Bonjour, Ettore.
Je ne crois pas que l’on puisse parler d’un problème d’ego pour Hollande (contrairement à Sarkozy), mais d’une conviction profonde que la voie du salut passe par la poursuite de la politique libérale et le retournement de conjoncture économique qui viendra tôt ou tard. C’est pourquoi il ne fait rien de spectaculaire et, jour après jour, croise les doigts en attendant pour le lendemain une inversion des indicateurs socioéconomiques.