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Les commentaires de Elisabeth P



  • Elisabeth P Elisabeth Piotelat 17 décembre 2008 10:49

    Bravo et merci pour cet article. Dans certains pays, il faut plus de courage que dans d’autres pour faire du journalisme. Grâce à internet, et aux personnes comme vous qui osent montrer la Lune du doigt, on connaîtra peut-être un jour la vérité sur Norbert Zongo. 

    C’est chouette qu’il y ait déjà eu près de 1400 signatures pour la pétition :
    http://www.lapetition.be/en-ligne/justice-pour-norbert-zongo-3229.html

    @l’auteur : avez-vous eu des nouvelles des membres du collectifs arrêtés pour avoir collé un autocollant dans une rue ? 



  • Elisabeth P Elisabeth Piotelat 26 novembre 2008 15:59

    Je suis une ménagère de moins de 50 ans. La crise, c’est donc de ma faute ? 

    Cela dit, je ne regarde pas la TV, sauf "debout les zouzous" car il n’y a pas de publicité. 

    J’hésite à acheter un lecteur DVD Blue Ray... mais je n’ai pas compris à quoi cela peut me servir vu que ma TV n’est pas HD ("Petite princesse" a-t-elle besoin de la HD ?)



  • Elisabeth P Elisabeth Piotelat 21 novembre 2008 14:04

    Utiliser le web 2.0, c’est faire confiance à de grosses structures que vous ne contrôlez pas.

    Vous rentrez des informations personnelles dans des bases de données en ignorant dans quel pays elles se trouvent physiquement, et donc à quelle législation elles répondent.
    En acceptant les conditions d’utilisations (sans toujours les lire), vous confiez des données sans savoir l’utilisation qui peut en être faite par autruit, et sans aucune garantie de service.

    Certes, il est plus facile de faire confiance à Google qu’à une équipe de quelques informaticiens, mais c’est sans doute plus rassurant de savoir que votre fichier est sauvegardé sur un disque dans la salle à côté plutôt que sur un serveur quelque part aux Etats-Unis. Si vous envoyez un message électronique confidentiel, c’est aussi bien qu’il ne fasse pas le tour du monde avant d’arriver dans le bureau en face du vôtre. 

    Démocratie ? Ce n’est pas parce qu’ils sont nombreux à se tromper qu’ils ont raison... Par exemple, ce sont rarement des chercheurs en physique ou astronomie, qui publient sur Wikipédia, mais des passionnés de science (et d’informatique). L’information n’est en général pas fausse, mais partielle, c’est une sorte de consensus sur ce qu’il faut retenir, ou du moins, sur ce qu’ont retenu les gens qui s’intéressent à tel sujet. 



  • Elisabeth P Elisabeth Piotelat 22 octobre 2008 23:04

    @auteur
    Pourquoi ne vous êtes-vous pas présenté pour être parent d’élève délégué ? Vous pouvez le faire en tant qu’indépendant, ou faire partie d’une association nationale. 

    Je me rappelle m’être ennuyée beaucoup au collège, mais avoir adoré le lycée. En troisième, j’ai appris le morse pour pouvoir communiquer avec ma voisine sur la marge des cahiers... et j’ai participé à mon premier concours de nouvelles. Il y a aussi une vie et un apprentissage en dehors de l’école.

    Aux enseignants : courage !
    En tant que parent d’élève, j’étais à la manif dimanche. Je ne comprends pas que l’on supprime les postes RASED (voir mon blog). 
    Je comprends la morisité ambiante (4 suiccides d’enseignants depuis le début de l’année, si c’était chez Renault, on en parlerait...) et quand on lit les programmes officiels en primaire, ça donne pas envie de sourire, sauf quand on voit que notre ministre n’est pas capable de faire une règle de trois



  • Elisabeth P Elisabeth Piotelat 22 octobre 2008 14:25

    On voit passer plein de jeunes chercheurs dans les laboratoires. Ils ont 30 ans, un doctorat... Ils sont enchantés de participer à un projet de recherche sur contrat.
    A la fin du CDD, ils partent sans dire au-revoir, en gardant contact avec leur équipe de recherche à cause de la dernière publication qu’ils viennent de soumettre. 
    Ils s’inscrivent à l’ANPE qui ne sait pas conseiller des jeunes plus tellement jeunes avec un BAC+8. Un beau gâchis... 



  • Elisabeth P Elisabeth Piotelat 10 octobre 2008 13:28

    Le gouvernement annonce la suppression de 3 000 postes Rased au budget 2009 comme conséquence de la mise en place des 60 heures "d’aide personnalisée".

    RASED signifie "Réseaux d’Aides Spécialisées aux Elèves en Difficulté". Ce sont des enseignants spécialisés (psychologie, pédagogie) qui interviennent dans les classes dès la maternelle pour prendre en charge de petits groupes d’élèves (4/5) en échec scolaire.

    Cet article montre très bien l’intérêt d’avoir des psychologues dans les établissements scolaires. Julien aurait pu bénéficier d’une aide personnalisée de 2h par semaine avec un enseignant, ça n’aurait rien changé. 



  • Elisabeth P Elisabeth Piotelat 1er octobre 2008 09:40

    Merci pour les renseignements. 
    L’extincteur ne peut être utile qu’au départ du sinistre. J’ai l’impression que dans ce cas, plusieurs classes de feu se sont combinées : feu sec (fer à repasser) ou liquide (huile) au départ... qui atteint le système électrique entre étages (hypothèse de la friteuse), et déclenche une explosion de gaz à l’étage au-dessus...

    Où placer les DAAF ? Dans le hall d’entrée (au cas où la fumée vienne de l’appartement voisin) ? Près des ouvertures (balcon, fenêtre) ?
    Comme il faisait beau, beaucoup de fenêtres étaient ouvertes, ce qui a créé des appels d’air. Les gens qui habitent dans les étages supérieurs ont dû voir la fumée arriver par l’extérieur. L’information dont ils auraient besoin est de savoir si les parties communes (couloirs, escaliers) sont utilisables ou non.

    J’ai déposé des vidéos sur ce site et d’autres images sur mon blog. J’ai noté l’heure donnée par l’appareil photo. Tout va vraiment très vite. 



  • Elisabeth P Elisabeth Piotelat 30 septembre 2008 13:16

    On a eu des notices l’année dernière. S’il y a de la fumée dans le couloir, mouiller la porte d’entrée, réfugiez-vous sur le balcon... Apparement, ce n’est pas ce qu’il fallait faire dans ce cas.
    Pour ce qui est de l’écrit, il ne fait pas partie de la culture d’une grande partie de la population ulissienne. C’est-à-dire qu’une notice terminera vite sa vie à la poubelle, alors que les gens se souviendront d’une information donnée oralement. 

    Dimanche dernier, il n’y a pas eu de victimes. Plusieurs appartements (7 ou 8) ont été détruits, d’autres inondés. 

    Plusieurs rumeurs circulent sur l’origine de l’incendie (fer à repasser oublié pendant que les occupants étaient à la messe, chute de friteuse). Une enquête est en cours. 



  • Elisabeth P Elisabeth Piotelat 24 septembre 2008 22:40

    Essayez de trouver dans les documents que vous mentionnez des mots comme "ascension droite", "déclinaison" qui servent à n’importe quel astronome à localiser une étoile.

    Même les objets volants identifiés (par exemple la station spatiale) ont des trajectoires décrites par rapport aux constellations.

    Un pilote vous dira qu’il a vu un objet à 10 heures alors qu’il volait dans la direction Paris-Dijon. Il ne vous dira jamais que l’objet est apparu à 5 degrés de Véga pour disparaître au niveau de Bételgeuse... Il le situe dans son repère à lui (l’avion) et non dans un repère terrestre ou dans une carte du ciel... Ce qui ne facilite pas les choses. 



  • Elisabeth P Elisabeth Piotelat 23 septembre 2008 23:02

    Vous faisiez quoi hier à la même heure ? 
    Et le mois dernier ? 
    Et il y a un an ? 

    Si vous étiez en train de taper un commentaire sur Agoravox, vous pouvez retrouver l’information. Vous avez une trace technique, une preuve scientifique. 

    Si vous avez vécu quelque chose sortant de l’ordinaire, vous pouvez vous fier au récit que vous avez pu écrire sur votre blog... Et encore, la vision que vous en avez aujourd’hui n’est sans doute pas celle que vous en aviez au moment des faits. Pour ma part, avec ma formation scientifique je suis incapable de porter un jugement c’est vrai-c’est faux sur un tel écrit. Un psychologue le pourrait peut-être... 

    Si vous n’avez que votre mémoire pour décrire ce que vous faisiez hier, le 23 aôut ou le 23 septembre 2007, c’est beaucoup plus difficile à analyser

    L’ufologie apporte en général une somme de témoignages. Les personnes qui s’intéressent à SETI ne sont pas à l’aise avec ça (c’est franchement mon cas). Si quelqu’un m’envoie un email en me disant J’ai vu ça, je ne sais pas ce que c’est... à la limite, je veux bien rechercher quel objet astronomique se trouvait dans telle région (et encore, c’est souvent assez difficile de localiser ce que décrivent les témoins : A quelle heure ? Où dans le ciel ?). Si je ne sais pas... je réponds que je ne sais pas... 

    Mais en général si quelqu’un m’envoie un email disant J’ai vu un OVNI... Je jette à la poubelle, ne serait-ce parce que je n’ai pas la formation nécessaire pour analyser ce genre de croyance. 



  • Elisabeth P Elisabeth Piotelat 23 septembre 2008 22:38

    "La meilleure preuve qu’il existe des être très intelligents dans l’univers, c’est qu’ils ne nous ont pas contacté" (dixit Calvin et Hobbes... dans une forêt où l’on voit des tas de déchets au milieux des arbres). 

    L’idée d’utiliser les ondes radio vient de la découverte de la radioastronomie. Les étoiles émettent des signaux à certaines longeurs d’onde... Toute civilisation observant le ciel devrait a priori découvrir cela (pour nous c’était en 1933) et donc concevoir des appareils pour "écouter" le ciel (même si le terme écouter n’est pas forcément le plus approprié).
     
    Il existe des projets OSETI (pour SETI Optique) qui recherchent des pulses lasers. 

    Mais vous avez raison... on a encore d’autres voix à explorer... 



  • Elisabeth P Elisabeth Piotelat 22 septembre 2008 22:06

    J’ai un peu de mal avec le rapport Cometa smiley Un dossier signé par quelques militaires, certes ça en jette... Des témoignages de pilotes, mais bon... L’ET de Roswell évoqué sérieusement dès le début. Ca fait pas très sérieux. Il a été publié par VSD. Je crois qu’il ne vaut pas mieux qu’un tabloïd. 

    Je veux bien qu’il y ait des gens qui aient vu un truc dans le ciel et qu’ils ne sachent pas l’expliquer. C’est tout à fait légitime de se poser des questions et de dire "je ne sais pas ce que c’est". Mais de là à apporter une réponse sans la moindre preuve, je n’en vois pas l’intérêt. Les déclarations des astronautes, c’est aussi un témoignage humain... Franchement ça ne permet pas d’avancer. C’est certes du domaine des sciences sociales, et sans doute cela vaudrait-il le coup de mener une étude approfondie. Jusqu’à présent, je crois par exemple que l’on a mis sur le compte de l’épylepsie du lobe temporal tous les témoignages de personnes qui disent avoir été enlevées. 

    C’est pas parce qu’une personne a fait des études, quelle est bardée de diplômes ou d’exploits militaires, qu’il faut prendre pour parole d’évangile tout ce qu’elle dit.... surtout avec le recul (vous faisiez quoi à la même heure il y a un an ?)



  • Elisabeth P Elisabeth Piotelat 22 septembre 2008 20:51

    Sans SETI@HOME... BOINC n’existerait pas.
    Lorsque l’idée de partager le calcul pour SETI a été mise en place en 1999 via le logiciel SETI@HOME. Le projet, mené par une équipe de 6 personnes à l’Université de Berkeley, devait durer 2 ans... Il continue aujourd’hui.
    Il s’est développé. Le logiciel s’appelle BOINC et permet par exemple de contribuer aux calculs pour la prédiction du climat ou la lutte contre le palludisme. 
    Même si SETI ne trouve jamais rien, c’est quand même chouette de penser qu’indirectement la technologie mise en place pour cette recherche aura contribué à d’autres avancées. 



  • Elisabeth P Elisabeth Piotelat 5 octobre 2006 10:51

    Cher Marc ou Emile, ou les deux...

    Nous sommes tous aveuglés par les clichés de la boîte à décerveler. Un sans papier, ce n’est pas quelqu’un qui loge dans un gymnase ou une église, ce n’est pas forcément un pauvre non plus. Avec cette histoire, j’ai découvert que ça pouvait être une femme qui me salue tous les jours, qui loge dans le même type d’appartement que moi, qui me ressemble en tous points si ce n’est qu’elle n’est pas née au même endroit que moi.

    Je n’appartiens à aucun parti politique et ne souhaite pas être enfermée sous une étiquette. J’ai un peu tendance à voir les choses depuis Sirius -on ne se refait pas-. J’ai été étrangère pendant une année en travaillant en Belgique flamande et c’était dur de voir le mépris constant des gens autour de moi pour la langue française. Nous sommes tous des étrangers... sauf dans une toute petite partie de la planète.

    Dans cette histoire, il est question d’enfants de 4 et 5 ans. Pourquoi y mettre de la religion ? Coluche ne disait-il pas que la différence entre Dieu et le Père-Noël, c’est que le Père-Noël, c’est vrai ?



  • Elisabeth P Elisabeth Piotelat 4 octobre 2006 12:16

     smiley Oups... Je me suis trompée... Quand je vous disais que je n’étais pas journaliste.

    D’après les milieux associatifs et les élus ulissiens qui ont mené l’enquête... Les deux petites filles n’étaient pas à l’école mais déjà à l’aéroport. Les deux hommes en civil ne sont donc venus qu’informer la directrice.

    Pensée ? Vérité ? Pécheresse, vous avez vu juste.

    Pour ce qui est du personnage, un auteur de science-fiction, Emmanuel Jouanne, a écrit : « On ne vit que costumé, masqué, muni d’un texte écrit d’avance. Le tout est de s’en apercevoir et d’en user ».



  • Elisabeth P Elisabeth Piotelat 3 octobre 2006 17:13

    Humanisme à 2 balles, mièvrerie... Quand on part sur des attaques personnelles, c’est que l’on a rien à redire au reste... Faut voir le bon côté des choses... Ce texte n’a pas pour vocation d’être une oeuvre littéraire. Je ne suis pas journaliste non plus. Je l’ai rédigé pour moi-même.

    16h30 ? C’est une bonne question... Je me demandais pourquoi j’avais passé mon samedi après-midi à préparer une conférence et ouvert mon ordinateur dimanche soir pour résoudre les problèmes de mail d’un de mes collègues. Mais bon, on sort du sujet.



  • Elisabeth P Elisabeth Piotelat 3 octobre 2006 14:07

    Certes on applique la loi... avec laquelle on est d’accord ou pas... c’est un premier point sur lequel chacun a son avis. Peut-être ont-ils accepté de partir contre de l’argent ? Je ne connais pas le côté juridique de cette affaire. Le père lui est en règle.

    Mais quelle loi dit que l’école est un lieu de rétention, une zône de garde à vue pour enfants, une espèce de piège diabolique où les parents déposent leur progéniture pour les intégrer à la société française parce que cette même loi exige un bulletin de scolarité, mais qui se referme sur eux car les forces de l’ordre l’utilisent pour localiser les enfants avant de les expulser ?