Merci pour ce très bel article, riche en évocations poétiques et sentiments de vies d’artistes...
Cela me fait penser, dans un autre domaine, au film La Stazione de Sergio Rubini,
qui raconte l’histoire d’un amour étrange, se déroulant en majeure partie dans une petite gare italienne isolée, là aussi il y a le chef de gare, la femme égarée, le train, et le décor glauque de la nuit, qui parfois prennent des allures fantastiques, dignes des plus troublantes peintures surréalistes de Paul Delvaux...
Cela me fait penser à Jacques Brel, un poème de jeunesse,
que j’écoutais le coeur battant, chanter dans le poste de radio posé sur le buffet en bois blanc de la cuisine...
Mon père est l’auteur de cette photo, prise avec un Foca de l’époque, appareil qui représentait un beau résumé de ses économies d’alors ...
quelle émouvante et superbe chanson que celle des Vieux Copains de Léo Ferré, merci de la faire revivre ici ...
Bonjour Yohan,
Merci pour l’envoi de votre lien et la découverte, pour ce qui me concerne, des magnifiques clichés d’Henri Guerard,
Merci à tous pour votre présence, vos encouragements, vos apports et témoignages personnels, qui sont autant de découvertes vitales, autant de bouffées d’oxygène parmi certaines suffocations du monde...
Merci pour votre commentaire témoignage...
Pour quelques uns, le même godillot des premiers pas dans la vie, les mêmes espoirs, et la vie des souvenirs en rappel à la fin de la pièce, les mêmes attentes et questions,
et le tout dans ce rien, à l’instar de Godot qui...
des jours de poésie intercalaires, parmi des journées de vide intersidéral,
pour faire constraste ou pour mieux penser à l’après ?
"Que ferais-je sans ce monde sans visage
sans questions
où être ne dure qu’un instant, où chaque instant
verse dans le vide dans l’oubli d’avoir été
sans cette onde où à la fin
corps et ombre ensemble s’engloutissent ?
que ferais-je sans ce silence gouffre des murmures
haletant furieux vers le secours vers l’amour
sans ce ciel qui s’élève
sur la poussière de ses lests
que ferais-je ?
je ferais comme hier comme aujourd’hui
Merci pour votre commentaire, ...
comme le jeune enfant, puissions nous encore parvenir à rêver en dehors des mots,
comme l’adulte et le vieillard, puissions nous encore et toujours, nous émerveiller du pouvoir évocateur de certains mots...
" Puis parler, vite, des mots, comme l’enfant qui se met en plusieurs, deux, trois, pour être ensemble, dans la nuit."