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Citoyen en observation passionnée du comportement des masses sociales au travers de comportements individuels et de l’acte politique. Comment la masse s’approprie-t-elle une idée ? Peut on parler de physiologie de la societé lorsque la raison et le sens sont couverts par une poussée idéologique quasi "hormonale" qui occulte parfois le bon sens et bâtit ses murs et ses limites sur la désignation d’un " ennemi " ?

Activités : Musique / Afrique / Ecriture
 

Tableau de bord

  • Premier article le 10/11/2008
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Derniers commentaires



  • GRL GRL 16 février 2009 17:30

    Retour au religieux  ?

    Que vivent ceux qui sont touchés les premiers , que vivent ceux qui tombent dans un dégout , un refus de la societé telle qu’elle se comporte , dans un regard pétri d’injustice et parfois de violence sur leur propre dégringolade sociale , lorsque le sort leur échappe ?

    Que vivent ceux qui ont , grace à la multiplication des moyens d’information, sont saisis d’un sentiment de dégout global en ce qui concerne l’humanité , au travers des horreurs quotidiennes, ceux qui ne savent alors comment agir , ceux dont l’amour de ce monde est entravé par un grand sentiment d’impuissance  ? 


    Ils cherchent le retour à la loi et le recouvrement de la foi , en cette vie qui se déroule , ils cherchent le vecteur qu’une societé effectivement mondialisée , divisée et sans éthique , perd scandale apres scandale . Oui , quoi de plus naturel à vouloir sauver son âme d’une vision de cauchemar à laquelle on ne veut prendre part ?

    La religion , si l’on met de coté ses effets politiques , ne parle t elle pas de tout temps à ceux à qui le monde ne parle plus ?

    GRL



  • GRL GRL 10 février 2009 17:01

    Faire dans le sens de réaliser , bâtir , construire , faire , modeler, travailler ... mais c’était une fausse question qui consistait à essayer de savoir quels étaient tous les subsituts de l’ "être" pour vous , pour voir jusqu’où vous soutiendriez ... mais vous n’etes pas d’accord , donc vous m’avez répondu . Car moi non plus je ne suis pas d’accord avec l’idée de substituts . Je me disais alors , mais enfin , l’etre en harmonie avec son ecosysteme serait ainsi dénudé de tout besoin de pouvoir , de paraître et d’avoir ??? ... Ca ne tient donc pas la route . Cà me fait penser à une image idéalisée de l’animal ... idéalisée parce que fausse dans ce sens au moins pour le besoin de pouvoir chez l’animal grégaire , social et sa position hiérarchique sans cesse redéfinie dans le groupe.

    Mais enfin , la réflexion à propos de la violence sur les enfants est tout de même tres interessante. Le "qui aime bien chatie bien " à bien monté ce que çà donnait par exemple sur les générations d’enfants de l’angleterre puritaine de Cromwell , où l’on considérait trop l’enfant comme un jeune adulte et l’on recourait au chatiment corporel sans ménagement ... çà faisait "du bien" parait il ... Il me semble bien avoir lu que des études ont été menées sur cette période et celle qui a suivi avec un changement radical des valeurs à ce sujet ... Sans équivoque au niveau de la délinquance et de la violence de rue.

    GRL.




  • GRL GRL 10 février 2009 16:27

    "Or, quand on ne connaît plus le bonheur d’être, on lui cherche des substituts : l’avoir, le pouvoir, le paraître..." 

    Est ce que le " faire " fait partie pour vous de ces subsituts possibles ?





  • GRL GRL 10 février 2009 14:35

    D’autant plus qu’une journée de travail n’est pas une durée pendant laquelle le salarié est au maximum de sa productivité quel qu’en soit le moment . Pas du tout au contraire , nous avons tous tendance à traverser des phases durant lesquelle nous sommes moins productifs , dans lesquelles nous pouvons parfois etre rêveurs, préoccupés , bavards ou encore somnolents , et il est clair qu’un etre humain ne ressemble en rien à une machine en ce sens. Il y a de même , des pauses légales au travail , dans lesquelles l’on sort prendre l’air 5 minutes , l’on parle avec un collegue , il y a un perpétuel besoin de "balancer" une journée en l’agrémentant ( ou en subissant , comme dans le cas des somnolences ) de moments dans lesquels nous sommes moins concentrés , moins assidus , mais enlever ces moments aux salariés est la promesse d’une productivité moindre , de fatigue , d’absentéisme , et a des répercussions sur la vie apres le travail . Et bien oui , nous sommes humains et travailleurs , et lorsque les societés font la chasse , aux mails , aux pauses cigarette et aux moments de relâche ( comme dans les centres d’appels où les employés sont écoutés ) , et bien m’est avis que l’on obtient rien de bon en résultat.

    L’affaire des courriels est l’histoires de prétextes à la débauche , car l’honneteté voudrait que l’on mette alors à plat toutes les boites mail de la boite pour réaliser collectivement de quoi il s’agit , et on trouverait certainement un grand nombre de gens " en faute " à ce moment là . Et vous pensez qu’un patron virerait , style 30 pcent de son effectif si cette part là du personnel était en faute ? Non , il ne serait pas fou. Du coup je n’ai jamais cru à ce type d’histoires et à ces fausses raisons . De même , la journée de travail ne se calcule pas en heure / homme mais lorsque c’est le cas , en heure / machine. Impossible d’appliquer mécaniquement celà à l’humain , et ce pour des raisons tres naturelles.

    Par contre , en cas d’abus, une discussion entre l’employeur et l’employé peut etre un élement constructif où l’on parle de temps , d’argent , de travail et du besoin d’en sortir de temps à autre au cours d’une journée. Cà mange pas de pain , çà permet de se connaitre et pourquoi pas, de se comprendre mutuellement . On peut rêver ...

    GRL



  • GRL GRL 10 février 2009 11:46

    Il semblerait alors que l’on ait de plus en plus besoin d’une couche supplémentaire , d’une nouvelle collection de liens , comme l’extension d’une dendrite qui nous aurait un temps reliés au autres humains mais qui chercherait à élargir ses points d’accroche et nous relier aujourd’hui aux objets et à des collections d’informations supplémentaires.

    Est ce qu’un Wikipédia de ce style nous permettrait un jour de nous balader en forêt et arretés devant un arbre ancien , pointer notre troisieme oeil et y voir une bulle " Cèdre du Liban / 350 ans ... etc ... " ? je demande ceci parce que le buisness est toujours le premier à sauter sur une nouvelle technologie mais un moyen est un moyen , il peut ensuite servir , se dériver en une multitude de fonctions , et l’environnement cliquable , si l’on y réflechit semble etre une ouverture pour le moins impressionnante "

    GRL

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