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jjwaDal

jjwaDal

Un petit bonhomme d'une curiosité exceptionnelle qui considère la recherche de la réalité comme une des plus belles expériences de la vie.

Tableau de bord

  • Premier article le 23/06/2008
  • Modérateur depuis le 02/08/2008
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Ses articles classés par : nombre de réactions













Derniers commentaires



  • jjwaDal jjwaDal 25 avril 08:53

    Dans une discussion récente, l’économiste Jeffrey Sachs et le géopolitologue John Mearsheimer, tous deux citoyens américains mondialement connus s’accordaient à dire (après examen du second pour un livre récemment paru) que les dirigeants se mentent peu entre eux mais que les dirigeants autocrates mentent sensiblement moins à leurs peuples que les dirigeants de nos pseudo démocraties pour des raisons explicables aisément. Les peuples ne font pas confiance en base aux autocrates et sont incités à vérifier toute information de sa part, quand les peuples « en démocratie » croient en large partie que leurs élus sont là pour défendre leur cause et que leurs médias sont libres et rapportent fidèlement les faits.
    Il n’en est rien bien sûr, mais la légende existe quand elle n’a pas prise dans les Etats ouvertement perçus comme « autoritaires ».



  • jjwaDal jjwaDal 25 avril 08:15

    @alinea
    La notion d’« intérêt national » n’existe plus pour les dirigeants occidentaux, car ils ont renoncé à le défendre. Leurs actes et décisions ne peuvent être interprétables dans ce cadre. Ils ne sont plus que les représentants des factions influentes du moment de l’oligarchie et ne servent que des intérêts de court terme, sans aucun projet au delà. Il y a déjà des centaines de français combattants pour l’Ukraine, y compris sur le sol ukrainien et le seul but d’une annonce officielle d’envoi de troupes est de faire mousser un petit chef de province dans une posture de type « la mienne (de détermination) est plus grosse que la vôtre », c’est tout.
    En opportuniste, il a vu son homologue allemand regarder ailleurs après la destruction de son gazoduc par le chef et s’est dit que la fenêtre d’opportunité pour « prendre la tête » des européens était ouverte. Une forme de « folie des grandeurs » en somme.



  • jjwaDal jjwaDal 24 avril 18:31

    Il a un profil psychologique un peu particulier mais ressemble sur bien des points à la plupart des préfets de région européenne qui se prennent pour des chefs d’Etat en sachant bien que la souveraineté de leur pays est de l’histoire ancienne.
    Comme pour tous les autres il n’est pas plus à ce poste pour améliorer la vie de ses compatriotes, que pour défendre les intérêts d’un Etat disparu, mais bien pour jouer le rôle d’assassin économique afin de conditionner un peu plus la politique interne aux besoins de la finance et de l’industrie.
    Il nous laissera des moments forts comme le jour où il demanda sous le regard amusé des journalistes et ébahi du commanditaire de la destruction du gazoduc « Nordstream 2 » « Joe ? J’ai eu l’émirat du Qatar au téléphone, ils n’ont pas de gaz supplémentaire à nous vendre, on fait quoi ?... » où le jour où Vladimir Poutine le reçu au bout d’une table de 6m de long, en disant long sur la chaude camaraderie et l’esprit de confiance mutuelle entre la direction russe et le personnage.
    J’ai bien aimé aussi une déclaration ancienne où il déplorait qu’on ait encore recours à des archaïsmes comme l’élection pour le porter au pouvoir. Implicitement il semblait regretter le bon temps de la royauté et le dérisoire élément d’incertitude entraîné par le passage par les urnes.
    Si ses employeurs (pas nous bien sûr) n’étaient pas contents de ses services, il n’aurait jamais été réélu.



  • jjwaDal jjwaDal 5 avril 11:48

    L’Ukraine sera un jour membre de l’OTAN. Blinken l’a encore martelé hier. A la Russie de décider de la taille du territoire que sera ce que nous devrons appeler « Ukraine » à ce moment là. Avec les pertes humaines et économiques de la guerre et l’exode massif avant elle et depuis 2004, l’Ukraine actuelle est déjà méconnaissable comparée au pays de 1991 par ex.
    C’est l’unique façon que je vois pour concilier deux positions irréconciliables si personne ne ment (chose discutable côté US).
    Se méfier de la notion de PIB. En PPP (parité de pouvoir d’achat) déjà plus parlant la Russie a une puissance économique supérieure à l’Allemagne, seulement dépassée par Chine, Inde, Japon et USA.
    Mais la PPP dissimule bien des choses, car vous pouvez avoir un PIB reposant massivement sur la prestation de services (financiers et autres) et un reposant sur une puissance manufacturière (capacité à faire des poutrelles métalliques, des produits chimiques, des missiles et des chars, etc).
    Un pays ayant un PIB en « carton pâte » comme beaucoup de pays occidentaux peut se trouver fort dépourvu en cas de conflit armé et l’apothéose aura été de croire qu’on pouvait noyer un poisson dans l’eau, les sanctions économiques ayant échouées partout ailleurs et le principal dépôt de ressources minérales de la planète, potentiellement celui qui aura le pouvoir de nourrir une large portion de la planète, pouvait être étranglé économiquement ?
    A noter que Mearsheimer qui avait prédit cette guerre en 2015 ne voit aucune issue possible au conflit, les deux adversaires s’étant mis dos au mur, et entre deux nations nucléaires c’est la méga boulette. Aucun des deux ne pouvant décamper la « queue basse » on n’est pas à l’abri d’une saison de champignons inattendue.



  • jjwaDal jjwaDal 4 avril 11:31

    Dans ce cas, c’est une course de vitesse, car pour le moment c’est le système qui est en passe d’en finir avec nous.
    Au procès de Nuremberg on a pendu des lampistes alors que le système social donnant des pouvoirs énormes à des monstres potentiels (si l’occasion se présentait et elle s’est présentée alors et se représentera vraisemblablement) est resté quasi à l’identique.
    Son avantage est qu’il est partout et nulle part, incarnée dans d’innombrables complices et effecteurs et donc éliminer des lampistes (Gates, Swab, etc) n’y changerait rien.
    Par ailleurs il faudrait déjà se délier de deux bureaucraties supranationales (l’U.E. et l’OMC) et presque personne ne l’envisage.
    Il faudra que ce système menace de nous envoyer tous par le fond (guerre nucléaire, désastres humains massifs quels qu’en soient les causes) pour qu’un réflexe de survie collectif apparaisse.
    On en est encore loin.

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