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savouret

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  • Premier article le 07/07/2009
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Derniers commentaires



  • savouret 23 juillet 2009 11:19

    excellente reflexion philosophique .vous mettez bien en exergue l ’ambivalence des relations qu’entretiennent les etres humains àvec la liberté, qui est sans cesse revendiquée et exaltée , mais qui implique une profonde remise en en cause , que bien peu de personnes sont pretes a entreprendre réellement.



  • savouret 22 juillet 2009 20:59

    il est évident qu ’il est nécessaire d ’améliorer les conditions de détention,afin de limiter le taux de récidive des détenus qui est trés élevé .ceci dit , je ne pense pas que rénover les prisons ou en construire de nouvelles soit la panacée afin d ’enrayer la récurrence de la délinquance chez les personnes incarcérées.

    en effet, il serait a mon avis nettement plus pertinent de proposer de plus en plus d ’alternatives à l’incarcération pour les auteurs de petits délits.il est certes necessaire de les sanctionner réellement afin que ne s ’installe pas un sentiment d ’impunité, cependant il me semble que le système carcéral meme amélioré n’est pas la réponse la plus appropriée pour que les délinquants developpent leur esprit civique ou conférent une légitimité aux lois en vigueur.

    bien entendu, il n ’existe pas de solutions miracles pour atteindre ces objectifs, et des mesures comme les travaux d interet général n’ont qu’une efficacité limitée, toutefois je pense qu’ avec une réelle volonté politique, allant à l’encontre des postulats conservateurs de notre gouvernement dans le domaine de la sécurité, il serait enviseagable de désengorger le système carcéral tout en parvenant à réduire significativement la délinquance.



  • savouret 16 juillet 2009 16:31

    a marc bruxman.vos études vous ont certes offert plus de perspectives professionnelles et financiéres qu’une formation en sociologie.cependant, vous ont elles donné plus d ’outils de reflexion pour devenir un citoyen éclairé et humaniste ?’ces vertus ne sont elles pas un moyen plus sur d ’accéder à un bonheur durable qu’une réussite professionnelle t matérielle impliquant l ’adhésion à des valeurs individualistes et consuméristes ?

    en ce qui me concerne, je suis relativement jeune(approximativment 30 ) ans et je ne me reconnais nullement dans le portrait que vous faites d ’une génération pragmatique et dépourvue d ’aspirations à une sociéte plus juste et humaniste.

    ne vous en déplaise, les dogmes néolibéraux véhiculés par notre hyperprésident sont rejettés par une proportion non négligeable de jeunes adultes, pour lesquels il existe d ’autres sources d ’épanouissement et de satisfaction qu’ un salaire mirobolant ou qu’une consommation abusive de biens matériels et de loisirs.j ’ai toutefois conscience de représenter une minorité, mais j ’en suis fier !!il est infiniment plus gratifiant à mes yeux d ’exercer un métier susceptible de contribuer au bien commun , qui n ’est pas régi par le profit ou la compétition, plutot que d ’etre un « jeune cadre dynamique » de la finance , ayant perdu tout esprit critique en raison de son aliénation l’ideologie néolibérale.



  • savouret 13 juillet 2009 14:48

    je trouve que votre article a trop tendance à idéaliser le passé et à l’inverse à dramatiser l ’état actuel de notre société.
    tout d ’abord, pensez vous vraiment que la majorité des jeunes d ’autrefois étaient a ce point fascinés par les centres d ’interet « intellectuels » ?

    je pense que cela était certes le cas pour la minorité de privilégiés qui étaient scolarisés au lycée, et j ’en conviens les lycéens d ’antan étaient probablement plus avides de savoir que les lycéens contemporains qui quant à eux sont nettement trop impregnés d ’une visions utilitariste des études.

    cependant, il convient de rappeller qu ’il y a encore une trentaine d ’années , les jeunes qui accédaient au grade de bachelier demeuraient nettement minoritaires,donc logiquement ,sachant qu’il y a deux fois plus de bacheliers aujourd’hui, il est inéluctable que le leur niveau moyen se soit affaibli.

    ensuite, vous dites que pour les jeunes d’aujourd’hui , la seule préoccupation légitime est l salaire qu’ils vont percevoir, je le déplore tout autant que vous, mais il me semble nécessaire de rappeler que cette primauté excessive conférée à l’argent existait déja durant les trentes glorieuses, meme si elle était un peu atténuée, car a l ’epoque la société de consommation avait déja emergé et elle faconnait aussi les mentalités individuelles et collectives de la jeune génération.celle ci dans sa grande majorité eprouvait déja plus d ’admiration pour les vedettes du cinéma ou du sport que pour les intellectuels.

    en ce qui concerne les qualités dont vous dites qu’elles étaient autrefois encensées par la sosciété alors qu’elles seraient devenues désuetes dorénavant, je pense que la encore vous avez tendance à avoir une vision trop idyllique du passé et à l’inverse trop défavorable du présent.certes, les vertus que vous évoquez étaient plus prégnantes auparavant, et vous avez raison de dénoncer l ’affaiblissement de celles ci, toutefois elles sont encore présentes chez chez une proportion importante individus et autrefois elles n ’etaient pas non plus partagées par l ’ensemble d ’une classe d ’age.en effet, la déviance, l ’insolence, l’irrespect ont toujurs été des marqueurs identitaires de la jeunesse,

    je ne pense donc pas que l’on puisse parler d ’un déclassement massif de la sociéte , a partir du moment ou l’on ne percoit pas le passé comme un age d ’or révolu, ce qui ne signifie pas bien entendu qu’il ne faille pas s ’inquiéter de certaines dérives de notre société contemporaine.afin d ’y remédier, je pense qu’il faut en effet faire preuve d ’un grande exigence intellectuelle envers les élèves et réellement démocatiser l ’accés au savoir, ce qui demeure une promesse inaccomplie.



  • savouret 10 juillet 2009 23:31

    excellent article qui met en évidence les effets néfastes potentiels d ’une politique de la santé qui fait prévaloir les interets financiers sur les interets humains, ce qui est totalement inacceptable sur le plan moral.

    ceci nous démontre bien, qu ’en dépit de ses discours récents d’inspiration sociale démocrate , notre président demeure bien un partisan du néolibéralisme, doctrine qui est fondée notamment sur l’idée que toutes les sphéres de l ’activité humaine doivent etre régies par le profit.

    il reste à esperer que si la crise venait à perdurer, elle délegitimerait reellement les postulats de cette idéologie .

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