Certes l’Argentine a fixé sa monnaie sur le dollar américain, un temps, au plus fort de sa catastrophe financière. Mais évidemment, elle a très vite repris ses prérogatives monétaires pour justement pouvoir jouer de cet instrument dans une politique volontariste de redressement.
JL Mélenchon, en bon Baroso Zapattero-iste qu’il est, n’envisage même pas de sortir de l’euro...
Ni même de froisser les bidons rose-saumon siégeant à Bruxelles par une quelconque renégociation des traités liant la France au fatalisme, pourtant préalable évident et indispensable à toute action réelle de bien commun et d’avenir.
Il ne lui reste plus qu’a brasser du sable rouge en singeant le populisme alors qu’il n’est que démagogue, et mobiliser ses troupes jalouses mais utiles pour interdire l’accès à Marine LP dans les usines en grève, aux manifs décrétées de fait privées, et lui interdire carrément son droit de réunion en pleine campagne présidentielle. Tout en ne parlant que d’elle à longueur de prestations médiatique, dans l’espoir fou de lui coller son image de leurre disgracieux.