@ Ludongbin,
@ Self con troll,
@ Self con troll,
@ Ludongbin,
@Self con troll,
@ Philippe VERGNES,
@ Self con troll,
Haaa... malheureusement mon époque rugby date du temps ou ce sport n’était pas encore médiatisé. Cela date de la fin des années 1980 au début des années 1990. Internet n’existait pas encore (ça débutait tout juste) et j’ai arrêté suite à un grave accident l’année du passage au professionnalisme en 1995. Il n’y a guère d’info sur le net sur la période antérieure à l’actuel Top 14. Le championnat d’alors se disputait en deux poules de 12 équipes avec phases finales. Ne pas oublier non plus que le rugby est devenu plus populaire lors de la Coupe du monde organisée en France en 2007. Avant cela, ce sport avait mauvaise réputation. il faut garder cela présent à l’esprit.
Mon poste 6, 7 ou 8 en fin de carrière. Mais anecdote croustillante s’il en est, durant ma saison effectuée en Nouvelle-Zélande, j’ai été invité à disputer un match de gala avec une sorte de sélection Barbarians locale où j’ai remplacé à l’aile (j’étais aussi rapide)... un certain John Kirwan. Bon... de ce genre d’anecdotes, j’en ai des dizaines à raconter. Alors si j’avais vraiment dû prendre le « melon », ça serait fait depuis longtemps. J’ai été l’un des rares joueurs français à m’expatrier pour faire une saison en NZ. De mon époque et à ma connaissance, nous n’avons été que trois... je ne l’ai jamais chanté sur les toits, j’ai pourtant joué dans un club qui comptait pas moins de 11 internationaux All blacks et Samoans. J’étais en concurrence en troisième ligne avec un joueur samoan qui fut l’année d’après élu troisième meilleur joueur du mondial de 1991 et qui me fit un cadeau inoubliable la veille de mon départ.
Sinon... "S’il s’agit d’anticiper les totalitarismes, il faut prendre en compte ce « minage » qui sape les fondations de l’individu", ben... que croyez-vous donc que je fasse en centrant mes articles sur des notions clefs telles que le « décervelage » (conséquence d’un lavage de cerveau que l’on peut obtenir par « sidération » et différentes techniques rhétoriques), le « meurtre d’âme » (idem décervelage, mais en pire), « l’expulsion psychique » (par lequel un individu se déresponsabilise...), le « psychovirus » (l’excret expulsé dans la psyché d’autrui, etc.), etc. ?
Tout est fait actuellement pour saper ou miner l’autonomie des individus. Et ce « minage » est très bien décrit par la théorie de la perversion narcissique. Encore faut-il la prendre pour ce qu’elle est et non pas pour ce que les médias voudraient qu’elle soit. Ce qu’ils réussissent très bien à faire à voir l’image que le grand public a de cette notion clef. Je « répépis » encore, mais : « La perversion narcissique constitue sans aucun doute le plus grand danger qui soit dans les familles, les groupes, les institutions et les sociétés. Rompre les liens, c’est attaquer l’amour objectal et c’est attaquer l’intelligence même : la peste n’a pas fait pis. » (Racamier, 1992)
@ Self con troll,
@ Self con troll,
@ Self con troll,
@ Ouam,
@ Self con troll,
@ Ludongbin,
@ Bonjour Ludongbin,
@ kalachnikov,
@ kalachnikov,
@ kalachnikov,
@ Self con troll,
Votre question sur le langage est intéressante à plus d’un titre, mais ce n’est pas en ces termes que, personnellement, je poserais le problème. J’irais cependant voir les échanges qu’ont eus arthes et Gollum, car j’apprécie toujours les interventions de ce dernier.
Ce que j’en pense, c’est que d’une certaine façon l’homme a pour fonction de nommer les choses, car pour que les choses et les phénomènes parviennent à la conscience et soient perçus par notre intellect, ben… il faut d’abord les nommer. C’est là pour moi l’une des caractéristiques principales de l’homme. Nul autre « animal » que lui n’est, dans la nature, capable d’une telle « prouesse ». L’autre caractéristique principale est celle qu’A. Korzybski a appelée « time-binding » (d’où également mes efforts d’indexation). Vous connaissez, semble-t-il la Sémantique générale, je ne vais donc pas définir ce qu’il entend par ce terme (je le ferais si besoin est).
Bien sûr que l’étymologie des mots est importante. Je rappelle souvent à ce titre que l’étymologie du mot étymologie signifie littéralement « recherche du vrai ». Mais lorsque cela concerne de nouveaux mots nés de nouvelles sciences décrivant de nouveaux phénomènes pour les faire apparaître à notre conscience. Leur « étymologie » est à rechercher dans leur contexte d’énonciation et non pas dans des théories qui « annulent » le principe du « time-binding », car c’est ainsi que l’on crée des paradoxes et les confusions du langage que l’on croit déceler chez nos contradicteurs. Dans cette perspective, notre « évolution » (que certains pourraient à juste titre prendre pour une involution) est à prendre en compte.
Néanmoins, il convient d’intégrer également le problème de la nomination : d’un côté elle dévoile ce qui était inconnu jusqu’alors, de l’autre elle le « fige ». Or, c’est justement dans cette « fixation » que les perversions apparaissent. Tout se passe en fait comme si elles étaient là pour nous rappeler que dans notre marche pour l’évolution, nous n’avons pas le droit de nous arrêter. Or, tout l’enjeu des pervers est justement de « stopper » cette évolution par différentes stratégies. Sa principale « arme », comme j’ai déjà eu à l’écrire, c’est la parole, mais un certain style de parole dévoyée. Marcel Sanguet, tout en déniant le concept de pervers narcissique, décrit très bien ce procédé dans son ouvrage : « La récupération est un phénomène bien connu en politique et participe de ce mouvement de retournement propre au discours de la perversion et destiné à jeter la confusion dans l’esprit de celui à qui elle s’adresse. Les nazis se sont ainsi approprié Nietzsche, des figures politiques de gauche sont citées par un gouvernement de droite, jusqu’à Hannah Arendt qui justifie la passion de l’autorité pour une droite extrême. Certes, les idées appartiennent à tout le monde et font leur chemin indépendamment de leur créateur, mais le pervers a un usage tout particulier de cette liberté de s’en emparer : il se délecte à les retourner, à leur tordre le sens, non pour jouer de l’équivoque du langage, mais pour semer le trouble chez celui qui reçoit son message. Le destinataire en ressort abasourdi, sidéré, vide de pensée, et c’est précisément cette atteinte à la subjectivité qui fait la jouissance perverse. »
Toutefois, ce que Marcel Sanguet oublie de dire, c’est que dénigrer un concept nouveau pour en imposer un autre tout en décrivant la même chose sur le fond est un procédé pervers que j’ai déjà décrit comme étant l’une des plus belles ruses du diable en ce qu’elle entraîne beaucoup de confusion (cf. PV 4 mars 2018 15:01 : « [La plus belle ruse du diable]n’est pas de faire croire qu’il n’existe pas contrairement à ce que nous croyons (ça, c’est encore une de ses ruses), mais c’est d’entretenir des confusions en pervertissant toutes les théories qui pourraient servir à en dévoiler les stratégies »). L’idée n’est pas d’accuser Marcel Sanguet de pervers, mais simplement de faire remarquer que même les plus experts d’entre nous, et Marcel Sanguet en est un d’incontestable, peuvent commettre des erreurs. Son erreur vient du fait qu’il n’a été aux sources de la théorie de la perversion narcissique pour produire sa critique. C’est facilement visible pour quiconque connaît cette théorie et lit son livre. Fort intéressant au demeurant puisque je l’ai tout de même noté trois étoiles sur Amazon.
Les principales raisons que me font envisager la suppression de mon compte sur ce site sont que : d’une, certain(s) intervenant(s) y règne(nt) en maître absolu en pratiquant la perversion des idées telles que la décrit Marcel Sanguet ci-dessus, tout en se trouvant suffisamment de complices « inconscients » qui satisfont à sa jouissance perverse ne serait-ce qu’en lui donnant crédit ; de deux, je ne suis pas bercé au harcèlement et plutôt que de m’en prendre aux autres, j’ai pour habitude de renvoyer la patate chaude à leur expéditeur et non pas à des boucs émissaires comme c’est le cas dans le harcèlement, car c’est sur ce principe qu’il fonctionne et se propage, si tout le monde agissait ainsi, c’est-à-dire s’en prendre au coupable plutôt qu’à des « innocents », il y a bien longtemps que le harcèlement aurait été éradiqué ; de trois, cela m’éviterait d’entreprendre un recours en justice, car il n’y a que la loi qui puisse arrête un paranoïaque en puissance et très honnêtement, j’ai autre chose à m’occuper ; de quatre enfin, je n’éprouve plus de plaisir à échanger avec certains intervenants comme cela était le cas au début de mon apparition sur ce site, plaisir qui compensait largement les « attaques nihilistes » de certain(s).
Pour autant, je réfléchis encore même si je comptais prendre une décision à l’issue du week-end dernier.
@ Self con troll,
@ kalachnikov,
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération