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Les commentaires de AstreLune



  • AstreLune AstreLune 10 mars 2014 11:26

    J’ai plaisir à lire pareil discours. :)

    Voilà quelque chose qui, enfin, ne parle pas de conflit, n’alimente pas le conflit.

    « Moi je » peut être désamorcer par l’incarnation de l’observateur neutre. Notre vraie nature est cachée par un torrent de pensées égotiques qui nous emportent sans fin dans les vanités, la violence et la souffrance.

    Il existe un lien fondamental entre soi-même et la nature ; le reste du monde.

    Pour ce faire, il faut se placer en amont de la source de la pensée afin de pouvoir contempler cet « objet » sans qu’il puisse toutefois nous attendre. Le détachement permet de réaliser cela...

    Mais il est si aisé de s’identifier à ses pensées et de les croire vraies. Alors on tombe dans le torrent et on se laisse emporter dans le mensonge et l’excuse.

    Nous sommes en pleine crise spirituelle. « Moi je » ne connait que l’attaque et la contre-attaque face à un environnement qu’il considère comme hostile.



  • AstreLune AstreLune 7 mars 2014 11:29

    Nous faisons face à un problème de paradigme.

    La bourse passe avant la vie.

    L’écologie se contente d’appliquer une politique de taxes et rien d’autre.
    Il ne faut pas compter sur la politique pour s’en sortir.

    Les initiatives doivent venir du peuple lui-même qui prend conscience de ce qui est réellement important pour l’humanité. Ces initiatives ont déjà commencé et ne demandent qu’à se généraliser petit à petit.

    Un retour à l’essentiel.

    Le monde n’a pas besoin de croissance économique ni d’emploi.
    Ça c’est ce qu’on veut nous faire croire, et cette fausse idée fait son chemin dans le citoyen moyen qui a été correctement formaté par son éducation et les médias.

    Intéressez-vous donc au mouvement apolitique et areligieux Zeitgeist et son idée d’économie basée sur les ressources.

    Si on continue sur la lancée, si on cherche à couper les têtes de l’hydre avec du bricolage financier comme on en fait aujourd’hui, sans fin, on est morts.

    M.O.R.T.S.

    Et vos enfants, vous qui prétendez les aimer, vous qui prétendez accorder de l’importance à leur avenir, prenez conscience que nous en détruisons toute perspective au quotidien. Notre société est skyzophrène, partagée entre ses idéaux profonds et son pragmatisme cynique.



  • AstreLune AstreLune 31 janvier 2014 11:34

    L’ennui avec l’emploi aujourd’hui, c’est que contrairement aux idées reçues largement propagées, il s’oppose largement au progrès. De même que l’économie monétaire dans son ensemble.

    N’en déplaise au discours bien-pensant. N’en déplaise aux idéaux de croissance infinie et d’emploi pour tous.

    Aujourd’hui, nous avons un potentiel énorme, mais ce potentiel est complètement bridé par les facteurs mentionnés ci-dessus.

    L’exemple le plus criant en la matière est l’automatisation des tâches. Nous entrons dans une ère de la robotique où il devient possible de s’affranchir de certaines tâches répétitives et ardues, on n’admet qu’une partielle automatisation.

    D’un côté on félicite le progrès technique et on l’encourage. On se plait à imaginer un avenir libéré des chaines du travail.

    De l’autre, on crie au chômage et l’on dénonce la supression des postes, la perte de l’emploi...

    Cette façon skyzophrénique de fonctionner trahit une attitude réfractaire au changement réel. Je ne parle pas de mettre un impôt ici ou là. J’parle pas exactement de faire du bricolage à base de taxe.

    Il faudrait se rendre compte que nous avons les moyens techniques d’apporter au monde entier un niveau de vie confortable sans pour autant tirer sur l’opulence.

    Une technologie fait son entrée en ce moment qui permettrait de démocratiser l’artisanat, c’est l’usinage 3D. Ses prousses montrent que l’on pourrait imprimer une maison grandeur nature en quelques heures, sans avoir recours à la main d’œuvre humaine.Bientôt, plus besoin de se déplacer au magasin pour vous imprimer une assiette, une fourchette, une pizza. Vous aurez seulement besoin de matières premières.

    Alors que s’empresse-t-on de faire ? Breveter, imposer des droits d’auteurs sur tout.

    Le fric, le fric, toujours le fric. La condition sine qua none qui prétend créer de l’égalité mais n’est rien de plus qu’une entrave à cette même chose. Une économie chiffrée ne peut être qu’inégale dans l’absolu.

    Je vous propose de vous intéresser à l’idée d’une économie entièrement basée sur la gestion raisonnée des ressources naturelles ; considérant que la monnaie et le productivisme effrené qui en découle (gaspillage compris) n’est plus représentative de notre environnement et ne répond qu’aux désirs mégalomanes d’accumulation de pouvoirs et de (faux) prestiges.

    Pour résumer : aujourd’hui on ne produit pas la nourriture par besoin, mais pour ne pas avoir un bilan déficitaire. Le gaspillage ? La destruction de notre seul habitat connu ? On n’en n’a que faire. Visons encore et toujours la croissance. La corne d’abondance. L’El Dorado. Réveillez-vous... S’il vous plait. Le rêve est terminé. Les trente glorieuses sont mortes.

    Pour que le chômage baisse ? Il faudrait faire en sorte que le travail ne soit plus aussi sacré. Il existe une multitude de façon d’être en dehors du travail rémunéré qui s’avère aussi utile, sinon plus utile.

    Cessons de couper les têtes de l’hydre et considérons le nouveau climat social, ou nous serons dépassés et incapable de nous adapter.



  • AstreLune AstreLune 29 novembre 2013 15:30

    « Monsanto, le grand Satan pour certains. »

    Ouh les pauvres diffamés. Pardon.

    Sans rire, condamner des petits producteurs à des amendes mirobolantes, breveter le vivant comme un produit avec en prime un amendement qui situe la multinationale au dessus des lois aux USA. ( http://www.lemonde.fr/planete/article/2013/04/05/comment-monsanto-a-mis-les-ogm-au-dessus-de-la-loi-aux-etats-unis_3154615_3244.html )

    « C’ »est pas qu’on voudrait s’imposer en maître sur le monde et rayer de la carte tout autre forme de culture, mais bon, quand même LOUL"

    Clair que, de toute évidences, Monsanto ne cherche pas l’hégémonie. Ils ont l’air honnête, au moins autant que les études qu’ils financent en dessous de table et colportent en vérités scientifiques incontestables, et leurs méthodes ne sont pas le moins du monde impérialistes.

    Je leur fais TOTALE CONFIANCE. Tenez, même les yeux fermés. Vrai.



  • AstreLune AstreLune 29 novembre 2013 15:19

    Selon vous, n’est-ce pas un risque élevé que d’introduire une espèce OGM, soit l’équivalent d’une espèce extraterrestre (puisqu’on parle de soucoupes volantes !) au sein d’un écosystème qui a cherché à s’harmoniser sur des milliards d’années, en ignorant totu à fait l’impact réel d’une telle démarche ?

    Voir : Les lapins en australie.
    Ça a l’air de rien les lapins, comme ça, hein ?



  • AstreLune AstreLune 30 octobre 2013 16:41

    Ne sous-estimons pas la découverte d’une autre forme de vie intelligente.

    Aujourd’hui, on ne cherche que l’existence de bactérie extraterrestres. Bien évidemment que ça n’a rien de grisant.

    Croyez-moi, si l’on découvre l’existence d’une civilisation intelligente avec qui plus est une avance technologique de 1000 ans sur la nôtre, l’élevant à un rang quasi divin, on ne restera pas de marbre.

    On voudra savoir comment ça marche et surtout en profiter. Sans parler, éventuellement, d’échanges culturels. On peut se mettre à rêver, qui sait ?! :p

    Et quelle blessure narcissique pour l’homme !



  • AstreLune AstreLune 29 octobre 2013 11:05

    « un livre écrit pour occidentaux. Pour leur faire croire qu’ils vont pouvoir revenir à la pointe comme avant. »

    C’est tout à fait ça.
    La carotte de la croissance qui fait avancer l’âne.

    J’aime bien ce genre de remarque lucide un peu caustique. <3

    Ce qui me fait un peu sourire avec ce genre de « théorie » c’est qu’on décrit une lacune systémique comme un cycle naturel.

    Il s’agit juste d’un hold up financier orchestré par quelques-uns et qui se répercute sur la population moyenne.

    Le truc, c’est qu’on s’dit toujours « Qu’on leur coupe la tête ! » alors que, en soi, si on est un tant soit peu honnête, on a aura beau couper des têtes et des têtes à l’hydre, il y aura toujours des intéressés à la succession au « pouvoir ».

    Révolution socio-culturelle, où es tu donc ?



  • AstreLune AstreLune 28 octobre 2013 10:49

    On est dans une société de travailleurs sans travail. Un stade où il semble exclu de concevoir une vie humaine libérée du travail.

    Classes sociales. Statut social. Réussite.

    Tous ces éléments remis en question du jour au lendemain...

    Tenter de remédier au chômage est un coup d’épée dans l’eau.

    Sans rire, ils auraient du travail chez pôle emploi si tout le monde se trouvait avoir un job ?
    Ne voyez-vous pas que par nature ce système a besoin d’exclus ?

    Ne voyez-vous pas que travail contre droit à la vie est une forme de violence aberrante et primitive ?

    Le truc, c’est que quand on avance un tel état de fait, on se fait incendier par les gens bien comme il faut. Les martyrs du travails qui scrutent l’horizon en attente de voir arriver Reconnaissance et Mérite.

    Le travail existera toujours, d’une certaine façon.
    Mais l’emploi, l’emploi ! Ce nécessaire statut social, dont on ne sait plus bien ce qu’il veut dire sinon qu’on en a besoin d’un à tout prix, pour être quelqu’un d’intègre.

    Vous parlez de raisonnement erroné ? Le vôtre l’est sans doute un peu lui aussi.
    Nous sommes à une époque de profonde remise en question. Et quand je lis un article comme celui-ci, je peux pas m’empêcher de dire que là, en l’occurrence, il y a du taf.

    On raisonne en circuit fermé. On n’arrive pas à admettre une autre perspective que ce qui fonctionnait. Mais les temps changent.

    La preuve de cette maladie, c’est qu’on salue le progrès technologique d’un part, et d’autre part on déplore le chômage qui en découle.

    Le tout Emploi. Economie monétaire.

    Deux facteurs de stagnation. Les agents du nouvel obscurantisme humain. Tout le monde sait qu’on fonce droit dans le mur, mais personne n’en démord.

    Le revenu du base inconditionnel est sans conteste une solution de transition nécessaire à cette nouvelle réalité.

    Le truc c’est que, la plupart des gens aujourd’hui, comme le rédacteur de cet article, ne cherchent pas plus de solutions réelles, quitte à perdre certains repères, qu’à damner et condamner des bourreaux-bouc émissaires.

    Les gens cherchent les têtes à couper. Les responsables de toute cette merde.

    Désolé, mais un moment donné, faut aussi savoir se regarder dans un miroir et comprendre que tout ceci découle des habitudes, conceptions et croyances de chacun.

    IL Y A DU TAF.



  • AstreLune AstreLune 25 octobre 2013 16:17

    La croisance ?

    Nan mais sérieux, quand est-ce qu’on arrêtera de fonctionner avec l’idéologie du cancer ?

    Gauche, droite. Nan franchement, vous y croyez encore ? Ouvrez les yeux.
    Un seul mot : pognon.

    De là vient qu’il n’existe aucune solution concrète à rien, tant ce paramètre est surestimé.

    Ce qu’il fait lui c’est pas bien. Faudrait plus de ça. Piquer de l’argent ici pour en mettre là.

    Que d’énergie dépensée et de belles paroles qui tournent en rond.

    On ne résout pas les problèmes d’un système par le même système de pensée.

    Sans rire, tout se casse la gueule. Pas que les entreprises française.
    On n’attend pas une réforme à la con dans le vent signée par ceux qui orchestrent ce joli bordel.

    On attend une révolution culturelle.



  • AstreLune AstreLune 24 octobre 2013 17:08

    Très bon article qui résume bien la situation d’une civilisation qui se voile la face.



  • AstreLune AstreLune 24 octobre 2013 16:28

    Je suis d’accord avec votre premier paragraphe, c’est pourquoi je me permets l’appuyer fortement.

    L’écologie, un parti politique ?

    Genre, pour résumer ; les fondements de la survie de l’espèce humaine, et même de toutes les autres, du vivant en somme, est réduit à une opinion parmi d’autres. Un parti politique quelconque. Du délire. Dans l’intérêt du consumérisme.

    Comme vous dites, c’est absurde. Chaque décision devrait s’accompagner d’une considération écologique. Et je dirais même plus : cela doit être une priorité. Peu importe quel empire on veut bâtir, tas de fous, ça doit reposer sur une terre saine. L’économie, tout ça, c’est parfaitement secondaire (n’en déplaise aux gens bien comme il faut).

    « Bonjour. J’émets l’opinion, que, éventuellement, j’aimerais ne pas mourir irradié par l’eau que je bois. »

    Absurde. Suicidaire.

    Où est passée la lucidité dans un monde qui rêve que rien ne change ?
    Faudrait songer à s’acclimater.

    Le truc c’est que, le parti écologique, plutôt que de proposer de véritables alternatives énergétiques (qui existent) se consacrent plutôt à punir les pollueurs qui prennent leur bagnole pour aller bosser.

    Créer des taxes sur tout. Un peu comme ces sacs plastiques devenus payants. Ouais, on l’sait tous, quand on pollue, faut rembourser la Terre, historie de réparer.



  • AstreLune AstreLune 24 octobre 2013 15:34

    Vous m’faites bien rire à couper les têtes de l’hydre. Le fond du problème est systémique. On résoudra rien au cas par cas. Faudrait la chute d’une culture entière, d’une civilisation, pour y remédier ! (rien qu’en disant ça je sens les moins. Tant pis je continue dans le politiquement incorrect. Ce que les gens ne veulent pas entendre).

    Un article qui commence sur ce bon vieux préjugé de base sur les fonctionnaires fainéants. Changez de disque. J’peux vous assurer que ça dépend des secteurs.

    De même que la sempirternelle réplique du « on vous paie avec nos impôts ! ».
    Nan mais réveillez-vous, les fonctionnaires aussi paient des impôts.

    Par ailleurs, avant de critiquer les enseignants, savez-vous véritablement en quoi consiste ce métier ? Assurément non, vous, ce qui vous importe, c’est de punir ceux-là qui ont plus de congé que vous.

    Certes, mais comprenez qu’ils se coltinent vos enfants cassos sur les bords, assassins ou suicidaires à leurs heures perdues, pour caricaturer le truc avec humour, des enfants à qui on n’a rien le droit de dire, puisqu’ils sont la merveille du monde aux yeux de leurs parents.

    Voir aussi : culte de l’égo.
    Voir aussi : égotisme transposé sur la descendance
    Voir aussi : apologie du succès socio-professionnel chez les obsédés de l’emploi

    La grève est un droit. Doit-on faire une atteinte aux droits pour les beaux yeux de l’économie ? Ha, comme ça commence à être de coutume, on s’y habitue. La thune avant tout ! Vous plaignez pas, vous avez un boulot. Et hop, on tire tout le monde vers le bas.

    Vous êtes récurer de chiottes et cireur de pompe à mi-temps gigolo, mais en CDI.
    Vous plaignez pas. Ne faites pas grève. J’veux dire, vous êtes quand même allongé 5h par jour sur un lit à vous faire trouer, sans rien faire, à attendre.

    Enfin et pour finir, tout ça, c’est une question de jalousie à deux balles. 
    Le privé ne respecte que le profit et fout l’homme, sa santé, sa dignité et tout ce qui va avec à la poubelle. De quoi vous plaignez-vous ? Ne vous a-t-on pas averti à la signature du contrat ? On fera de vous des machines, puisque pour préserver l’emploi de l’avancée technologique, l’homme doit se substituer à la machine, histoire d’éviter que l’inverse se produise.

    Faudrait arrêter avec la névrose obsessionnelle du travailliste. Faudrait arrêter l’apologie de l’employé martyr et l’interminable comparaison privé/public, car les objectifs ne sont pas les mêmes.

    Je ne cache pas avoir lu l’article en diagonale, tant il est toujours question des mêmes histoires. THUNE. THUNE’S EVERYWHERE.



  • AstreLune AstreLune 24 octobre 2013 11:25

    Monsieur.

    Vous dites que la géothermie ne peut pas remplacer le nucléaire.

    Vulagrisé, je dirais que le nucléaire consiste à faire chauffer de l’eau à l’aide de combustibles radioactifs en vue de faire tourner des turbines par le biais de la vapeur et ainsi générer de l’électricité.

    Corrigez-moi si je me trompe, et n’hésitez pas à compléter.

    Le truc, c’est que le centre de la Terre est une source inépuisable de chaleur et non polluante.

    Pour ma part, je pense réellement que la géothermie puisse remplacer le nucléaire, moyennant développement et perfectionnement des installations par le biais d’études approfondies (parce qu’on aime tuer les énergies propres dans l’œuf sous prétexte d’un manque de rentabilité (ah, économie monétaire chérie qui nous tuera tous !) alors qu’on ne prend pas la peine de les développer, comme l’industrie du multimédia ou du cosmétique par exemple, en moins d’un siècle).

    Pour ce qui est de la fracuration hydraulique, ne mélangez pas tout.
    La géothermie s’effectue au moyen d’un forage.

    Et le gaz de schiste a la propriété particulière de faire flamber l’eau de votre robinet, comme par magie.



  • AstreLune AstreLune 24 octobre 2013 11:09

    Je parie un salaire qu’il se transmutera en hippie pro greenpeace quand ça arrivera.



  • AstreLune AstreLune 24 octobre 2013 11:07

    Ne sont-ils pas mignons, n’est-ce pas, tous ces troll pro nucléaire qui utilisent l’Ad hominem pour détourner la conversation de son impact réel ?

    Bulmachin chose et compagnie.

    « Mais toi tu t’es vu zozo ? »

    L’argumentaire d’une pro-nucléaire se résume à « Mais si, croyez-y encore un peu, ça va fonctionner ! » pendant que tout pète autour.

    Pitoyable.



  • AstreLune AstreLune 22 août 2013 11:35

    Effectivement, ça reviendrait à faire un bon en arrière jusqu’aux années folles.

    La folie en moins.

    Vu que la société de consommation touche à sa fin et qu’il est exclu de continuer sur la lancée.

    C’est pas un choix politique que j’expose.

    C’est une suite logique : celle d’une planète aux ressources finies qui ne permettent pas de croissance infinie.

    Non, la croissance des années folles d’après-guerre ne reviendra pas !



  • AstreLune AstreLune 21 août 2013 11:52

    Le plus simple ?

    Est-ce si difficile d’admettre qu’une civilisation extérieure à la nôtre puisse venir nous visiter ?

    L’humanité est incapable d’admettre qu’une civilisation plus évoluée (au moins technologiquement) puisse nous visiter pour X raison ? Tant et si bien qu’elle ne peut concevoir la vie ailleurs qu’au niveau bactérien ?

    Je prédis : la prochaine blessure narcissique de l’humanité.

    C’est curieux comme, avant un avénement majeur, les réfractaires sont toujours aussi nombreux.

    « Le propre de l’imbécile est justement de croire impossible ce qui dépasse son entendement ». Euh. Farengar

    Arrêtons de confondre incroyable avec impossible.

    Il faut se rappeler qu’on ne perçoit ces phénomènes que d’un point de vue anthropocentriste. On cherche de la vie dans l’Univers, et plus spécifiquement une trace de civilisation avec le programme SETI, en essayant de capter des ondes radio éventuelles. Hé quoi ? Qui vous dit que sur Vulcain on écoute la radio ? Anthropocentriste, je vous dis.



  • AstreLune AstreLune 21 août 2013 09:52

    Nan mais, Christian Laburne, permets-moi de te remettre un peu au goût du jour.

    Les types dans ton genre qui font de la dérision en pensant s’attirer l’hilarité de ses pairs, c’est du passé et du trépassé. J’veux dire, stop, ça prend plus. Vous prêchez à des convaincus de la version officielle. Et c’est tout.

    « HEU HEU HEU LES P’TITS HOMMES VERTS » et tout, le genre de trlalala qu’on peut entendre depuis les années 70 d’un gars qui connaît le phénomène OVNI qu’au travers du cinéma. Genre Mars Attack.

    On vous appelle les « débunkers ».

    Ceux qui se permettent de tourner en ridicule un sujet dont l’existence n’est plus à prouver tant et si bien que les gouvernements eux-même sont forcés de reconnaître le phénomène OVNI officiellement, même s’ils prennent soin de ne pas l’apparenter à un phénomène extraterrestre : voir le rapport COMETA (c’est toujours mieux qu’INDEPENDANCE DAY ou LA GUERRE DES MONDES ou E.T, mon ange)

    Ce qui manque à l’étude de ce phénomène ? Des scientifiques qui n’ont pas peur de bafouer leur réputation de manière irréversible. Parce que, avoir les couilles d’étudier le phénomène OVNI, c’est un petit peu une mort socio-professionnelle dans le milieu scientifique.

    Comme un viol sournois de l’âme, vos semblables sont condamnés à considérer que ce que le cinéma nous montre ne peut pas exister dans la réalité véritable.

    « Nan nan, j’ai déjà vu ça dans un film dans science-fiction. Alors probablement, c’est faux. »

    C’est assez magique ce genre de personne :

    « Je crois ce que je vois, on m’la fait pas ».

    « Ce sont probablement des hallucinations, on m’la fait pas ».

    J’adore.



  • AstreLune AstreLune 20 août 2013 16:55

    C’est un p’tit peu pitoyable ces histoires de « c’est lui qu’a commencé », il serait peut-être temps de passer outre ce genre de choses.

    A se perdre dans le passé on nie le présent.



  • AstreLune AstreLune 14 août 2013 14:22

    Ne vous perdez pas dans un manichéisme de base...

    Personne ne défend les dérives extrémistes, quelles que soient leur bord.

    Critiquer l’un ne veut pas dire qu’on adhère à l’autre. Il faudrait cesser cet automatisme erroné de la pensée.

    L’horreur ne doit pas nous faire perdre toute forme d’esprit critique.
    Parce qu’on appelle ça « la stratégie du choc », et c’est une technique de manipulation, n’en déplaise à beaucoup.

    Aujourd’hui, on concède tout aux états-unis en faveur de la sacro-sainte lutte contre le terrorisme en contrées lointaines, qui justifie tout et n’importe quoi.

    Il n’est pas question de cautionner un « camp » plutôt qu’un autre, on n’est pas au stade de France, on n’est pas des supporters, et je prie d’ailleurs pour que nul ne le fasse. Il s’agit de dénoncer des dérives humaines d’ordre général.

    Il est temps d’acquérir une certaine maturité d’analyse. Il n’y a ni gentils ni méchants dans l’histoire. Que des intérêts divergeants.

    Pendant que deux « camps » s’entredéchirent, des types dans l’ombre se frottent les mains en pensant au « business de la guerre », bien à l’abri des foudres du peuple.

    Comme dit dans l’article, on ne cesse d’engager des gens dans des luttes stériles au nom de sentiments d’appartenance communautariste (pourtant, être né quelque part pour celui qui est né, c’est toujours un hasard. Trop de gens l’oublient), et cela dans le seul but de les maintenir occupés par une pseudo-lutte, pendant qu’on nous glisse discretos une quenelle.

    Tout ça parce que.. Le fric.