Merci pour ces rappels, sachant que la technicité des procédures rendent opaques ces magouilles au citoyen laborieux. Mais vous avez, me semble-t-il, bien résumé la situation.
Sans doute le livre de Rougeyron apporte-t-il des précisions à ce sujet également.
Hector a raison : Giscard, le « grand économiste », n’avait pas prévu cette dérive ? Il ferait mieux d’être moins suffisant quand il ose encore se présenter aux citoyens !
Continuons la réfinformation.
Merci Taverne.
Je vais voir et aussi écouter.
Bonne soirée
Merci Uleski pour ces éclairages. C’est toujours un plaisir de vous lire. Je ne connaissais pas madame Bernard. Je ne lui jette pas la pierre : c’est très sacrificiel d’être un résistant, et il me semble qu’elle cherche plutôt à faire carrière. Il faut reconnaître que Etienne, c’est du lourd : il indique un des piliers de la fabrication du Système. Les gardiens ne peuvent laisser passer une telle lucidité.
Merci pour ces rappels : j’adore Monteverdi et Janequin. Vous honorer AgoraVox avec vos articles et vous nous apprenez bien des choses sur ces références incontournables.
Quelques mots avant de passer à
autre chose. Merci pour ces échanges
instructifs. A contrecœur, j’utilise un pseudo car le bon sens est la chose du
monde la moins partagée et pour d’autres raisons.
Je pense que ceux qui écoutent AS cherchent des réponses et en trouvent. AS vient d’expliquer sur ER les circonstances de l’histoire récente qui a pu troubler certaines personnes. Regardons-le jusqu’au bout : exercice louable de sincérité et de transparence. On n’apprend d’ailleurs rien de vraiment nouveau.
Il rappelle que la façon de réagir à cet épisode privé manifeste la mainmise des grilles anglo-saxonnes néo-protestantes dans l’esprit des français. Pourquoi s’en étonner ? Combien sommes-nous en effet à avoir été gavés depuis notre enfance par des séries américaines ?
De plus, la façon de réagir à ce genre d’épisode semble manifester que le système fabrique efficacement des schizophrènes. Les mêmes qui étaient prêts à revoter socialistes (ou UMP et tous les autres partis établis), comme ils le font depuis qu’ils ont 18 ans, autrement dit pour les partis qui ont soutenu DSK jusqu’à l’obscénité, se donnent bonne conscience en médisant (ou calomniant) le grand méchant Soral.
Soral apporte un décryptage réaliste, objectif et « sourcé »,
sur les arcanes des pouvoirs parisiens. Une réinformation libérante. L’idolâtrie
des élites marchent bien : est-ce cela la démocratie exemplaire française ?
Par tous ces montages diffamatoires, Soral paient ses analyses décomplexées de
ces tartuffes car il commence à avoir une audience politique efficace, c’est-à-dire
qui touche un grand nombre. Avec RecNat en perspective.
C’est ça la démocratie : on échange des analyses sans se soumettre aveuglément à des gens qui prétendent penser à votre place. En outre, il y a là, peut-être, un malentendu : doit-on attendre un messie en politique ? Ne sommes-nous pas plutôt là dans un registre religieux ? Il ne faut pas attendre un renouvellement de la face de la terre de la part d’un être humain par définition perfectible. Il ne prétend pas avoir raison sur tout mais il dit se tromper peut-être moins souvent que les autres. Mais chacun apporte sa part de souffrance, d’engagement, de sacrifice à dévoiler quelques vérités salutaires.
Mais sans doute faut-il avoir un peu lu, n’être pas trop myope, et avoir encore un peu le sens de la grandeur d’âme, pour rendre à Soral ce qui revient à Soral (si on me permet cette expression un peu audacieuse).
Je suis nouveau sur Agora Vox, site qui m’apporte beaucoup, mais je dois reconnaître que certains intervenants font preuve d’un manque de jugement très étrange. J’ai repéré au moins deux « flameurs » qui empêchent la réflexion : Robert Gil et Sampiero. Bon, Massada, c’est autre chose mais il a le mérite d’annoncer la bannière.
La grande victoire de la sophistique actuelle, c’est d’éluder le terrain de l’argumentation rationnelle et objective pour personnaliser tout discours en fonction de ses critères émotionnels. Nous sommes dans le combat des représentations : à chacun de faire un travail objectif pour avoir les bonnes définitions du réel et non pas se laisser mener par les sophismes mainstream.
Quelques mots avant de passer à
autre chose. Merci pour ces échanges
instructifs. A contrecœur, j’utilise un pseudo car le bon sens est la chose du
monde la moins partagée et pour d’autres raisons.
Je pense que ceux qui écoutent AS cherchent des réponses et en trouvent. AS vient d’expliquer sur ER les circonstances de l’histoire récente qui a pu troubler certaines personnes. Regardons-le jusqu’au bout : exercice louable de sincérité et de transparence. On n’apprend d’ailleurs rien de vraiment nouveau.
Il rappelle que la façon de réagir à cet épisode privé manifeste la mainmise des grilles anglo-saxonnes néo-protestantes dans l’esprit des français. Pourquoi s’en étonner ? Combien sommes-nous en effet à avoir été gavés depuis notre enfance par des séries américaines ?
De plus, la façon de réagir à ce genre d’épisode semble manifester que le système fabrique efficacement des schizophrènes. Les mêmes qui étaient prêts à revoter socialistes (ou UMP et tous les autres partis établis), comme ils le font depuis qu’ils ont 18 ans, autrement dit pour les partis qui ont soutenu DSK jusqu’à l’obscénité, se donnent bonne conscience en médisant (ou calomniant) le grand méchant Soral.
Soral apporte un décryptage réaliste, objectif et « sourcé »,
sur les arcanes des pouvoirs parisiens. Une réinformation libérante. L’idolâtrie
des élites marchent bien : est-ce cela la démocratie exemplaire française ?
Par tous ces montages diffamatoires, Soral paient ses analyses décomplexées de
ces tartuffes car il commence à avoir une audience politique efficace, c’est-à-dire
qui touche un grand nombre. Avec RecNat en perspective.
C’est ça la démocratie : on échange des analyses sans se soumettre aveuglément à des gens qui prétendent penser à votre place. En outre, il y a là, peut-être, un malentendu : doit-on attendre un messie en politique ? Ne sommes-nous pas plutôt là dans un registre religieux ? Il ne faut pas attendre un renouvellement de la face de la terre de la part d’un être humain par définition perfectible. Il ne prétend pas avoir raison sur tout mais il dit se tromper peut-être moins souvent que les autres. Mais chacun apporte sa part de souffrance, d’engagement, de sacrifice à dévoiler quelques vérités salutaires.
Mais sans doute faut-il avoir un peu lu, n’être pas trop myope, et avoir encore un peu le sens de la grandeur d’âme, pour rendre à Soral ce qui revient à Soral (si on me permet cette expression un peu audacieuse).
Je suis nouveau sur Agora Vox, site qui m’apporte beaucoup, mais je dois reconnaître que certains intervenants font preuve d’un manque de jugement très étrange. J’ai repéré au moins deux « flameurs » qui empêchent la réflexion : Robert Gil et Sampiero. Bon, Massada, c’est autre chose mais il a le mérite d’annoncer la bannière.
La grande victoire de la sophistique actuelle, c’est d’éluder le terrain de l’argumentation rationnelle et objective pour personnaliser tout discours en fonction de ses critères émotionnels. Nous sommes dans le combat des représentations : à chacun de faire un travail objectif pour avoir les bonnes définitions du réel et non pas se laisser mener par les sophismes mainstream.
Merci pour ces rappels salutaires.
J’ai lu récemment « Impostures Intellectuelles » de Sokal et Bricquemont : comment l’idolâtrie « scientifique » en vient à légitimer n’importe quel discours délirant à partir du moment où il est relativiste.
Mais un autre livre plus récent rejoint vos réflexions : « Gouverner par le Chaos » aux Editions Max Milo où l’auteur nous évoque le livre de Klemperer sur la Novlang nazie.
Merci de rappeler le travail de la Fondation Lejeune, en complémentarité avec l’Alliance Vita.
Quelques mots avant de passer à
autre chose. Merci pour ces échanges
instructifs. A contrecœur, j’utilise un pseudo car le bon sens est la chose du
monde la moins partagée et pour d’autres raisons.
Je pense que ceux qui écoutent AS cherchent des réponses et en trouvent. AS vient d’expliquer sur ER les circonstances de l’histoire récente qui a pu troubler certaines personnes. Regardons-le jusqu’au bout : exercice louable de sincérité et de transparence. On n’apprend d’ailleurs rien de vraiment nouveau.
Il rappelle que la façon de réagir à cet épisode privé manifeste la mainmise des grilles anglo-saxonnes néo-protestantes dans l’esprit des français. Pourquoi s’en étonner ? Combien sommes-nous en effet à avoir été gavés depuis notre enfance par des séries américaines ?
De plus, la façon de réagir à ce genre d’épisode semble manifester que le système fabrique efficacement des schizophrènes. Les mêmes qui étaient prêts à revoter socialistes (ou UMP et tous les autres partis établis), comme ils le font depuis qu’ils ont 18 ans, autrement dit pour les partis qui ont soutenu DSK jusqu’à l’obscénité, se donnent bonne conscience en médisant (ou calomniant) le grand méchant Soral.
Soral apporte un décryptage réaliste, objectif et « sourcé »,
sur les arcanes des pouvoirs parisiens. Une réinformation libérante. L’idolâtrie
des élites marchent bien : est-ce cela la démocratie exemplaire française ?
Par tous ces montages diffamatoires, Soral paient ses analyses décomplexées de
ces tartuffes car il commence à avoir une audience politique efficace, c’est-à-dire
qui touche un grand nombre. Avec RecNat en perspective.
C’est ça la démocratie : on échange des analyses sans se soumettre aveuglément à des gens qui prétendent penser à votre place. En outre, il y a là, peut-être, un malentendu : doit-on attendre un messie en politique ? Ne sommes-nous pas plutôt là dans un registre religieux ? Il ne faut pas attendre un renouvellement de la face de la terre de la part d’un être humain par définition perfectible. Il ne prétend pas avoir raison sur tout mais il dit se tromper peut-être moins souvent que les autres. Mais chacun apporte sa part de souffrance, d’engagement, de sacrifice à dévoiler quelques vérités salutaires.
Mais sans doute faut-il avoir un peu lu, n’être pas trop myope, et avoir encore un peu le sens de la grandeur d’âme, pour rendre à Soral ce qui revient à Soral (si on me permet cette expression un peu audacieuse).
Je suis nouveau sur Agora Vox, site qui m’apporte beaucoup, mais je dois reconnaître que certains intervenants font preuve d’un manque de jugement très étrange. J’ai repéré au moins deux « flameurs » qui empêchent la réflexion : Robert Gil et Sampiero. Bon, Massada, c’est autre chose mais il a le mérite d’annoncer la bannière.
La grande victoire de la sophistique actuelle, c’est d’éluder le terrain de l’argumentation rationnelle et objective pour personnaliser tout discours en fonction de ses critères émotionnels. Nous sommes dans le combat des représentations : à chacun de faire un travail objectif pour avoir les bonnes définitions du réel et non pas se laisser mener par les sophismes mainstream.
Non, Agor, il fait le boulot : clerc de l’ordre établi à temps plein (sans doute retraité type soixantehuitard).
« Le flaming n’a jamais pour but d’être
constructif, d’éclaircir une situation ou de convaincre quelqu’un. La
motivation du flaming n’est pas
dialectique mais plutôt sociale ou psychologique. Les « flameurs »
essayent de s’imposer par la force, l’intimidation, la dissuasion ou la
persuasion plutôt que par la discussion. » (http://fr.wikipedia.org/wiki/Flaming_%28informatique%29)
Pour ceux qui voudraient mieux connaître Soral, le grand méchant :
https://www.youtube.com/watch?v=t5KfqGYyhNI#t=1145
Pour ceux qui veulent en savoir plus sur le soldat Soral, le grand méchant :
https://www.youtube.com/watch?v=t5KfqGYyhNI#t=1145
212 réactions ! Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il donne à penser !
Il faut sauver le soldat Soral.
On demandait à Aristote ce qui vieillissait le plus, vite. Il répondit : la reconnaissance. (Diogène –Laërce).
Je suis né au commencement de l’incarnation sociale des idéaux de 68 : individualisme,
pansexualisme, féminisme agressif, recul de la culture, « superficialisation » des relations, dé-cérébralisation, perte du
jugement, avec sa cohorte de régressions,
bref, le tsunami libéral-libertaire. Je n’ai jamais rencontré l’homme mais je l’écoute volontiers depuis une dizaine d’années. Quoiqu’on pense parfois de la forme
- vous savez que certains refusent de l’écouter parce qu’il ne porte
pas de chemise bleue bien repassée ? – on n’imagine pas le bien qu’a
fait et va encore faire Alain Soral à ma génération. Il appelle auge une
auge, ce qui n’est pas pour me déplaire car seule la vérité libère.
Son discours - parfois agressif, c’est vrai, mais sans doute adapté aux circonstances - renverse les idoles médiatiques qui tiennent le peuple sous leur domination efficace et permanente. Il décortique les arcanes de la sophistique, un des piliers du mécanisme de domination actuel, en précisant qu’une certaine communauté regorge de professionnels de la chose.
Alain Soral est à mon sens le meilleur analyste de la situation
actuelle en France et du discernement des causes de l’avilissement de
notre peuple, particulièrement de sa jeunesse. Ses interventions sont de
plus en plus aiguisées et éclairantes. Oh ! je ne
le rejoins pas toujours mais l’échange d’idées n’a pas pour but la
relation fusionnelle. Il fait de la réinformation.
Il me semble qu’il faut rendre à chacun ce qui lui est dû : les
« narcisses du net », devant leurs claviers, aiment à se venger
lâchement par des pseudo-analyses rationnelles qui cachent surtout du
déni. C’est là se montrer ingrat envers quelqu’un qui « fait le boulot »
en première ligne, et en prenant des risques tout de même. Et pourquoi fait-il mouche ? Parce qu’il ne cache pas ses défauts ! Il a fait le choix de parler en
vérité, sans diplomatie : c’est toute la différence avec nos clercs
établis empêtrés dans leurs calculs. Ecoutez-le bien : il ne prétends avoir raison sur tout mais il pense se tromper moins souvent que les autres sur bien des sujets.
Par pitié, j’espère que le lit de Procuste anglo-saxon n’a pas complètement transformé notre peuple en puritains décérébrés.
Merci soldat Soral de vous être engagé dans ce bon combat contre
l’avilissement organisé. Bon ! Mets-y parfois les formes, ça passera
mieux. Mais quand on considère le nombre de coups reçus, on peut comprendre certaines sautes d’humeur.
Oui, Luc-Laurent : nous vivons la subjectivisation des discours. On ne saisit plus les arguments, que, de toute façon, on a tendance à relativiser, et l’orateur devient le seul critère d’évaluation. Ce qui revient d’une certaine façon à « sentimentaliser » tous les échanges. D’où l’intérêt de la sophistique.
Cela me rappelle le conseil d’un maître médiéval à ses étudiants : « Ne regardez pas à celui qui parle, mais tout ce que vous entendez de bon, confiez-le à votre mémoire »
Peut-on résumer ce qu’a apporté Soral à ces 58 minutes ? Un peu de bon sens.
C’est le propre du barbare de détruire ce qu’il ne peut comprendre. Arthur C. Clarke
Oui, sa soeur le prend pour un malade mental : lui ne répond pas mais entretient le lien familial et reconnaît son mérite dans sa carrière professionnelle, étant partie de rien. Entretien philosophique, je sais pas : c’est vrai cependant que dans « Un moment d’égarement » (1977), elle fait preuve d’une lucidité conceptuelle à couper le souffle.
Bonsoir,
J’ai écrit mon article avant de lire le vôtre : merci pour cet hommage lucide que j’aurais voulu écrire (sans les références à Girard qui le rendent à mon goût trop hermétique).
Je suis d’accord avec vous : c’est un feu d’artifice continu depuis des années. Comme vous, j’étais diplômé mais aveugle sur les causes et les maîtres du système (bien que confusément conscient de la maniplutaion et initié quelque peu par des résistants traditionnalistes). Se fermer aux analyses de Soral à cause de sa personnalité est le fruit du subjectivisme actuel : on n’écoute plus les raison objectives mais on cherche ce qui nous plaît dans l’orateur. Il nous aide à comprendre l’Empire : merci l’homme libre ! Selon moi, il n’y a pas photo. Prenez la plupart des évêques français : ont-ils la même hargne pour dénoncer la déconstruction actuelle ? J’attends les futures déclarations de la CEF : peut-être condamneront-ils Soral comme ils se sont retrouvés amis avec Valls pour invectiver Dieudonné.
Il y a de très bonnes choses dans sa déclaration.
Il n’ignore pas que ces institutions européennes établissent parfois des règles « complètement nuisibles » habillées de « techniques bureaucratiques ». Il constate que de nos jours le discours politique élude les questions de fonds qui orienteraient les débats autour de « l’authentique orientation anthropologique » : on constate au contraire « la prévalence des questions techniques et économiques ».
Certes, le pape évoque la COMECE (Commission des Episcopats de la Communauté Européenne) qui, de mémoire, avait « validé » la Charte des Droits Fondamentaux annexée au projet de constitution en 2005. Cette COMECE avait également salué le traité institutionnel imposé par voie parlementaire en 2007 qui intégrait de nouveau cette Charte dont l’article III-21 déclare "interdite toute discrimination fondée notamment sur le sexe, la race (...) ou l’orientation sexuelle". Autrement dit une validation de la théorie du genre (celle qui n’existe pas) et donc une définition des Droits de l’Homme dans un sens subjectif et non plus objectif comme l’intègre l’enseignement de l’Eglise catholique.
Au moins un évêque à l’époque,
Mgr Rey, avait tout de même précisé que cette Charte était une « attaque
frontale contre le droit naturel », autrement dit un texte contraire aux
droits humains et à la dignité de la personne humaine définis selon « l’authentique orientation
anthropologique » de l’enseignement constant de l’Eglise catholique.
Bon, après, chacun se prononce en conscience.
J’invite ceux qui sont encore ouverts à l’objectivité d’écouter l’intégralité du texte du pape à cette occasion. C’est sans doute ce qu’a fait madame Marie-George Buffet avant de déclarer : « Je pense que beaucoup de gens devraient écouter le pape » :
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