu’il nous faut absolument instaurer en France un contexte plus serein et pacifié concernant les religions en général et l’islam en particulier, car ces personnes ont comme droit celui de vivre de manière paisible et tranquille leur religion.

    J’irai plus loin encore, mais je pense que vous ne me suivrez pas sur ce point : il nous faut tout faire pour instaurer un contexte paisible et pacifié, qui soit propice à une réformation profonde des religions monothéistes en général et de l’islam en particulier, afin, à terme, et c’est mon opinion personnelle, permettre le déclin de ces religions et la naissance d’une réelle pensée spirituelle..
     
    J’ai bien dit permettre, et non soumettre.

    PS : contrairement à la phobie collective, si l’Islam progresse bel et bien en terme de nombre de croyants en France, c’est une résultante des flux migratoires et des taux de natalité importants des familles musulmanes.

    Mais, dans la « communauté » musulmane, on retrouve comme pour celle des catholiques, une diminution du pourcentage de pratiquants par rapport à la génération précédente.
    Mais les flux migratoires, la montée de l’extrémisme d’une partie minoritaire des musulmans, l’emballement médiatique et le contexte géopolitique sont des trompes l’œil puissants qu’une partie majoritaire de la population ne savent (veulent ?) pas voir.



  • fabb54 14 février 2013 10:46

    Il faut déjà bien préciser ce que l’on entend concrètement par émeutes de la faim.
    Loin de moi l’idée de minimiser ce qui s’est passé en 2008 partout dans le monde, les émeutes étaient dans un grand nombre de pays des émeutes « des prix chers » plus que « de la faim ». Bien entendu, cela ne change rien aux difficultés du milliard d’humain (! !!) en sous nutrition.

    En ce sens, si par « émeutes de la faim » vous entendez « émeutes des prix alimentaires chers » , elles sont peut probables en UE, la part alimentaire ne cessant de diminuer dans le budget des ménages.

    Si vous entendez « émeutes de la faim » par « émeutes de personnes n’ayant pas de quoi manger », je ne pense pas non plus qu’elles puissent survenir en France, où un nombre très très faible de personnes sont en situation de sous nutrition.

    La baisse du budget UE alloué aux plus démunis reste cependant un drame, même si je suis d’accord avec les commentaires précédents sur le fait que le bénévolat, les dons et autres associations caritatives ne servent que de rustine dans un système qui mériterait d’être profondément révisé.

    Par contre, des émeutes sont belles et bien possibles dans l’UE, si la crise structurelle (d’une n’entraîne pas une modification des comportements politiques et individuels, avec des arbitrages plus équitables entre individus. Ce n’est pas tant que les plus pauvres n’ont plus de quoi vivre en soi, c’est que l’image d’une vie simple et laborieuse n’est pas en adéquation avec l’idéal sociétal mis en avant depuis des dizaines d’années, celui d’une consommation forte de bien et services.


    Hors, le niveau de vie moyen des populations européennes, sous entendu en « niveau de consommation de biens et services », est structurellement en déclin, et c’est cela que nous n’arrivons pas à assimiler suffisamment rapidement, et c’est compréhensible ; la crise de ces 5 dernières années, dont le déclencheur est certes étranger à l’UE, n’est qu’un révélateur brutal d’une réalité, celle de la fin inévitable d’un modèle, car non durable.


    Si ce changement de modèle n’est pas suffisamment voulu par les décideurs politiques, si l’équité (et non l’égalité) du partage des richesses n’est pas suffisamment rétablie, alors oui, dans cette période de déclin, des émeutes de l’injustice pourraient éclater en Europe.

    Emeutes qui resteront vaines si les émeutiers ne sont pas prêts à modifier eux-aussi leurs comportements consuméristes.

    La prise de conscience sera collective ou ne sera pas.



  • fabb54 7 février 2013 12:12

    Votre parenthèse sur la loi des grands nombres est intéressante, tout comme le fait que D8 ne puisse pas transmettre les résulats réels des votes.

    Mais, avec votre raisonnement, les élections seraient elles aussi jouées par avances ? Avec ce raisonnement, on pourrait, en toute honneteté, réfuter la possibilité d’alternance politique !

    Car les évenements (médiatiques, politiques, économiques, réels) ont une influence sur ceux qui les « visionnent ». En politique. Mais aussi à la Nouvelle Star.

    Je finit par vous rejoindre : les jeux sont joués dès le début. Toutes les images diffusées ont été minutieusement choisies, des portraits des candidats, des choix de chansons, des costumes sur scène ... dans le but de créer, ou non, une affection du public.

    Enfin, Sophie tith finira par gagner. Certes, car D8 a orienté les images dans le but de favoriser celle qui est la plus aimée par le public.
    Mais surtout parcequ’elle est talentueuse. Très talentueuse.



  • fabb54 7 février 2013 11:58

    Je n’ai rien contre Poutine, il semble diriger son pays d’une main de fer.

    Mais faire passer la Russie et ses dirigeants comme des humanistes face à des occidentaux cruels, y compris européens, est assez osé.

    Et Poutine n’a absolument pas l’âme d’un alter mondialiste : IL est le principal responsable de l’entrée à l’OMC de la Russie !

    Poutine est un bon dirigeant pour SON pays, mais, par définition, et comme celui des US, de la Chine ou de la France, va toujours cherchez, dans chaque situation, l’avantage.



  • fabb54 7 février 2013 11:45

    Votre article frôle l’indécence, et je pèse mes mots.

    Je vous propose un autre sujet tout aussi pertinent pour votre prochain article :

    Droit de vote des femmes et ondes éléctromagnétiques, même combat !



  • fabb54 7 février 2013 11:22

    Vous confondez patrimoine immobilier et richesses.


    La terre agricole ne vaut presque rien selon vous ?
    Savez vous que, en moyenne, une exploitation agricole compte plus de 50ha en France ?
    Et que, le prix moyen de l’hectare est de plus de 5000€ ? Et donc que les seules terres agricoles représentent, en moyenne, près de 300 000€ de patrimoine par exploitation ?

    Regardez la différence de patrimoine entre l’agriculteur actif et l’agriculteur retraité : plus de 400 000€, qui s’explique PRINCIPALEMENT par la valeur du terrain agricole, mais aussi des machines.

    Je ne dis pas que tous les agriculteurs ont un patrimoine élevé ni ne nie les différences abyssales entre le céréalier de la bausse et l’éleveur dans le cantal.



  • fabb54 3 février 2013 14:02

    Je partage votre peine.

    Certains font de la dénégation leur fond de commerce, et on en arrive à lire de telles inepties.

    Certains sujets sont particulièrement prisés par les comploistes, mais leur attitude est détestable lorsqu’ils poussent leur délire à la science, la recherche médicales et la souffrance des malades.


    Un paquet de donneurs de leçons, experts autoproclamés car « a étudié le sujet de matière contradictoire », mais sans connaissance ni en biologie, ni en médecine. 

    Continuez à partager votre enthousiasme sur ces sujets « bonne nouvelle », et n’écoutez pas les aigris.



  • fabb54 1er février 2013 15:07

    Il est visiblement plus aisé de regarder une vidéo sur Youtube que de se cultiver dans des ouvrages de biologie.

    Votre paragraphe sur les anticorps prouve que vous n’avez pas vraiment conscience du mode d’action du VIH, de ses cellules cibles, des défenses immunitaires et de leur affaiblissement. Pour lutter contre un feu, est-il plus efficace d’envoyer des casernes en renfort ou bien laisser seuls dix pompiers fatigués et dont les approvisionnement en eau sont coupés ?

    Après, que la recherche contre le SIDA mobilise beaucoup plus de moyens au prorata des victimes qu’il cause que d’autres maladie est un fait qui peut être discuté.
    Mais respectez le courage en premier lieu des victimes et de leur famille.
    Merci.



  • fabb54 29 janvier 2013 14:11

    Le moteur à eau, la fusion froide, la mémoire de l’eau...

    Demandez vous à qui profite ces canulards scientifiques.
    - Aux chercheurs qui les portent : Montagnier, Rossi ..
    - Aux médias : ça attire toujours les lecteurs, ces sujets.

    Pour qu’un canulard scientifique dur, il faut :

    - Des chercheurs passionnés : Montagnier, Rossi ..
    - Une thématique scientifique d’une portée phénoménale
    - Une opposition de la communauté scientifique, contrôlée par les lobbys industriels
    - Des lecteurs réveurs
    - Des conclusions exceptionelles jamais publiées dans des revues à comité de lecture
    - Une non reproductibilité des expériences : maintes fois tentées, zéro fois prouvées.

    Un amateur et/ou un scientifique isolé (car génie et car les industriels le détestent) a trouvé, seul, dans son labo artisanal, un moyen révolutionnaire de produire de l’énergie !
    Comprenez bien : c’est une révolution exceptionnelle pour le peuple : mais les grands groupes discréditent ces génies car ils leur feraient perdre beaucoup d’argent).



  • fabb54 29 janvier 2013 13:36

    A PJC A :

    Le fond de votre article est très interessant, l’analyse du rôle de l’Etat dans une société démocratique est juste et pertinente.

    Il y a des domaines qui relèvent de l’interêt commun, des individus et de la société : l’éducation, la culture, la sécurité ...

    Il y a des domaines sociétaux moins primordiaux, pour lesquels l’Etat n’a pas à légiférer : loisirs, centres d’interets, religion, régime alimentaire ...

    Mais votre description d’une société démocratique libertaire est peu ou prou celle de notre démocratie. Seuls l’utilisation du référendum populaire et l’arret de l’immigration semblent différer de notre société actuelle, mais peut être ne comprends-je pas totalement les subtilités de votre texte. A ma décharge, peu d’exemples permettant d’illustrer certains concepts théoriques n’aident pas à bien comprendre certains principes.