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savouret

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  • Premier article le 07/07/2009
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  • savouret 4 mai 2009 16:56

    il me semble que de toute facon des rassemblements ponctuels aussi mobilisateurs soeint ils ne peuvent qu’avoir un impact mineur sur les décisions des dirigeants economiques ou politiques.en effet ils ne contribuent nullement a paralyser le pays , des lors les salariés ne peuvent au mieux qu’ obtenir quelques concessions superficielles quant à leurs revendications.

    pour qu’un mouvement populaire ait une réelle influence et qu’il posséde une capacité de destabilisation de « l’ordre établi », il faudrait bien entendu qu’il s inscrive sur la durée.
    or soyons honnetes, seule une petite minorité de la population est prete à sacrifier une semaine de salaire par exemple.

    ceci est comprehensible , d ’ autant plus que l ’essor de la précarité inhérent aux poilitiques « néolibérales » ne peut qu’avoir des repercussion dissuassives sur la capacité de mobilisation des salariés.de plus, il ne faut pas se leurrer, il existe dans l ’ensemble un relative indifférence de la majorité de la population vis a vis de l’interet collectif.

    certes, les grandes journees d ’action du 29 janvier et du 19 mars laissent peut etre augurer d ’une remise en cause de l’indidualisme tres prégant qui marque de son empreinte notre société, toutefois, il est évident que les mentalités individuelles et collectives sont faconnées par les valeurs « ultralibérales » et que par conséquent autrui représente plus un ennemi potentiel qu’un allié éventuel pour la majorité des individus.

    le manque de crédibilité des syndicats dans notre pays ne fait qu’aggraver ce sentiment d ’impuissance vis a vis des orientations « inégalitaires » définies par les dirigeants économiques ou par notre gouvernement .

    cet article a donc le mérite de dénoncer l’hypocrisie des orgaisations syndicales qui sous pretexte de leur rassemblement historique refusent d ’assumer leur echec en ce qui concerne leur aptitude à structurer une constestation de grande ampleur

    je mettrai toutefois un petit bémol quant au contenu de cet article, lorsqu’il porte sur l’inutlité du parlement européen.
    certes, cette instituton ne dispose pas encore du meme pouvoir que l’autre instituton législative de l’ue constituée par le conseil des ministres ou que la comission.
    cependant, ses prérogatives se sont significativement accrues, et il dispose désormais d ’un pouvoir de codécision dans de nombreux domaines.or, il convient de péciser que la majeure partie des lois en vigueur sur notre territoire sont d’essence communautaire.

    il me semble donc que les décisions prises par le parlement ont un impact plus important sur la vie quotidienne des citoyens que celui qui est évoqué, et je pense que l ’orientation politique qui sera donnée à ce parlement lors des élections à venir peut avoir une incidence sur les lois votées dans le domaine éconmique et social par exemple.
    en clair, plus les forces « progressistes » seront representées, plus le parlement sera susceptible d ’infirmer les propositions de la comission les plus inégalitaires, telles que l ’expansion des lois du marché à l’ensemble des services publics(meme si je vous le concéde cette évolution est déja patente )



  • savouret 4 mai 2009 16:29

    bien entendu le discours de finkielkraut est trop manichéen.est ce de l’exagération délibérée ou une conviction refletant sa pensée conervatrice ?je me prononcerai plutot hélas pour la deuxième hypothése ,
    si mon impression correspond à la réalité, je trouve que cela est particliérement affligeant, car quelques soient les orientations idéologiques d ’un « penseur », il me semble inconcevable qu’un esprit à priori brillant puisse céder à une reflexion aussi simpliste.
    ceci dit, il ne convient pas pour autant de faire l’apologie d ’internet, mais il est nécessaire de faire un effort d’objectivité afin d ’appréhender l’impact que peut avoir cet outil de communication sur la société.
    or, il me parait évident que le net n ’est pas positif ou négatif par essence,sachant que ce constat est une banalité , puisque comme pour tout progres technique de grande ampleur susceptible de transformer les modes de vie,tout dépend de l’utilisation qui en est faite par les utilisateurs.

    ainsi, internet peut conduire aux pires dérives , et comporte le risque de favoriser l ’abetissement de l’individu ou le renforcement de certaines tendances néfastes pour la cohésion sociale, telles que le communautarisme ou l ’extremisme qui percoivent le net comme un terreau propice à leur diffusion.internet peut aussi avoir pour conséquence d ’exacerber le modéle consumériste en renforcant le conditionnement des jeunes générations vis a vis de celui ci.

    toutefois, pour les individus ouverts d ’esprit , pourvus d ’uneréelle curiosité intellectuelle, qui ne sont pas sectaires , le net constitue une source de vitalité intellectuelle, dans la mesure ou certains sites comme agora contribuent à l ’existence de débats de qualité.
    il peut aussi permettre un renouvellement du débat démocratique et favoriser un réinvestissement du citoyen dans la vie politique, ce dont les derniéres elections présidentielles semblent laisser augurer.



  • savouret 1er mai 2009 12:03

    il est évident que sarkozy cherche a radicaliser son discours sur l’insécurité afin de conserver un noyau dur d ’électeurs et de faire occulter quelque peu son échec patent dans le domaine économique et social.
    j ’ignore si ces mesures « sécuritaires » demeurent plebiscitées par l’opinion, meme si j ’ai hélas l ’impression que cet aspect de sa politique reste l’un des rares qui conserve une légitimité auprés de l’opinion publique.

    or, la politique qu’il a inspirée dans le domaine de la lutte contre l’insécurité depuis 2002 est clairement un échec.en effet, les violences envers les personnes n ’ont cessé de s ’accroitre depuis son « pasage » place beauveau et le rejet des institutions ainsi que les actes de violence qui l’accompagnent ont connu une radicalisation indubitable dans les quartiers sesibles.

    certes il serait simpliste de lui imputer pleinement cette tendance, dans la mesure ou il existe des causes sociales structurelles qui expliquent ce phénoméne et ou celui ci est malheureusement amené à se renforcer en raison du contexte économique tres défavorable .toutefois l’on peut penser que la primauté excessive conférée à la repression par rapport a la prévention ainsi que certains discours contribuant à une réelle stigmatisation d ’une certaine catégorie de jeunes n ’ont pu qu ’avoir des effets délétéres sur les rapports entre différentes catégories sociales ou sur les relations entre les jeunes de banlieue et les institutions incarnant l ’état.

    il serait donc urgent que le gouvernement et son hyperprésident tirent les lecons de leur echec dans le domaine de la lutte contre l’insécurité,ce qui ne signifie pas bien entendu qu’il faille cautionner ou minimiser les réels problemes de violence et de délinquance qui existent et contribuent parfois a gangréner la vie quotidienne des individus dans certains quartiers.malheureusement il est fort improbable qu’il y ait un inflechissement de la politique du gouvernement , et il est meme plutot probable que pour des raisons idéologiques ou éléctoralistes il y ait une radicalisation de la politique repressive, ce dont les mesures prises recemment semblent augurer.



  • savouret 1er mai 2009 11:42

    cet article met bien en evidence les consequences néfastes de la politique « éducative » menée par le gouvernement ainsi que l’idélogie qui la conditionne.

    malheureseument, cette conception des finalités de l’école et cette obession de la rentabilité sont pregnantes dans la majeure partie des pays européens.de plus, malheureseument encore, les priorités définies quant aux apprentissages scolaires sont je le crains partagées par la majorité de la population. En effet, la vision utilitariste de l ’ecole n ’a cessé de se renforcer depuis plusieurs décennies et le gout de l ’apprentissage intellectuel est totalement subordonné aux injonctions de concurrence et de performance que subissent les enfants des l ’ecole primaire.

    je suis convaincu par exemple qu’une forte proportion d ’adultes ou d ’éléves percoivent la philosophie comme une discipline inutile dans la mesure ou son utilité concréte n ’est pas flagrante.il en est probablement de meme pour les disciplines artistiques au collége.
    l ’on peut également déplorer que certains enseignants des matieres « dites »fondamentales tendent a reforcer la primauté de celles ci par leurs discours et contribuent par la meme à délegitimer les matieres dites « secondaires », ce qui ne peut que renforcer le « consumérisme » scolaire.

    comme dans de nombreux domaines,il me semble que la politique dece gouvernement a pour impact d ’amplifier des dérives préexistantes,et que dans le domaine éducatif cela risque d ’aggraver un formatage des esprits déja bien réel.il est donc impératif que l ’ensemble des citoyens péoccupées par l ’avenir du systémé éducatif et plus globalement désireux de lutter pour une conception de l’individu et de la société antinomique de celle qui est véhiculée par le pouvoir actuel se mobilisent le plus possible.ceci implique éventuellement de sacrifier quelques journées de salaire(o)

     



  • savouret 1er mai 2009 11:20

    ll est vrai que sur le plan de la laicité il y a une veritable rupture par rapport a ses prédecesseurs

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