Ce que je trouve très réconfortant, c’est que si nous, déjà ou bientôt retraités, ne sommes pas à l’abri de la maladie d’Alzheimer, nos enfants, et surtout nos petits enfants, seront bien moins exposés à ce risque ! Grâce au néolibéralisme triomphant, l’âge moyen de la mort pour les pauvres va très vite repasser sous la barre des 70, ce qui fait qu’ils mourront plus jeunes, d’accord, mais en pleine possession de leur moyens intellectuels ! Alors que les riches, hein, complètement « gagas » ? Quoi, pas sûr ? « Leur » médecine trouverait des remèdes très chers ? Si on ne peut même plus compter sur la maladie et la mort pour mettre un peu de justice ici bas ?