L’écologisme est le cache-sexe du mondialisme.
Les écologistes, les idiots utiles de la Caste.
Quant à cette religion panthéiste de l’Ecologie, c’est un fantasme de Retour vers l’utérus de Maman-Gaïa, une fuite panique vers l’enfance perdue, proportionnelle aux délires du scientisme transhumaniste et de la prédation matérialiste, une tentative désespérée de recentrage vers l’intériorité face au vertige angoissé engendré par l’hubris de conquête et d’expansion infinie vers l’extériorité.
Or il n’y a de progrès aujourd’hui possible et souhaitable que vers l’avant et vers le Haut. C’est à dire vers la Conscience universelle et l’Esprit.
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La solution est donc toute trouvée : plutôt que de crier haro sur la poupée Macron (qu’il est néanmoins urgent de dégager par tous les moyens, légaux ou illégaux), il faut dynamiter cette Europe du fric et des lobbies !
Il faut juger et condamner tous les criminels qui s’engraissent en vendant leurs compatriotes aux vampires du mondialisme ! Comme cette scout blonde nazie de Davos et ses clones de la Commission.
Il faut sortir sans hésiter une seconde de ce merdier pour sauver notre âme et notre peau ! Comme de l’euro, ce mirage qui n’a servi qu’à nous appauvrir en multipliant par 10 les prix à la consommation en 20 ans, en nous enchaînant à la dette, aux banques et aux agences de notation.
Il faut recouvrer notre souveraineté et nos libertés, sacrifiées sur l’autel d’une prospérité illusoire, d’une sécurité illusoire, d’une santé illusoire, d’une solidarité illusoire !
Il faut sortir de l’OTAN qui nous entraîne vers la guerre totale sur ce continent où est né la civilisation occidentale, et où il ne restera bientôt plus que des ruines et des zombies !
Et puis il faut construire enfin une autre Europe. Une Europe des peuples ! Une Europe vraiment juste, humaine, sociale et solidaire !
Alors le monde changera à notre suite. Et les autres nations du monde nous prendront en exemple au lieu de nous prendre pour des cons.
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Si l’on renvoyait de l’autre côté de la Méditerranée ceux qui vivent en France, le plus souvent illégalement et exclusivement par intérêt, cela ferait déjà 5 millions de personnes pauvres en moins qui vivent en-dessous du seuil de pauvreté.
Ah pardon, j’oubliais que la majorité d’entre eux vivent AU-DESSUS du seuil de pauvreté ! Grâce aux innombrables aides qui leur sont réservées.
Trêve de provocation et de concurrence victimaire, la pauvreté est un vrai sujet en France. Plus grave et plus explosif que les retraites. Et que bien sûr ce Président illégitime, caniche des lobbies financiers, l’a aggravé comme aucun avant lui, en suivant servilement sa « feuille de route ».
Un sujet qui concerne un nombre croissant de personnes issues des classes moyennes, paupérisées au cours de ces dernières années. Comme en Argentine, au Brésil, ou dans ces pays corrompus par l’avidité des banques et des fonds d’investissement américains, qui pillent et ruinent ces pays vassalisés, avec la complicité de leurs gouvernants et des bureaucrates européens.
@pipiou
Il ne s’agit pas de TOUT expliquer en référence au N.O.M. (attitude complotiste).
Mais force est de constater que beaucoup de ce qui se passe aujourd’hui dans le monde qui relève d’un « grand basculement », d’un « changement de paradigme » et autres périphrases ou néologisme novlangues polis est clairement lié à cette stratégie élaborée de longue date par l’oligarchie bancaire anglo-saxonne. Et qui trouve aujourd’hui son accomplissement avec des chocs instrumentalisés, et la destruction planifiée des Etats, des cultures et des civilisations pour accélérer et faire accepter ce N.O.M. Dont les idéologies citées sont des accélérateurs.
C’est un fait incontournable et un fil d’Ariane pertinent, objet de nombreuses études et publications depuis le siècle dernier (Carroll Quigley notamment), que ça plaise ou nom aux frileux angoissés et autres pavloviens du « complotisme ».
@eau-mission
En tout cas c’est une preuve de santé mentale que de penser « mort » en pensant à Renaissance !
@Mélusine ou la Robe de Saphir.
Le terme de « névrose » ne concerne pas nécessairement les militants et promoteurs de l’idéologie woke (certains sont juste des cyniques), mais bon nombre de « radicaux » de cette théorie, et une grande part des personnes intéressées.
Qu’on soit clair : s’agissant de « l’homosexualité » (catégorie nosologique inventée par des psychiatres allemands et austro-hongrois à la fin du 19e siècle), même Freud, le père de la psychanalyse, ne l’a jamais considérée comme une maladie mentale, ni une névrose.
En revanche, le fait de se ressentir comme « homosexuel », et d’être éventuellement la cible de stigmatisations, de persécutions institutionnelles, familiales, sociales, professionelles, religieuses... conduit souvent à des syndromes névrotiques : culpabilisation, déni, dénigrement, autoflagellation, difficulté à s’adapter socialement, à trouver un partenaire, un emploi, des amis, narcissisme autodestructeur...
De même, ces nouvelles identités factices et les discours qui vont avec
inventés par les reconstructionnistes woke, adoptés et introjectés comme des réalités et des vérités par certaines personnes souffrant de troubles identitaires, renforcent ces troublent et les enferment dans des comportements objectivement névrotiques : hystérie, agressivité, sentiment de persécution, délire paranoïde ou schizoïde...
« Français » ? Késako ?... 🤔
En anglais ça se dit « Great Reset » ! ☺️
Et c’est la même dans toutes les provinces occidentales de l’Empire
mondialiste.
Cf. Klaus Schwab (le gourou nazi des scouts de Davos) et Thierry Malleret :
Covid-19, The Great Reset (Forum économique mondial, 2020)
@Eric F
La DDHC 1793 se place au niveau des principes supérieurs, dans une situation d’urgence, avec une mythologie romantique, presque messianique (la Révolution en péril...)
Chaque crise qui fait exploser les limites des usages prétendument « républicains » (systémiques en vérité) renvoie à cette mémoire d’une urgence de Salut démocratique qui devrait être assumée par le peuple lui-même. C’est exactement ce que ressent intuitivement aujourd’hui le peuple outragé dans ses droits les plus fondamentaux, saccagés par la subversion des institutions et de l’esprit de la République par une Caste qui l’instrumentalise et la détruit.
D’autant que cela fait des décennies que cela dure et empire.
On est très loin ici d’une lecture « juridique » ou constitutionnelle d’un « droit à l’insurrection ». Le terme « devoir sacré » renvoie à un autre registre, celui du Sacré (totalement vidé dans le régime actuel). On est dans ces moments de paroxysme où tout vole en éclat et où se pose de façon impérieuse la question des valeurs, du Sens, du Sacré, refoulée par la technocratie utilitariste. Pas ces discours frauduleux et manipulateurs sur des fausses valeurs « progressiste », woke, politiquement correcte…), mais le face-à-face d’un peuple avec son destin. Parfois dans ces crises émerge l’homme providentiel, le « grand homme » de Max Weber. Ce dont rêvent régulièrement les Français qui élisent des nains de moins en moins concernés par leur sort…
S’insurger ce n’est pas prendre les armes et renverser la table, c’est SURGIR de l’intérieur (de l’âme du peuple ou de la nation). Ce qui est important, pour la France comme pour l’humanité, c’est ce surgissement de la conscience collective qui peut éventuellement agréger les consciences individuelles et permettre au Peuple de faire Corps à nouveau dans l’épreuve. C’est toujours ainsi que la France s’est sortie de ses pires épreuves (guerres, Occupation...) Ce que de Gaulle avait parfaitement compris et incarné. Aujourd’hui le peuple est livré à lui-même, puisque le politique est kidnappé par des marionnettes ou des technocrates manipulés.
@Eric F
Il ne s’agit pas de sortir du système, ou de l’économie mondiale. Mais de changer notre rapport au système et à l’économie (mondiale notamment). De hiérarchiser les valeurs. Et de subvertir CE système absurde imposé de façon de plus en plus totalitaire par ceux qui contrôlent TOUS les pouvoirs. Par la subversion, la sécession, et éventuellement parfois l’insurrection, à double tranchant (stratégie du chaos...)
La DDHC 1793 se place au niveau des principes supérieurs,
dans une situation d’urgence, avec une mythologie romantique, presque messianique
(la Révolution en péril...)
Chaque crise qui fait exploser les limites des usages prétendument « républicains »
(systémiques en vérité) renvoie à cette mémoire d’une urgence de Salut
démocratique qui devrait être assumée par le peuple lui-même. C’est exactement
ce que ressent intuitivement aujourd’hui le peuple outragé dans ses droits les
plus fondamentaux, saccagés par la subversion des institutions et de l’esprit
de la République par une Caste qui l’instrumentalise et la détruit.
D’autant que cela fait des décennies que cela dure et empire.
On est très loin ici d’une lecture « juridique » ou constitutionnelle
d’un « droit à l’insurrection ». Le terme « devoir sacré »
renvoie à un autre registre, celui du Sacré (totalement vidé dans le régime
actuel). On est dans ces moments de paroxysme où tout vole en éclat et où se
pose de façon impérieuse la question des valeurs, du Sens, du Sacré, refoulée
par la technocratie utilitariste. Pas ces discours frauduleux et manipulateurs
sur des fausses valeurs « progressiste », woke, politiquement
correcte…), mais le face-à-face d’un peuple avec son destin. Parfois dans ces
crises émerge l’homme providentiel, le « grand homme » de Max Weber. Ce
dont rêvent régulièrement les Français qui élisent des nains de moins en moins
concernés par leur sort…
S’insurger ce n’est pas prendre les armes et renverser la table, c’est SURGIR
de l’intérieur (de l’âme du peuple ou de la nation). Ce qui est important, pour
la France comme pour l’humanité, c’est ce surgissement de la conscience
collective qui peut éventuellement agréger les consciences individuelles et permettre
au Peuple de faire Corps à nouveau dans l’épreuve. C’est toujours ainsi que la
France s’est sortie de ses pires épreuves (guerres, Occupation...) Ce que de
Gaulle avait parfaitement compris et incarné. Aujourd’hui le peuple est livré à
lui-même, puisque le politique est kidnappé par des marionnettes ou des
technocrates manipulés.
Il y a l’Histoire de la République, et il y a
les mythes républicains, qui figent dans le marbre bien plus
qu’un texte constitutionnel une « idée » et des usages sacralisés comme
« LA » République.
Je ne vais pas refaire l’Histoire de la République « bourgeoise »
(sans connotation marxiste), laquelle parle au nom du peuple mais craint le
peuple et ses éruptions. Ni argumenter encore sur le fait que si l’on prend la
définition (empruntée à Lincoln, reprise par de Gaule et inscrite au ch. 1 de
la Constitution de 1958), la France n’a, de fait, jamais été une démocratie :
"La démocratie [ou la République], c’est le gouvernement
du peuple, par le peuple, et pour le peuple."
Quel lien avec les antisystèmes ?
Aujourd’hui ne subsiste objectivement de cette République que des discours, des
références et invocations-réflexe, auxquels personne ne croit plus et qui sont
démentis par les faits. Les principes, vertus, usages républicains sont
outragés. La technocratie a tué l’esprit républicain (à dessein) pour lui
substituer des critères gestionnaires, fonctionnalistes, utilitaristes, de pure
conformité aux normes systémiques : ça a donné Macron, soutenu par un gros bloc
« centriste » de gouvernement système compatible... Sans
quoi il n’est plus possible de gouverner. A moins de sortir des Traités, de l’Europe,
de l’euro et de l’OTAN... Mais même en faisant cela, on ne reviendra jamais 60
ans en arrière.
Ce paysage politique nouveau a effectivement dégagé les vieux clivages
et leurs acteurs, pour les remplacer par un axe pro- ou antisystème.
Ce qui a rejeté aux "extrêmes, assorties de thématiques populistes, tout discours alternatif au modèle actuel. La dictature, si l’on convient que nous sommes entrés dans une forme nouvelle de dictature, est donc d’abord une dictature intellectuelle, idéologique à propos de cette prétendue « seule façon de gouverner » martelée par le pouvoir. En réalité, cette pratique est moins une praxis orthodoxe du pouvoir, qu’une nouvelle religion du Pouvoir : mondialiste et néolibérale, « démocratique », « progressiste » et « écologique » dans les discours ; ploutocratique, technocratique, hyper inégalitaire, élitaire, autoritaire, sécuritaire et totalitaire dans les faits.
Cette religion a remplacé insidieusement le républicanisme
social et laïc version 1958. La souveraineté a été confisquée au peuple sans
lui dire, au profit d’une technostructure transversale, pilotée par une élite
mondialiste qui tente aujourd’hui de s’uniformiser autour d’intérêts, de
visions et de projets d’organisation mondiale concurrents (unipolaire,
multipolaire…)
Cette évolution est arrivée à un point tel au plan mondial que la
rappropriation par le peuple de sa souveraineté nationale et de ses
droits authentiquement démocratiques (liberté notamment) supposerait un
effort et des sacrifices que la majorité n’est pas prête à consentir.
Ce qui conforte le pouvoir en place qui jour sur la peur du désordre, des violences et de l’anarchie.
Seule l’émergence d’une conscience globale partant de l’humain,
des individus, des peuples, et d’une vision commune du destin de l’humanité à
venir permettra de sortir de cette impasse. En travaillant de l’intérieur, par
la sécession, la subversion, le démembrement face à un système pourrissant. Et
un travail sur l’identité (de l’humanité, les liens entre les identités), et les
valeurs.
Pour l’heure, la mascarade démocratique en France n’est plus réduite qu’à une
rhétorique de moins en moins efficiente (progressiste, woke, politiquement
correcte...), et à des rituels (débats médiatiques, élections, célébrations
diverses) vidés de tout contenu et manipulés pour obtenir le résultat escompté.
Le mensonge permanent sur les valeurs, le schisme entre une élite qui gouverne
déconnectée du peuple, alimentent des ferments « révolutionnaires »
(au sens étymologique de retournement) qui ramènent cycliquement le
peuple à la tentation insurrectionnelle vue comme seule issue intuitivement juste
pour rétablir un contrat social fondé sur le Droit, ou détruire le système,
amplifie le phénomène de crise (catastrophe) jusqu’à atteindre un
seuil de rupture, avec la possibilité d’un saut évolutif ou involutif.
De Gaulle disait : "la République, c’est le peuple. Quand on n’a pas le
peuple avec soi, on n’est pas la République".
Mélenchon et l’extrême gauche jouent avec cette vérité inscrite dans l’ADN de
la République française : l’adéquation charnelle entre le peuple et son/ses
dirigeants. Mélenchon singe le tribun populaire ("La République, c’est moi
!)
Mais il joue aussi avec l’hypothèse révolutionnaire (au sens marxiste) pour
précipiter la fin de la Ve et l’avènement d’une mythique VIe
République qui ne résoudrait rien.
Car il fait abstraction du contexte mondial. Et du fait que la politique, ses
acteurs (dont lui) sont des jouets d’une Caste qui les finance pour figurer
dans une comédie écrite par d’autres. Alors que les décisions sont prises
ailleurs depuis longtemps.
La guillotine électorale est une tartufferie. Macron sera lâché tôt ou tard par
ceux qui l’ont propulsé à l’Elysée. Et aussitôt remplacé par une autre
marionnette moins usée et plus en phase avec les enjeux du moment.
Un point c’est tout.
Bref, la logique politique (et nationale) est caduque, bien que pertinente. Il
faut passer 2 ou 3 échelons supérieurs.
@Francis, agnotologue
En voilà des jugements bien méprisants et péremptoires, Monsieur le gnognotologue !
Surtout fondés sur des a priori, des
projections*, et des onomatopées (Pfff…) en guise de démonstrations.
Gnognoter, ce n’est pas débattre ni argumenter, encore moins convaincre, juste
étaler son ego.
*Vous amalgamez la croyance dans propagande à propos des injections géniques sans voir les effets réels (nuls en termes prophylactiques, destructeurs pour l’immunité, catastrophiques à un degré inédit en termes d’effets secondaires). Normal quand on n’a aucune connaissance (agnosos) de la chose.
Ignorance verbeuse et pédante du sujet confondu avec vos fixettes (« vaccins », complotisme...), aveuglement volontaire et fatuité vulgaire.
Bref, une autruche bouffie n’a
jamais fait un bon plat !
Suivant.
@Joséphine
Merci pour votre brillante démonstration de masochisme, puisque vous avez je suppose tout lu avant de parvenir à cette conclusion qui me confond par son élévation !
Au plaisir de lire vos articles et de m’incliner devant tant de sagesse et d’intelligence réunies dans une si petite tête !
Sinon je connais une compagnie théâtrale qui recherche des artistes burlesques, au cas où vous chercheriez à vous rendre utile...
@beo111 : le peuple n’a « élu » personne, ni en 2017 ni en 2022. Il a suivi les consignes de McKinsey et des médias.
@Francis, agnotologue
Baratin marxiste !
L’Histoire sanglante du 20e siècle et ses 200 millions de morts a démontré tout le contraire, voyons !
La seule « Vérité » démontrée par tous ces Saint-Just, Lénine, Staline, Mao, Pol-Pot, Castro (ou Khomeiny), c’est la MORT !
Il n’y a pas de « Vérité » flamboyante et invariable (en ce monde) : il y a DES vérités, toutes relatives et toutes conciliaires. La seule vérité, c’est l’accord, le consensus, la Paix sociale, pas le catéchisme des fanatiques assoiffés de sang !
Dire en plus que le peuple « aime » la vérité est un contresens historique absolu !
Le peuple aime les fables et les mystifications. A moins de confondre « sentiment » (d’injustice) et vérité, pour lui vendre des arnaques qui l’enchaîne davantage...
Lisez la Boétie (Discours sur la servitude volontaire) : c’est plus pertinent et plus actuel que Rosa Luxembourg.
@Octave Lebel : ce que vous décrivez c’est l’intelligence rationnelle, celle qu’on enseigne à Polytechnique ou l’ENA. C’est une forme d’intelligence parmi de multiples autres. Mais ce n’est pas « l’Intelligence » (avec un « I » majuscule), qui est clairvoyance, clarté d’esprit, pure vision.
Aucun politique ne la possède évidemment, puisqu’ils sont tous choisis comme étant assez intelligents pour faire illusion, et assez stupides pour ne pas voir qu’il sont manipulés et débiter les conneries qu’on leur dicte à un troupeau anémique.
L’enseignement public a tout fait depuis 50 ans pour fabriquer des crétins, des con-sommateurs. Renonçant à enseigner les humanités, le raisonnement déductif, l’esprit critique et autonome, le rapport aux valeurs. Fabriquant des robots à la chaîne formattés pour bosser dans les usines, et beugler sur des causes-réflexes. Il y est largement parvenu.
Mais il y a heureusement des jeunes qui s’affranchissent de cette machine à abrutir, poursuivent des études alternatives, lisent, voyagent, comparent...
Face à cette crise, les jeunes qui se mobilisent ont une intelligence intuitive, presque épidermique. L’intuition a été méprisée pendant 3 siècles par les tenants du rationalisme, mais ce paradigme est dépassé.
Les jeunes, c’est l’avenir. Il faut les aider à « tuer le père », ou le « grand-frère » de cette Génération Macron de momos (mobiles moraux) qui les précipitent dans les griffes de l’empire mondialisé pour en faire de la chair à pâtés.
@Octave Lebel : Tout dépend de sa circonférence
@Francis, agnotologue
Il y a des intellectuels qui sont cons. Aujourd’hui c’est même devenu un pléonasme.
Même mépris de caste que le poudré et ses maîtres pour « la foule », « les masses », « la plèbe ».
Et toujours ce mythe fallacieux des « Lumières » censées éclairer la route du peuple ignorant ou égaré...
@Octave Lebel
Les jeunes sont beaucoup moins cons qu’on le croit. L’intelligence n’a rien à voir avec l’expérience, encore moins avec l’éducation à la propagande... Allez faire un tour la nuit dans les manifs, vous comprendrez.
@Octave Lebel :
Bel exemple de tiédeur « bourgeoise » ni-ni : un vrai progressiste !
vous n’êtes encore complètement dégrisé, ou avez peur de ce que vous pourriez découvrir, mais ça avance. Toute prise de conscience est douloureuse au début. Courage, la lumière est au bout du placard. En attendant de pouvoir supporter le soleil, restez en salle de réveil.
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