ddacoudre

@Ouam (Paria statutaire non vacciné)
bonjour
ce qui fait de nous des humain civilisé ce sont nos relations interpersonnelles, la capacité de nous entraider, celle de prendre en charge ceux qui sont en difficultés quelle qu’en soit la cause y compris ceux qui commettent des crimes comme de ceux dont tu parles et ceux qui se vengent. la punition est la conséquence d’un échec éducatif. éduquer c’est long et il faut avoir de la patience. or nous nous voulons qu’au premier enseignement tout soit acquis, ce qui n’est pas le cas, il faut donc répéter les choses et expliquer leur raison. un jour j’ai expliqué à un voleur pourquoi il ne fallait pas voler. non pas parce que c’est interdit ou parce que ce n’est qu’un comportement économe de nature. mais parce que si tout le monde volaient il n’y aurait plus personne pour produire nos besoins et une fois les stocks épuisé nous mourrions de faim. il nous appartient donc en tant qu’humain civilisé de faire en sorte que chacun puisse disposer d’un revenu en participant au développement à la création des besoins y compris ceux de se distraire, ou de s’instruire pour perpétuer le développement. sauf que nous nous produisons pour pouvoir vendre celle-ci à ceux a qui nous les avons fait produire seulement pour amasser de la monnaie. notre finalité n’est pas civilisatrice, participative, collaborative mais égocentrique, pire qu’un animal qui lui a sa panse comme limite, alors que nous nous n’avons rien d’autres que les kraks boursiers pour arrêter notre soif d’amasser de la monnaie. être civilisé ce n’est pas de disposer du confort, mais de savoir vivre en harmonie entre nous, ce qui n’est pas le cas, car nous poussons chacun d’entre nous à se valoriser au détriment d’un autre. l’harmonie du société se mesure à sa capacité de ne pas vouloir que les autres nous ressemble si l’autre n’est pas consentant, et ce qui est interdit doit se comprendre par le consentement éducatif et les interrogations de la raison de l’existence des choses.
aujourd’hui par manque d’espèrance les citoyens se laisse emporter par les affaires de sécurité et recrachent ce que les informations leur fait manger, sans jamais se poser la question pourquoi celle là au lieu d’une autre, car il y a par jour 11ooo crimes et délits depuis 30 ans sans jamais débattre des raisons, en ignorant
90% des citoyens n’ont jamais eu affaire à la justice, que nos crimes et délits ne représentent que 5% de la population, seule leur nature analytique varient et s’adaptent à l’environnement. ce qui démontre que les relations à la sécurité sont émotionnelles et non rationnelles et essentiellement porté par les médias.
Chaque jour, 25 000 personnes, dont plus de 10 000 enfants, meurent de la faim et des causes associées. On estime que 854 millions de personnes sont sous-alimentées dans le monde et que la hausse des prix risque de faire basculer 100 millions de personnes supplémentaires dans la pauvreté et la faim, soit 1,25% de la population mondiale.

En 2023, 1.010 personnes ont été victimes d’homicides en France,

soit 0,0014%, il ne s’agit pas de dire un c’est un de trop, car c’est complètement con, mais d’en prévenir les passages à l’acte par l’éducation car nous connaissons les causes,sauf que cela demande plus de monnaie que les prisons. Or les spécialistes considèrent que 5% de crimes et délits sont un taux acceptable pour une société de 70 millions d’habitant, et plus le taux et bas plus cela demande des moyens éducatifs élever pour l’abaisser. financer des classes de 15 élèves serait plus efficace que de construire des prisons et payer des policiers au lieu d’enseignant. ainsi être civilisé ce n’est pas accroitre la répression et la punition mais de privilégier l’éducation, l’émancipation, les responsabilités civiques, pour harmoniser les relations interpersonnelles et prévenir les passages à l’actes en apportant des réponse et des solutions à ceux qui sont dans la difficultés ; nous sommes loin de tout cela, même à l’opposé.
cordialement

@Ouam (Paria statutaire non vacciné)

Pour lire le monde, ce n’est pas compliqué, tous les hommes, comme tout le vivant répond aux mêmes contraintes qui sont de nature, c’est-à-dire biologique, et dans un cycle ininterrompu chacun est le prédateur d’un autre, pour trouver à se nourrir, se protéger et procréer. Ça s’arrête là, point final.

Chaque espèce le fait, avec ce que l’a doté la nature au faire à mesure de l’évolution de l’environnement planétaire pour s’y adapter. Ceux qui n’ont pas les moyens d’adaptation disparaissent et les autres mutent. Nous, depuis 2 millions d’années, nous avons muté. À chaque étape, c’est développé, pour satisfaire à l’inné des hominidés, des pratiques culturelles pour s’organiser suivant le nombre d’individus vivant ensemble. Ces pratiques culturelles ont évolué du groupe au clan puis à des villages, des villes, des royaumes, des empires et pour finir aujourd’hui des États. C’est ainsi que grâce à l’archéologie qui est récente, et l’histoire qui l’est tout autant nous distinguons tous les usages culturels qui se sont développés et qui ont évolué suivant les conditions d’existences et les interrogations que se sont posés les humains et des moyens qu’ils avaient de circuler, pour trouver leur subsistance. Nous avons relevé ainsi au moins trente-neuf sociétés culturelles, sans parler des pratiques tribales qu‘étudie l’anthropologie.

De nature, aucune d’entre-t-elle non choisit d’évoluer, et comme toi ont soutenu et considéré que leur culture n’était pas miscible avec d’autres, et se sont entre-tuée, ce que nous sommes près de continuer au nom de la culture dont chacun a hérité par la matrice culturelle du pays dans lequel il est né. C’est ainsi que malgré l’histoire édificatrice de l’évolution nous continuons de pratiquer l’ostracisme et la xénophobie qui correspond à des comportements de nature chez toutes les espèces animales y compris la nôtre. Ce type de comportements au début du 20 siècle était commun dans les villages ou villes, et les gens disaient quand un des leurs épousait une personne du village ou d’une ville d’ailleurs « il a épousé un étranger ». Il ne s’agit pas de blâmer ceux qui restent attachés à leur culture, mais de leur dire de n’importe laquelle que leurs descendances en changeront d’autant plus rapidement qu’ils disposeront des moyens de circulation. De la sorte que réclamer que chacun reste chez soi est une absurdité évolutionniste, cela parce qu’ils regardent le monde émotionnellement à la mesure de leur vie, et non à celle de l’espèce que nous connaissons mieux maintenant. Historiquement concernant ce qu’il appelle la créolisation, qu’avant on désignait comme syncrétisme, c’est Mélenchon qui est dans le fil de l’histoire humaine et non Zemmour.

Il ne s’agit pas de demander à ceux qui sont attachés à leur culture d’en changer ou de l’imposer aux autres, mais de laisser se dérouler l’histoire plutôt que de chercher à l’arrêter avec des confrontations comme celle que nous connaissons au moyen orient. Nous avons sous les yeux l’exemple de ce que donne une population attachée à sa culture religieuse judaïque, fondé sur des mythes et des contes théologiques. Historiquement les juifs étaient des conquérants qui ont massacré d’autres royaumes de leurs temps pour s’installer dans les pays conquis, dont ensuite, ils ont étaient chassés par d’autres conquérants. Rien avoir avec le conte biblique de dieu qui leur promet une terre. C’est une analogie qu’il faut réinterpréter aujourd’hui pour être ce qu’elle était à l’époque. OR pour rester dans ce conte archaïque, ils massacrent des adversaires qui ne sont pas mieux qu’eux concernant l’attachement aux contes musulmans.

Il nous appartient donc de rechercher ce que nous attendons de notre culture, si ce n’est une position, de dominant en la pensant meilleure que les autres ou en préservant un territoire où au lieu de pisser à chaque coin l’on y met des douaniers ou des policiers. Rien de moins animalier que cela, donc de nature, et forcément loin de ce que nous pouvons appeler la civilisation ou chacun pratique la solidarité égoïste, afin de vivre et se socialiser avec les autres plutôt que de pratiquer l’égocentrisme comme nous le faisons avec le capitalisme où l’autre est celui de qui il faut tout recevoir pour s’enrichir et le nourrir pour qu’il soit rentable.

Cela fait 5000 ans que ça dure sous divers paradigmes, parce que toute évolution ne se fait pas à la vitesse de nos vies. Tout ce que je t’écris n’est pas à la portée de tous les hommes du monde, courbés sur ce qui leur ait l’essentiel, leur quotidien. Il ne s’agit pas de refaire le monde, mais d’en recueillir les événements qui annoncent les autres ; il y a deux méthodes celle discrète de l’observation des individus, et celle holistique de l’évolution de leur ensemble. Elles sont toutes deux indicatives, mais ne permettent pas de détenir la vérité de l’évolution qui aura lieu. Tout simplement parce que c’est nous qui nous observons.

Concernant la pauvreté elle est culturelle et pas de nature donc en aucun moment l’ont ne peut considérer que de parles des groupes pauvres, ce soit du racisme. Par contre, si nous avions une autre espèce d’hominidé qui ne disposerait pas d’une conscience et d’une pensée associative comme nous, elle nous serait effectivement inférieure, et les mépriser serait être raciste.

Pour terminer, nous vivons sous le principe de la rareté, nous devons travailler pour produire nos besoins. Si nous ne travaillons pas pour cela, la nature ne peut suffire à nourrir 8 milliards d’humains ; IL Y A AINSI DE PAR LE MONDE DES HUMAINS QUI N’ONT PAS DE QUOI SE NOURRIR ET MEURENT DE FAIM. Aujourd’hui ce n’est pas acceptable quand l’on se veut être des Hommes civilisés et que l’on dispose des moyens pour y faire face.

Enfin, nous sommes tous régis par une règle universelle, qui concerne tout le vivant, c’est que nous recherchons à dépenser le moins d’énergie possible pour obtenir ce que nous désirons ou nos besoins, car l’énergie demande toujours plus de nourriture pour en disposer. C’est pour cela qu’un animal va dérober la nourriture d’un autre s’il n’est pas assez fort pour la protéger. Ce n’est pas parce que c’est un voleur, mais parce qu’il dépense moins d’énergie à voler qu’à aller chasser sa proie. cordialement

@Com une outre
bonjour
en économie ce ne sont pas ceux qui sont au pouvoir qui dirigeants car il ne font que suivre une organisation capitaliste contre laquelle nous ne votons pas. depuis Giscard qui que ce soit qui ait été au pouvoir nous avons eu la même gestion monétariste avec les mêmes conséquences. et demain quand nous voterons nous réinstallerons un nouveaux dirigeants qui continuera la même chose en nous expliquant qu’il en sera autrement. alors effectivement il y a des noms mais ils ne servent pas à grand chose en économie.
cordialement

@Com une outre
bonjour
tu as raison il y a des noms, mais ils sont sans importance en économie, nous le vivons depuis Giscard tous ceux qui ont accédé au pouvoir ont géré le capitalisme à travers une politique monétariste, et ceux que nous élirons demain s’ils ne sont pas opposé à cela continuerons quel que soit leurs noms.
cordialement.

@Ouam (Paria statutaire non vacciné)
bonjour
le racisme c’est quand l’on considère qu’un humain nous est inférieur de par nature ? comme quand les blanc pensaient que les noirs n’était pas des humains, ou quand les catholique se demandaient si les femmes avaient une âme, ou quand vacher de la Pouge disait que les gens du nord étaient une race supérieure, quand Hitler considère que les juifs, les tsiganes, les malades mentaux, les homosexuels étaient des êtres inférieurs. le racisme inclut forcément la notion d’infériorité de nature. Nous le plus souvent nous faisons de la xénophobie ou de l’ostracisme.
tous les occidentaux sont élevé dés l’enfance dans le même moule et reçoivent la même éducation d’essence religieuse devenu athée républicaine. nous considérons que l’économie n’a pas de morale, ce que je t ai expliqué dans la recherche de plus-value, qui est pratiqué dans les états théocratiques aussi.
je t’ai expliqué aussi que ce ne sont pas les pauvres qui trichent le plus mais les col-blancs, les gens riches ou aisés. si les pauvres étaient capable de se révolter nous le saurions depuis longtemps. mais nous savons que ceux qui vivent dans des ghettos sociaux transgressent également, ils sont moins nombreux que les cols-blancs, mais c’est d’eux dont nous parlons le plus, et qui alimentent les médias. pourquoi nous aimons les drames, lien https://www.psychologies.com/ ; puisque tu aimes savoir cela intéressera.
c’est ainsi que ce que l’on appelle la matrice culturelle dés l’enfance nous façonne.
et tous les intervenants dans les réseaux sociaux ou sur youtude racontent la même chose sous divers paradigme. c’est ainsi que renvoyer la faute aux dirigeants, c’est se dédouaner de ses propres comportements et analyses qui sont coulé dans le même moule qu’eux. faire éclater ce moule n’est pas l’affaire des hommes politiques mais des citoyens tant qu’il accepterons de courir après la plus-value, ils aurons les hommes politiques en conséquences. Changer ce n’est ni un problème politique ni un problème économique, c’est une problématique humaine que si l’on accepte de se regarder pour ce que nous sommes des animaux disposant du même inné que les autres, avec en plus d’eux une conscience de nos actions et un cerveau associatif plus performent que l’ensemble du monde animalier. aujourd’hui nous disposons des connaissance pour comprendre que la matrice culturelle qui nous fonde,n’est qu’un paradigme qui transforme par l’adaptabilité et l’éducation nos émotions de nature pour survivre dans un monde dans lequel depuis 9000 ans nous avons modifié notre environement dans lequel doit s’exercer l’inné et qu’il faut l’adapter au culture mimétique pour survivre, ce qui nous pousse à croire si nous ne nous instruisons pas d’histoire humaine et géoéconomique que notre monde n’évolue pas, car nous réclamons toujours la perennisation de toute chose, en ayant jamais accepté que notre monde était évanescent et une illusion défendu par la philosophie Bouddhiste. ce qui signifie qu’il évolue en permanence.
donc conformément à nos comportements innés, même dans notre multitude se développe des dominants, mais ils ne sont plus des dominant Alpha, car ce rôle est tenu par nos paradigmes systémiques de cette fonction, que sont les mythes, les conte religieux, les contes organisationnels culturels, ceux économiques et dont ayant accédé à la démocratie les populations votent pour un ou des dirigeants qui représentent un certains temps des dominants du deuxième rang c’est à dire des Bêta. l’enjeu est dont de vouloir sortir culturellement de ce type d’organisation qui nous fabrique des dominant Bêta qui nous maintiennent dans la soumissions des dominants systémiques alpha par l’apprentissage, l’éducation et le mimétisme. ce système ne changera que quand il implosera, et actuellement les condition de cette implosion se mettent en place, en maintenant des sujets conflictuel autour de la domination du monde. cela se présente dans les deux conflits en cours, LES USA CONTRE LA RUSSIE ? ET LES USA CONTRE LES THÉOCRATIE ; Également dans la guerre autour de la monnaie internationale de change ou la Russie, l’Inde, la Chine voudraient imposer le Yen.
dans ce cadre la France ne représente rien, c’est ainsi qu’elle à choisit avec Sarkozy de rester l’allié des USA et que l’Europe n’arrive pas par des égoïsme nationaux de se fédérer ou autres pour avoir une Europe sociale, politique et militaire même si je le déplore cela. Collé aux USA nous disparaitrons dans le futur avec eux si d’ici là nous ne trouvons pas une autre organisation que celle capitaliste, à laquelle se sont ouverts la Russie l’inde, la chine et qui excluent de l’Afrique l’Europe et les Usa, pour exploiter ce continent.
le seul moyen de changer la donne et de réformer l’organisation monétaire pour mettre en place une valeur monétaire internationale irréversible et incontestable qui est l’énergie que dépense les Hommes pour effectuer un travail. de sorte que le même travail soit fait par un chinois ou un américain il aura la même valeur et ne donnera pas lieu à compétition. et sur cette base pourra être élaboré un étalon monétaire.
je ne crois pas que ce soit cela qui intéressent les citoyens du monde tant qu’ils n’aurons pas implosés. pour deux raisons, l’une notre inné est fait pour capter des événements accessibles à ses sens, dont à son quotidien et fourni alors la réponse émotionnelle approprié et il ne peut pas ressentir ce qui dépasse les capacités de ses sens, là ou il faut une réponse intellectuelle. l’autre c’est que les affaires qui dépassent ses sens sont des affaires accessibles à l’intellectuel, tant pour les affaires nationales que mondiales, et il ne peut les connaitres que si ont les lui rapporte d’où l’importance de l’information et qui en a la maitrise, et s’il y répond émotionnellement, comme c’est souvent le cas puisque depuis 1990 on le sollicite pour cela, alors il aura le réflexe de survie et continuera de soutenir émotionnellement ce qu’il peut déplorer politiquement, que pour installer un dirigeant Bêta qui continuera la même conduite des affaires soumises au dominants systémiques. Nous sommes donc dans une nasse à tourner en rond sans nous donner les moyens de pouvoir changer la donne faute d’avoir des débats explicatifs. d’où l’importance de l’instruction et de l’éducation permanente.
je n’ai rien contre personne et je ne méprise personne, mais je dois reconnaitre que les populations sont dans une insuffisance intellectuelle, car l’instruction générale ne suffit plus pour connaitre le monde et en comprendre sa complexité interactive et comprendre que la raréfaction de la monnaie et source de déboire et insuffisance, alors que tous les pays ont des besoins inassouvis et que la technologie et la main d’œuvre est disponible. et face à cela nous restons enfermé par les dominants systémiques du capitalisme qui n’a jamais était organisé pour le bonheur des hommes mais pour leur exploitation, même certains ont profité de leur production, et donc ne remettent pas en cause ce qui les domine.

cordialement bonne soirée