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Wlad

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Apôtre du dé à 10 faces, grand amateur de bonne chère et de musiques underground, souvent incompris de mes pairs, je cultive le décalage et la geekness comme d’autres leur potager.

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  • Premier article le 01/10/2007
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Derniers commentaires



  • Wlad Wlad 28 septembre 2007 12:47

    Honnêtement, je suis très dubitatif.

    Tu évoques la nature des CPGE « auto-entretenues » pour justifier un déficit d’élèves « issus des classes sociales défavorisées » ; pourtant, dans mon lycée (en Meuse, ce qui ne nous classe pas parmi les plus prédestinés à la prépa si on suit ton raisonnement du système auto-entretenu), même si pas mal de gens ne venaient pas de classes particulièrement aisées, nos profs nous poussaient fortement à nous inscrire en prépa, arguant que nous n’avions rien à y perdre (je vais revenir sur ce point plus loin).

    Ceci a permis à de nombreuses personnes de ma terminale de se retrouver dans des CPGE parmi les plus prestigieuses : Ste-Geneviève, Fabert, Poincaré... J’ai moi-même atterri à Louis-le-Grand, alors que je ne faisais pas partie du système (personne dans ma famille n’avait fait de prépa avant moi).

    Je ne pense donc pas qu’il y ait besoin d’une réforme telle que tu la présentes.

    Par ailleurs, certains points m’étonnent :

    _« Un moyen de rendre les classes préparatoires plus accessibles et plus égalitaires seraient de les intégrer aux universités : une première année d’université (Licence 1) commune à tous les lycéens quelle que soit leur origine, année de formation générale, à l’issue de laquelle, les étudiants pourraient intégrer une deuxième année spécifique de préparation aux concours (niveau L2). » Quel intérêt ? Le but de la sup est, bien plus que d’enseigner des connaissances, de transmettre aux élèves une méthode de travail et une rigueur qu’on ne retrouve pas dans la façon universitaire de travailler. Si l’élève acquiert durant sa première année des réflexes « universitaires », inutile de proposer une 2ème année de bourrage de crâne ! A ce propos, un point-clé du succès en prépa est le travail collaboratif, pas assez mis en avant par les CPGE. Ta proposition aide-t-elle à développer cet aspect ? Pas sûr, car l’avantage d’une prépa est de connaître tout le monde dans ta classe (je sais que j’idéalise un peu, mais ça s’est passé comme ça pour moi), alors qu’à la fac...

    _« proposer des cursus universitaires cohérents où les étudiants ne réussissant pas au concours des grandes écoles pourraient naturellement poursuivre leurs études dans les filières classiques de l’université » C’est exactement à ça que sert la double inscription, proposée par de nombreuses prépas : l’issue de la sup est considérée comme équivalente au niveau L1, pour peu que l’élève passe un examen d’équivalence (une formalité). Il est donc tout à fait possible de repartir en L2 après un an de prépa.

    _« rapprocher le monde de la recherche universitaire et le monde des grandes écoles, par une formation en CPGE moins théorique, plus au contact des laboratoires de recherche » Pas faux, si on considère l’enseignement de chimie prodigué en CPGE. Toutefois, les « meilleurs des meilleurs », en prépa scientifique, visent soit l’X, soit l’Ecole Normale, qui est un sacré vivier d’aspirants chercheurs ! D’ailleurs, maintenant que j’ai intégré une école d’ingénieurs, je suis incroyablement surpris par la quantité de mes camarades qui suivent un master en 3A ou partent en thèse, pour s’être découvert une vocation pour la recherche !

    Tu vois, tout n’est pas perdu !



  • Wlad Wlad 28 septembre 2007 11:51

    « Bon là, moi pas bien comprendre où vous voulez en venir, l’eo et le latin sont deux choses bien différentes »

    Bon, habituellement la guégerre Asp-Masson me fait bien marrer mais je ne suis pas insensible à la mauvaise foi bilatérale, je m’interdis donc tout jugement sur l’e-o, sur lequel je ne me suis jamais penché (reste que l’initiative était bonne).

    Mais là !

    Il a déjà été débattu du vrai problème de l’e-o : il reste basé sur des langues européennes, dites langues... langues... une idée ? Oui, vous au fond... C’est ça, « latines ».

    Et pourquoi « latines » ? Parce que ce sont des langues de chiotte mais que le complot judéo-nazi extraterrestre (celui qui en veut aux parlojophones) interdit la prononciation de la lettre « r » ?

    [ironie] Non, vraiment, je ne vois pas du tout le rapport entre le latin et l’e-o. [/ironie].



  • Wlad Wlad 27 septembre 2007 17:07

    Sous-entendrais-tu que ces diverses entités sont une seule et même personne ?

    Loin de moi l’idée de te décevoir, mais il faudrait alors qu’ils soient les personnalités d’un schizophrène, car j’ai déjà suivi plusieurs discussions électronico-épistolaires entre ces protagonistes.

    Note que j’y ai aussi participé, tu peux donc m’ajouter si le coeur t’en dit à la liste smiley.

    (Me voir considéré comme une partie d’Asp, quel bonheur ! Je peux être le Membre d’Airain, s’il te plaît, Asp ?)



  • Wlad Wlad 27 septembre 2007 16:46

    Comme vous y allez fort, Alain ! On tend vers le point Godwin !

    Là où je rejoins nombre d’avis précédents, c’est sur l’idée que l’enseignement de l’anglais en France est désastreux. Il suffit de se prendre soi-même par la main (j’ai moi-même passé un mois à Vancouver en sortant de 3ème) et de se motiver pour atteindre un niveau tout à fait correct (je ne prétends pas être parfaitement à l’aise en anglais, mais au moins ai-je un accent dont je suis assez fier, et je suis en mesure de suivre les infos sur les chaînes anglophones).

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