Exact, 53% correspond au taux de dépenses publiques au sens large du terme.
La composition des prélèvements obligatoires est sans doute trop déséquilibrée en faveur des impôts indirects , c’est à dire ceux qui frappent des comportements économiques (production, consommation) et non des eprsonnes. Ils ont tendance à opérer une redistribution à l’envers.
Je serai plutôt favorable à une extension de l’impôt sur le revenu (certains proposent sa fusion avec la CSG). Avoir un système fiscal plus progressif, plus redistributif en faveur des moins riches, présente un avantage : en cas de crise, lorsque des ménages basculent dans une tranche inférieure, les impôts diminuent mécaniquement et cela dope le pouvoir d’achat et l’activité. cela permettrait d’amortir encore mieux les chocs économiques.
Il ya d’autres aspects sur lesquels on pourrait travailler,
A bientôt
D.